FR2508205A1 - Dispositif de commande pour l'enregistrement, par points, de symboles sur un support d'enregistrement - Google Patents

Abstract

L'INVENTION CONCERNE UN DISPOSITIF POUR COMMANDER L'ENREGISTREMENT, PAR POINTS, DE SYMBOLES SUR UN SUPPORT D'ENREGISTREMENT. LE TRANSFERT, VERS LES MOYENS DE COMMANDE D'EXCITATION 100 DE L'ORGANE D'ENREGISTREMENT 30, DES IMPULSIONS ENGENDREES PAR LE GENERATEUR PAC, AU COURS DE L'ENTRAINEMENT DU DOCUMENT 10, EST CONDITIONNE PAR DES MOYENS GENERATEURS DE SIGNAL DE VALIDATION 102 QUI N'AUTORISENT CE TRANSFERT QUE LORSQUE LA VARIATION DE VITESSE, AU COURS DES INTERVALLES DE TEMPS SEPARANT LES INSTANTS D'ENVOI DE CES IMPULSIONS, EST INFERIEURE A UNE VALEUR LIMITE PREDETERMINEE. APPLICATION A L'IMPRESSION PAR POINTS DE CARACTERES SUR DES DOCUMENTS TELS QUE DES CHEQUES.

Description

DISPOSITIF DE COMMANDE POUR LENREGISTREMENT, PAR POINTS ,DE
SYMBOLES SUR UN SUPPORT D'ENREGISTREMENT
La présente invention se rapporte à un dispositif de commande pour l'enregistrement, par points, de symboles sur un support d'enregistrement . Un tel dispositif trouve tout particulièrement, quoique non exclusivement, son application dans les machines imprimantes du type dit à impression par points, dans lesquelles l'impression d'un symbole (caractère alphabétique par exemple) résulte de l'impression d'un ensemble de points situés à l'intérieur d'une matrice rectangulaire à n lignes et à p colonnes, p et n étant des nombres entiers
Les me-hines imprimantes de ce genre comportent généralement une ou plusieurs têtes d' impression qui peuvent être déplacées par rapport à un support d'enregistrement constitué, le plus souvent ,par une feuille ou une bande de papier, chaque tête comportant plusieurs éléments d'enregistrement, tels que des pointes ou styles d'enregistrement par exemple, qui peuvent être excités sélectivement ,à des instants déterminés, pour imprimer sur le papierune multitude de points séparés formant l'image d'un symbole
On connaît des machines imprimantes de ce type, telles que celle qui , par exemple, a été décrite et représentée dans le brevet français NO 2.042.947 ,dans lesquelles chaque tête d'impression comporte n pointes d'enregistrement disposées ,le long du papier, suivant une direction d'alignement perpendiculaire à la direction de déplacement relatif de cette tête, et dans lesquelles l'impression d'un caractère est obtenue en faisant subir à cette tête un déplacement relatif suivant une direction parallèle à la direction des lignes de la matrice dans laquelle ce caractère doit être imprimé, et en excitant sélectivement les n pointes d'enregistrement en synchronisme avec le déplacement de cette tête,c'està-dire chaque fois que ces n pointes arrivent à l'aplomb de chacune successive des p colonnes de cette matrice.Dans la plupart des machines imprimantes de ce type, cette tête d'impression est,au cours de l'impression d'une ligne de caractères, déplacée par rapport au papier de façon continue, à vitesse constante . Il existe cependant d'autres machines imprimantes de ce type, telles que celle qui, par exemple , a été décrite et représentée dans la demande de brevet français publiée sous le NO 2.395.148, dans lesquelles la tête d'impression est déplacée pas-à-pas,colonne par colonne, et dans lesquelles l'impression d'un caractère est obtenue en excitant, pendant les brefs intervalles de temps où cette tête est stoppée, les pointes nécessaires à l'impression des points dans chacune des colonnes successives de la matrice de ce caractère
Toutefois, pour certaines applications particulières qui vont être indiquées ci-dessous, on a trouvé avantageux de réaliser une machine imprimante à impression par points, dans laquelle la tête d'impression,pourvue de n éléments d'enregistrement ,est bien déplacéepas-àpas, par rapport au papier à imprimer ,mais de telle manière que cette tête soit en mouvement continu au cours de l'impression de chaque caractère et qu'elle soit stoppée pendant un intervalle dé temps très court entre l'impression de deux caractères successifs.Une telle machine trouve tout naturellement son application au traitement de documents ,tels que les chèques, sur lesquels il est nécessaire d'imprimer, d'une part, sous forme de caractères identifiables par un appa- reil de reconnaissance automatique , les informations manuscrites qui figurent au recto de ce chèque ,d'autre part, au verso de ce chèque ,des informations supplémentaires relatives à l'organis- me dont dépend le chèque , par exemple les références de la banque concernée par ce chèque.Pour imprimer ces deux catégories d'informations , cette machine imprimante comporte donc, en plus de la tête d'impression par points destinée à l'impression des informations supplémentaires, un mécanisme d'impression pourvu d'une pluralité de types d'impression qui sont disposés de manière à défiler successivement devant un marteau de frappe et le chèque qui a été préalablement plaçé entre ce marteau et ces types d'impression ,ce marteau pouvant être actionné, à ces instants pré- déterminés ,pour appliquer temporairement ce chèque contre un type d'impression sélectionné et provoquer ainsi l'impression d'un caractère correspondant sur le chèque .Une telle machine imprimante se révèle d'autant plus avantageuse que, la frappe d'un caractère par ce mécanisme d'impression étant effectuée pendant les intervalles de temps où le chèque ne subit aucun déplacement par rapport au marteau de frappe , et l'impression d'un caractère par la tête d'impression par points étant effectuée au contraire , pendant les intervalles de temps où le chèque est déplacé d'un pas ,il devient alors possible d'imprimer en alternance ,caractère par caractère , les deux catégories d'informations citées plus haut, et par conséquent de réaliser l'impression de ces informations sur le chèque en.un temps relativement réduit
On a constaté cependant que, bien que l'excitation sélective des n pointes d'enregistrement de la tête d'impression par points soit commandée en synchronisme avec le déplacement relatif de cette tête, il était nécessaire d'utiliser dans cette machine imprimante des organes d'entraînement capables d'assurer ce déplacement relatif à une vitesse constante. On a en effet observé que ,si cette exigence n'était pas satisfaite, les points imprimés constitutifs d'un même caractère se trouvaient irrégulièrement répartis suivant la direction de déplacement relatif de la tête d'impression et que cette irrégularité pouvait se traduire par un aspect tout à fait inacceptable du caractère imprimé
La présente invention, telle qu'elle est caractérisée par les revendications, surmonte cette difficulté et propose un dispositif de commande d'enregistrement qui, tout en étant de structure relativement simple, permet d'enregistrer ,sous forme de points, des symboles sur un document, même lorsque la vitesse de déplacement relatif de la tête d'impression (ou du document) subit des variations notables, mais cependant limitées, au cours de l'enregistrement des différents points constitutifs d'un même symbole.

Plus précisement ,la présente invention concerne un dispositif de commande d'enregistrement pour l'enregistrement ,par points, de symboles sur un support d'enregistrment, les points constitutifs de chacun desdits symboles étant disposés suivant une matrice rectangulaire comprenant n lignes et p colonnes, ce dispositif comprenant au moins un organe d'enregistrement de points sur ledit support, comportant n éléments d'enregistrement commandés par des impulsions électriques et établis chacun pour, en réponse à une impulsion reçue , provoquer l'enregistrment d'un point dans l'une respective desdites lignes un mécanisme d'entraînement assurant un déplacement relatif entre ledit support d'enregistrement et ledit organe d'enregistrement suivant une direction de déplacement parallèle auxdites lignes, et des moyens d'excitation sélective couplés audit organe d'enregistrement et audit mécanisme d'entraînement pour engendrer des impulsions électriques et les envoyer sélectivement auxdits éléments d'enregistrement, en synchronisme avec le déplacement relatif dudit support, ce dispositif étant caractérisé en ce que, le mécanisme d'entrée nement étant établi pour assurer un déplacement relatif pas-àpas du support d'enregistrement, à une vitesse variable au cours de chaque pas, il comprend en outre des moyens de validation couplés au mécanisme d'entraînement et établis pour n'autoriser l'envoi par les moyens d'excitation sélective, de p impulsions successives nécessaires à l'enregistrement d'un symbole par lesdits éléments d'enregistrement qu'à partir du moment où la variation de vitesse du déplacement relatif au support ,au cours des intervalles de temps séparant les instants où les impulsions sont engendrées successivement par les dits moyens d'excitation, devient inférieure à une valeur limite prédéterminée
L'invention sera mieux comprise et d'autres buts , détails et avantages de celle-ci apparaîtront mieux dans la description suivante, donnée à titre d'exemple non limitatif , et en se référant aux dessins annexés sur lesquels
Les figures 1A et 1B , représentent lorsqu'elles sont assemblées suivant une ligne indiquée en traits mixtes, un schéma logique d'un dispositif de commande d'enregistrement par points réalisé selon l'invention, dans lequel l'enregistrement est effectué par la frappe de points sur le support d'enregistrement
Les figures 2A et 2B ,représentent , lorsqu'elles sont assemblées suivant la ligne indiquée en traits mixtes,un diagramme temporel du mouvement relatif du support d'enregistrement qui est utilise dans le dispositif représenté sur les figures 1A et 1B,
Les figures 3A ,3B et 3C , représentent des exemples de caractères imprimés au moyen du dispositif représenté sur les figures lA et 1B,
La figure 4,est une vue de face d'une tête d'enregistrement faisant partie du dispositif représenté sur les figures 1A et lB,
La figure 5,représente un mode deréalisation du générateur de bits d'informations qui fait partie du schéma représenté sur les figures 1A et 1B,
La ifgure 6, représente une variante d'une partie du dispositif de commande d'enregistrement représenté sur les figures 1A et 1B, et,
La figure 7, est un schéma logique simplifié qui reprend, sous forme de blocs, les éléments principaux du schéma représenté sur les figures 1A et 1B assemblées
Le dispositif de commande d'enregistrement qui a été représenté' sur les figures 1A et 1B assemblées est un dispositif d'impression destiné, plus particulièrement, à imprimer des caractères sur des documents tels que des chèques, des mandats ou des documents analogues. Ce dispositif est ici un dispositif du type dit à frappe par points, mais on verra plus loin que ce type n'est pas exclusif de l'invention et qu'il pourra être remplacé par tout autre type de dispositif à enregistrement par points tel que, par exemple, une imprimante magnétique ou à jet d'encre ou encore une machine perforatrice de tickets.

Le dispositif d'impression qui a été représenté sur les figures 1A et 1B est normalement relié, soit à un calculateur, soit à un clavier codifieur pour recevoir les combinaisons codées correspondant aux symboles à imprimer , ainsi que des signaux déclenchant l'avancement du document qui a été mis en place dans ce dispositif . Sur les figures 1A et 1B ,ni ce calculateur ni ce clavier n'ont été représentés, pour la raison qu'ils ne font pas partie de l'invention. Le dispositif d'impression que l'on voit sur les figures 1A et lB comprend un mécanisme d'entraînement qui permet d'avancer un document à imprimer 10, préalablement mis en place dans ce dispositif, de manière à le faire passer devant un poste d'impression 11 qui sera décrit un peu plus loin.Dans l'exemple décrit , ce mécanisme d'entraînement est constitué par une courroie sans fin 13 qui, comme le montre la figure 1B, est tendue sur deux rouleaux 14 et 15, le rouleau 14 étant couplé mécaniquement à un moteur électrique d'entrainement pas-à-pas 16. Afin d'empêcher tout glissement du document 10 sur la courroie 13, ce mécanisme d'entraînement comporte en outre des rouleaux intermédiaires 17 et des galets presseurs 18 disposés au droit des rouleaux 14,15 et 17, les rouleaux intermédiaires 17 étant répartis de telle sorte que le document 10 se trouve constamment serré entre la courroie 13 et l'un au moins des galets presseurs. Ces galets presseurs peuvent cependant être écartés de la courroie 13 afin de permettre la mise en place ou le retrait d 'un document dans le dispositif d'impression.

Ce dispositif d'impression comporte également des moyens d'alignement et de positionnement du document qui, étant de type connu, n'ont pas été représentés sur les dessins pour la raison qu'ils ne font pas partie de l'invention. Ce dispositif d'impression comporte én outre des moyens de cadrage qui permettent à un document ,mis en place dans ce dispositif et entraîné dans le sens indiqué par la flèche D sur la figure 1B, d'être stoppé au moment où ce document arrive en position d'impression.Dans l'exemple décrit, ces moyens de cadrage sont constitués par une cellulephoto-électrique PCC qui, disposée sur le trajet du document, sensiblement à hauteur du poste d'impression 11, reçoit normalement un faisceau lumineux émis par une source lumineuse 19 et fournit ,en réponse à la réception de ce faisceau , un signal électrique continu à un dispositif amplificateur -dériveur Al dont il sera question plus loin. Au moment où le bord avant du document vient intercepter ce faisceau , ce signal électrique cesse d'être envoyé par la cellule PCC et cette disparition, détectée par l'amplificateur-dériveur Al, déclenche comme on le verra plus loin ,l'arrêt du mécanisme d'entraînement
Comme on peut le voir sur les figures 1B et 4, le poste d'impression 11 est constitué , dans l'exemple décrit, d'une part d'une tête d'impression 30 comportant sept pointes d'impression P1 à P7 alignées suivant une rangée perpendiculaire à la direction de déplacement D du document, d'autre part d'une enclume constituée par un cylindre 31 monté librement sur un axe parallèle à l'axe des rouleaux 14,15 et 17 ,cette tête 30 et ce cylindre 31 étant disposés de part et d'autre du document 10 préalablement amené en position d'impression. Les sept pointes d'imprèssion P1 à P7 sont normalement en retrait par rapport à la face 33 de la tête qui est disposée en regard du cylindre 31, mais elles peuvent être actionnées sélectivement à des instants déterminés, pour faire saillie sur cette face 33 et imprimer sur le document 10 une série de points permettant de constituer , d'une manière qui sera expliquée plus loin, l'image d'un symbole tel qu'un caractère par exemple. L'encrage est assuré par un ruban encré 34 interposé entre le document 10 et la face 33 de la tête 30.

On considèrera que,dans l'exemple décrit, la tête 30 est d'un type analogue à celle qui a été décrite et représentée dans le brevet français NO 1.075.125 ,chacune des sept pointes d'impression P1 à P7 étant fixée à l'extrémité de l'un respectif de sept leviers capables d'être actionnés sélectivement par des mécanismes d'entraînement de type connu, par exemple de type électromagnétique. Ainsi ,chaque fois que, le mécanisme d'actionnement d'un levier reçoit une impulsion électrique délivrée par un dispositif électrique de commande qui sera décrit un peu plus loin, ce levier pivote pour appliquer pendant un instant très bref ,le ruban encré 34 et le document 10 contre le cylindre 31, ce qui provoque la formation d'un point sur ce document.Les instants d'excitation des mécanismes d'actionnement de la tête 30 sont établis ,d'une manière qui sera indiquée plus loin ,de telle manière que , au cours du déplacement du document 10, les différents points formés constituent l'image d'un symbole, ce symbole pouvant être un caractère
On va maintenant décrire se référant aux figures lA et 1B, le dispositif électrique de commande qui permet de commander, d'une part l'avancement d'un document 10 mis en place dans le dispositif d'impression , d'autre part l'excitation du poste d'impression Il de ce dispositif .Sur le schéma des figures 1A et lB assemblées , les demi-cercles avec un point à l'intérieur représentent des circuits logiques"ET", les demi-cercles sans signe représentent des circuits logiques "OU" et les triangles représentent des circuits de commande . Ces circuits, de type connu,sont analogucs à ceux qui ont été décrits et représentés dans les brevets français NO 1.342.787 et 1.387.085 déposés par la Compagnie des Machines Bull, respectivement le 24
Juillet 1962 et le 28 Octobre 1963.On rappelle, en particulier ,que chaque circuit de commande comporte deux entrées dont l'une,marquée d'un point sur les figures, est une entrée conditionnées sur laquelle sont appliquées des impulsions électriques à transmettre, et dont l'autre est une entrée de conditionnement sur laquelle une tensicn électrique est appliquée. On rappelle en outre que chaque circuit de commande ne transmet une impulsion appliquée à son entrée conditionnée que si son entrée de conditionnement se trouve à un potentiel positif .Sur les schémas des figures 1A et 1B, des éléments bistables ,appelés communément basculeurs ,ont été également représentés
On rappelle que chaque basculeur ,tel que le basculeur BDG par exemple qui a été représenté sur la figure 1A, comporte une entrée dite "normale" , une entrée dite "complémentaire", une sortie "normale" et une sortie" complémentaire.

On rappelle enfin que chaque basculeur passe ou reste à l'état "1" chaque fois qu'il reçoit une impulsion par son entrée "normale" et à l'état "O" chaque fois qu'il reçoit une impulsion par son entrée "complémentaire"
Ainsi qu'on peut le voir sur les figures 1A et 1B assemblées, le dispositif de commande comprend un enregistreur d'entrée
EKS qui est destiné à enregistrer des combinaisons binaires représentant , sous forme codée, des caractères qui doivent
être imprimés par le poste 11. On considèrera que ces combinaisons codées proviennent , soit d'un clavier codifieur (non représenté) soit d'un calculateur (également non représenté)et qu'elles sont transmises à l'enregistreur EKS par l'intermédiaire d'un canal de liaison 41.L'enregistreur EKS,qui est de structure connue, est constitué , dans l'exemple décrit , par un registre à déa- lage dont la capacité est suffisante pour contenir les combinaisons codées des caractères qui peuvent être imprimés sur un même document par le poste d'impression 11. Cet enregistreur
EKS est pourvu d'une entrée de commande de décalage qui est con nectée , par l'intermédiaire d'un conducteur 42, à un genéra- teur d'impulsions GI-2 dont il sera question plus loin.Ainsi chaque fois qu'une impulsion,envoyée par ce générateur GI-2, est appliquée à l'entrée de commande de décalage de l'enregis- treur EKS, l'une des combinaisons codées contenues dans cet enregistreur est extraite de celui-ci et envoyée ,par l'inter médiane d'un câble de liaison K, à un générateur de bits d'informations GBI dont la structure sera décrite plus loin.

La figure 1A montre que l'enregistreur EKS est connecté en outre à un détecteur d'état DES pourvu d'une sortie qui est reliée, par l'intermédiaire d'un circuit inverseur I2, à l'entrée de conditionnement d'un circuit de commande C4 dont il sera question plus loin . Ce détecteur d'état DES , de structure connue, est établi pour délivrer à sa sontie une tension positive aussi longtemps que les combinaisons codées contenues dans l'enregis- treur EKS n'ont pas toutes été extraites de cet enregistreur
On comprend ainsi que l'entrée de conditionnement du circuit
C4 n'est portée à une tension positive qu'à partir du moment où les combinaisons codées préalablement emmagasinées dans l'enregistement EKS ont été toutes extraites de celui-ci
Le dispositif de commande qui permet de commander l'excitation sélective des mécanismes d'actionnement des sept pointes d'impression P1 à P7 du poste d'impression 11 comprend une batterie de sept registres à décalage RD-1 ,RD-2 ,RD-7 qui sont associés chacun à l'une respective de ces sept pointes
Chacun des registres comporte, dans l'exemple décrit, cinq positions d'enregistrement établies pour contenir chacune un chiffre binaire , dit bit d'information, susceptible de déclencher , d'une manière qui sera expliquée plus loin,- l'actionnement, à des instants prédéterminés , de la pointue d'impression associée à ce registre . Sur la figure 1A, trois seulement de ces sept registres ont été représentés pour desraisons évidentes de simplification.

Chacun de ces registres RD-1 à RD-7 est connecté, par sa sortie, au mécanisme d'actionnement électromécanique de l'une respective des pointes P1 à P7, les sept conducteurs qui assurent cette connexion étant regroupés, sur les figures 1A et lBXpour constituer un câble unique 50.

Les bits d'informations qui sont destinés à être enregistrés dans le. trente cinq positions d'enregistrement des registres
RD-1 à RD-7proviennent du générateur de bits d'informations
GBI, ce générateur GBI étant relié, par l'intermédiaire de sept conducteurs 201 à 207 ,aux registres RD-1 à RD-7, comme le montre la figure 1A. Le générateur de bits GBI est lui-même connecté, par l'intermédiaire de six conducteurs constituant le câble de liaison K, à l'enregistreur EKS afin de redevoir une combinaison de six chiffres binaires représentant , sous forme codée, un symbole qui doit être imprimé par le poste 11.En réponse à la réception de cette combinaison de chiffres binaires, le générateur de bitsGBI engendre une série d'impulsions qui, transmises aux registres RD-1 à RD-7 par l'intermédiaire des conducteurs 210 à 207,provoquent l'enregistrement, dans ces registres, de bits correspondants aux différents points à frapper , ces points devant former l'image dudit symbole . Ces bits qui, dans l'exemple décrit, sont constitués de chiffres binaires "1" occupent ainsi dans les registres RD-1 à RD-7 des positions qui, dans l'ensemble formé par les trentecinq positions de ces registres, reproduisent l'image de ce symbole.

C'est ainsi que dans le cas où , par exemple, ie symbole qui doit être imprimé par le poste 11 est le caractère "E" les positions dans lesquelles ces chiffres binaires "1" sont enregistrés sont les cinq positions du registre RD-1, la première position du registre RD-2 (cette position étant celle qui, sur la figure 1A est située à l'extrémité gauche de ce registre),la première position du registre RD-3 , les trois premières positions du registre RD-4 , la première position du registre RD-5 , la première position du registre RD-6 et les cinq positions du registre RD-7.

Sur la figure 5, on a représenté la structure détaillée du générateur de bits GBI qui permet de charger les registres
RD-1 à RD-7 de la manière indiquée ci-dessus. Si on se réfère alors à cette figure 5, on voit que ce générateur comprend un enregistreur,décodeur ED qui est destiné à recevoir de l'enre- gistreur EKS,par l'intermédiaire des six conducteurs K1 à K6 constituant le câble de liaison K, une combinaison codée de six chiffres binaires représentative du symbole qui doit être imprimé par le poste 11.Cet enregistreur-décodeur ED possède autant de sorties , telles que celles désignées par SA,SB, SC
SZ, qu'il y a de-types possibles de symboles à imprimer, et il est établi pour porter l'une des .s9rties à un potentiel positif chaque fois qu'il reçoit une combinaison codée binaire extraite de l'enregistreur EKS, cette sortie étant celle qui est associée au symbole représenté par cette combinaison .Ainsi,par exemple, si la combinaison binaire que reçoit cet enregistreur-décodeur représente conventionnel,lement le caractère "A" , la sortie de l'enregistreur-décodeur qui est portée à un potentiel positif est la sortie SA. De même, si cette combinaison codée représente conventionnellement le caractère "B" , la sortie qui est portée à un potentiel positif est la sortie SB, et ainsi de suite .A chacune des sorties de l'enregistreur -décodeur est connecté un groupe de cinq circuits de commande, chacun de ces circuits ayant son entrée de conditionnement reliée à la sortie considérée dudit enregistreur-décodeur Toutefois, pour des raisons de simplification , on n'a représenté, sur la figure 5, que les cinq circuits de commande CA1 à CA5 qui sont connectées à la sortie SA, ainsi que deux (CB1 et CB2) des cinq circuits de commande qui sont connectés à la sortie SB. Les impulsions qui sont appliquées sur les entrées conditionnées de ces circuits de commande proviennent d'une ligne à retard RT à cinq prises médianes .En réponse à la réception d'une impulsion de démarrage envoyée , par l'intermédiaire d'un conducteur F, par un élément de retard R1 (figure 1A) dont il sera question plus loin, cette ligne à retard RT produit une série des cinq impulsions décalées dans le temps, la première de ces impulsions étant envoyée vers les circuits de commande CA1, CBl,etc......

par l'intermédiaire d'un conducteur F1 branché sur la première prise médiane, la deuxième de ces impulsions étant envoyée vers les circuits CA2,CB2,etc. .. par l'intermédiaire drun conducteur
F2 branché sur la deuxième prise médiane ,et ainsi de suite
Chacun de ces circuits de commande est connecté par sa sortie à l'une respective des N entrées d'une mémoire matricielle plane MP dans laquelle sont emmagasinés des mots de sept bits.

On considèrera dans l'exemple décrit, que cette mémoire MP est du type de celle qui a été décrite et représentée dans le brevet français NO 1.333. 920,cette mémoire comportant ,pour l'emmagasinage de N mots de chacun sept bits, un ensemble de sept bâtonnets de ferrite disposés dans un meme plan, parallèlement les uns aux autres , chacun de ces bâtonnets étant pourvu d'un enroulement secondaire multispires, et un nombre N d'enroulements primaires s'étendant dans une direction perpendiculaire aux bâtonnets , chaque enroulement primaire ayant des couplages mono -spire avec certains de ces bâtonnets et étant connecté à la sortie de l'un respectif des circuits de commande précités , de telle sorte que, lorsque l'un quelconque de ces enroulements primaires est excité par une impulsion transmise par le circuit de commande qui est connecté à cet enroulement , une impulsion électrique apparat seulement aux bornes des enroulements secondaires des bâtonnets qui sont couplés magnétiquement avec cet enroulement primaire, les impulsions délivrées aux bornes de ces enroulements secondaires étant envoyées vers les registres à décalage RD-1 à RD-7 par l'intermédiaire des conducteurs 201 à 207 . Dans ces conditions, chaque fois que l'un quelconque des registres RD-1 à RD-7 re çoit l'une de ces impulsions, un chiffre binaire "1" estvenre- gistré dans la cinquième position de ce registre (cette cinquième position étant celle qui, sur la figure 1A est située à l'extrémité droite du registre).Le décalage ,vers la quatrième position de chaque registre , du chiffre binaire qui est enregistrée dans la cinquième position de ce registre est commandé par une impulsion de commande de décalage qui, étant l'une des impulsions que la ligne à retard RT envoie sur les conducteurs
Fi à F4 > est transmise par un circuit "OU"U1 et appliquée, comme le montre la figure 1A w à tous les registres RD-1 à RD-7, par l'intermédiaire d'un élément de retard R4 et d'un circuit "OU"U2
Ainsi , chaque fois qu'une impulsion est envoyée par la ligne à retard RT sur l'un des conducteurs F1 à F4, cette impulsion, transmise par l'un des circuits de commande connectés aux entrées de la mémoire MP, déclenche l'envoi de sept chiffres binaires "O" ou "1" sur les conducteurs 201 à 207 , ces chiffres venant d'enregistrer dans la cinquième position des sept registres RD-1 à RD-7 . Cette meme impulsion, transmise par le circuit U1 et convenablement retardée par l'élément de retard R4, provoque ensuite , lorsqu 'elle est appliquée sur les entrées de commande de décalage des registres RD-i à RD-7 , le décalage, de une position vers la gauche , de tous les chiffres binaires qui sont déjà enregistrés dans ces registres.De ce fait, les cinq impulsions qui sont envoyées successivement par la ligne à retard RT sur les conducteurs F1 à F5 déclenchent l'enre- gistrement de chiffres binaires dans les trente-cinq positions des registres RD-1 à RD-7 , la mémoire MP étant établie de telle manière que , lorsque cet enregistrement est terminé, l'ensemble des positions dans lesquelles se trouvent des chiffres "1" reproduit l'image du caractère ou du symbole qui va être imprimé par le poste 11.

La figure 5 montre encore que les cinq impulsions qui, en réponse à une impulsion de démarrage appliquée à la ligne à retard
RT, sont envoyéés sur les conducteurs F1 à F5, sont appliquées successivement, par l'intermédiaire d'un circuit "OU"U3,sur l'entrée de comptage EC d'un compteur-décompteur d'impulsions
CDI dont il sera question plus loin .On peut cependant signaler ici que ce compteur-décompteur CDI est également pourvu, comme le montre la figure 1A, d'une entrée de décomptage ER sur laquelle peuvent être appliquées des impulsions électriques , et que le contenu de ce compteur -décompteur augmente d'une unité chaque fois qu'une impulsion est appliquée à l'entrée de comptage
EC et qu'il diminue d'une unité chaque fois qu'une impulsion est appliquée à l'entrée de décomptage ER. On comprend ainsi que, à la fin de l'enregistrement des chiffres~binaires dans les trente-cinq positions des registres RD-1 à RD-7 , le compteur-décompteur
CDI a reçu cinq impulsions par son entrée EC, si bien que la valeur qu'il contient alors est égale à cinq .Ce compteurdécompteur CDI est pourvu d'une sortie SCD et il est établi pour délivrer à sa sortie SCD une tension positive aussi longtemps que la valeur qu?il contient est différente de zéro
L'extraction des chiffres binaires qui ont été enregistrés dans les registres RD-1 àRD-7 est assurée par des impulsions envoyées par un ensemble générateur d'impulsions qui, comme on peut le voir sur la figure 1B, comprend un disque horloge 51 entralné, en synchronisme avec le déplacement de la courroie 13 et du document 10, par le moteur électrique pas-à-pas 16. Ce disque horloge 51 est pourvu de fentes qui , régulièrement réparties sur le pourtour du disque, laissent passer, à des instants déterminés, un faisceau lumineux emis par une source lumineuse 52 et envoyé vers un bloc PAC comprenant une cellule photoélectrique associée à un amplificateur .On comprend ainsi que, chaque fois qu'une fente du disque 51 laisse passer ce faisceau lumineux , le bloc PAC envoie une impulsion,d'une part sur l'entrée conditionnée d'un circuit de commande C3 dont il sera question plus loin, d'autre part à l'entrée d'un élément de retard R5 dont la sortie est connectée à l'entrée conditionnée d'un circuit de commande C2.Si, dans des conditions, qui seront exposées en détail plus loin, l'entrée de conditionnement de ce circuit C2 est portée à un potentiel positif, l'impulsion retardée qui, en réponse à une impulsion envoyée par le bloc
PAC, apparaît à la sortie de l'élément de retard R5 est donc transmise par le circuit de commande C2 et appliquée , comme le montrent les figures 1A et 1B , non seulement à l'entrée normale d'un basculeur BCT et à l'entrée du décomptage ER du compteur-décompteur CDI, mais également, par l'intermédiaire du circuit "OU"U2, sur les entrées de commande de décalage des registres RD-1 à RD-7.

Ainsi chaque fois que les registres RD-1 à RD-7 , qui ont été préalablement chargés de la façon indiquée plus haut, reçoivent une impulsion provenant du bloc PAC et transmise successivement par R5 et C2 , les chiffres binaires "O" et "1" contenus dans les trente-cinq positions de ces registres subissent un décalage de une position vers la gauche . De ce fait, les chiffres binaires qui étaient enregistrés dans la première position de ces registres sont extraits de ceux-ci , les chiffres binaires "1" ainsi extraits étant envoyés, sous forme d'impulsions électriques et par l'intermédiaire du câble 50, vers les mécanismes d'actionnement des pointes P1 à P7 de la tête 30.Les pointes P1 à P7 sont ainsi actionnées sélectivement et simultanément pendant un instant très bref, ce qui provoque l'impression, sur le document 10 ,de points disposés suivant une colonne d'impression perpendiculaire à la direction de déplacement de ce document.

On comprend alors que, lorsque, au cours du déplacement du document 10 suivant la direction D, cinq impulsions successives provenantdu bloc PAC et transmises par l'élément de retard R5 et le circuit C2 sont appliquées aux registres
RD-1 à RD -7 , les pointes P1 à P7 sont actionnées sélectivement cinq fois de suite , de sorte que des points disposés suivant cinq colonnes d'impression successives se trouvent imprimés sur le document 10, la répartition de ces points dans ces cinq colonnes étant telle que ces points forment l'image d'un symbole ou d'un caractère imprimé sur ce document
Il faut signaler que le moteur d'entraînement pas-à-pas 16 est placé sous le contrôle de circuits de commande d'excitation 35, de structure connue , qui sont établis de telle manière que chaque fois qu'ils reçoivent une impulsion électrique transmise par un circuit "OU"U4 dont il sera question plus loin, ils excitent le moteur 16 pendant un bref intervalle de temps, de sorte que le document 10 est déplacé d'un pas dans le sens de la flèche D.

Toutefois, si.on se réfère au diagramme des figures 2A et 2B assemblées, qui représente la distance d parcourue,en en fonction du temps t, par le document 10 au cours du déplacement d'un pas, on voit que, au cours de l'intervalle de temps T" ou s'effectue ce déplacement d'un pas , la vitesse de rotation du moteur 16 subit d'abord une accélération pendant la première moitié de cet intervalle de temps, puis une décélération pendant la seconde moitié de cet intervalle de temps . Il en résulte que ,bien que les fentes du disque horloge 51 soient régulièrement réparties sur le pourtour de ce disque, les impulsions électriques engendrées par le bloc PAC, pendant l'intervalle de temps T" où le document est déplacé d'un pas, ne sont pas régulièrement réparties dans le temps . Plus précisément, dans l'exemple décrit où au cours du déplacement d'un pas du document, une fente du disque horloge 51 passe devant la source 52 chaque fois que ce document arrive à l'un des huits points équidistants I1,I2,.... I8 répartis sur toute la longueur de ce déplacement et où, par conséquent, huit impulsions sont engendrées successivement par le bloc PAC, les quatre premières de ces impulsions sont, comme on le voit sur les figures 2A et 2B , délivrées aux instants respectifs tl,t2,t3 et t4, c'est-à-dire au cours de l'intervalle de temps T"/2 où le document 10 est accéléré.Les quatre impulsions suivantes sont délivrés , au contraire, aux instants respectifs t5,t6,t7 et t8, c'est-à-dire au cours de l'intervalle de temps T'/2 où la vitesse du document subit une décélération pour finalement s'annuler. Etant donné qu'un intervalle de temps T s'écoule entre l'instant où une impulsion est dé- livrée par le bloc PAC et l'instant où, en réponse à cette impulsion ,les pointes P1 à P7 sélectionnées pour l'impression appliquent le ruban encré 34 contre le document 10, les impressions effectuées par ces pointes ne peuvent précisément se produire qu'aux instants successifs tl + T, t2 + T , t3 + T, etc....Du fait que, au cours du déplacement d'un pas, la vitesse du document n'est pas constante, il en résulte que les colonnes de points qu'il est possible d'imprimer sur le document ne peuvent être localisées ,sur toute la longueur correspondant à ce déplacement d'un pas, qu'aux abscisses définies par les points successifs Di,D2,D3 > etc.... ,ces abscisses étant inégalement réparties suivant la direction de ce déplacement. C'est ainsi, par exemple, que dans le cas illustré par les figures 2A et 2B, ces colonnes de points ne peuvent être localisées, par rapport à l'origine O du déplacement du document , qu'aux abscisses suivantes : D1 = 0,62mm ; D2 = 1,08mm ; D3 = 1,56mm
D4 = 1,95mm; D5 = 2,30mm ; D6 = 2,63mm ; D7 = 2,95mm ; D8 = 3,17mm.

On voit donc bien que les différentes colonnes de points imprimés au cours d'un même pas ne sont pas équidistantes.Toutefois, du fait que, dans l'exemple considéré, cinq colonnes seulement de points sont nécessaires pour constituer l'image d'un caractère,le dispositif de commande qui a été représenté sur les figures 1A et 1B comporte des moyens de validation qui vont être maintenant décrits et qui empêchent les impulsions délivrées par le bloc PAC d'être appliquées sur les entrées de commande de décalage des registres RD-1 à RD-7 tant que la variation de vitesse du document 10, entre les instants d'envoi de ces impulsions par ce bloc PAC, n'est pas inférieure à une valeur limite prédéterminée .

Les moyens de validation dont on vient de parler comprennent, comme le montre la figure 1B, des moyens générateurs de données établis pour engendrer une donnée numérique dont la valeur, variable au cours du temps, est égale à la valeur de la vitesse instantanée de déplacement du document 10, ces moyens étant constituées , dans l'exemple décrit, d'une part d'une dynamo
DN montée sur l'arbre d'entraînement du moteur électrique 16 et délivrant une force électromotrice dont la valeur proportionnelle à la vitesse de rotation de ce moteur(et, par conséquent, proportionnelle à 1-a vitesse de déplacement du document), d'autre part d'un convertisseur analogique-digital KAD connecté aux bornes de cette dynamo DN et assurant la conversion,sous forme numérique,de la valeur de la force électromotrice fournie par cette dynamo, ce convertisseur étant établi, de manière connue, pour engendrer à sa sortie SK une combinaison codée binaire représentant la valeur de la vitesse instantanée de déplacement du document 10. Les moyens de validation comportent en outre deux registres EVA et EVP , le registre EVA ayant son entrée connectée à la sortie SK du convertisseur KAD par l'intermédiaire d'une porte de commande PCA qui, chaque fois qu'elle reçoit une impulsion transmise par le circuit de commande C3, déclenche le transfert vers le registre EVA, de la combinaison codée binaire délivrée, à ce moment là, à cette sortie SK.Le registre EVP est connecté, par son entrée, à la sortie du registre EVA,par l'intermédiaire d'une porte de com mandePCB qui, chaque fois qu'elle reçoit une impulsion transmise par le circuit de commande C3, déclenche le transfert vers le registre EVP, de la combinaison binaire contenue dans le registre EVA. On comprend ainsi que, chaque fois, qu'une impulsion transmise par C3 est appliquée aux portes PCA et PCB la combinaison codée binaire délivrée, a ce moment-là, par la sortie SK vient s'enregistrer dans le registre EVA, tandis que, simultanément,la combinaison codée qui , jusque là, se trouvait enregistrée dans le registre EVA est transférée dans le registre
EVP.Autrement dit, une impulsion transmise par C3 et appliquée aux portes PCA et PCB provoque,d'une part, l'enregistrement dans le registre EVA, de la combinaison binaire représentant la valeur de la vitesse de déplacement atteinte, à ce moment-là, par le document lO,d'autre part, l'enregistrement > dans le registre
EVP, de la combinaison codée qui, jusqu'à ce moment-là ,était contenue dans le registre EVA.La figure 1B montre que la sortie de chacun des registres EVA et EVP est connectée à l'une respective des deux entrées d'un organe scustracteur
STV, de type connu,'qui est établi pour engendrer à sa sortie
SE une combinaison codée binaire représentative de la différence , en valeur absolue, des données numériques contenues, sous forme codée, dans les registres EVA et EVP, cette combinaison codée représentant ainsi la variation , en valeur absolue, de la vitesse de déplacement subie par le document 10 entre les instants où deux impulsions sont transmises successivement par le circuit de commande C3.La sortie SE de l'organe soustracteur STV est connectée à l'une des deux entrées d'un comparateur CPT, l'autre entrée de ce comparateur étant connectée à la sortie SR d'un registre EDR appelé registre de référence; Ce registre EDR est pourvu d'une entrée qui est connectée,par l'intermédiaire d'un canal de liaison 48, au calculateur ou au clavier auquel est associé le dispositif d'impression . Ce registre EDR est destiné à contenir une donnée de référence, de valeur prédéterminée, qui représente la valeur limite de l'accroissement de vitesse de déplacement du document, entre les instants de transmission de deux impulsions successives par le circuit C3, au-dessus de laquelle la répartition des points constitutifs d'un même caractère ne permet plus d'obtenir un caractère présentant un aspect convenable .Dans l'exemple décrit, où, au cours de chaque pas, le document est déplacé d'une distance de 3,175 millimètres en un temps T" égal à 24 millisecondes , suivant une loi de déplacement illustrée par la courbe représentée sur les figures 2A et 2B , on a trouvé , en effectuant une série d'impressions avec des valeurs différentes de la donnée de référence contenue dans le registre EDR et en observant à chaque fois l'aspect des caractères obtenus au cours de ces impressions , que la valeur limite de la variation de vitesse (en millimètres par milliseconde) qu'il fallait enregistrer dans le registre EDR pour obtenir des caractères imprimés d'aspect convenable étant déterminée par le rapport 0,09, dans lequel q représente l'intervalle de temps (en millisecondes) qui s'écoule entre l'instant où une impulsion est délivrée par le bloc PAC et l'instant où, en réponse à cette impulsion, les pointes P1 à P7 sélectionnées pour l'impression appliquent le ruban encré 34 contre le document 10.Il fait d'ailleurs noter que cet intervalle de temps Z inclut, non seulement le "temps de vol" de l'une quelconque des pointes d'impression P1 à P7 c'est-à-dire le temps nécessaire au déplacement de cette pointe depuis sa position de repos jusqu'à sa position d'impression, mais également le temps nécessaire pour qu'une impulsion délivrée par le bloc PAC atteigne le mécanisme d'actionnement de cette pointe , ce dernier temps dépendant, dans l'exemple de réalisation illustrée par les figures 1A et 1B , du retard introduit par l'élément de retard R5. C'est ainsi , que dans le cas,où par exemple , cet intervalle de temps % est égal à une milliseconde, la valeur limite qui devra être enregistrée dans le registre
EDR sera égale à 0,09 .De même, dans le cas où par exemple, cet intervalle de temps % est égal à une demi-mill-iseconde la valeur limite devra être enregistrée dans le registre EDR sera égale à 0,18.

Le rôle du comparateur CPT est de comparer à la valeur limite qui a été enregistrée , sous forme codée binaire, dans le registre EDR, la valeur qui est délivrée, sous forme codée bi naira,8 la sortie SE de l'organe soustracteur STV. Ce comparateur
CPT est pourvu d'une sortie SM qui est connectée à l'une des deux entrées d'un circuit "ET"E1, l'autre entrée de ce circuit El étant connectée à la sorti-e SCD du compteur-décompteur CDI. Le comparateur CPT est établi pour délivrer à sa sortie
SM une tension positive aussi longtemps que la valeur délivrée à la sortie SE reste inférieure à celle qui est délivrée à la sortie SR.On comprend, dans ces conditions que, tant que la sortie SCD du compteur-décompteur reste portée à un potentiel positif et que la sortie SM du comparateur CPT est elle-même à une tension positive , un potentiel positif apparaît à la sortie du circuit El. La figure 1B montre que ce circuit El est connecté par sa sortie à l'une des deux entrées d'un circuit "OU"U5, l'autre entrée de ce circuit U5 étant reliée à la sortie "normale" d'un basculeur BCT dont il sera question plus loin . La sortie du circuit US est elle-même connectée, à l'entrée de conditionnement du circuit de commande C2.

On va maintenant , en se référant aux figures lA,lB,2A,2B, expliquer le fonctionnement du dispositif d'impression qui vient d'être décrit. On considèrera à cet effet que, au départ, c'est-à-dire au moment où un document à imprimer est mis en place par l'opérateur à l'extrémité gauche du dispositif d'impression , tous les basculeurs BDG,BDV,BCT et BDA qui ont été représentés sur les figures 1A et 1B se trouvent à l'état "0".

Dans ces conditions, le générateur GI-2,dont l'entrée est connectée à la sortie "normale" du basculeur BDG et qui est établi pour n'engendrer des impulsions que lorsque son entrée est portée à un potentiel positif, reste inactif. De même, un générateur d'impulsions GI-l,dont l'entrée est connectée à la sortie "normale" du basculeur BDA et qui est de structure analogue à celle du générateur GI-2 , reste inactif. Le circuit de commande C3, dont l'entrée de conditionnement est connectée à la sortie "normale" du basculeur BVC ,est non passant. Par ailleurs, le compteur-décompteur CDI est à zéro , de sorte qu'aucune tension positive n'apparaît à la sortie de ce compteur-décompteur.

Les opérations d'impression sur le document qui a été mis en place dans le dispositif d'impression ne peuvent débuter que lorsque, d'une part la valeur limite définie plus haut pour l'obtention de caractères imprimés d'aspect convenable a été enregistrée dans le registre EDR, par l'intermédiaire du canal de liaison 48, et que, d'autre part, les combinaisons codées représentatives des caractères à imprimer sur ce document ont été introduites dans l'enregistreur EKS par l'intermédiaire du canal de liaison 40.On considèrera que, dans l'exemple décrit, l'intervalle de temps a qui s'écoule entre l'instant où une impulsion est délivrée par le bloc PAC et l'instant où en réponse à cette impulsion, les pointes sélectionnées pour l'impression appliquent le ruban encré contre le document est égal à une milliseconde, de sorte que la valeur limite qui se trouve enregistrée dans le registre EDR est égale à 0,09 . Si, lorsque les chargements de l'enregistreur EKS et du registre EDR sont terminés, une impulsion est envoyée par l'intermédiaire d'un conducteur 55, par le calculateur ou le clavier auquel est associé le dispositif d'impression, cette impulsion, appliquée à l'entrée normale du basculeur BDA, fait passer ce basculeur à l'état "1".Cette même impulsion est appliquée en outre, par l'intermédiaire d'un circuit "OU"U6, aux registres EVA et EVP , afin d'assurer la remise à zéro de ces deux registres . Par suite de cette remise à zéro, l'organe soustracteur STV délivre à sa sortie SE une valeur nulle qui est donc inférieure à la valeur 0,09 qui est contenue dans le registre EDR. Dans ces conditions, -une tension positive apparaît à la sortie SM du comparateur CPT. Toutefois, du fait que la sortie du compteur-décompteur CDI n'est pas portée à un potentiel positif, aucune tension positive n'apparat à la sortie du circuit "ET"E1. Etant donné que, par ailleurs, le basculeur BCT est à l'état "O" , aucune tension positive n'apparaît alors à la sortie du circuit "QU"U5, ce qui rend non passant le circuit de commande C2.

Le basculeur BDA ayant été positionné à l'état "i", ainsi qu'on l'a indiqué plus haut, une tension positive apparaît à la sortie "normale" de ce basculeur et est appliquée à l'entrée du générateur d'impulsions GI-1. Dans ces conditions, ce générateur,excité, envoie,par l'intermédiaire du circuit U4, des impulsions aux circuits de commande d'excitation du moteur 16, ce qui a pour effet de faire avancer le document à imprimer dans le sens indiqué par la flèche D . Les impulsions qui, par suite de la rotation du disque 51 entraîné par le moteur 16. sont envoyées par le bloc PAC et appliquées sur les entrées conditionnées des circuits C2 et C3 ne sont pas transmises par ces circuits étant donné que, comme on l'a indiqué plus haut,ces circuits sont alors non passants.Lorsque, au cours du déplacement du document à imprimer , le bord avant de ce document vient intercepter le faisceau lumineux émis par la source 19, une impulsion apparaît à la sortie de l'amplificateur-dériveur Al, ainsi qu'on l'a expliqué plus haut, et est appliquée à l'entrée complémentaire du basculeur BDA qui revient alors à l'état "O". Le retour à 1 'état "0" de ce basculeur a pour effet d'arrêter l'envoi des impulsions par le générateur GI-l et de stopper ainsi l'avancement du document qui se trouve alors parfaitement positionné pour recevoir l'impression. L'impulsion qui a été envoyée par l'amplificateur-dériveur Al est également appliquée aux entrées "normale" des basculeurs BDV et BDG qui passent alors à l'état "1". La tension positive qui apparaît alors à la sortie "normale" du basculeur BDV est appliquée à l'entrée de conditionnement du circuit C3, de sorte que ce circuit est rendu passant .De même, la tension positive qui apparaît à la sortie "normale" du basculeur BDG est appliquée à l'entrée du générateur GI-2 , de sorte que celui-ci, excité, envoie périodiquement par sa sortie des impulsions électriques , la période T à laquelle ces impulsions sont délivrées par le générateur GI-2 étant supérieure à l'intervalle de temps
T" nécessaire au déplacement d'un pas du document
La première impulsion qui est envoyée par le générateur GI-2 est appliquée, comme le montre la figure 1A, d'une part à l'entrée de deux élément de retard R1 et R2, d'autre part, par l'intermédiaire du circuit U6,aux entrées de remise à zéro des registres EVA et EBP .Cette même impulsion est appliquée en outre,par l'intermédiaire du conducteur 42, sur l'entrée de commande de décalage de l'enregistreur EKS , ce qui, comme on l'a vu plus haut, provoque le transfert ,vers l'enregistreurdécodeur ED du générateur BGI, de l'une des combinaisons codées contenues dans cet enregistreur. Le retard de l'élément R1 est établi de telle sorte qu'il n'envoie, sur le conducteur F, une impulsion retardée que lorsque ce transfert est terminé .Cette impulsion'retardée provoque alors le chargement des registres à décalage RD-1 à RD-7,de de la manière qui a été expliquée en détail plus;haut , ainsi que l'envoi de cinq impulsions successives sur l'entrée de comptage EC du compteur-décompteur
CDI, si bien que la valeur contenue dans ce compteur-décompteur qui était égale au zéro au départ, devient égale à cinq . De ce fait, une tension positive apparaît à la sortie SCD de ce compteur-décompteur . I1 en résulte que, les sorties SM et SCD étant maintenant toutes les deux portées à un potentiel positif , une tension positive apparat à la sortie du circuit El, ce qui rend passant le circuit de commande C2.

Le retard R" de l'élément de retard R2 est établi de manière que, en réponse à l'impulsion qui lui a été envoyée par le générateur GI-2 , cet élément ne délivre une impulsion retardée à sa sortie que lorsque les opérations qui viennent d'être décrites ci-dessus sont terminées. L'impulsion retardée qui apparaît alors à la sortie de l'élément de retard R2 est appliquée, par l'intermédiaire-du circuit U4, aux circuits de commande d'excitation 35.A ce moment-là, les circuits 35 excitent temporairement le moteur 16 , de sorte que celui-ci entraîne la courroie 13 pour déplacer le document 10 d'un pas dans le sens de la flèche D. I1 faut signaler ici, que dans l'exemple décrit , Aes circuits 35 et le moteur 16 ont été établis de telle manière que la durée T" de ce déplacement est égale à 24 millisecondes , le document 10 subissant une accélération pendant les douze premières millisecondes de ce déplacement, puis une décélération pendant les douze millisecondes suivantes. La courbe représentative de ce déplacement , en fonction du tempsest d'ailleurs celle qui est illustrée sur les figures 1A et 2B assemblées.Il faut également signaler que, dans l'exemple décrit , le disque horloge 51 est calé sur l'arbre du moteur 16 de telle façon qu'une fente de ce disque arrive à l'aplomb de la source 52 chaque fois que le document 10 a été déplacé de 1/8 de pas, c'est-à-dire , dans l'exemple décrit, de 0,397 millimètre.Dans ces conditions, les impulsions délivrées successivement par le bloc PAC, au cours du déplacement d'un pas du document , sont envoyées, à compter de l'instant où le moteur 16 est excité , aux instants respectifs suivants tl = 6ms ; t2 = 8,5ms ; t3 = 10,4ms ; t4 = 12ms ; t5 = 13,6ms t6 = 15,5ms ; t7 =-18ms ; t8 = 24ms
Les vitesses de déplacement atteintes par le document 10, à chacun de ces instants sont, respectivement, les suivantes: vl = 0,12 mm/ms ; v2 = 0,190 mm/ms ; v3 = 0;240 mm/ms v4 = 0,260 mm/ms ; v5 = 0,240 mm/ms ; v6 = 0,190 mm/ms v7 = 0,125 mm/ms ; v8 = 0,001 mm/ms
La première impulsion qui, à l'instant tl précité, est envoyée par le bloc PAC,est appliquée,d'une part à l'entrée de l'élé- ment R5, d'autre partjà l'entrée conditionnées du circuit C3
Etant donné que, comme on l'a indiqué plus haut, ce circuit C3 est maintenant passant, cette première impulsion est transmise par ce circuit, ce qui provoque , d'une part l'enregistrement > dans le registre EVP, de la valeur zéro contenue jusque là dans le registre EVA, d'autre part ltenregistrementbdans ce registre EVA, de la valeur 0,125 qui est délivrée , à cet instant tl, à la sortie SK du convertisseur KAD.De ce fait, l'organe soustracteur STV délivre à sa sortie SE une combinaison codée représentant la différence (soit ici 0,125) entre les valeurs contenues dans les registres EVA et EVP. Mais, étant donné qu ecette différence est maintenant supérieure à la valeur 0,09 qui a été préalablement enregistrée dans le registre EDR, la tension positive qui, jusquelà,était délivrée à la sortie SM du comparateur CPT disparaît, ce qui rend alors le circuit C2 non passant .Le retard de l'élément de retard R5 est établi de manière que,en réponse à l'impulsion qui lui a été envoyée par le bloc PAC, cet élément ne délivre une impulsion retardée à sa sortie que lorsque les opérations de comparaison, réalisées par le comparateur CPT à la suite du transfert dans le registre
EVA de la valeur délivrée à la sortie SK du convertisseur KAD, sont terminées. L'impulsion retardée qui apparaît alors à la sortie de R5 est appliquée à l'entrée conditionnée du circuit
C2.Mais ce derniersqui qui est maintenant rendu non passant, bloque l'impulsion qu'il reçoit, si bien que cette impulsion ne peut être appliquée sur les entrées de commande de décalage des registres RD-2 à RD-7
La deuxième impulsion qui, à l'instant t2 précité , est envoyée par le bloc PAC, est appliquée, comme a première impulsion, à l'entrée de R5 et à l'entrée conditionnée de C3. Cette deuxième impulsion, transmise par C3 qui est passant, provoque, d'une part l'enregistrement, dans le registre EVP , de la valeur 0,125 qui se trouvait contenue dans le registre EVA, d'autre part l'enregistrement , dans ce registre EVA, de la valeur 0,190 délivrée , à cet instant t2, à la sortie SK du convertisseur KAD.

De ce fait, l'organe soustracteur STV délivre maintenant à sa sortie SE une combinaison codée représentant la différence 0,065 entre les valeurs contenues dans les registres EVA et EVP
Etant donné que cette différence est maintenant inférieure à la valeur 0,09 enregistrée dans le registre EDR, une tension positive apparaît à la sortie SM du comparateur CPT ce qui rend passant le circuit C2. L'impulsion retardée qui apparaît ensuite à la sortie de R5 et qui est ainsi appliquée à l'entrée conditionné du circuit C2 est donc transmise par ce circuit qlxi l'applique, d'une part à l'entrée "normale" du basculeur
BCT qui passe alors à l'état "l",d'autre part, à l'entrée de décomptage ER du compteur -décompteur CDI dont le contenu passe alors à quatre .L'impulsion transmise par C2 appliquée en outre, par l'intermédiaire du circuit U2,sur sur les entrées de commande de décalage des registres RD-1 à RD-7 , ce qui provoque l'impression , sur le document 10, de points alignés suivant une même colonne . On considèrera, à titre d'exemple, que cette colonne est la colonne D1 qui a été représentée sur la figure 3B.Par ailleurs , par suite du basculement à "1" du basculeur BCT, le circuit de commande C2 reste passant , même si , à partir de ce moment,là , la sortie du circuit El cesse d'être portée à un
potentiel positif
Les explications qui viennent d'être données permettent de comprendre que les cinq impulsions qui sont délivrées successivement aux instants respectifs t2, t3, t4, t5 et t6 précités, sont bien transmises chacune par le circuit C2 et provoquent donc l'impression , sur le document 10, de cinq colonnes de points, ces points formant l'image d'un caractère . A titre d'exemple on a représenté sur la figure 3B, les cinq colonnes de points D1 à D5 qui, imprimées sur le document dans les conditions exposées en détail ci-dessus , constituent l'image du caractère "E".Par ailleurs, chadune des cinq impulsions délivrées aux instants t2 et t6 précités provoque, lorsqu'elle est appliquée sur l'entrée de décomptage ER, la diminution d'une unité de la valeur contenue dans le compteur-décompteur CDI. Etant donné que la valeur qui était contenue dans ce compteur-décompteur , à la fin du chargement des registres RD-1 à RD-7était égale à cinq, ce compteur-décompteur se trouve donc remis à zéro lorsque la cinquième de ces cinq impulsions a été appliquée à l'entrée- ER. Il en résulte alors qu'une tension positive apparaît à la sortie d'un circuit inverseur I3 dont l'entrée est connectée, comme le montre la figure 1A, à la sortie SCD du compteur-décompteur CDI .Un amplificateur -dériveur A2, établi pour délivrer une impulsion chaque fois que son entrée est portée à un potentiel positif , est connecté, par son entrée, à la sortie du circuit inverseur I3. Etant donné qu'une tension positive apparat à la sortie de 13, cet amplificateur-dériveur
A2 délivre une impulsion qui est appliquée, d'une part à l'entrée complémentaire du basculeur BCT qui revient ainsi à l'état "O", d'autre part à des circuits 57 de commande d'avancement du ruban encré 34.Cette même impulsion est appliquée en outre à l'entrée conditionnée du circuit de commande C4, mais est bloquée par celui-ci étant donné que toutes les combinaisons codées contenues dans l'enregistreur EKS n'ont pas été extraites de celui-ci
Du fait que le basculeur BCT est maintenant à l'état "0" et que le compteur-décompteur CDI se trouve remis à zéro, aucune tension positive ne peut apparaître à la sortie du circuit U5. En consé quence , le circuit C2 devient non passant, si bien que les impulsions qui, à partir de ce moment-là > sont engendrées par le bloc PAC et retardées par R5, c'est-à-dire celles engendrées aux instants t7 et t8, sont bloqués par ce circuit C2.

Les opéràtions qui viennent d'etre décrites concernant l'impression d'un premier caractère ou symbole par le poste d'impression 11 , se répètent chaque fois qu'une impulsion est délivrée par le générateur GI-2, chacune de ces impulsions déclenchent l'extrac- tion de l'une des combinaisons codées contenues dans l'enregistrement EKS et l'impression d'un caractère ou symbole correspondant sur le document 10. Cette répétition se poursuit jusqu'au moment où toutes les combinaisons codées contenues dans l'enregistreur
EKS ont été extraites de celui-ci. A partir de ce moment,là , une tension positive apparaît à la sortie de l'inverseur I2, ce qui rend passant le circuit de commande C4.Lorsque , alors, au cours de l'impression du caractère correspondant à la dernière combinaison codée extraite de l'enregistreur EKS, une impulsion est envoyée par 1'amplificateur-dériveur A2, cette impulsion , appliquée à l'entrée complémentaire du basculeur BCT, aux circuits 57 et à l'entrée conditionnée du circuit de commande C4,provoque le retour à l'état "0" du basculeur BCT et l'avancement d'un pas du ruban encré 34. Mais cette même impulsion, transmise maintenant par C4,est appliquée en outre sur les entrées complémentaires des basculeurs BDG et BDV qui reviennent alors à l'état "O". De ce lait, le circuit de commande C3 est rendu non passant, tandis que le générateur GI-2 cesse d'envoyer des impulsions électriques , ce qui a pour effet de stopper le fonctionnement du dispositif d'impression.L'impulsion qui. est transmise par C4 est envoyée en outre , par l'intermédiaire d'un conducteur 60, vers le calculateur ou le clavier auquel est connecté ce dispositif d'impression , cette impulsion constituant ainsi un signal qui permet d'avertir ce calculateur ou l'opérateur de la fin des opérations d'impression.

Il y a lieu d'indiquer que l'aspect des caractères formés sur le document 10, au moyen du dispositif d'impression qui vient d'être décrit, dépend de la valeur limite qui a été enregistrée dans le registre de référence EDR, c'est-à-dire de l'intervalle de temps 'Z qui a été défini plus haut et qui intervient dans la détermination de cette valeur limite. Sur les figures 3A,3B et 3C on a, à titre d'exemple , représenté les aspects des caractères "E" et "V" que l'on obtient dans le cas où cet
intervalle de temps 5rest égal , respectivement, à 0,5 milliseconde, 1 milliseconde et 1,5 milliseconde , le document 10
étant déplacé suivant la loi de déplacement illustrée par la courbe représentée sur les figures 2A et 2B .Dans l'exemple montré par la figure 3A, où cet intervalle de temps est égal à 0,5 milliseconde, chaque caractère résulte de l'impression de cinq colonnes de points obtenus en réponse à l'application,
sur les registres à décalage , des cinq impulsions délivrées par le bloc PAC aux instants respectifs précités tl,t2,t3,t4
et t5, ces cinq colonnes de points étant localiséessspar par rapport
à l'origine O de chaque déplacement d'un pas du document, aux abscisses suivantes : D1 = 0,48mm ; D2 = 0,88mm ; D3 = 1,3mm
D4 = 1,7mm ; D5 = 2,lmm -De même, dans l'exemple montré par la figure 3B où cet intervalle de temps est égal à une milliseconde, les cinq colonnes
de points constituant l'image d'un caractère sont obtenus
en réponse à l'application , sur les registres à décalage ,des
cinq impulsions délivrées par le bloc PAC, aux instants res
pectifs précités t2,t3,t4,t5 et t6, ces cinq colonnes de points
étant localisées aux abscisses suivantes : D1 = lmm
D2 = 1,43mm ; D3 = 1,83 mm ; D4 = 2,2mm ;D5 = 2,55mm
Enfin , dans l'exemple montre par la figure 3C où cet inter
valle de temps est égal à 1,5milliseconde, les cinq colonnes de points constituant l'image d'un caractère sont obtenues en réponse à l'application, sur les registres à décalage , des cinq impulsions délivrées par le bloc PAC, aux instants respectifs précités t3,t4,t5,t6 et t7, ces cinq colonnes de points étant localisées aux abscisses suivantes : D1 = 1,56mm; D2 = 1,95mm
D3 =, 2,3mm ; D4 = 2,60 mm ; D5 = 2,95 mm.

On voit alors que, non seulement l'écart entre deux colonnes de points successives n'est pas constant , mais que cet écart est d'autant plus petit que l'intervalle de temps a est grand, si bien que ,plus la valeur de cet intervalle est élevée, moins le caractère formé est large. I1 faut toutefois noter que, comme on peut le voir sur les figures 3A ,3B et 3C, le pas d'espacement P des caractères, c'est-à-dire l'écart entre les colonnes homologues de deux caractères successifs , reste constant quelle que soit la valeur de l'intervalle de temps
La figure 7 représente un schéma qui reprend, sous une forme simplifiée, le schéma logique détaillé qui a été représenté sur les figures 1A et 1B , les principaux circuits logiques de ce schéma détaillé ayant été regroupés, sur le schéma de la figure 7, de manière à constituer des blocs fonctionnels qui permettent de commander le fonctionnement du dispositif d'impression . Sur la figure 7, l'excitation des pointes d'impression de la tête 30 est commandée par des moyens de commande d'excitation 100, ces moyens étant formés par le générateur de bits GBI, le circuit U2 et les registres à décalage RD-1 à RD-7 du schéma détaillé. De même, le transfert , vers ces moyens de commande d'excitation 100, des impulsions engendrées par les moyens générateurs d'impulsions (51,52,PAC) est assuré par le circuit C2 qui n'autorise ce transfert que lorsqu'il reçoit un signal de validation engendré par des moyens générateurs de signal de validation 102.Ces moyens générateurs 102 sont constitués par l'assemblage formé par les registres EVA et EVP, l'organe soustracteur STV,le registre de référence EDR, le comparateur CPT, le compteur-décompteur CDI et le circuit "ET"E1 du schéma détaillé . Ces moyens générateurs 102 sont connectés,par l'intermédiaire de la porte PCA, à des moyens générateurs de données 101, pour recevoir de ces derniers une donnée numérique représentant la valeur de la vitesse instantanée du document lO,ces ces moyens générateurs de données 101 étant constitués par l'assemblage formé par la dynamo DN et le convertisseur KAD du schéma détaillé
Ainsi qu'on l'a indiqué plus haut, le dispositif que l'on vient de décrire peut être utilisé pour commander le fonctionnement de tout dispositif à enregistrement par points .C'est ce qu'illustre la figure 6 dans laquelle l'impression par points , de caractères sur une bande de papier 110, entraîné en pas-à-pas , suivant une direction D, par un moteur électrique 116, est effectuée par un dispositif d'impression à jet d'encre de type connu. L'entraînement de cette bande de papier 110 est tel que , pendant la première moitié du temps nécessaire ou déplacement d'un pas, cette bande est entraînée à une vitesse croissante,alors que, pendant la seconde moitié de ce temps, sa vitesse décroît pour finalement s'annuler.Dans le dispositif d'impression représenté sur la figure 6, de l'encre est introduite sous pression, à partir d'un réservoir d'encre (non représenté), par l'intermédiaire d'une conduite d'alimentation 117, dans un collecteur 118 pourvu d'une rangée d'orifices alignés suivant une direction perpendiculaire à la direction D
Sur le collecteur 118 est fixé un élément transducteur 119, de type magnétostrictif , qui, lorsqu'il est excité par un courant électrique alternatif, fait vibrer le collecteur 118, de sorte que le jet d'encre qui sort de chacun des orifices de ce collecteur se rompt , à une très faible distance de cet orifice, en une série de gouttelettes de taille identique et régulièrement espacées les unes des autres .Pour assurer de façon sélective la charge électrique des gouttelettes ainsi obtenues , le dispositif d'impression comporte des électrodes de charge 120, en nombre égal à celui des orifices du collecteur , chacune de ces électrodes étant disposée à proximité du point où le jet d'encre qui sort par l'orifice associé se rompt en gouttelettes
Au cours de leur trajet, ces gouttelettes , chargées ou non, passent entre deux électrodes déflectrices 121 et 122 entre lesquelles est établi un champ électrique constant . De ce fait, les goutelettes chargées sont déviées de leur trajectoire et envoyées vers la bande depapier 110, tandis que les goutelettes non chargées ne sont pas déviées et sont alors recueillies par un bac de récupération 123 d'où elles sont ensuite évacuées par l'intermédiaire d'une conduite d'évacuation 124 pour être renvoyées dans le réservoir d'encre.Les orifices du collecteur 118, ainsi que les électrodes de charge correspondantes, ne sont pas disposés à intervalles égaux le long du collecteur 118, mais sont répartis par groupes, chaque groupe étant destiné à engendrer les goutelettes nécessaires à l'impression des points constitutifs d'un même caractère . C'est ainsi que, dans l'exemple illustré par la figure 6, chaque groupe comporte cinq orifices . De même , les électrodes de charge 120 sont réparties par groupes de cinq électrodes, chacune des électrodes d'un groupe étant associée à l'un respectuf des cinq orifices de groupes d'orifices correspondant.Chacune des cinq électrodes de charge d'un même groupe peut être excitée temporairement par un signal électrique délivré, sous forme d'une impulsion électrique , à la sortie de l'un respectif de cinq registres à décalage . Pour des raisons de simplification , ces cinq registres à décalage n'ont pas été représentés individiduellement sur la figure 6, mais la batterie de registres constituée par l'ensemble de ces cinq registres est, sur cette figure, désignée par l'une respective des références BR-1 ,BR-2,......

BR-m, m étant le nombre de groupes d'électrodes de charges, donc de groupes d'orifices , qui sont répartis le long du collecteur 118, chacune de ces m batteries de registres étant associée à l'un respectif de m groupes d'électrodes de charge.

Dans l'exemple décrit où chaque caractère est constitué de points répartis à l'intérieur d'une matrice de 5 x 7,comme le montrent les figures 3A,3B et 3C, chacun des registres à décalage est analogue à ceux qui ont été représentés sur la figure 1A, à cette différence qu'il comporte sept positions d'enregistrment au lieu de cinq. Dans ces conditions, pour extraire les sept chiffres binaires contenus dans chaque registre à décalage , il sera nécessaire d'appliquer sept impulsions successives sur l'entrée de commande de décalage de ce registre .Le dispositif de commande qui est représenté sur les figures 1A et 1B peut être utilisé pour commander le fonctionnement de l'imprimante montrée sur le figure 6, pourvu que le nombre de fentes du disque horloge 51 soit établi de telle manière que, au cours du déplacement d'un pas de la bande de papier 110, le circuit de commande C2 soit alors en mesure de transmettre aux registres à décalage sept impulsions successives délivrées par le bloc PAC.

Il faut noter que quel que soit le type de dispositif d'enregistrement utilisé en association avec le dispositif de commande que l'on vient de décrire , l'inégale répartition des points que l'on observe dans la matrice de chaque caractère se produit toujours dans la direction qui est parallèle à la direction de déplacement relatif D du support d'enregistrement .On a convenu, dans les revendications qui suivent, de désigner sous le nom de "lignes" celle des deux directions qui,dans cette matrice, est parallèle à cette direction de déplacement
Il faut encore signaler que le dispositif de commande qui a été représenté sur les figures 1A et 1B se révèle d'autant plus intéressant qu'il peut s'adapter facilement à la commande de dispositifs d'enregistrement dont la valeur de l'intervalle de temps S précité, et par conséquent la valeur du temps de réponse des éléments d'enregistrement, diffère notablement d'un type de dispositif d'enregistrement à un autre
Bien entendu, l'invention n'est nullement limitée aux modes de mise en oeuvre décrits et illustrés qui n'ont été donnés qu'à titre d'exemple . Au contraire, elle comprend tous les moyens constituant des équivalents techniques de ceux décrits et illustrés, considérés séparément ou en combinaison et mis en oeuvre dans le cadre des revendications qui suivent

Claims (7)

Revendications de brevet : --

1. Dispositif de commande d'enregistrement pour l'enregistrement par points, de symboles sur un support d'enregistrement , les points constitutifs de chacun desdits symboles étant disposés suivant une matrice rectangulaire comprenant n lignes et p colonnes,ce dispositif comprenant - au moins un organe t30) d'enregistrement de points sur ledit support (lO),comportant n éléments d'enregistrement (tels que P1 à P7) commandés par des impulsions électriques et établis chacun pour, en réponse à une impulsion reçue, provoquer l'enre- gistrement d'un point dans l'une respective desdites lignes (J1 à 57), - un mécanisme d'entralnement (13,14,15,16,17,18,35) assurant le déplacement relatif entre ledit support d'enregistrement (10) et ledit organe d'enregistrement (30) suivant une direction de déplacement (D) parallèle auxdites lignes - et des moyens d'excitation sélective (100,51,52,PAC) couplés audit organe d'enregistrement et audit mécanisme d'entraînement pour engendrer des impulsions électriques et les envoyer sélectivement auxdits éléments d'enregistrement , en synchronisme avec le déplacement relatif dudit support (10), ce dispositif étant caractérisé en ce que, le mécanisme d'entra- nement étant établi pour assurer un déplacement relatif pas-à-pas du support d'enregistrement, à une vitesse variable au cours de chaque pas, il comprend en outre des moyens de validation (101, 102,PAC, C2) couplés au mécanisme d'entralnement et établis pour n'autoriser l'envoi, par les moyens d'excitation sélective , de p impulsions successives nécessaires à ltenregistrement d'un symbole par lesdits éléments d'enregistrement, qu'à partir du moment où la variation de vitesse du déplacement relatif du support, au cours des intervalles de temps séparant les instants où les impulsions sont engendrées successivement par lesdits moyens d'excitation , devient inférieure à une valeur limite prédéterminée

2.Dispositif de commande d'enregistrement selon revendication 1, dans lequel les moyens d'excitation sélective (100,51,52,PAC) comprennent des moyens générateurs d'impulsions (51,52,PAC) couplés au mécanisme d'entraînement , et des moyens de commande d'excitation (100) connectés aux éléments de l'organe d'enregistrement (30),ledit dispositif étant caractérisé en ce que les moyens de validation (101,102,PCA,C2) comprennent - des moyens générateurs de données (101 ) couplés au mécanisme d'entraînement et établis pour engendrer une donnée numérique représentant la valeur de la vitesse instantanée du déplacement relatif au support, - des moyens générateurs de signal de validation (102) connectés auxdits moyens générateurs de données (101) pour recevoir les données numériques engendrées par ces derniers chaque fois qu'une impulsion est délivrée par les moyens générateurs d'impulsions, ces moyens générateurs de signal de validation (102) étant établis pour engendrer un signal de validation à partir du moment où la différence entre deux données numériques successives est inférieure à la valeur limite prédéterminée - et une porte (C2) disposée entre les moyens générateurs d'impulsions (51,52,PAC) et les moyens de commande d'excitation (100) pour contrôler la transmission des impulsions envoyées par ces moyens- générateurs d'impulsions vers lesdits moyens de commande d'excitation , ladite porte (C2) étant connectée aux moyens générateurs de signal de validation (102) pour n'autoriser le transfert desdites impulsions que lorsqutelle reçoit un signal de validation

3.Dispositif de commande d'enregistrement selon revendication 2, caractérisé en ce que les moyens générateurs de signal de validation (102) comprennent - des moyens de mémorisation (EVA,EVP) connectés aux moyens générateurs de données (101) pour recevoir les données numériques engendrées par ces derniers chaque fois qu'une impulsion est délivrée par les moyens générateurs d'impulsions - un organe soustracteur (STV) connecté auxdits moyens de mémorisation (EVA,EVP) pour effectuer la différence, en valeur absolue , entre les données numériques successives enregistrées dans ces moyens de mémorisation - un registre de référence (EDR) destiné à contenir valeur limite prédéterminée - et un comparateur (CPT) connecté à organe soustracteur (STV) et au registre de référence (EDR), ce comparateur étant pourvu d'une sortie (SM) connectée à la porte (C2) et étant établi pour délivrer un signal de validation à sa sortie à partir du moment où la différence fournie par organe soustracteur (STV) est inférieure à la valeur ]imite contenue dans le rcgistre de référence (EDR)

4.Dispositif de commande d'enregistrement selon revendiction 3, caractérisé en ce que les moyens de mémorisation comprennent - un premier registre (EVA) connecté aux moyens générateurs de données (101) par l'intermédiaire d'une seconde porte (PCA) pour, au moment où cette seconde porte reçoit une impulsion envoyée par les moyens générateurs d'impulsions (51,52,PAC), recevoir la donnée numérique qui est engendrée à ce moment-là par lesdits moyens générateurs de données - et un second registre (EVP) connecté au premier registre (EVA) pour, au moment où une donnée numérique est enregistrée dans le premier registre, recevoir la donnée numérique qui, jusqu'à ce moment-là, se trouvait contenue dans ce premier registre

5.Dispostif de commande d'enregistrement selon l'une quelconque des revendications 3 et 4, dans lequel les moyens de commande d'excitation (100) comprennent une batterie de n registres à décalage (tels que RD-là RD-7) associés chacun à l'un respectif des n éléments d'enregistrement (tels que P1 à P7), chaque registre comportant p positions d'emmagasinage établies chacune pour contenir un bit d'information nécessaire à la commande de l'enregistrement d'un point sur le support d'enregistrement(10), chacun de ces registres étant pourvu d'une entrée de commande de décalage destinée à recevoir chacune des impulsions transmises par la première porte (C2) ,ledit dispositif étant caractérisé en ce que les moyens générateurs de signal de validation (102) compr-on- nent en outre - un compteur-décompteur d'impulsions (CDI) établi pour, lors de chaque chargement desregistres à décalage , être positionné de façon à contenir une valeur égale à p, ce compteur-décompteur étant pourvu, d'une part d'une entrée de décomptage (ER) sur laquelle les impulsions transmises par la premièr-e porte (C2) sont également appliquées, chacune des impulsions appliquées à cette entrée de décomptage provoquant la diminution d'une unité de la valeur contenue dans ce compteur-décompteur, d'aut'e ait d'une sortie (SCD) sur laquelle est délivrée un signal de llOIl- inhibition tant que ce compteur-décompteur n'a pas été remis à zéro - et un circuit logique "ET"(E1), à deux entrées dont l'une est connectée à la sortie (SCD) du compteur-décompteur (CDI) et dont l'autre est connectée à la sortie (SM) du comparateur ( CPT) , la sortie dudit circuit "ET" étant reliée à la première porte (C2) pour transmettre à celle-ci le signal de validation délivré par le comparateuraussi longtemps,au cours du déplacement relatif d'un pas du support d'enregistrement (10), cette première porte n'a pas transmis à entrée de décomptage (ER) et aux entrées de commande de décalage des registres p impulsions successives provenant des moyens générateurs d'impulsions

6. Dispositif de commande d'enregistrement selon l'une quelconque des revendications 2 à 5,caractérisé en ce que les moyens générateurs de données (101) comprennent - une dynamo (DN) couplée au mécanisme d'entraînement pour délivrer, au cours du déplacement relatif d'un pas du support d'enregistrement (10), une force électromotrice variable , dont la valeur est proportionnelle à la vitesse dudit déplacement - et un convertisseur (KAD) connecté aux bornes de cette dynamo pour recevoir ladite force électromotrice, ce convertisseur étant établi pour délivrer une donnée numérique codée représentative de la valeur de cette force électromotrice

7. Dispositif de commande d'enregistrement selon l'une quelconque des revendications 2 à 6, caractérisé en ce que, le mécanisme d'entraînement étant adapté , au cours du déplacement d'un pas égal à 3,175 millimètres , entraîneur le support d'enregistrement à une vitesse croissante pendant la moitié du temps nécessaire à ce déplacement , la valeur limite prédéterminée est définie par la valeur (en millimètres par milliseconde) du rapport 0,09 dans lequel g représente l'intervalle de temps % séparant l'instant où une impulsion est délivrée par les moyens générateurs d'impulsion pour être envoyée vers l'un au moins des n éléments d'enregistrement et l'instant où, en réponse à la réception de cette impulsion, un point est enregistré par cet élément sur le support d'enregistrement