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CH391014A - Dispositif de réception de monnaie pour appareils de télécommunications - Google Patents

Dispositif de réception de monnaie pour appareils de télécommunications

Info

Publication number
CH391014A
CH391014A CH942362A CH942362A CH391014A CH 391014 A CH391014 A CH 391014A CH 942362 A CH942362 A CH 942362A CH 942362 A CH942362 A CH 942362A CH 391014 A CH391014 A CH 391014A
Authority
CH
Switzerland
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credit
receiving
debit
coin
sub
Prior art date
Application number
CH942362A
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English (en)
Inventor
Ernest Butler Hugh
Young Andrew
De Crepy Edouard Rene H Joseph
Original Assignee
Associated Automation Limited
App Automatiques Taximetres Ta
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Associated Automation Limited, App Automatiques Taximetres Ta filed Critical Associated Automation Limited
Publication of CH391014A publication Critical patent/CH391014A/fr

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    • H04MTELEPHONIC COMMUNICATION
    • H04M17/00Prepayment of wireline communication systems, wireless communication systems or telephone systems
    • H04M17/02Coin-freed or check-freed systems, e.g. mobile- or card-operated phones, public telephones or booths
    • CCHEMISTRY; METALLURGY
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    • H04M17/02Coin-freed or check-freed systems, e.g. mobile- or card-operated phones, public telephones or booths
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Description


  
 



  Dispositif de réception de monnaie pour appareils de télécommunications
 La présente invention concerne un dispositif de réception de la monnaie pour les appareils de télécommunications et plus particulièrement un tel appareil du type à post-paiement donc destiné à être utilisé dans un système où le paiement pour le service rendu par exemple l'établissement d'une communication téléphonique, est effectué après que le demandeur a été mis en communication avec l'appelé.



   Un système de post-paiement combiné avec un système automatique d'obtention des communications à grande distance augmente considérablement l'utilité et la souplesse d'un système téléphonique automatique, autrement dit à sélection par disque d'appel.



   Il y a fort longtemps que des systèmes de téléphonie automatique sont en service, mais les possibilités offertes au demandeur par l'usage du disque d'appel se limitaient à l'appel des numéros dans une zone locale délimitée, par exemple à l'intérieur d'un district urbain. Pour appeler un numéro dépendant d'un central situé en un lieu différent il fallait que le demandeur appelle son propre central qui acheminait l'appel vers le central local de l'appelé, ce second central obtenant une réponse de l'appelé et mettant en communication le demandeur avec l'appelé. En outre, le paiement est alors effectué avant l'établissement de la communication avec l'appelé.



   Avec l'usage constamment croissant du télé  pHone,    les systèmes téléphoniques automatiques de type ancien, conformes au schéma ci-dessus sont devenus lents et antiéconomiques. Un système qui permet de surmonter ces inconvénients est celui de l'établissement automatique des communications à grande distance par les abonnés, système qui permet au demandeur d'appeler au moyen de son seul disque d'appel n'importe quel numéro d'un réseau national, voire international sans provoquer d'intervention d'une opératrice au central, des dispositifs automatiques de calcul de mesure et d'acheminement des communications intervenant pour ce faire au central.



   Des dispositifs de réception de la monnaie destinés à être utilisés dans le cadre des systèmes à postpaiement sont en eux-mêmes bien connus et comportent des mécanismes aptes à recevoir plusieurs types de pièces de monnaie et à émettre des informations concernant la valeur des pièces versées à destination des dispositifs qui, dans le central téléphonique, surveillent la durée de la communication.



  Dans certains cas, il est souhaitable que ce soit directement le dispositif de réception de la monnaie et non pas les équipements du central téléphonique qui assurent la communication. C'est ainsi que dans un système téléphonique où la capacité du central est limitée, ou bien dans lequel on ne demande pas un compte très exact des recettes, ou aussi dans lequel il est nécessaire d'avoir un équipement aussi peu coûteux que possible, il est souhaitable de pouvoir réduire la complexité du central en faisant assurer le contrôle de la communication par le dispositif de réception de la monnaie. En d'autres termes le dispositif de réception de la monnaie n'est plus seulement un simple monnayeur apte à recevoir et à emmagasiner des pièces de monnaie ainsi qu'à émettre à destination de l'équipement du central des informations concernant la valeur des sommes reçues.



  Le dispositif de réception de la monnaie a un double  rôle: il reçoit la monnaie et il détermine la durée de la communication. Il suffit que le central envoie à l'appareil local des informations sur la durée possible de communication, compte tenu de la distance. L'information fournie au récepteur local de monnaie en provenance de l'équipement du central est codée sous la forme d'impulsions. Dans ces conditions, le récepteur de monnaie peut déterminer la durée de la communication en fonction de la valeur des pièces qui ont été introduites et des impulsions qu'il reçoit du central.



   On connaît un système selon lequel des informations sur les valeurs débitrices et créditrices sont introduites dans un mécanisme différentiel à engrenages afin de donner directement un solde résultant.



  C'est ainsi qu'un pignon d'entrée des valeurs positives (créditrices), appartenant au différentiel, peut être entraîné en rotation d'un angle qui traduit la valeur des pièces de monnaie introduites alors qu'un pignon d'entrée des valeurs   soustractiveç      jébitrices)    peut être déplacé en conformité avec des impulsions de mesure fournies par le central, le mouvement de la cage du différentiel qui résulte des actions antagonistes des deux pignons coniques d'attaque déterminant la durée de l'appel.



   L'invention vise donc un dispositif de réception de la monnaie susceptible d'absorber des pièces de monnaie de type divers lequel comprend un monnayeur, un mécanisme différentiel donnant la résultante des valeurs débitrices et créditrices et un système de signalisation pour indiquer, tout au moins au demandeur, qu'un paiement doit être effectué.



   Le monnayeur comporte des fentes pour l'introduction des pièces de monnaie, et il peut comporter des systèmes mécaniques grâce auxquels la mise en place d'une pièce ou de plusieurs pièces arme le mécanisme (par exemples en levant un poids moteur ou en tendant un ressort) cela en fonction de la valeur des pièces. La pièce ou chaque pièce peut être alors contrôlée et si la pièce s'avère bonne un verrouillage peut être libéré et les informations concernant la valeur des pièces, qui sont symbolisées par la position du poids moteur ou du ressort peuvent être transmises à destination du pignon d'entrée des valeurs créditrices du mécanisme différentiel d'emmagasinage des valeurs débitrices et créditrices.

   Le mécanisme commandé par la pièce comporte également des organes de verrouillage de la fente en vue d'empêcher l'introduction d'une pièce en un instant non approprié (par exemple avant que l'appelé ait répondu, ou pendant qu'une pièce est en train de subir l'opération de contrôle), ainsi qu'en vue d'empêcher l'introduction de plus d'une pièce à la fois lorsqu'il s'agit d'un monnayeur destiné à recevoir différents types de pièces, comme cela est en général le cas.



   Dans une forme d'exécution particulière du dispositif, les pignons coniques correspondant respectivement à l'entrée des valeurs créditrices et débitrices attaquent une cage de différentiel. Le pignon conique d'entrée des valeurs créditrices est actionné par le mécanisme du monnayeur, la position dudit pignon étant ajustée initialement lors du début d'un appel ou étant corrigée, lors de la continuation d'un appel, à la suite de la libération de réserves de pièces éventuellement accumulées dans le monnayeur. La quantité dont tourne le pignon conique d'entrée des valeurs créditrices est déterminée par la valeur de la pièce ou des pièces de monnaie qui ont été introduites. Le pignon conique d'entrée des valeurs débitrices peut être actionné par l'armature d'un électroaimant qui est excité en fonction des impulsions re çues du central.

   L'intervalle de temps s'écoulant entre les impulsions de mesure émanant du central dépend de la distance à laquelle est effectuée l'appel, étant bien entendu que pour un paiement unitaire donné un appel à faible distance a une plus longue durée qu'un appel à longue distance. La cage du différentiel peut commander non seulement des organes de signalisation sonore mais encore un appareil indicateur visuel qui indique au demandeur de quelle somme il est encore crédité avant qu'un nouveau paiement devienne nécessaire. Par conséquent, non seulement le demandeur reçoit un signal sonore lui indiquant qu'un nouveau paiement est nécessaire, mais il peut aussi recevoir une indication visuelle.



  Ces organes de signalisation comportent un générateur de signaux sonores fournissant une fréquence où un mélange de fréquences audibles défini ou indéfini. Ce générateur de signaux sonores est amené en oscillations afin de produire un signal audible en agissant sur un interrupteur qui est lui-même actionné lorsque la cage du différentiel atteint la valeur créditrice zéro, ou position normale. Le signal sonore indique aux deux parties à savoir au demandeur et à l'appelé la nécessité du paiement initial ou d'un paiement complémentaire pour maintien de la communication. Ce signal est appelé signal de demande de paiement. Les organes de signalisation peuvent être conçus afin de shunter le combiné du demandeur au moment de l'émission du signal.

   Il y a lieu de remarquer que le signal de demande de paiement sera perçu par le demandeur qui connaîtra donc la raison d'une interruption ou d'une cessation de la communication. En outre, la présence du signal de demande de paiement peut par exemple être constitué par une succession de sons brefs et aigus à faible intervalle les uns des autres.



   Avant de décrire en détail un mode particulier de réalisation du dispositif selon l'invention on décrira le mode d'utilisation d'un appareil téléphonique à monnayeur.



   Le demandeur soulève le combiné de son support, le circuit reliant l'appareil au central se ferme et le demandeur entend le son musical.



   Le demandeur compose sur son disque le numéro voulu et lorsque l'appelé répond une inversion de polarité est appliquée à la ligne du monnayeur et libère les fentes d'introduction des pièces de monnaie.  



   Un oscillateur intégré à l'appareil téléphonique à monnayeur est excité et il applique à la ligne le signal de demande de paiement qui est perçu à la fois par le demandeur et par l'appelé. Ce signal rend inutilisable, pour un usage normal, L'appareil téléphonique du demandeur, et ce dernier ne peut ni parler à l'appelé, ni entendre celui-ci.



   L'appareil téléphonique à monnayeur reçoit immédiatement un signal de mesure en provenance du central. Ce signal de mesure peut être constitué par un signal pulsé ou bien par des impulsions émises par groupe dont le nombre peut varier, par exemple, en fonction de la distance d'appel. On peut aussi utiliser un système combinant les impulsions uniques et les groupes. Pour les besoins de la description il est plus simple de se référer au cas d'un appel ne comportant qu'un seul prix unitaire.



   Pour que la conversation puisse avoir lieu il faut que le demandeur introduise des pièces de monnaie.



  L'introduction de la monnaie est enregistrée et la valeur correspondante est emmagasinée mécaniquement du côté     crédit      du différentiel, chaque quantité de 20 centimes par exemple correspondant à une unité de compte. Les impulsions de mesure reçues par l'appareil sont également enregistrées et emmagasinées, cette fois du côté   débit   du différentiel. Chaque impulsion de mesure représentant par exemple une unité de compte autrement dit dans l'exemple choisi ici la valeur de 20 centimes. Il faut que le dispositif d'emmagasinage des     crédits      et des   débits   ait un solde créditeur (et ne soit donc pas seulement à zéro) pour que la conversation puisse débuter, et chaque impulsion débitrice reçue annule une unité de compte de la réserve créditrice correspondant à la monnaie antérieurement introduite.

   La première impulsion reçue du central compte comme     débit      d'une unité. Pour pouvoir parler, le demandeur doit donc introduire au minimum deux unités autrement dit 40 centimes dans l'exemple choisi ici. S'il introduisait seulement 20 centimes, cela placerait seulement le système à zéro ; la seconde somme de 20 centimes lui ouvre un créidt d'une unité. Le signal de demande de paiement n'est plus alors émis sur la ligne, le shunt établi sur le combiné du demandeur est supprimé et la conversation peut commencer. Lorsque la période pour laquelle a eu lieu le paiement arrive à expiration, l'appareil téléphonique à monnayeur reçoit une seconde impulsion de mesure qui amène à la position zéro le mécanisme d'emmagasinage des   crédits   et des   débits   (autrement dit il annule une unité de crédit antérieurement emmagasinée).

   Le signal de demande de paiement est alors à nouveau appliqué sur la ligne et le téléphone du demandeur de sorte que celui-ci ne peut plus ni parler, ni entendre. Parvenu en ce point, le demandeur peut décider de faire cesser la communication et raccrocher ; ou bien, il peut prolonger la communication en introduisant des pièces de monnaie supplémentaires. La durée de la communication peut être prolongée aussi longtemps qu'on le voudra en introduisant des pièces supplémentaires.



   A la fin de l'appel, le combiné de l'appareil téléphonique est remis sur son support. Cela a pour effet d'interrompre la communication et de mettre fin à l'appel automatique tout en remettant en position initiale le mécanisme d'emmagasinage des débits et des crédits. Si le demandeur oublie de remettre son combiné sur le support à la fin de l'appel, la ligne est automatiquement coupée dès que le mécanisme d'accumulation atteint une certaine valeur débitrice prédéterminée.



   On a vu que le demandeur est forcé à verser 20 centimes de plus que le prix effectif de l'appel.



  Cela constitue un procédé pour procurer une surtaxe de cabine téléphonique publique. Autrement dit, en appelant des cabines publiques, le demandeur paye 20 centimes de plus que s'il appelait d'une ligne privée. Une surtaxe de 20 centimes seulement est donc appliquée pour chaque appel indépendamment de la distance de l'appel. Les impulsions en provenance du central qui assurent le contrôle de la durée de communication sont donc les mêmes que sur une ligne   pnvee.   



   On décrira maintenant ci-dessous un exemple particulier de réalisation de l'invention en se référant aux dessins ci-annexés lesquels sont d'ailleurs fournis à titre purement illustratif et dans lesquels
 La fig. 1 est une vue schématique en perspective éclatée du mécanisme d'emmagasinage des valeurs débitrices et créditrices, certains éléments étant omis par souci de clarté;
 la fig. 2 est semblable à la fig. 1, à cela près qu'elle est subdivisée en trois parties et qu'elle comporte un plus grand nombre de détails que la fig. 1 ; certains éléments du mécanisme sont montrés dans plus d'une partie de cette figure;
 la fig. 3 est un schéma des circuits alors que
 la fig. 4 est un schéma montrant quatre combinaisons différentes des relais.



     I1    va de soi que pour des raisons de clarté le mécanisme qui est montré ici est présenté avec des écarts considérables entre les différentes pièces sur les fig. 1 et 2. Dans la réalité,   I'ensemble    est beaucoup plus compact. De plus, pour ne pas surcharger exagérément les dessins on s'est abstenu de dessiner les dentures de diverses roues d'engrenage.



     I1    n'est pas nécessaire de montrer des aspects de l'extérieur de l'appareil téléphonique à monnayeur, étant donné que cet appareil est conforme à la pratique courante, avec l'adjonction de fenêtres qui recouvrent des parties des tambours montrant en tout instant la valeur créditrice ou débitrice inscrite dans le dispositif récepteur de la monnaie.



   On utilise un mécanisme monnayeur de type en lui-même connu, sous une forme modifiée en conjonction avec le mécanisme d'emmagasinage des débits et des crédits. Ce monnayeur assure la mise en réserve par levage d'un poids ainsi que   I'entraîne-    ment du mécanisme, et aussi la mise en position  d'un bras sélecteur qui est apte à pivoter latéralement en fonction de la valeur de la pièce mise en place. Si   l'on    se réfère à la fig. 2 la partie intéressante du système monnayeur au point de vue de l'invention est indiquée dans ses grandes lignes par la flèche A. Les fentes pour l'introduction des pièces ne sont pas montrées ici mais une pièce 100 est montrée en trait mixte dans la position qu'elle occupe lorsqu'elle va être introduite par le demandeur à l'intérieur du monnayeur.

   Elle coopère à ce moment avec un galet fixe 100A et un galet mobile 100B et passe entre ces galets en repoussant le galet 100B vers le bas. Le galet   100B    est porté par un levier 101 pivotant sur l'axe 102. Lorsque le galet 100B est abaissé l'autre extrémité du levier coudé 101 se relève et entraînée dans son mouvement un étrier 103 qui est ainsi déplacé dans la direction représentée par la flèche B. L'étrier 103 peut également pivoter par rapport à l'axe 102. L'étrier 103 porte un prolongement latéral 49 dont l'autre extrémité est reliée à un bras pivotant 1 (voir également la fig. 1).



   On voit également sur la figure les leviers coudés à galets 101A et 101B correspondant à deux autres dimensions de pièces de monnaie. Dans ce cas, le monnayeur est donc conçu afin de recevoir trois types de pièces par exemple une pièce française de   1 NF, une    pièce de 50 centimes, et une pièce de 10 centimes (ou encore une pièce anglaise de trois pence, une pièce de six pence et une pièce de un shilling).



   Sous les leviers coudés 101 et   101 B    sont placés des ressorts 104 et 104B dont les extrémités inférieures sont reliées à un berceau 105 susceptible de pivoter autour d'un axe 106. Le berceau 105 est relié de la façon montrée ici, à une extrémité d'une tringle 105A qui est capable d'effectuer les mouvements dans le sens latéral et dont l'autre extrémité est reliée à un bras sélecteur composé des éléments 8 et 8A (voir également la fig. 1).



   Lorsque le levier coudé 101 est levé du fait de l'introduction d'une pièce de monnaie, le berceau 105 bascule autour de son axe 106 sous l'effet du ressort 104 et la tringle 105A et le sélecteur 8, 8A sont déplacés vers la gauche.



   Lorsque le levier coudé   101 A    est levé du fait de l'insertion d'une pièce, le berceau 105 n'est pas affecté et reste dans la position centrale montrée ici, comme la tringle 105A et le sélecteur 8, 8A.



   Lorsque le levier coudé 101B est relevé par l'introduction d'une pièce de monnaie, le berceau 105 bascule sous l'action du ressort 104B autour de l'axe 106 et la tringle 105A, ainsi que le sélecteur 8, 8A, est déplacé vers la droite.



   Après qu'une pièce de monnaie a abaissé le galet 100B ou   l'un    des deux autres galets, cette pièce traverse des organes de vérification et si elle est rejetée elle suit la trajectoire de rejet indiquée en C. Si la pièce est bonne, elle est acceptée et elle suit une trajectoire B heurtant au passage un volet mobile 107 qui est fixé sur un axe 107A. Le sens du mouvement effectué par le volet 107 est indiqué par la flèche E. L'autre extrémité de l'arbre 107A porte la came 15 (voir également la fig. 1) et il en résulte que l'acceptation d'une pièce détermine la rotation de ladite came 15.

   On utilise des systèmes de blocage des fentes d'introduction de la monnaie, qui sont de type en lui-même connu, et qui sont commandés par un électro-aimant assurant le déblocage ces dispositifs n'étant pas montrés ici (pour leurs circuits électriques de commande on se référera à la description ultérieure).



   On a donc décrit ci-dessus les relations fonctionnelles entre le monnayeur et le mécanisme d'emmagasinage des crédits et des débits.



   Si   l'on    se réfère maintenant à la fig. 1, le déplacement du prolongement latéral 49 est transmis au mécanisme d'emmagasinage des débits et des crédits de telle sorte qu'il fait basculer le sélecteur 8, 8A soit vers la gauche, soit vers la droite, ou qu'il le maintient dans la position centrale montrée ici. En d'autres termes, on peut choisir l'une quelconque des trois positions. Le sens du basculement est indiqué par les flèches G placées à proximité du bras 8A du sélecteur, et il s'effectue selon l'axe 8B. Approximativement au point supérieur de la course (indiqué par la flèche F) le prolongement 49 coopère avec un cliquet 10 et fait pivoter un cadran 11 en sens inverse des aiguilles d'une montre, autour de l'axe   1 lA,    ce qui entraîne le pivotement du loquet 12 dans le sens des aiguilles d'une montre autour de l'axe 12A.

   Momentanément. l'effet de verrouillage exercé par le loquet 12 dans la rainure 12B du sélecteur 8, 8A est supprimé et le sélecteur dispose d'un temps suffisant pour basculer dans la position voulue avant que le loquet ne retombe en place (aucun de ces mouvements n'est effectué si   l'on    introduit une pièce de monnaie dans la rainure centrale).



   Après que toutes les pièces de monnaie ont été introduites, le volet 107 reprend la position montrée sur la fig. 2 et le bras 14 est maintenu en arrière par la came 15. Lorsqu'une pièce a été contrôlée et acceptée, elle fait pivoter le volet mobile 107 et ce pivotement est transmis au mécanisme d'emmagasinage des débits et des crédits, où il se manifeste comme une rotation partielle de la came 15 qui est montrée en position de repos avant le pivotement du volet. On reviendra sur ce point ultérieurement.



   On décrira ci-après le mécanisme d'emmagasinage des débits et des crédits. La cage 22 du différentiel des débits et des crédits, porte une roue dentée conique 22B avec un pignon conique d'entrée des débits 29A et un pignon conique d'entrée des crédits 21A. Le pignon conique d'entrée des débits 29A est solidaire en rotation d'une roue à rochet 29 d'entrée des débits, laquelle est actionnée par un cliquet   mo-    teur   30A; cette    roue à rochet étant maintenue par un second cliquet 30 qui l'empêche de revenir en arrière. Le cliquet moteur 30A, est entraîné par l'armature 32A d'un mécanisme d'avance pas à pas de type électro-magnétique, ou bobine d'entrée des dé  bits 32, de construction en elle-même connue.

   Cette bobine 32 reçoit des impulsions de mesure en provenance du central lesquelles impulsions sont fonction de la durée d'appel et de la distance à laquelle est établie la communication. Ces impulsions de mesure représentent le débit à la charge du demandeur, et elles provoquent une rotation de la cage du différentiel vers l'arrière autrement dit dans la direction d'emmagasinage des débits.



   Le pignon conique 21A d'entrée des crédits est couplé à une roue à rochet 21 qui est à son tour entraînée par un pignon conique 4 d'entrée des crédits ainsi que cela sera décrit maintenant.



   Si   l'on    se réfère maintenant à la partie inférieure de la fig. 2 on voit que le relèvement du prolongement latéral 49 entraîne l'élévation d'une biellette 1 qui coopère à pivotement avec une cheville   1A    portée par un levier 2 lui-même pivotant sur l'axe 3 de la roue 4 d'entrée des crédits. L'axe 3 porte encore un bras d'entraînement 5 qui tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre pour entraîner la roue 4 d'entrée des crédits. Un poids moteur (non montré ici) ou un ressort 5B tend à déplacer constamment le bras 5 en sens inverse des aiguilles d'une montre.

   Le bras 5 est montré ici à fond de course dans le sens des aiguilles d'une montre, autrement dit en position préparatoire à la course de sens inverse qui assure l'entraînement de la roue dentée 4 d'entrée des crédits, le bras 5 ayant été amené dans cette position par l'élévation du levier de préparation 2 (ce dernier est montré ici en position inférieure).



  Le nez 48 du levier de préparation 2 est conçu afin de coopérer avec l'ergot 6A porté par le cliquet 6 du bras d'entraînement 5.



   Le bras d'entraînement 5 porte un cliquet 6 qui, normalement, coopère, ainsi que cela est montré sur la figure, avec la denture périphérique du pignon d'entrée des crédits 4, de telle sorte que lorsque le levier d'entraînement 5 se déplace en sens inverse des aiguilles d'une montre le pignon 4 entre en rotation. Un autre cliquet 7 maintient fixé la roue dentée 4 d'entrée des crédits pendant que le bras d'entraînement 5 et le cliquet 6 sont amenés en position préparatoire. Il en résulte que la roue dentée 4 d'entrée des crédits coopère toujours avec au moins un cliquet, et qu'elle ne peut donc pas tourner sans y être expressément autorisée comme cela sera maintenant décrit.

   Pour permettre le mouvement de la roue dentée 4 d'entrée des crédits le cliquet 7 est retiré en arrière par l'ergot 2A du levier de préparation 2, lorsque celui-ci se rapproche de sa position inférieure, qui est montrée ici.



   Le mouvement du bras d'entraînement 5 est empêché jusqu'à l'instant où il est demandé (comme est empêchée également la rotation de la roue dentée 4 d'entrée des crédits et, par conséquent, I'inscription d'un crédit sur le différentiel) par la coopération de l'ergot   5A    porté par le bras d'entraînement 5 avec un nez   1 3A    d'un verrou 13 qui est monté lui-même à pivotement, de la manière montrée sur la fig. 2, sur un bras 14 qui pivote lui-même autour de l'axe 14A. Le verrou 13 est rappelé vers le haut, par un ressort de tension 13B qui est attaché au bras 14.



   Lorsque le volet 107 du monnayeur provoque la rotation de la came 15, le bras 14 peut s'abaisser en libérant ainsi l'ergot   5A    du nez   1 3A    ce qui permet au bras d'entraînement 5 de basculer dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, et de faire tourner, par le truchement du cliquet 6, la roue dentée 4 d'entrée des crédits. De cette manière, un crédit ne peut être inscrit dans le différentiel qu'après acceptation de la pièce de monnaie correspondante. Une mauvaise pièce ne fera pas pivoter le volet 107, l'arbre 107A et la came 15, de sorte que le bras d'entraînement 5 restera maintenu par la détente 13A et ne pourra entraîner la roue dentée 4 d'entrée des crédits.



   L'angle dont a tourné la roue dentée 4 d'entrée des crédits doit traduire la valeur de la pièce de monnaie qui a été mise en place et il est déterminé par la position dans laquelle a été placé le sélecteur 8, 8A, ce dernier portant trois ergots de butée 9A, 9B et 9C, dont   l'un    va se trouver sur le parcours du bras d'entraînement 5 lors de la course de celui-ci en sens inverse des aiguilles d'une montre, et arrêtera donc le mouvement dudit bras. Lorsque le sélecteur 8,   8A    occupe la position centrale qui est celle montrée ici, c'est la butée 9B qui intervient.

   Si le sélecteur 8,   8A    avait été amené par le monnayeur à basculer vers la gauche, c'est la butée 9C qui serait intervenue en n'autorisant qu'un mouvement plus petit du bras d'entraînement 5 et de la roue dentée 4 et, par conséquent, l'inscription d'un crédit plus petit dans le différentiel. Si du fait de l'introduction d'une pièce de monnaie de valeur plus importante le sélecteur 8,   8A    a été décalé vers la droite, la butée 9A intervient, ce qui autorise une course plus grande du bras d'entraînement 5 et détermine, par conséquent, l'inscription d'un crédit plus important.



   Avant de décrire le système d'inscription des crédits, il y a lieu de noter qu'après un mouvement de la roue dentée 4 d'entrée des crédits, lors de l'introduction de la pièce de monnaie suivante, la came 15 maintient à nouveau le bras 14 en position relevée et que, lorsque le bras d'entraînement 5 est à nouveau relevé en vue de l'entrée du crédit suivant, l'ergot   5A    glisse sur le plan incliné du verrou 13 et vient se placer à nouveau derrière le nez 13A. Le bras 14 peut être levé par le truchement d'un ergot 14B qui est engagé dans la fente   1 6A    d'une barrette 16 (laquelle peut être levée par l'ergot   1A    de la biellette 1) cela à la fin du mouvement de relèvement du prolongement latéral 49.

   Lorsque le bras 14 est ainsi relevé (par pivotement autour de l'axe 14A) la came 15 et l'axe 107A peuvent revenir, de concert avec le volet 107, en position initiale.



   Le mouvement de rotation ainsi communiqué à la roue dentée 4 d'entrée des crédits est transmis (voir la partie centrale de la fig. 2) par un train d'engrenages comprenant les roues dentées 4A1,  4A2, 4A3, 4A4, 4B, 4C et 4D, un pignon fou 33 porté par un bras 33A tournant librement sur l'arbre 33B. On remarquera que sur la fig. 1 les roues dentées 4A2, 4A3 et 4A4 ont été omises pour ne pas surcharger la figure et que le train d'engrenages est indiqué simplement par les roues dentées 4A, 4B, 4C et 4D. Le pignon fou 33 peut être dégagé de la roue dentée 4D à la fin d'un appel afin de permettre la remise en position initiale du tambour indicateur 37 des dixièmes d'unité (voir plus bas).

   Afin d'aider le bras d'entraînement 5 à surmonter l'inertie initiale du train d'engrenage il est encore prévu un ressort de tension à boudin 5B qui tend à faire tourner le bras 5 en sens inverse des aiguilles d'une montre.



   Avant de décrire le reste du système d'introduction des crédits il y a lieu de remarquer que la rotation de la cage 22 dans le sens correspondant aux valeurs créditrices, sous l'action de la roue dentée 4 d'entrée des crédits, entraîne la rotation d'organes indicateurs visuels qui indiquent en chaque instant le solde créditeur. Les organes indicateurs visuels comprennent un tambour indicateur des unités 28 et un tambour indicateur 37 des dixièmes d'unité. Il est également prévu un compteur totalisateur de la monnaie 69 qui est entraîné à partir de la roue dentée 4 par le pignon 68 et qui indique la quantité totale d'argent qui a été acceptée par le mécanisme. 

   Cela peut être souhaitable étant donné que la quantité totale créditée à la suite de l'intervention du dispositif de mesure du central, peut différer de la quantité totale d'argent introduite dans le monnayeur, cela par suite d'impulsions de mesure reçues après abandon d'un appel.



   Pendant l'entrée des crédits, avec l b) le bras 23 de remise à zéro, libéré de l'ergot 44
 maintenant relevé, peut pivoter autour de son
 axe 23A sous l'action du ressort 23B et il est
 amené en position préparatoire en vue de la
 remise à zéro de la cage du différentiel et des
 éléments y associés, y compris le tambour 28
 indicateur des unités; c) les cliquets 18 et 19 sont relevés par les broches
 26 et 26A afin de libérer la roue à rochet 21
 d'entrée des crédits et la cage de différenitel 22,
 cela en vue de la remise à zéro;

   d) enfin un nez 40D est déplacé afin de permettre
 le mouvement du verrou 41 et la remise en posi
 tion initiale du galet 25, le bras 23 étant main
 tenant laissé libre de déplacer le galet 25 de la
 position dans laquelle il est maintenu par le ver
 rou 41 (comme montré ici) dans une position
 de remise à zéro, en coopération avec la came
 24.   II    y a lieu de remarquer que la broche 26
 maintient le cliquet fendu 18 à distance de la
 roue à rochet 21 d'entrée des crédits de sorte que
 des déplacements intempestifs de l'étrier 43 des
 tiné à supporter le combiné ne sauraient entraîner
 un déplacement de la roue à rochet 21 d'entrée
 des crédits. En outre, le bras 40 est retenu en
 position supérieure par un crochet 45 qui vient
 s'engager derrière un ergot 46 porté par ledit
 bras 40.

   Le crochet 45 est libéré par un ergot 47
 du bras 23 de remise à zéro, une fois que la
 came 24 a été centrée.



   L'abaissement de l'étrier 43, destiné à supporter le combiné, détermine un mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre du bras 40 sous l'impulsion de la came 42. Le nez 40D repousse le verrou 41 afin de libérer l'axe du galet 25 qui vient en contact avec la came 24 en forme de   cceur.    Simultanément l'ergot 44 est relevé ce qui permet au bras 23 de pivoter dans le sens des aiguilles d'une montre sous la traction exercée par le ressort 23B.

   Le bras 40 est toutefois verrouillé au bout de sa course dans le sens des aiguilles d'une montre, l'ergot 46 étant retenu par le crochet 45, et il ne peut pas redescendre avant que le mouvement du galet 25 sur la came 24 ait permis au bras 23 de basculer dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à fin de course, ce qui se traduit par une action de l'ergot 47 sur le crochet 45, cela dans une mesure suffisante pour dégager l'ergot 46.   I1    y a lieu de remarquer que le dégagement du verrou 41 et la libération du bras 23 sont obtenus seulement lorsque l'ergot 46 coopère avec le crochet 45. En outre, lorsqu'on soulève le combiné, l'ergot 44 fait pivoter le bras 23 de remise à zéro, cela dans une mesure suffisante pour que le galet 25 vienne engager le verrou 41 dans la position montrée par la figure.



   Lorsque le pignon fou 33 est dégagé de l'engrènement avec la roue dentée 4D (grâce au bras 40 à l'axe 40A à la came 40B et au bras 33A), la came à deux lobes 34 est libérée et elle vient assumer l'une ou l'autre de ses deux positions de repos (sur la figure elle occupe l'une d'elle) grâce à l'action du bras 35 (avec le galet 34A) ainsi que celle du ressort à boudin de tension   3413.   



   Dans certaines applications du dispositif il peut être souhaitable que la came à lobes multiples 34 ne soit pas ramenée en position normale. C'est ainsi que si la taxe unitaire ne correspond pas aux pièces de monnaie à introduire ou constitue un sous-multiple de la valeur de celle-ci, il faut prévoir un système permettant au demandeur d'utiliser la fraction restante de l'unité. Par exemple, si la taxe unitaire est de cinquante centimes et que les pièces de monnaie à utiliser soient des pièces de dix, vingt centimes ou un franc, le minimum d'argent que   l'on    puisse introduire pour cet appel sera de un franc (soit avec une seule pièce de un franc soit avec deux pièces de cinquante centimes). Cela laisse un crédit non utilisé de cinquante centimes qui ne pourra être utilisé que si l'appel est prolongé ou que s'il est suivi par un autre appel.

   Dans cet exemple la taxe minimale est de cinquante centimes en dépit du fait que la taxe unitaire (correspondant aux impulsions de mesure des unités) est de quarante centimes, de telle sorte que les impulsions de mesure ne coïncident avec les valeurs introduites qu'une fois toutes les trois impulsions.



     I1    est possible de mettre à la disposition du demandeur un interrupteur qui lui permet d'interrompre la communication avec le central sans ramener le mécanisme d'emmagasinage des crédits et des débits en position normale de remise à zéro. De cette manière, un demandeur peut utiliser le reliquat d'un crédit qui était excédentaire, cela pour un appel ultérieur ou pour une succession d'appels.



   La rotation de la cage 22 du différentiel à partir de la position normale ou position zéro est fonction du solde des crédits et des débits. Le montant de ce solde est indiqué en unités sur le tambour 28 d'affichage des unités.



   Le tambour 28 d'affichage des unités porte à sa périphérie deux rangées de nombres, placées côte à côte, l'une des rangées représentant les crédits, l'autre les débits. Un écran 63 comportant deux fenêtres décalées (voir la partie centrale de la fig. 2) peut tourner autour de l'axe du tambour 28 pour passer d'une position à l'autre, ou vice versa. Pour une position de l'écran 63 c'est la rangée des nombres représentant les crédits qui est visible pour le demandeur.



  Dans l'autre position de l'écran c'est la rangée des débits qui est visible. L'écran 63 est déplacé d'une position à l'autre par un levier coudé 63A, venu d'une seule pièce avec ledit écran, par un ergot   63B    et par une fourchette 62A, laquelle est ménagée à l'extrémité d'un bras inverseur 62 qui est monté à pivotement sur un axe 65A.



   Les rangées de nombres représentant respectivement les valeurs au débit et au crédit partent dans des directions opposées de la position neutre (0 pour les deux rangées). Toute introduction d'une pièce de monnaie augmente la valeur du solde créditeur indi  qué par le tambour 28 (ou réduit un éventuel solde débiteur) alors que toute impulsion de mesure fait tourner le tambour 28 vers l'arrière en augmentant ainsi le solde débiteur (ou en réduisant l'indication créditrice). Lorsque le dispositif de réception de l'argent est en position neutre ou dans la zone des soldes créditeurs l'écran 63 montre seulement la rangée des nombres représentant un crédit, et lorsqu'il est en position de solde débiteur l'écran 63 est déplacé et cache la rangée des nombres représentant le crédit pour montrer la rangée des nombres représentant un débit.



   Par conséquent, grâce à l'utilisation du tambour 28 d'affichage des unités, un demandeur est toujours maintenu informé de sa position débitrice ou créditrice. Lors de la composition d'un numéro au disque d'appel et de la réponse de l'appelé une ou plusieurs impulsions de mesure sont reçues par l'appareil et le tambour 28 affiche le débit correspondant. Le demandeur introduit des pièces de monnaie et cela provoque une rotation du tambour 28 et une réduction du débit affiché. Lorsqu'une quantité suffisamment importante de monnaie a été introduite le tambour révèle une position créditrice et quand une unité au moins de crédit est indiquée la conversation peut débuter, puisque le signal de demande de paiement est interrompu.



   Le bras inverseur 62 actionne un micro-interrupteur 61. Cet interrupteur applique ou supprime le signal de demande de paiement et détermine par conséquent la possibilité de converser, cela en fonction de la position du tambour 28. Le fonctionnement de ce micro-interrupteur 61 sera décrit de façon plus détaillée en se référant aux fig. 3 et 4.



   Le micro-interrupteur 61 comporte un plongeur 61A rappelé par un ressort lequel repousse le bras inverseur 62, par action sur le plan incliné ménagé à l'extrémité dudit bras 62 et tend à faire tourner celui-ci en sens inverse des aiguilles d'une montre.



  Lorsqu'un ergot 28E (qui est fixé au tambour 28 et qui fait saillie par rapport audit tambour de la façon montrée sur la figure) se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre de la position 0 vers la direction des débits, ledit ergot repousse le nez inférieur de la came 66 afin de libérer ladite came 66 d'un ergot d'arrêt 67 let de permettre à un cliquet 65, qui est solidaire en rotation de l'axe 65A et du bras inverseur 62 d'être rapproché du centre du tambour 28 sous l'effet du plongeur 61A du micro-interrupteur 61. Cela a pour effet d'amener l'écran 63 dans sa position inférieure pour laquelle il indique une valeur débitrice. Cette rotation du tambour 28 dans le sens des valeurs débitrices peut se poursuivre jusqu'à une déviation angulaire maximale donnée, par exemple 3000, au-delà de laquelle il risquerait d'interférer avec le cliquet 65 ou le nez supérieur de la came 66.

   A cette position ultime correspond la valeur maximale d'un débit. Le demandeur peut alors introduire des pièces, premièrement pour ramener le tambour 28 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre vers la position 0, puis, en rajoutant des pièces supplémentaires, pour faire tourner le tambour 28 au-delà du point zéro de sorte que l'ergot 28E repousse les cliquets 65 et 66 vers l'extérieur, le cliquet 65 faisant basculer le bras inverseur 62, et celui-ci abaissant le plongeur 61A de l'interrupteur ce qui a pour effet d'interrompre le signal de demande de paiement et de permettre la conversation, ainsi que de déplacer l'écran 63 pour mettre en évidence la rangée des valeurs débitrices sur le tambour 28.

   Simultanément le crochet de la came 66 vient coopérer avec l'ergot de butée 67 de sorte que le tambour 28 peut tourner en sens inverse des aiguilles d'une montre d'un angle limité par exemple de 3000 avant que sa rotation soit gênée par la came 66.



  C'est ainsi que la position de la cage du différentiel détermine la possibilité de communication.



   Un micro-interrupteur 60 également actionné par la cage du différentiel a une double fonction: a) Il déconnecte le téléphone de la ligne lorsque la
 valeur débitrice atteint une certaine valeur maxi
 male. Cela assure la mise en circuit dans le cas
 où un demandeur n'aurait pas raccroché le com
 biné sur son étrier support 43 b) il détermine le blocage des fentes d'introduction
 des pièces de monnaie lorsque le crédit atteint
 un maximum donné de sorte qu'il n'est plus pos
 sible d'introduire de l'argent.



   L'interrupteur 60 comporte également un plongeur 60A, qui est rappelé vers le haut par un ressort.



  Le plongeur 60A soulève une lame 55 comportant une empreinte 55A dans laquelle vient se loger l'extrémité appointie 52B d'un bras 52, ce dernier étant normalement maintenu dans une position centrale.



  Le bras 52 pivote sur l'axe 52A, entre les butées extrêmes 53 et 54. Il est arrêté par la butée 54 lorsqu'il vient en position débitrice maximale et dans cette position (ou aussi dans la position créditrice maximale pour laquelle il vient buter contre l'arrêt 53) il abaisse la lame 55 et repousse par conséquent le plongeur 60A contre la réaction de son ressort de rappel. Le bras 52 se trouve normalement en position centrale mais il peut être amené au contact, soit contre l'arrêt 53 soit contre l'arrêt 54 par un ergot de débit 28D ou l'ergot de crédit 28C portés par la roue dentée 28A. Les positions des ergots 28D et 28C sur la roue dentée 28A peuvent être modifiées en fonction des exigences du réseau téléphonique particulier dans le cadre duquel on sera amené à utiliser le dispositif.

   Les flèches indiquées sur la roue dentée 28A et sur le tambour 28, indiquent le sens de rotation qui correspond à l'augmentation des valeurs créditrices.



   Les interrupteurs 60 et 61 ayant chacun deux positions coopèrent dans le circuit électrique afin d'offrir quatre combinaisons possibles de circuit comme cela sera expliqué ultérieurement.



   On admet évidemment que les impulsions de mesure des valeurs débitrices reçues du central seront suffisamment puissantes pour faire mouvoir la roue  à rochet 29 des débits et pour surmonter le frottement du cliquet 30. Si   l'on    utilise des impulsions de puissance de 50 ou 12 000 Hz on peut avoir une source locale commandée par relais, qui est constituée par une petite batterie d'accumulateurs maintenue en charge par la ligne téléphonique lorsque le dispositif de réception de l'argent n'est pas en service. C'est cette disposition qui sera décrite ci-après, de concert avec les organes de signalisation qui indiquent aux parties qu'un paiement est nécessaire, cela en se référant aux fig. 3 et 4.



   On a en   L1    et en L2 les conducteurs de raccordement au central et en SW1 et SW2 les habituels interrupteurs qui établissent la connexion entre l'appareil téléphonique et le central. Le combiné est indiqué symboliquement avec son récepteur R et son microphone T. Dans l'état initial, antérieur à un appel,   L1    est positif et L2 est négatif. Lorsque le combiné est levé par le demandeur pour amorcer une communication, les contacts SW1 et SW2 sont fermés et lorsqu'une ligne est disponible, l'équipement du central répond par le ton musical indiquant que   l'on    peut composer le numéro. Lors de l'intervention du disque les contacts OH assurent que les contacts
DPC d'émission des impulsions sont efficaces.



   Lorsque l'appelé répond, cela provoque une inversion de polarité sur les lignes.   L1    devient négatif et L2 positif. Cela se traduit par l'excitation de l'électro-aimant SUR de libération des fentes d'introduction de la monnaie, qui libère les fentes du monnayeur et permet d'introduire des pièces de monnaie.



   On rappellera qu'un contact peut être actionné par la cage du différentiel pour empêcher l'application du signal de demande de paiement. C'est le contact X auquel est dévolu ce rôle. Après la réception par le différentiel des premières impulsions de mesure du débit le contact X est fermé de sorte qu'un redresseur OREC peut devenir conducteur et que l'oscillateur (indiqué dans son ensemble par le contour en trait interrompu OSC) peut entrer en fonctionnement pour émettre sur la ligne le signal de demande de paiement. Le circuit prévu à cet effet va de   L1    à L2 en passant par SW2, W, 60, 61, X,
OSC et SW1. W représente un bouton poussoir pour déconnecter la ligne alors que 60 et 61 sont les micro-interrupteurs inverseurs qui sont commandés par la cage du différentiel de la manière qui a été décrite antérieurement.



   Le circuit OSC fonctionne en oscillant à une fréquence donnée et sa sortie est connectée de telle sorte qu'un battement à une fréquence inférieure à la fréquence ci-dessus est envoyé au combiné où il donne un signal sonore (le signal de paiement) qui est également audible pour la personne appelée. Ce signal empêche la conversation et indique qu'un paiement supplémentaire est nécessaire. L'introduction d'une pièce ou de plusieurs pièces soit en début de communication soit en supplément provoque la rotation de la cage du différentiel dans le sens de l'augmentation des valeurs créditrices et fait passer l'inverseur 61 de la position débitrice à la position créditrice, ce qui a pour effet de déconnecter le circuit oscillateur et ainsi de permettre une conversation.



   Ainsi que cela a été indiqué plus haut les deux inverseurs 60 et 61 peuvent donner quatre combinaisons, ces dernières seront décrites en se référant à la fig. 4, qui montre les quatre combinaisons a, b, c, et d.



   La combinaison (a) est celle qui est montrée également sur la fig. 3. L'interrupteur 61 est en position de débit (D), de sorte que l'oscillateur OSC est en circuit, ce qui empêche la conversation et indique que de l'argent doit être introduit dans le système.



  L'interrupteur 60 est connecté entre les lignes   L1    et
L2 afin d'alimenter l'électro-aimant SUR de déblocage des fentes, et ainsi de maintenir ouvertes les fentes et de permettre l'introduction de pièces de monnaie.



   Dans la combinaison (b) les pièces de monnaie ont été introduites la cage différentielle a été amenée en position créditrice et l'interrupteur 61 a été déplacé en position créditrice (C). Dans ces conditions l'oscillateur OSC n'est pas en circuit, le signal de demande de paiement n'est pas émis et la conversation peut avoir lieu. L'interrupteur 60 occupe la même position que dans la combinaison (a).



   Dans la combinaison (c) la position créditrice extrême a été atteinte. L'inverseur 61 occupe la même position que dans la combinaison (b), l'inverseur 60 a été décalé de sorte que l'électro-aimant
SUR a été shunté et que les fentes d'introduction des pièces de monnaie sont bloquées ce qui empêche l'introduction de la monnaie.



   Dans la combinaison (d) la position débitrice extrême est atteinte. Les deux inverseurs 60 et 61 sont séparés de la ligne L1.



   Il a été fait mention antérieurement d'un interrupteur prévu spécialement pour interrompre la connexion avec le central, pour permettre à un demandeur d'utiliser un crédit excédentaire. C'est cet interrupteur qui est constitué par le poussoir W de la fig. 3.



   Le circuit montré ici est destiné à fonctionner avec des impulsions de mesure à 12 000 Hz. Chaque impulsion est constituée par un signal à la fréquence de 12 000 Hz ayant une durée de   100 rus.    Il est clair que   l'on    peut utiliser d'autres fréquences et d'autres durées du signal.



   Un filtre passe-bas indiqué en LPF, empêche le signal à   12 000Hz    d'être affecté par le circuit de conversation et permet ainsi au signal à 12 000 Hz d'actionner l'électro-aimant 32 d'inscription des débits. Les impulsions à 12 000 Hz sont appliquées à un circuit de déclenchement TC, qui est connecté à une batterie B et à la bobine 32. La batterie est un accumulateur nickel-cadmium à 6 V complètement fermé. Lorsque le circuit de déclenchement reçoit une impulsion de mesure il laisse passer le courant et la batterie B excite la bobine d'inscription des  débits 32, provoquant la rotation de la cage du différentiel dans le sens des valeurs débitrices.



   Lorsque l'appareil de réception des pièces de monnaie n'est pas en service, autrement dit avec le combiné accroché à son étrier, le contact SW2 est dans la position montrée par la fig. 3 de sorte que la faible tension appliquée entre les lignes   L1    et L2 donne lieu au passage d'un courant au travers du redresseur RF, vers la borne positive de la batterie
B avec retour au filtre passe-bas LPF et à la ligne 12.



  La charge de la batterie B n'exige qu'un courant très faible qui n'affecte pas le matériel du central.
  

Claims (1)

  1. REVENDICATION Dispositif de réception de la monnaie pour appareils de télécommunications téléphoniques à postpaiement, caractérisé en ce qu'il comprend un monnayeur, un mécanisme différentiel donnant le résultat des valeurs débitrices et créditrices et des organes de signalisations indiquant à l'appelant et à l'appelé qu'il y a lieu d'effectuer ce paiement.
    SOUS-REVENDICATIONS 1. Dispositif de réception de la monnaie suivant la revendication, caractérisé en ce que les organes de signalisation produisent un signal audible ou des signaux audibles.
    2. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 1, caractérisé en ce qu'il est prévu également un signal ou des signaux visuels.
    3. Dispositif de réception de la monnaie suivant la revendication, caractérisé en ce qu'il comprend une source d'énergie électrique en association avec un système électromagnétique pour assurer l'action débitrice de ce mécanisme de débit et de crédit de telle sorte que l'action d'inscription des débits puisse avoir lieu en dépit du fait que le dispositif de réception de la monnaie ne reçoit que des impulsions de mesure de faible amplitude.
    4. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 3, caractérisé en ce que la source d'énergie est une batterie du type à accumulateurs.
    5. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 3, caractérisé en ce que la source d'énergie est une batterie rechargeable à partir de l'équipement du central lorsque le combiné téléphonique associé au dispositif de réception de la monnaie n'est pas en utilisation.
    6. Dispositif de réception de la monnaie suivant la revendication, caractérisé en ce que le monnayeur comporte des organes de verrouillage des fentes, cela afin d'empêcher l'introduction de pièces de monnaie dans le monnayeur pendant des périodes prédéterminées de son fonctionnement.
    7. Dispositif de réception de la monnaie suivant la revendication, caractérisé en ce que les inscriptions de valeurs créditrices dans le mécanisme de débit et de crédit sont effectuées au prorata de la valeur des pièces de monnaie qui sont introduites, les opérations d'inscription des valeurs créditrices étant effectuées par un système à entraînement par ressort ou par poids qui est armé lors de l'introduction des pièces dans le monnayeur.
    8. Dispositif de réception de la monnaie suivant la revendication, caractérisé en ce que le mécanisme d'emmagasinage des valeurs débitrices et créditrices actionne un système visuel d'indication du solde créditeur.
    9. Dispositif de réception de la monnaie suivant la revendication, caractérisé en ce que le mécanisme d'emmagasinage des valeurs débitrices et créditrices actionne un système visuel d'indication du solde débiteur.
    10. Dispositif de réception de la monnaie suivant la revendication, caractérisé en ce que le mécanisme d'emmagasinage des valeurs débitrices et créditrices actionne un système visuel d'indication du solde débiteur ou du solde créditeur.
    11. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 1, caractérisé en ce que le signal ou les signaux audibles sont produits par un générateur de signaux qui comprend un oscillateur.
    12. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 1, caractérisé en ce que le signal audible est d'une nature telle qu'il empêche la conversation entre le demandeur et l'appelé.
    13. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 7, caractérisé en ce que un volet disposé dans le monnayeur empêche les opérations d'inscription de valeurs créditrices par le dispositif entraîné par moteur ou par poids, cela jus qu'à ce qu'une pièce de monnaie ait été contrôlée et acceptée par le monnayeur, une pièce non acceptée étant écartée du cheminement central normal et n'actionnant pas ainsi le volet.
    14. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 13, caractérisé en ce que le mécanisme entraîné par ressort ou par poids comprend une roue dentée d'entrée des valeurs créditrices qui produit un mouvement dans le sens des valeurs créditrices du mécanisme d'emmagasinage des valeurs débitrices et créditrices, ladite roue dentée pouvant être entraînée en rotation par un cliquet qui est porté sur un levier d'armement, le cliquet coopérant avec les dents de ladite roue dentée et le levier d'armement pouvant être déplacé dans une position armée par des organes faisant partie du monnayeur et pouvant être déplacés en sens inverse en vue d'entraîner en rotation ladite roue dentée au moyen dudit cliquet, ce mouvement en sens inverse étant effectué sous l'action d'un ressort ou d'un poids.
    15. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 14, caractérisé en ce que l'amplitude du mouvement du levier d'armement entraînant en rotation la roue dentée d'entrée des valeurs créditrices dépend de la valeur d'une pièce introduite dans le monnayeur et acceptée par celui-ci, ce résultat étant obtenu par le fait qu'une butée donnée, choisie parmi plusieurs butées, est placée sur la tra jectoire dudit levier d'armement afin de limiter l'amplitude de son mouvement.
    16. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 15, caractérisé en ce que les butées font saillie latéralement à des distances variables d'un bras de sélection, ledit bras de sélection pouvant se déplacer dans un plan qui est à angle droit par rapport au plan du mouvement du bras d'armement, cela en vue de choisir quelle butée doit limiter le mouvement du levier d'armement, le déplacement du bras sélecteur étant accompli par des organes contenus dans le monnayeur.
    17. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 13, caractérisé en ce que le volet est relié à une came tournante, un bras étant maintenu par la came en position levée jusqu'à ce que le volet soit actionné par une pièce de monnaie acceptée, ledit bras empêchant, lorsqu'il est levé, le mouvement du levier d'armement dans la direction pour laquelle il entraîne la roue d'entrée des valeurs créditrices.
    18. Dispositif de réception de la monnaie suivant la sous-revendication 13, caractérisé en ce que la roue d'entrée des valeurs créditrices actionne un basculeur pour faire pivoter un cliquet lequel, à son tour, entraîne une roue à rochet qui provoque le fonctionnement du mécanisme d'emmagasinage des valeurs débitrices et créditrices dans le sens de l'augmentation du solde créditeur.
    19. Dispositif de réception de la monnaie suivant la revendication, caractérisé en ce que le mécanisme à différentiel d'emmagasinage des valeurs débitrices et créditrices comporte des organes de sortie dont le mouvement traduit le solde des entrées de crédit et de débit, lesdits organes de sortie réglant le fonctionnement des organes de signalisation.
    20. Dispositif de réception de la monnaie suivant la revendication, caractérisé en ce que le mécanisme à différentiel d'emmagasinage des valeurs débitrices et créditrices comporte des organes de sortie dont le mouvement traduit le solde des entrées de crédit et de débit, lesdits organes de sortie réglant le fonctionnement d'organes indicateurs visuels des valeurs créditrices et/ou débitrices.
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