CH628384A5 - Support d'un bloc de produit desodorisant et desinfectant pour cuvettes de toilettes. - Google Patents

Description

La présente invention a pour but de remédier à l'inconvénient précité.

Le support selon l'invention est défini par la revendication 1.

Dans un mode préféré de réalisation, la glissière s'étend depuis une extrémité de la cage jusqu'à sa zone centrale; la glissière est fermée à son extrémité qui est disposée dans la zone centrale de la cage et ouverte à son autre extrémité, l'extrémité ouverte comportant un organe de sécurité tel qu'un ergot ou une languette d'encliquetage

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empêchant la dêsolidarisation du crochet avec la glissière; la glissière est formée de deux rails rectilignes délimitant une rainure de guidage à l'intérieur de laquelle est retenu et peut coulisser un téton de forme correspondante porté par l'extrémité du crochet qui soutient la cage; le téton se raccorde perpendiculairement à la partie extrême de la branche de plus grande longueur du crochet et constitue l'axe de pivotement du crochet; sur chacun des deux rails de la glissière est prévue en relief, parallèlement à l'axe de la cage, une nervure rectiligne, la partie extrême de la branche de plus grande longueur du crochet étant disposée, lorsque ce dernier est en position repliée,

entre ces deux nervures de façon à empêcher le pivotement du crochet lorsque le téton se trouve dans toutes les zones de la glissière autres que celle qui est disposée au voisinage de la partie centrale de la cage.

Dans une première variante de réalisation, la cage, de forme sensiblement cylindrique, est constituée de deux demi-cages, dont le plan d'assemblage correspond sensiblement au plan médian transversal de la cage; dans ce cas, la cage comporte un anneau prévu en relief dans sa zone centrale, cet anneau étant formé par la réunion de deux demi-anneaux de raccordement des demi-cages assemblées; l'une des demi-cages porte la glissière dont l'une des extrémités est obturée par le demi-anneau de raccordement correspondant; l'une des deux nervures qui sont prévues en relief sur chacun des rails de la glissière et qui sont destinées à empêcher le pivotement du crochet lorsque le téton ne se trouve pas dans la partie centrale de la cage est interrompue au voisinage du demi-anneau de raccordement, de façon à permettre le pivotement, dans un sens, du crochet de suspension par rapport à la cage; celle des nervures qui n'est pas interrompue au voisinage du demi-anneau de raccordement empêche le pivotement dans l'autre sens du crochet de suspension par rapport à la cage; la partie extrême de la branche de plus grande longueur du crochet présente une bordure transversale qui s'étend parallèlement à la nervure non interrompue, et qui s'appuie sur cette dernière lorsque le crochet est en position dépliée; la partie extrême de la branche de plus grande longueur du crochet est coudée de façon que la partie restante du crochet soit sensiblement disposée dans le plan médian transversal de la cage, lorsque le crochet est en position dépliée.

Dans une seconde variante de réalisation, la cage, de forme sensiblement cylindrique, consiste en une paroi latérale ajourée, fermée à l'une de ses extrémités par un fond et ouverte à son autre extrémité, l'ouverture de la cage pouvant être obturée au moyen d'un élément de fermeture qui est soit rapporté sur la cage, soit venu de moulage avec ladite cage. Les deux nervures qui sont prévues en relief sur les rails de la glissière, et qui sont destinées à empêcher le pivotement du crochet lorsque le téton ne se trouve pas dans la partie centrale de la cage, sont toutes deux interrompues au voisinage de l'extrémité fermée de la glissière, de façon à permettre le pivotement, dans les deux sens, du crochet de suspension par rapport à la cage. Le téton du crochet de suspension, qui peut coulisser à l'intérieur de la glissière, est sensiblement disposé dans le plan médian transversal de la cage lorsqu'il vient en butée contre l'extrémité fermée de la glissière; sur chacun des deux rails de la glissière, et dans sa zone où les deux nervures sont interrompues, est prévu en relief un ergot d'encliquetage, les deux ergots étant utilisés pour bloquer en rotation par rapport à la glissière le crochet de suspension lorsque celui-ci est en position dépliée, c'est-à-dire disposé perpendiculairement à l'axe de la cage.

On conçoit que le support selon l'invention ait, en position de stockage, un encombrement sensiblement équivalent à celui que donnerait la cage seule, étant donné que, par coulissement à l'intérieur de la glissière, on peut disposer la branche de grande dimension du crochet le long de la cage de façon que la branche centrale du U de crochet vienne sensiblement en appui contre l'une des faces d'extrémité de la cage. Ainsi, le crochet de suspension peut, en position repliée, épouser le contour de la cage, et l'ensemble cage-crochet peut être conditionné à l'intérieur d'un sachet étanche de volume réduit. Le crochet de suspension est avantageusement monté en usine, de sorte que l'utilisateur dispose d'un support prêt à

l'emploi qui ne nécessite aucune opération de fixation du crochet sur la cage. Au moment de la mise en place sur le rebord d'une cuvette de toilettes, l'utilisateur tire le crochet de suspension, de façon à faire coulisser le téton du crochet à l'intérieur de la glissière, en direction de la partie centrale de la cage; cette manœuvre est poursuivie jusqu'au moment où le téton vient en butée contre l'extrémité fermée de la glissière. Ensuite, l'utilisateur fait pivoter le crochet d'environ 90° pour l'amener en position d'utilisation, c'est-à-dire dans une position où il est sensiblement perpendiculaire à l'axe de la cage.

Pour mieux faire comprendre l'objet de l'invention, on va en décrire ci-après, à titre d'exemples purement illustratifs et non limitatifs, deux modes de réalisation représentés sur le dessin annexé.

Sur ce dessin:

— la fig. 1 représente, en perspective, un premier mode de réalisation du support selon l'invention, le crochet de suspension étant en position repliée pour le stockage;

— la fig. 2 représente, en perspective, le support de la fig. 1 dont le crochet de suspension est dans la position dépliée correspondant au moment de sa mise en place sur le rebord d'une cuvette de toilettes;

— la fig. 3 représente une coupe selon la ligne III-III du support de la fig. 2;

— la fig. 4 représente, en perspective, un second mode de réalisation du support, le crochet de suspension étant en position repliée pour le stockage, et

— la fig. 5 représente, en perspective, le support de la fig. 4 dont le crochet de suspension est en position dépliée.

En se référant aux fig. 1 à 3 du dessin, on voit que l'on a représenté un support constitué d'une cage 1 destinée à contenir un bâton de produit désodorisant et désinfectant et d'un crochet 2 destiné à permettre la suspension de la cage sur le rebord d'une cuvette de toilettes.

La cage 1 est formée par l'assemblage de deux demi-cages 3,4. La cage 1 a une forme générale cylindrique et comporte des barreaux 5a parallèles à son axe, raccordés à chaque extrémité de la cage à un disque 5b et, dans la zone du plan médian transversal de la cage, à un demi-anneau de raccordement 6 que comporte chaque demi-cage 3, 4. La cage 1 est également munie de cercles 5c coaxiaux régulièrement espacés le long de la cage et disposés perpendiculairement à son axe, le demi-anneau de raccordement 6 des demi-cages 3 et 4 forme un bourrelet faisant saillie radialement par rapport à la paroi latérale ajourée des demi-cages.

Les deux demi-cages 3 et 4 peuvent être solidarisées l'une de l'autre grâce à l'encliquetage d'un jonc périphérique disposé sur l'un des demi-anneaux 6 à l'intérieur d'une gorge correspondante pratiquée sur l'autre demi-anneau. On peut également prévoir, comme décrit dans la demande de brevet français N° 77.18865, deux demi-anneaux de raccordement identiques, qui comportent chacun à la fois des organes mâles et des organes femelles de solidarisation.

Le crochet de suspension 2 est, de façon classique, en forme de U; il comporte une branche de faible longueur 2a assurant son accrochage sur le rebord de la cuvette, une branche centrale 2b et une branche de plus grande longueur 2c qui soutient la cage. La longueur de la branche 2c est voisine de celle de la cage; la branche 2c présente une partie extrême 7, qui est légèrement coudée.

L'une des caractéristiques essentielles du support réside dans le fait que le crochet de suspension 2 est monté à coulissement sur la cage. Pour ce faire, la demi-cage 4 comporte sur sa paroi latérale ajourée une glissière formée de deux rails 8,9 sensiblement identiques disposés parallèlement à l'axe de la demi-cage. Les deux rails 8 et 9 de la glissière peuvent être réalisés d'une pièce avec la demi-cage 4 par moulage de matière plastique; ils s'étendent sensiblement sur toute la longueur de la demi-cage 4 depuis le disque d'extrémité 5b jusqu'au demi-anneau de raccordement 6 de ladite demi-cage. Les deux rails 8 et 9 délimitent une rainure de guidage ayant une section transversale en T, rainure à l'intérieur de laquelle peut coulisser un téton 10, de forme correspondante, solidaire du crochet de suspension. Le téton 10 est de forme générale cylindrique et sa section axiale est en

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forme de T; il se raccorde perpendiculairement au plan de la partie extrême 7 de la branche 2c du crochet.

La rainure de guidage formée par les deux rails 8,9 est fermée à l'une de ses extrémités par le demi-anneau de raccordement 6 et ouverte à son autre extrémité pour permettre l'introduction du téton 10 et la solidarisation du crochet de suspension avec la cage. Cet assemblage est avantageusement effectué en usine; mais, pour éviter que le téton 10 ne sorte par l'extrémité ouverte de la rainure de guidage, on prévoit un organe de sécurité conçu de façon à permettre l'introduction du téton 10 à l'intérieur de la rainure et à empêcher sa sortie une fois qu'il est introduit. L'organe de sécurité peut se présenter sous la forme d'un ergot saillant, de profil triangulaire, disposé à l'entrée de la rainure de guidage. Dans le sens du montage du téton 10, à l'intérieur de la rainure de guidage, l'ergot 11 peut présenter une face oblique faisant office de rampe de glissement. Au contraire, dans le sens opposé, l'ergot 11 comporte une face perpendiculaire à l'axe de la cage, face qui constitue une butée pour le téton 10 disposé à l'intérieur de la rainure de guidage.

Sur chacun des deux rails 8 et 9 est ménagée, parallèlement à l'axe de la demi-cage 3, une nervure rectiligne 12,13. L'écartement des deux nervures 12 et 13 correspond sensiblement à la largeur de la partie extrême 7 du crochet de suspension. En position repliée, ainsi qu'il est visible sur la fig. 1, la partie extrême 7 du crochet est disposée entre les deux nervures 12 et 13, de sorte que le crochet ne peut pas pivoter, mais être simplement déplacé parallèlement à l'axe de la cage. La nervure 13 s'étend d'une extrémité à l'autre du rail 9; par contre, la nervure 12 est interrompue au voisinage du demi-anneau de raccordement 6 pour former un décrochement 14. En position repliée, les deux nervures 12 et 13 empêchent, ainsi qu'on l'a vu, toute rotation du crochet de suspension par rapport à la cage. Il est donc nécessaire, lorsqu'on désire mettre le support dans la position d'utilisation représentée sur la fig. 2, de déplacer le crochet parallèlement à l'axe de la cage dans le sens indiqué par la flèche 15 jusqu'à ce que le téton 10 vienne sensiblement en butée contre le demi-anneau de raccordement 6. Dans cette position, on peut faire pivoter le crochet dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, grâce à la présence du décrochement 14. On peut noter qu'un seul sens de rotation est possible, étant donné que la nervure 15 qui n'est pas interrompue au voisinage du demi-anneau de raccordement 6 empêche la rotation du crochet de suspension dans le sens des aiguilles d'une montre. Ainsi, les deux nervures 12 et 13 servent à la fois à empêcher le déploiement du crochet dans toutes les zones autres que la partie centrale de la cage et à permettre uniquement dans un sens la rotation du crochet par rapport à la cage, lorsque le téton 10 est disposé au voisinage du demi-anneau de raccordement 6.

Lorsque le support est mis dans la position d'utilisation représentée sur la fig. 2 du dessin, on observe que, grâce au coudage de la partie extrême 7 du crochet, le U du crochet est sensiblement disposé dans le plan médian transversal de la cage, c'est-à-dire dans le plan d'assemblage des deux demi-anneaux de raccordement 6. La bordure transversale de la partie extrême 7 est biseautée de façon à être disposée parallèlement à la nervure 13 et à coopérer au frottement avec cette dernière, lorsque le crochet est en position déployée. Ainsi, la coopération à frottement de la bordure transversale de la partie extrême 7 du crochet avec la nervure 13 s'oppose au pivotement du crochet, lorsque celui-ci est dans la position représentée sur la fig. 2. Dans cette position, on peut également observer que le crochet est bloqué en translation dans le sens de la flèche 15, grâce au demi-anneau de raccordement 6 sur lequel peut venir en appui le téton 10 et dans le sens opposé grâce à la nervure 12 qui fait office de butée pour la partie extrême 7 du crochet. Il s'ensuit que le crochet en position dépliée est bien tenu en place et peut assurer un accrochage efficace de la cage sur le rebord d'une cuvette de toilettes.

Le support qui vient d'être décrit est livré, prêt à l'emploi, dans la position représentée sur la fig. 1, un bâton de produit hydrosoluble (non représenté) étant mis en place à l'intérieur de la cage. On observe que la branche de plus grande longueur 2c du crochet est disposée le long de la paroi latérale de la cage, la branche centrale 2b venant sensiblement en appui contre le disque d'extrémité 5b de la demi-cage 4. Avant utilisation, lorsque le crochet de suspension est replié, le support occupe un volume qui n'est pratiquement pas plus important que celui de la cage seule. L'ensemble cage-crochet replié 5 peut être disposé à l'intérieur d'un sachet imperméable, par exemple de cellophane, puis dans un carton d'emballage de faible volume et, par suite, de faible prix de revient.

En se référant aux fig. 4 et 5 du dessin, on voit que l'on a désigné par 20 dans son ensemble une variante du support. Le support 20 comprend une cage 21 destinée à contenir un bâton de produit désodorisant et désinfectant, et un crochet 22 permettant l'accrochage de la cage sur le rebord d'une cuvette de toilettes.

La cage 21, de forme générale cylindrique, consiste en une paroi latérale ajourée fermée à l'une de ses extrémités par un disque 25 et 15 ouverte à son autre extrémité. Cette ouverture peut être obturée au moyen d'un élément de fermeture (non représenté) qui peut être soit rapporté sur la cage et être fixé sur cette dernière par encliquetage, soit venu de moulage avec ladite cage auquel cas l'élément de fermeture se raccorde à la cage par une charnière-film autour de 20 laquelle il s'articule. La paroi latérale ajourée de la cage 21 comporte de façon classique des barreaux 23, parallèles à son axe, qui se raccordent au disque d'extrémité 25, et qui sont reliés à des cercles 24 coaxiaux, régulièrement écartés les uns des autres.

Le crochet de suspension 22, qui est associé à la cage 21, est 25 sensiblement identique à celui décrit pour le mode de réalisation des fig. 1 à 3, à cette différence près que sa branche de plus grande longueur 26 est sensiblement rectiligne. La branche 26 du crochet et la cage 21 ont sensiblement la même longueur. Deux rails 27 et 28 d'une glissière sont prévus en relief sur la paroi latérale ajourée de la cage 21 ; ces deux rails, sensiblement identiques, sont disposés parallèlement à l'axe de la cage. La cage 21 est venue de moulage avec les deux rails de glissière 27 et 28 qui s'étendent depuis l'ouverture de la cage 21 jusqu'au voisinage de la partie centrale de ladite cage. Ces deux rails délimitent une rainure de guidage ayant une section transversale en T à l'intérieur de laquelle peut coulisser un téton 29 de forme correspondante, qui est solidaire du crochet de suspension. Ce téton se raccorde perpendiculairement au plan de la zone d'extrémité de la branche 26 du crochet 22.

40 La rainure de guidage, qui est délimitée par les deux rails de glissière 27 et 28, est fermée à son extrémité qui se trouve dans la partie centrale de la cage par une entretoise 30 qui relie les deux rails 27,28. A son autre extrémité, la rainure de guidage est ouverte et comporte un ergot d'encliquetage 31 en tous points analogue à 45 l'érgot d'encliquetage 11 de la variante des fig. 1 à 3; un tel ergot est destiné à permettre l'introduction du téton 29 du crochet à l'intérieur de la rainure et à empêcher sa sortie une fois qu'il est engagé.

Sur chacun des rails 27 et 28 est ménagée, parallèlement à l'axe de la cage, une nervure rectiligne 32,33. Ces deux nervures 32 et 33 sont so interrompues au voisinage de l'entretoise d'extrémité 30 qui obture la rainure de guidage. L'écartement des deux nervures 32 et 33 correspond sensiblement à la largeur de la branche 26 de plus grande longueur du crochet. Dans la position repliée, représentée sur la fig. 4, la branche de plus grande longueur 26 du crochet est diposée le 55 long de la cage, entre les deux nervures 32 et 33, de sorte que, dans cette position, le crochet ne peut pas pivoter, mais être simplement déplacé parallèlement à l'axe de la cage, dans le sens indiqué par la flèche 34 sur le dessin. Le pivotement du crochet par rapport à la cage ne peut être effectué que lorsque le téton vient sensiblement en 60 butée contre l'entretoise d'extrémité 30, dans la zone où les deux nervures 32 et 33 sont interrompues.

Sur chacun des deux rails 27 et 28 de la glissière, et dans la zone où les deux nervures 32 et 33 sont interrompues, on a prévu en relief un ergot d'encliquetage 35,36. Les deux ergots d'encliquetage 35 65 et 36 sont destinés, en premier lieu, à permettre la rotation du crochet pour le faire passer de la position pliée, représentée sur la fig. 4, à la position dépliée représentée sur la fig. 5 et, en second lieu, à empêcher la rotation du crochet une fois qu'il se trouve en position dépliée,

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c'est-à-dire perpendiculaire à l'axe de la cage. Les deux ergots d'encliquetage 35, 36 à profil triangulaire ont, vers l'intérieur de la glissière, une face arrondie qui fait office de rampe de glissement et qui permet, en conséquence, la rotation du crochet lorsque le téton 29 vient en butée contre l'entretoise d'extrémité 30. On peut s noter que la rotation du crochet par rapport à la cage pour passer de la position pliée à la position dépliée peut s'effectuer aussi bien dans le sens des aiguilles d'une montre qu'en sens inverse, contrairement à la réalisation des fig. 1 à 3, où le pivotement ne pouvait être réalisé qu'en sens inverse des aiguilles d'une montre. Par contre, les deux io ergots d'encliquetage 35 et 36 comportent, en direction de la flèche 34, une face d'extrémité qui s'étend perpendiculairement à l'axe de la cage et qui constitue une butée bloquant en rotation le crochet par rapport à la cage lorsqu'il est déplié.

Ainsi, dans la position dépliée représentée sur la fig. 5, le crochet 15 de suspension 22 est bloqué en translation dans un sens par l'entretoise d'extrémité 30 qui sert de butée pour le téton 29 et, dans l'autre sens, par les deux ergots d'encliquetage 35 et 36 sur lesquels vient en appui la tranche de la branche de plus grande longueur 26 du crochet. De plus, ainsi qu'on l'a vu, les deux ergots d'encliquetage 35 et 36 assurent le blocage en rotation, par rapport à la cage, du crochet de suspension en position dépliée.

Les avantages procurés par cette variante sont sensiblement analogues à ceux des fig. 1 à 3. On peut cependant noter que la longueur de la glissière n'est plus limitée par la longueur des demi-cages, de sorte que l'entretoise d'extrémité 30 peut être disposée par rapport à la cage, de façon que le téton 29 du crochet soit sensiblement disposé dans le plan médian transversal de la cage, lorsqu'il vient en butée contre l'entretoise d'extrémité 30. Il s'ensuit qu'il n'est plus nécessaire de recourir à un crochet dont la branche de plus grande longueur est coudée comme c'était le cas de la première variante des fig. 1 à 3.

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2 feuilles dessins

Claims (16)

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1. Support d'un bloc de produit hydrosoluble pour la désinfection et la désodorisation de cuvettes de toilettes se composant d'une cage ajourée de forme allongée où est placé le bloc de produit hydrosoluble et d'un crochet en forme de U permettant de suspendre la cage ajourée sur le rebord d'une cuvette de toilettes, le crochet de suspension étant susceptible de prendre par rapport à la cage ajourée deux positions extrêmes, une position repliée où le crochet de suspension est disposé le long de la cage, et une position dépliée où le crochet de suspension est sensiblement disposé perpendiculairement à l'axe de la cage, caractérisé par le fait que l'extrémité du crochet de suspension, qui soutient la cage, est montée à coulissement à l'intérieur d'une glissière rectiligne ménagée sur la paroi extérieure de la cage et s'étendant parallèlement à l'axe de la cage, de façon que l'extrémité du crochet puisse être éloignée ou rapprochée de la partie centrale de la cage, le crochet de suspension passant de la position repliée à la position dépliée par translation le long de la glissière et pivotement autour d'un axe perpendiculaire à la glissière.

2. Support selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la glissière s'étend depuis une extrémité de la cage jusqu'à sa zone centrale.

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REVENDICATIONS

3. Support selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé par le fait que la glissière est fermée à son extrémité qui est disposée dans la zone centrale de la cage et ouverte à son autre extrémité, l'extrémité ouverte comportant un ergot ou une languette d'enclique-tage empêchant la désolidarisation du crochet avec la glissière.

4. Support selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé par le fait que la glissière est formée de deux rails rectilignes délimitant une rainure de guidage à l'intérieur de laquelle est retenu et peut coulisser un téton de forme correspondante porté par l'extrémité du crochet qui soutient la cage.

5. Support selon la revendication 4, caractérisé par le fait que le téton se raccorde perpendiculairement à la partie extrême de la branche de plus grande longueur du crochet et constitue l'axe de pivotement du crochet.

6. Support selon l'une des revendications 4 ou 5, caractérisé par le fait que, sur chacun des deux rails de la glissière, est prévue en relief, parallèlement à l'axe de la cage, une nervure rectiligne, la partie extrême de la branche de plus grande longueur du crochet étant disposée, lorsque ce dernier est en position repliée, entre les deux nervures de façon à empêcher le pivotement du crochet lorsque le téton se trouve dans toutes les zones de la glissière autres que celle qui est disposée au voisinage de la partie centrale de la cage.

7. Support selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait que la cage cylindrique est constituée de deux demi-cages, dont le plan d'assemblage correspond au plan médian transversal de la cage.

8. Support selon la revendication 7, caractérisé par le fait que la cage comporte un anneau prévu en relief dans sa zone centrale, cet anneau étant formé par la réunion de deux demi-anneaux de raccordement des demi-cages assemblées.

9. Support selon la revendication 8, caractérisé par le fait que l'une des demi-cages porte la glissière dont l'une des extrémités est obturée par le demi-anneau de raccordement correspondant.

10. Support selon les revendications 6 et 9, caractérisé par le fait que l'une des deux nervures prévues en relief sur chacun des rails de la glissière est interrompue au voisinage du demi-anneau de raccordement, de façon à permettre le pivotement, dans un sens, du crochet de suspension par rapport à la cage.

11. Support selon la revendication 10, caractérisé par le fait que celle des nervures qui n'est pas interrompue au voisinage du demi-anneau de raccordement est agencée de façon à empêcher le pivotement, dans l'autre sens, du crochet de suspension par rapport à la cage.

12. Support selon l'une des revendications 7 à 10, caractérisé par le fait que la partie extrême de la branche de plus grande longueur du crochet est coudée de façon que la partie restante du crochet soit sensiblement disposée dans le plan médian transversal de la cage, lorsque le crochet est en position dépliée.

13. Support selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait que la cage cylindrique consiste en une paroi latérale ajourée fermée à l'une de ses extrémités et ouverte à son autre extrémité, l'ouverture de la cage pouvant être obturée au moyen d'un élément de fermeture qui est soit rapporté sur la cage, soit venu de moulage avec la cage.

14. Support selon les revendications 3, 6 et 13, caractérisé par le fait que les deux nervures qui sont prévues en relief sur les rails de la glissière sont toutes deux interrompues au voisinage de l'extrémité fermée de la glissière, de façon à permettre le pivotement, dans les deux sens, du crochet de suspension par rapport à la cage.

15. Support selon la revendication 14, caractérisé par le fait que le téton du crochet de suspension, qui peut coulisser à l'intérieur de la glissière, est sensiblement disposé dans le plan médian transversal de la cage, lorsqu'il vient en butée contre l'extrémité fermée de la glissière.

16. Support selon la revendication 14, caractérisé par le fait que, sur chacun des deux rails de la glissière, et dans sa zone où les deux nervures sont interrompues, est prévu en relief un ergot d'enclique-tage, les deux ergots étant utilisés pour bloquer en rotation, par rapport à la glissière, le crochet de suspension lorsque celui-ci est en position dépliée.

On sait que, pour assurer la désinfection, l'assainissement et la désodorisation de cuvettes de toilettes, on utilise des blocs de produit hydrosoluble, qui sont placés à l'intérieur d'une cage ajourée qui est destinée à être arrosée par l'eau de chasse et qui est fixée sur le rebord de la cuvette au moyen d'un crochet de suspension. Le bloc de produit hydrosoluble contient des matières volatiles telles que du paradichlorobenzène, et, pour éviter leur évaporation, pendant le stockage, il est nécessaire de conditionner la cage ajourée où est disposé le bloc dans un sachet étanche aux vapeurs.

Dans un mode de réalisation connu, la cage ajourée est associée à un crochet rapporté que l'utilisateur doit fixer sur la cage au moment de sa mise en place à l'intérieur de la cuvette. Dans ce cas, le bloc de produit hydrosoluble et sa cage sont conditionnés à l'intérieur d'un sachet étanche et cet ensemble, auquel est joint le crochet de suspension, est placé sous un emballage, par exemple dans une boîte en carton léger, en vue de procéder à sa commercialisation.

Cependant, pour éviter tout risque de décrochage de la cage en cours d'utilisation, notamment lorsqu'on n'a pas mis correctement en place le crochet de suspension, on a aussi proposé de fabriquer des supports de produit hydrosoluble prêts à l'emploi, dont la cage est solidarisée avec le crochet de suspension, sans que l'utilisateur ait à effectuer une quelconque opération de montage. Ainsi, on connaît, d'après le brevet français N° 2170341, un support constitué de deux demi-cages qui viennent s'encliqueter sur un anneau de raccordement solidaire du crochet de suspension, le crochet de suspension étant disposé, après assemblage, perpendiculairement à l'axe de la cage. Un tel mode de conditionnement, s'il évite toute opération de montage du crochet sur la cage de la part de l'utilisateur, n'en présente pas moins l'inconvénient de nécessiter l'emploi d'un sachet étanche et d'un emballage relativement volumineux, étant donné que le crochet de suspension n'épouse pas le contour de la cage.