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CH339530A - Machine à meuler des organes comportant des dents - Google Patents

Machine à meuler des organes comportant des dents

Info

Publication number
CH339530A
CH339530A CH339530DA CH339530A CH 339530 A CH339530 A CH 339530A CH 339530D A CH339530D A CH 339530DA CH 339530 A CH339530 A CH 339530A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
grinding wheel
console
axis
head
housing
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Inventor
Ove Carlsen Leonard
Charles Critchley William
Pedersen Harry
Original Assignee
Gleason Works
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Gleason Works filed Critical Gleason Works
Publication of CH339530A publication Critical patent/CH339530A/fr

Links

Classifications

    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B24GRINDING; POLISHING
    • B24BMACHINES, DEVICES, OR PROCESSES FOR GRINDING OR POLISHING; DRESSING OR CONDITIONING OF ABRADING SURFACES; FEEDING OF GRINDING, POLISHING, OR LAPPING AGENTS
    • B24B53/00Devices or means for dressing or conditioning abrasive surfaces
    • B24B53/04Devices or means for dressing or conditioning abrasive surfaces of cylindrical or conical surfaces on abrasive tools or wheels

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Grinding-Machine Dressing And Accessory Apparatuses (AREA)
  • Grinding Of Cylindrical And Plane Surfaces (AREA)

Description


      Machine    à meuler des organes comportant des dents    La présente invention a pour objet une machine  à meuler des organes     comportant    des dents. La ma  chine à meuler selon l'invention est caractérisée par  le fait qu'elle comprend un support, une tête sur  laquelle est montée de façon à tourner une meule,  cette tête pouvant subir un déplacement rectiligne  sur le support, au moins approximativement en di  rection de la génératrice de la surface     conique    de  la meule qui correspond à l'axe du support, un dis  positif de dressage de la meule, monté sur un     sous-          châssis,    de façon à pouvoir subir un déplacement  rectiligne sur la tête,

   au moins approximativement  dans la direction d'une autre génératrice de la       surface    conique de la meule, et des moyens per  mettant d'effectuer les deux     déplacements    dans un  rapport déterminé entre eux.  



  Une forme d'exécution préférée de la machine,  objet de l'invention, est représentée, à titre d'exemple,  au dessin annexé.  



  La     fig.    1 est une vue en élévation de côté de  la machine, le dispositif de dressage de la meule étant  enlevé.  



  La     fig.    2 est une vue en plan de la machine, sans  la structure de support des meules, ni les dispo  sitifs de dressage.  



  La     fig.    3 est une coupe verticale de la structure  de support des meules sur le berceau de la ma  chine.  



  La     fig.    4 est une vue en élévation, en regardant  la face du berceau, représentant la structure de  support de la meule dans un plan vertical, perpen  diculaire à celui de la     fig.    3.    La     fig.    5 est une coupe de détail dans des plans  perpendiculaires à la     fig.    3, représentant le méca  nisme à rochet d'avance de la meule.  



  La     fig.    6 est une coupe suivant le plan 6-6  de la     fig.    5.  



  La     fig.    7 est une vue de détail dans un     plan    pa  rallèle à celui de la     fig.    5, représentant un     frein     du mécanisme d'avance à rochet.  



  Les     fig.    8 et 9 sont des vues de détail en éléva  tion de celui des deux     dispositifs    de dressage qui est  en dessous, en     regardant    respectivement suivant les  lignes 8-8 et 9-9 de la     fig.    3.  



  La     fig.    10 est une coupe de détail suivant le plan  10-10 de la     fig.    9, parallèle au plan de la     fig.    8.  La     fig.    11 est une coupe de détail suivant la ligne  brisée 11-11 de la     fig.    12, la plus grande partie étant  faite suivant le plan 11-11 de la     fig.    9.  



  La     fig.    12 est une coupe de détail suivant les  plans 12-12 de la     fig.    11 et     12A-12-A    des     fig.    8  et 11.  



  Les     fig.    13 et 14 sont des coupes de détail sui  vant les plans 13-13 et 14-l4 de la     fig.    12.  



  La     fig.    15 est une coupe de détail suivant le  plan 15-15 de la     fig.    10.  



  La     fig.    16 est une coupe de détail suivant le plan  16-16 de la     fig.    11.  



  La     fig.    17 est un schéma de câblage et de tuyau  terie des mécanismes d'avance de la meule et des       dispositifs    de dressage.      La     fig.    18 est une coupe d'un dispositif de ré  glage de la vitesse de la meule     représenté    sur la  fi-. 3.  



  La     fig.    19 est une coupe suivant le plan 19-19  de la     fig.    18.  



  La     fig.    20 est un diagramme fait dans un plan  passant par l'axe d'une roue dentée, montrant     l'effet     d'un changement du diamètre de la meule sur la  hauteur de l'arc de la concavité de la surface comprise  entre deux dents voisines sur ladite roue.  



  La     fig.    21 est un diagramme fait dans un plan  passant par l'axe de la meule, montrant l'effet de       certains    réglages de la machine.  



  Comme on le voit sur les     fig.    1 et 2, la ma  chine comporte un bâti 30     portant    un berceau 31  permettant une oscillation autour d'un axe hori  zontal 32. Ce     berceau        porte    deux meules abrasives  coniques W,. tournant autour d'axes 33 qui sont  obliques et     déportés    par rapport à l'axe 32, les faces       approximativement        planes    34 des meules représen  tant la face latérale d'une dent d'une roue géné  ratrice dont l'axe est 32. La roue à usiner G est  portée par une broche 35     tournant,    dans une tête  36, autour d'un axe     horizontal    37.

   En général, les  deux meules sont réglées de manière à opérer dans  les entre-dents de dents     voisines.    La tête 36 est  réglable dans le sens de l'axe 37 le long de glis  sières 38 portées par une base oscillante 39, laquelle  à son     tour    est réglable     angulairement    autour d'un  axe vertical le long de voies curvilignes 41 portées  par une base coulissante 42. Cette dernière glisse  sur des galets (non représentés) le long de voies 43  portées par le bâti 30. A l'aide des     différents    ré  glages ci-dessus, l'ouvrage G peut être mis dans la  position voulue par rapport aux meules W.  



  La machine     contient    un mécanisme de com  mande générateur     comportant    un moteur 40, un  arbre supérieur 60 faisant tourner la broche 35 au  tour de l'axe 37, en     synchronisme    avec la rotation  du     berceau    autour de l'axe 32, de sorte que les  surfaces 34 des meules W engendrent les surfaces  de dents de l'ouvrage G. La machine comporte un  mécanisme diviseur, fonctionnant pendant les ro  tations en retour du berceau et de la broche, pour  faire avancer celle-ci en rotation afin d'amener les  surfaces     successives    des dents de l'ouvrage en posi  tion d'usinage devant les meules.

   La     machine    com  porte également des moyens pour faire coulisser la  base 42 le long des voies 43 de manière à augmenter  la profondeur de pénétration des meules dans les  entre-dents et pour faire reculer la base afin d'écar  ter l'ouvrage des meules pour permettre la division  de l'ouvrage et pour dresser les meules et aussi pour  laisser assez de place pour monter ou enlever un  ouvrage G. Les réglages du fonctionnement ci-dessus"  de la machine sont connus.  



  En se reportant aux     fig.    3 .et 4, chacune des  meules W est     fixée    sur un arbre 44 tournant, dans    une tête 45, dans des paliers antifriction 46. Sur  chacune des têtes 45 se trouve un moteur 47 d'en  traînement de la meule dont l'arbre d'induit est un  pignon conique 48 engrenant avec une roue dentée  49     portée    par l'arbre. Chacune des têtes 45 présente  un prolongement     cylindrique    51     supportant    un man  chon constituant le chemin de roulement intérieur  d'un roulement à billes 52, ce roulement comportant  un grand nombre de billes maintenues à écartement  par une cage tubulaire et un chemin de roulement  tubulaire extérieur faisant partie d'un chariot 53.

    Ce roulement porte la tête 45 se déplaçant dans le  sens de l'axe 32 du berceau pour compenser des  changements de diamètre de la meule. Ce déplace  ment se fait par rotation d'une vis 54 en prise dans  .un écrou 55 de la tête 45, la vis tournant dans un  palier antifriction 56 porté par le chariot 53. Un joint  flexible 50 analogue à un     soufflet    relie la tête 45 et  le chariot 53 de manière à protéger la     surface    du  roulement 52.  



  Chacun des deux chariots 53 est réglable, ver  ticalement sur les     fig.    3 et 4, sur une plaque 57  distincte, réglant la     distance    du cône, cette dernière  à son tour étant     réglable,    horizontalement sur la       fig.    4, sur une plaque 58 de réglage de l'angle de  dent et qui est réglable sur le berceau 31 autour de  l'axe 32. Après avoir d'abord desserré les vis de  serrage 59 qui immobilisent chacun des chariots 53  sur sa plaque 58, on peut régler verticalement le cha  riot sur la plaque à l'aide d'une vis de réglage  61.

   Ce réglage permet de rapprocher ou d'écarter  les meules l'une de l'autre et aussi de les régler,  en position symétrique par rapport à l'axe 32 pour  dresser des roues d'angle droites, ou en position dis  symétrique, pour meuler des roues d'angle obliques.  On peut effectuer le réglage de chacune des plaques  57 en desserrant d'abord les vis 62 (et aussi une des  vis 59) qui fixent l'une sur l'autre les plaques 57 et  58 et ensuite en faisant tourner une vis de réglage  63 (fi-. 3), en déplaçant ainsi la meule horizontale  ment (fi-. 4) pour l'amener dans la position désirée  par rapport à l'axe 32 du berceau. On déplace les  plaques 58 de réglage de l'angle de dent autour de  l'axe 32, l'une par rapport à l'autre et au berceau  au moyen d'un tendeur 64, après avoir desserré les  vis 65 qui serrent ces plaques sur le berceau.

   Comme  on le voit sur la     fig.    3, le berceau peut     tourner    au  tour de l'axe 32 sur des paliers à rouleaux 66 portés  par la partie du bâti 30 qui entoure le berceau.  <I>Mécanismes d'avance des meules</I>  Il est     prévu    deux mécanismes, un pour chaque  meule, pour faire avancer les meules W en vue de  compenser leur usure. Chacun d'eux comporte une  roue à rochet 67 fixée sur la vis     d'avance    54 et  actionnée par un     dispositif    à piston et cliquet, ana  logue à celui représenté sur les figures 3 et 5.

   Il  comporte un piston 68, actionné     hydrauliquement,     coulissant dans un cylindre 69 faisant partie du  chariot 53, et un cliquet 71 pivotant sur un sup-      port 72 tournant par rapport à la vis 54. Ce piston  est relié au support par une liaison à ergot et rainure  73, et le cliquet est sollicité contre la roue à rochet  67 par un plongeur 74 monté sur le support et sol  licité par un ressort. Lorsque le piston vient dans  sa position limite, représentée sur la     fig.    5, le cliquet  est mis hors de prise d'avec la roue à rochet par une  tige 75     (fig.    6) qui est fixe par rapport aux pièces  53 et 69 et qui vient porter sur une queue 76 du  cliquet.

   Toutefois, lors de la course active du piston,  comme le support 72 tourne en sens inverse des ai  guilles d'une montre     (fig.    5), la queue 78 vient     au-          delà    de la tige et le plongeur 74 qui est sollicité par  son ressort fait entrer le cliquet en prise dans la roue  à rochet et la fait avancer. La course du piston est  limitée par la rencontre de son épaulement 77 avec  une plaque de butée 78 portée à rotation par un  arbre 79. Cette plaque comporte six surfaces de bu  tée disposées à des distances radiales différentes de  l'axe de l'arbre 79 et par réglage à main, par rota  tion de la plaque, on peut amener l'une de     ces    sur  faces dans la position voulue pour former butée pour  l'épaulement 77.

   Du fait de ce     réglage,    on peut  faire avancer la roue à rochet de une à six dents  à chaque course active du piston 68. Chaque avance  d'une dent de la roue à rochet, par l'intermédiaire  du dispositif à vis et écrou 54, 55 fait avancer la tête  portant la meule de 0,025 mm. Pendant son avance,  la tête est empêchée de se déplacer     angulairement     dans le manchon de portée pour le roulement à  billes 52 par des galets de guidage 81 qui portent sur  des rails 82. Ces derniers sont fixes par rapport  au chariot 53 et parallèles à l'axe 32. Les galets  sont portés par un bras 83 fixé sur le prolongement  51 de la tête.  



  Pour empêcher la vis 54 de tourner par inadver  tance, deux sabots de frein 84 et 85     (fig.    7) viennent  en prise avec un tambour de frein 86 calé sur la vis,  les sabots étant poussés l'un vers l'autre par des  ressorts. On peut faire tourner la vis 54 à la main,  au moyen d'une clé (non représentée) se plaçant  sur une douille 87 de l'extrémité d'un arbre tubu  laire 88. Cet arbre tourne dans le chariot 53 et  porte une roue dentée 89 engrenant avec une roue  de renvoi (91) tournent sur l'arbre 79 et engrenant à  son tour avec une roue dentée 92 calée sur la vis 54.  On règle la plaque de butée 78 en faisant tourner un  arbre 93 monté dans l'arbre tubulaire 88 sur deux jeux  de roulements à aiguilles 94, séparés par un manchon  d'écartement 94'.

   L'extrémité avant de l'arbre 93  comporte une douille pour clé à laquelle on peut  accéder à travers la douille 87. Sur l'autre bout de  l'arbre 93 est calée une roue dentée 95 engrenant  avec une autre roue 96 qui est calée, avec la plaque  78, sur l'arbre 79. Des roulements de butée à billes  97 séparent la roue dentée 95 de l'arbre tubulaire 88  et la roue 96 de la roue 91, de sorte qu'en faisant  tourner l'arbre 88 l'arbre 93 n'est pas obligé de tour  ner et vice versa. Un plongeur 98, poussé par un  ressort, maintient la roue dentée 95 contre les rou-         lements    de butée 97.

   La roue 95 porte une tige de  butée 99 passant dans une fente en forme d'arc du  logement entourant la roue dentée, la tige venant  porter contre une extrémité de la fente lorsque la  plaque de butée 78 est dans l'une ou l'autre de ses  positions limites. Une bille<B>101</B> poussée par un res  sort pénètre dans une de six encoches de la roue pour  la maintenir dans 1a position choisie parmi les six  suivant lesquelles elle présente une surface de butée  pour l'épaulement 77 du piston. Pour amener parmi  ces positions la plaque de butée 78 à la position dé  sirée, on fait tourner l'arbre 93 jusqu'à ce que la  tige 99 vienne buter contre une extrémité de la fente  et l'on fait ensuite tourner l'arbre de la quantité  désirée en comptant le nombre de déclics de la     bille     101 dans les encoches de la roue 95.

   On peut noter  que la     fig.    5 représente la disposition réelle de la  vis 54 et des arbres 79, 93 et 99, tandis que pour la  clarté de la représentation la     fig.    3 est déformée  pour les représenter comme étant dans un même  plan vertical.  



       Dispositif   <I>de dressage</I>  Il est prévu un dispositif de dressage pour cha  cune des meules W, ces deux dispositifs étant symé  triques. Chacun d'eux comporte un outil de dressage  à diamant D     (fig.    8 et 12) servant à dresser la face  plane 34.     (fig.    3, 12 et 21) et la     surface    100 de la  pointe de la meule, ainsi que le petit arrondi réunis  sant ces deux surfaces. Chacun de ces dispositifs de  dressage est porté par une console 80     (fig.    2, 4, 8  et 9) fixée rigidement sur la tête 45 de la meule  correspondante.

   Un sous-châssis 102 est     réglable     autour d'un axe 90 perpendiculaire à l'axe de la roue  et approximativement tangent au pourtour de la  roue, suivant un très petit angle, sur un guide  curviligne 80'. Ce sous-châssis 102     porte    deux  tiges 103 et 104 qui, en position de réglage  zéro, sont parallèles à une génératrice w de la  surface conique de la meule W. Ce réglage se  fait à l'aide d'une vis sans fin 80" tournant dans la  console 80 et engrenant avec un secteur 102' de  roue à vis sans fin porté par le sous-châssis, l'arbre  de la roue à vis sans fin ayant un bouton gradué  80a à son extrémité externe.

   La tige 103 est fixée  sur un chariot 105 et elle est portée par le     sous-          châssis    par l'intermédiaire d'un roulement à billes  106, tandis que la tige 104 est fixée au sous-châssis  et présente des méplats 107 portant sur des galets  108 portés par le chariot     (fig.    10 et 15). Chacun des  galets est porté, par l'intermédiaire de roulements à  aiguilles, par une tige fixée sur le chariot 105. Ce  dernier porte aussi un galet 109 pénétrant dans une  fente rectiligne pratiquée dans une came 111 (fi-. 8,  9 et 10) montée sur le chariot vertical 53.  



  La came 111 et le galet 109 servent à déplacer  le chariot 105, portant le dispositif de dressage,  intérieurement approximativement le long de la géné  ratrice w de la meule, c'est-à-dire intérieurement le  long de la tige 104, en même temps que la tête 45      avance sous la commande de la     vis    54 et propor  tionnellement à cette avance qui se     fait    dans la di  rection de la génératrice de la meule conique W et  qui apparaît sous forme d'une ligne     horizontale    dans  la coupe verticale de la     fig.    3.

   Comme on le voit,  de manière fortement exagérée sur la     fig.    20, une  roue dentée G, meulée sur la présente machine,  comporte des     surfaces    entre-dents de forme concave  dont la hauteur de l'axe augmente avec la largeur  de la face de la roue dentée et également lorsque  le diamètre de la meule W diminue. Ainsi, lorsque  le rayon de la meule diminue de R à R', la hauteur  de l'arc de la concavité pour une largeur de face don  née F, augmente de H à     (H+h).     



  En conséquence,     l'avance    du dispositif de dres  sage doit être inférieure à l'avance de la meule de h  lorsque le rayon de la meule est réduit de R à  R'. Le rapport de ces avances peut être modifié,  pour adapter le mécanisme à des roues dentées de  largeurs de face     différentes    F, par réglage de la  came 111 du chariot 53 autour de l'axe du galet  109 lorsque le chariot 105 portant le dispositif de  dressage est réglé pour effectuer le dressage d'une  meule neuve de diamètre normal. Cet     axe    est perpen  diculaire à l'axe 32 du berceau et aussi aux axes  des tiges 103 et 104. Les parois de la fente de la  came entourant le pourtour du galet 109 sont planes  et, évidemment, parallèles à l'axe du galet.  



  On voit, sur les     fig.    20 et 24, qu'avec une  meule de rayon R, le point P de la roue dentée est  formé par le point p de la surface 34 de la meule  et que ce point p est à une distance H de la surface  100 de la pointe de la meule. Le centre C de l'ar  rondi réunissant les surfaces 34 et 100     coïncide    avec  l'axe de réglage 90 du sous-châssis 102. Lorsque  le rayon de la meule est réduit à R' de sorte que  les surfaces 34 et 100 ont reculé respectivement  jusqu'en 34' et 100', le point P est meulé par un  point p' qui est à la même distance de l'axe 32 du  berceau que le     point    p.

   Toutefois, la distance de p'  à la surface 100' est supérieure de la distance h à  la distance H comprise entre le     point    p et la surface  100, d'où     il    résulte que le point C', le centre de  l'arrondi réunissant les surfaces 34' et 100', est  plus près de l'axe 32 du berceau et de la génératrice  w du cône que le point C. Ceci oblige l'avance du  dispositif de dressage à faire un petit angle A avec  la direction de la     génératrice    w. On peut modifier  cet angle, pour des roues dentées dont la largeur de  face F varie, en réglant le sous-châssis 102 sur la  console 80, autour de l'axe 90.

   L'angle A est forte  ment exagéré sur la     fig.    21 et, en pratique, avec la  machine représentée, il est en général inférieur à  20 minutes.  



  On voit d'après ce qui précède que la machine  comprend un support en     forme    de berceau 31 et un  chariot 53, une tête 45 sur laquelle est montée, de  façon à tourner, une meule abrasive (W), ladite  tête pouvant subir un déplacement rectiligne sur le  support, au     moins    approximativement dans la di-    rection de la génératrice de la surface conique de  la meule, qui correspond à l'axe 32 du berceau, un  dispositif de dressage D, 105 de la meule, monté sur  les éléments 102, 104, de façon à pouvoir subir  un mouvement rectiligne sur la tête au moins ap  proximativement dans la direction d'une autre gé  nératrice (w) de la surface conique de la meule,

   et  des moyens comprenant une came réglage 111 sur  le support et un galet suiveur de came 109 sur le  dispositif de dressage pour     effectuer    les deux mouve  ments avec un rapport déterminé entre eux. On voit  en outre que les éléments 102, 104 sur lesquels le  dispositif de dressage est monté, pour pouvoir subir  un mouvement rectiligne, sont réglables par rapport  à la tête autour d'un axe 90, perpendiculaire à l'axe  33 de la roue et approximativement tangent au pour  tour de la roue, de façon à faire venir la direction  dudit mouvement rectiligne par rapport à la direc  tion de l'autre génératrice (w) de la surface conique  de la roue.  



  La tige 104 porte, en lui permettant de pivoter  et de se déplacer suivant l'axe, un carter 112 pour  le dispositif de dressage, portant les chemins de  roulement extérieurs de supports 110 à billes.  Comme représenté à la     fig.    10, le chariot 105 du  dispositif de dressage est     pourvu    d'une portion qui  est prise entre les branches du carter 112 qui s'éten  dent autour de la tige 104, de sorte que le carter se  déplace     axialement    le long de la tige en même temps  que le chariot de dressage. Une partie tubulaire 114  d'une console 113 coulisse le long de l'axe 115 d'un  alésage du carter 112.

   La rotation de la console au  tour de l'axe 115 est empêchée par un taquet dont  les méplats 120     (fig.    11 et 16) sont pris entre des  galets de guidage portés par le carter. L'axe 115  est parallèle au plan contenant les axes des tiges  103 et 104, mais il est incliné sur ces axes suivant  un angle aigu égal à l'angle compris entre la face la  térale plane 34 et la face latérale conique de la  meule W. La disposition est telle que lorsque la  console 113 se déplace le long de l'axe 115, le dia  mant D, se déplaçant en bloc avec la console, se  déplace en travers de la surface plane 34 de la  meule, en direction radiale par rapport à l'axe 33 de  la meule.

   Lorsque le carter 112 pivote autour de la  tige 104, le diamant, se déplaçant avec lui, se dé  place en travers de la     surface    100 de la pointe de la  meule. Pour dresser l'arrondi réunissant les     surfaces     34 et 100, le diamant tourne avec un bras 116  autour de l'axe d'un arbre 117, perpendiculaire à  l'axe 115. L'arbre 117 est monté dans la console  113, sur des supports antifriction que l'on voit sur la       fig.    12.  



  Tous les déplacements de dressage ci-dessus men  tionnés sont effectués par un dispositif de commande  actionné     hydrauliquement,    contenu dans le carter  112     (fig.    11 et 17). Ce dispositif comporte un cy  lindre 121 coulissant sur un piston 118 et une tige  de piston 119, cette dernière étant fixée sur le  carter. Le déplacement du cylindre est commandé      par un fluide sous pression envoyé alternativement  dans ses chambres de gauche et de droite, le     fluide     arrivant dans les chambres et en sortant par des con  duites flexibles 132 et 133 qui sont reliées à l'en  semble de piston 118-119 et communiquent avec  des passages de cet ensemble débouchant respec  tivement dans les chambres de gauche et de droite  du cylindre.

   Le cylindre porte un organe de guidage  122 muni d'une languette coulissant dans une rainure  de guidage d'une pièce 123     fixée    au carter. Le cy  lindre porte aussi un galet 124     (fig.    11, 12 et 14) cir  culant sur une surface de came 125 du chariot 105 et  sur une surface de came voisine 126,     cette    dernière  étant usinée sur une roue à vis sont fin 127 tour  nant sur le chariot sous la commande d'une vis sans  fin de réglage 128. Cette vis sans fin 128 est munie  d'une tête calibrée 128' indiquant l'angle, de 0 à       12,),    que fait la surface de came 126 avec la partie  voisine de la     surface    de came 125.

   En position de       0o,    représentée en trait plein sur la     fig.    14, la sur  face 126 est parallèle à la tige de piston 119. Le  carter est constamment sollicité autour de la tige  104 par un plongeur actionné     hydrauliquement    129  qui coulisse dans un cylindre du carter et porte sur  le chariot 105, en maintenant ainsi le galet 124 au  contact des surfaces de came. Du     fluide    sous pres  sion arrive au plongeur 129 par un passage 141       (fig.    17).

   Par suite, pendant le déplacement initial  du cylindre 121, dirigé vers la gauche sur les     fig.    11  et 17, du fait que le     fluide    pénètre dans la chambre  de gauche du cylindre par la conduite 132     (fig.    17)  et sort de la chambre de droite par la conduite 133,  le galet 124 suit la partie inclinée de la surface de  came 125, en allant vers la droite dans la     fig.    14, en  faisant pivoter le carter 112 sur la tige 104, et en  faisant circuler le diamant D sur la surface de bout  100 de la meule. Dans la paroi du cylindre 121 est  pratiquée une petite ouverture d'échappement 131  dont en verra le rôle plus loin.  



  A la fin de cette     première    phase du mouvement  de dressage, l'organe 122 du cylindre 121 vient bu  ter contre un bouton 134 porté par une crémaillère  135     (fig.    11 et 12) pouvant se déplacer     axialement     dans la partie tubulaire 114 de la console 113. La  crémaillère 135 engrène avec un pignon de renvoi  136     (fig.    13) qui tourne dans la console 113 et  engrène avec une crémaillère 137 coulissant dans  la console. Cette crémaillère 137 engrène avec un  pignon 138 porté par l'arbre 117 du bras 116.

   En  conséquence, lorsque le cylindre 121 continue à se  déplacer vers la gauche sur la     fig.    11, le diamant  D tourne autour de l'axe de l'arbre 117 et, par suite,  dresse un arrondi sur la meule à l'endroit de la réu  nion des surfaces 34 et 100. Le rayon de cet arrondi  dépend de la distance suivant laquelle la pointe du  diamant est     réglée    par     rapport    à l'axe de l'arbre  117. Si la distance est nulle,     il    n'y a évidemment pas  d'arrondi.

   Une crémaillère 139, poussée     hydrauli-          quement    et coulissant dans la console 113, engrène  aussi avec le pignon 138 et reprend le jeu du train         d'entraînement    135, 136, 137 et 138 et maintient  également l'épaulement 143 de la crémaillère 135  contre une tête 144 de la partie tubulaire 114 pen  dant tout le temps où l'organe 122 porté par le  cylindre ne touche pas le bouton 134. Pendant la  partie de la course du cylindre 121 suivant laquelle  la     crémaillère    135 se déplace par rapport à la con  sole 113, le galet 124 est sur une partie plane de la  surface de came 125 qui est parallèle à la tige 119.  En conséquence, le carter 112 est empêché de pi  voter sur la tige 104.  



  La pression hydraulique régnant dans le passage  141 agit également sur un piston 147 qui, comme  la tête 144, est fixé sur la partie tubulaire 114, pour  pousser constamment la console 113 vers sa posi  tion extrême de droite sur la     fig.    11. A l'aide d'un  orifice 146, d'un passage 145 pratiqué dans la cré  maillère 135 et d'une     coiffe    de fermeture 142, la  pression hydraulique régnant dans le cylindre con  tenant le piston 147 est appliquée sur la crémaillère  139 formant plongeur. Le cylindre 121 continuant  à avancer assez pour que l'organe 122 vienne por  ter contre la tête 144 (le bouton 134 étant rentré  complètement dans cette tête), la console 113 et la  crémaillère 135 se déplacent en bloc avec le cy  lindre.

   En conséquence, le diamant D se déplace sur  la face 34 de la meule     suivant    un rayon de celle-ci.  Si la     surface    de came 126 est dans sa position de  réglage 0, il n'y a pas de rotation du diamant D  autour de l'axe de la tige 104 pendant ce déplace  ment, et par suite la face 34 de la meule est dressée  par le diamant comme une surface plane perpendi  culaire à l'axe 33 de la meule.

   D'autre part, si la  surface 126 est     inclinée,    par exemple pour venir  dans la position représentée par la ligne 126' en  trait interrompu sur la     fig.    14, pendant ce déplace  ment le corps du     dispositif    de dressage tourne autour  de l'axe de l'arbre 104, ce qui fait déplacer le dia  mant en direction de l'axe 33 de la meule.     Il    en ré  sulte que la face 34 de la meule est dressée en lui  donnant une surface conique concave, de     sorte    que  les surfaces des dents des roues dentées sont légère  ment bombées d'un bout à l'autre.  



  A la fin de la course de dressage, un taquet 148  porté par le cylindre 121 vient porter     contre    la tige  149, poussée par un ressort, d'un interrupteur de  fin de course 151 monté sur le corps 112. Ceci  ferme les contacts normalement ouverts de l'interrup  teur pour une raison que l'on verra plus loin. Pen  dant le déplacement en sens     inverse    du cylindre, ob  tenu en branchant la     conduite    133 sur le refoule  ment et la conduite 132 sur l'échappement, le dia  mant D effectue en sens inverse le déplacement     ci-          dessus    décrit.

   A la fin du déplacement de retour, un  taquet 152 du cylindre vient rencontrer la tige de       manoeuvre    153 d'un interrupteur de fin de course  154, en ouvrant les contacts normalement fermés de  l'interrupteur. De préférence, les taquets 148 et 152  sont des vis, vissées dans le cylindre afin de les régler  par rapport à lui.      Le     cylindre    121 commande un tiroir 155 cou  lissant dans un cylindre 156 monté dans le corps  112, le tiroir commandant l'application du fluide  sous pression sur les faces opposées du piston 68  qui actionne le mécanisme à rochet 71-67 d'avance  de la meule.

   Le tiroir<B>155</B> est normalement poussé  vers la gauche, sur les     fig.    11 et 17, par du fluide  comprimé venant du     pasage    141, jusqu'à une posi  tion limite dans laquelle un épaulement 157 porte  contre un manchon. Lorsque le cylindre 121 arrive  à la fin de sa course de retour, à droite sur les       fig.    11 et 17, un bouton 158 qu'il porte vient tou  cher le tiroir et l'amène dans sa position extrême de  droite.  



  Le dressage peut être réglé à la main ou auto  matiquement, en synchronisme avec les différents  mouvements de la     machine.    Un mécanisme de com  mande à main, représenté schématiquement sur la       fig.    17, comporte un puisard 159, une pompe P re  foulant le liquide du puisard dans les passages sous  pression 141, un tiroir 161 envoyant du     fluide    sous  pression dans la conduite<B>132</B> ou 133, avec retour  au puisard par des conduites de retour 162. Dans  la conduite 133, sont disposés en parallèle un ro  binet d'étranglement 163 et une soupape de retenue  164. Le tiroir 161 est déplacé vers la droite, sur la       fig.    17, par un solénoïde 165 et vers la gauche par  un solénoïde 166.

   Ces solénoïdes sont commandés  par les interrupteurs de fin de course 151 et 154  et un commutateur 167, actionné à la main, du type  à bouton-poussoir.  



  Les pièces étant dans l'état représenté sur la       fig.    17, une course de dressage vient de finir et la  pression venant de la pompe P est appliquée par le  passage 141, le tiroir 161 et la conduite 132 dans  la chambre de gauche du cylindre, tandis que la  chambre de droite     communique    avec l'échappement  par le     robinet    163     (la    soupape de retenue 164 étant  fermée), la conduite 133, le tiroir 161 et la conduite  de retour 162, pour arriver au puisard. Le tiroir<B>155</B>  est maintenu dans sa position extrême de gauche  par la pression appliquée par le passage 141, de sorte  que le piston 68 est maintenu dans sa position de  retour par la pression appliquée par le passage 141,  le passage 168 du tiroir 155 et un passage 169.

   La  chambre de droite du cylindre 69 communique avec  l'échappement par un passage 171, le tiroir 155 et la  conduite de retour 162.  



  On comprend que le dressage d'une meule s'ef  fectue alors que les meules ne sont pas en prise  avec l'ouvrage, mais sont mises en rotation par leurs  moteurs 47. Pour effectuer un dressage, on ferme  momentanément l'interrupteur 167, ce qui établit  un circuit électrique allant du fil     Li    à     Lz    par l'inter  rupteur de fin de course 151 maintenant fermé  et la bobine du solénoïde 165.

   Ce solénoïde pousse  le tiroir<B>161</B> vers la droite, de sorte que la pression  régnant dans la conduite 141 est appliquée, par la  conduite 133 et la soupape de retenue 164, mainte  nant ouverte, dans la chambre de droite du cy-         lindre    121, en provoquant un rapide retour de     celui-          ci.    Pendant cette course, du     fluide    va de l'échappe  ment 131 au puisard, mais pas en quantité suffi  sante pour affecter ce retour rapide. Vers la fin de  cette course le bouton 158 vient pousser le tiroir 155  vers la droite, en inversant les liaisons du cylindre  69 avec la pression et l'échappement, en faisant ainsi  effectuer au piston 68 la course d'avance de la  meule.

   A la fin de la course de retour du cylindre  121,     l'interrupteur    de fin de course 154 se ferme,  en établissant un circuit allant de     Ll    à     L.    par le so  lénoïde 166 qui pousse le tiroir 161 vers la gauche.  Le solénoïde<B>165</B> est évidemment désexcité au dé  but de la course de retour du cylindre 121 du fait  de l'ouverture de l'interrupteur de fin de course 151,  mais le tiroir 161 a été déplacé vers la droite avant  que le mouvement de retour commence et il reste  dans cette position jusqu'à ce que le solénoïde 166  ait été ensuite excité. Lorsque le tiroir 161 est  poussé vers la gauche, la     course    de dressage du cy  lindre 121 s'effectue.  



  Pendant la première partie de cette course,  le bouton 158 s'écarte du tiroir 155, en laissant la  pression régnant dans la conduite 141 pousser  le tiroir dans sa position limite de gauche, en pro  voquant ainsi la course de retour du piston 68. La  première et la     seconde    partie de la course de dres  sage du cylindre 121 sont lentes du fait de la limi  tation dans la conduite 133 due au robinet d'étran  glement 163 et du fait de la perte en liquide de la  chambre de droite du cylindre, se faisant par la pe  tite ouverture 131 qui débite dans la     conduite    de  retour 162.

   Pendant cette première partie de la  course de dressage, le galet 124 prend appui contre  la came 125 pour faire osciller le corps du disposi  tif de dressage autour de l'arbre 104 de façon à  faire passer le diamant D sur la surface de pointe  100 de la meule W, animée maintenant d'un mouve  ment de rotation, en enlevant de cette pointe une  certaine quantité de matière qui dépend de la lon  gueur de la course précédente du piston 68, déter  minée par la plaque réglable de butée 78. A la fin  de cette première partie de la course de dressage  du cylindre 121, l'organe de guidage 122 vient tou  cher le bouton 134 et, par l'intermédiaire des cré  maillères et pignons 135, 136, 137 et 138, elle fait  tourner l'arbre 117 et le diamant D qu'il porte, de  manière à dresser l'arrondi de la meule au point de  rencontre de ses surfaces 34 et 100.

   A la fin de la  deuxième partie de sa course de dressage, lorsque  l'organe 122 vient toucher la tête 144, le piston  recouvre l'ouverture d'échappement<B>131,</B> de sorte  qu'il avance à plus faible vitesse pendant la troisième  partie de la course de dressage, pendant laquelle le  diamant D se déplace sur la face 34 de la meule. Du  fait de ce ralentissement, il est possible d'égaliser  les vitesses de déplacement du diamant sur les sur  faces de la pointe, d'arrondi et de côté de la meule.  



  Le dispositif de dressage et son fonctionnement  ci-dessus décrits sont les mêmes pour les deux      meules et leurs mécanismes d'avance, chacun d'eux  comportant ses tiroirs de commande propres 155 et  161, bien qu'ils puissent utiliser tous deux le même  puisard 159 et la même pompe P. Les solénoïdes  actionnant le tiroir<B>161</B> du     dispositif    de dressage  supérieur sont désignés par 165' et 166' sur la       fig.    17, et sont commandés par l'interrupteur 167 et  les interrupteurs de fin de course 151' et 154' du  deuxième dispositif. En conséquence, le fonctionne  ment des deux dispositifs est amorcé par la ferme  ture du seul interrupteur 167.  



  Les différentes parties extérieures mobiles du dis  positif de dressage sont réunies par des fermetures  172 analogues à des     soufflets    qui empêchent les  matières abrasives de tomber sur les surfaces de  travail. Ces fermetures permettent aussi     d'utiliser     tout l'intérieur du corps du dispositif de dressage  pour servir comme une partie du circuit de retour  du fluide qui, dans le schéma de la     fig.    17, est re  présenté par la conduite 162.  



  Si on le désire, on peut inverser le fonctionne  ment du dispositif de dressage, de façon qu'il s'effec  tue pendant le déplacement du cylindre vers la  droite, au lieu que ce soit vers la gauche (sur les       fig.    11 et 17). Ceci peut se faire en inversant les  liaisons hydrauliques du tiroir 161 avec le cylindre  et en arrangeant le tiroir 155 de façon qu'il soit  poussé par le cylindre lorsque ce dernier va vers  sa position extrême de gauche (sur les     fig.    11 et  17) et en revient. L'ouverture d'échappement 131  est également disposée autrement.  



  Lorsque les diamètres des meules W ont dimi  nué par l'action des pistons 68, des rochets 67 et  71 et des vis 54 et par l'action concomitante des  dispositifs de dressage, la vitesse périphérique de la  meule est maintenue approximativement constante  à l'aide des dispositifs des     fig.    18 et 19, lesquels       comportent    un rhéostat 173 monté dans un carter  174 porté par le chariot vertical supérieur 53. Sur  l'arbre tournant 175 du rhéostat est monté un sec  teur denté 176 engrenant avec une crémaillère 177  d'une barre 178. Cette barre coulisse dans le carter  174, dans le sens de sa longueur, parallèlement à la  vis 54 d'avance de la meule et elle est reliée par un  raccord 179 au carter du moteur supérieur 47.

   En  conséquence, à mesure que le diamètre de la meule  diminue, le rhéostat tourne dans un sens suivant le  quel sa résistance     diminue,    ce qui, à l'aide de  moyens appropriés, augmente la vitesse des moteurs  des meules. Lorsque les meules sont réduites à un  diamètre minimum déterminé et, par suite ne sont  plus utilisables, le secteur 176 vient toucher la tige  181 d'un interrupteur 182 de fin de course monté  dans la console, en fermant les contacts de l'inter  rupteur. Ce dernier est monté en série dans un cir  cuit électrique contenant un dispositif de signalisa  tion sonore ou optique (non représenté), indiquant  à l'opérateur de la machine que la meule est usée.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à meuler des organes comportant des dents, caractérisée par le fait qu'elle comprend un support (31, 53), une tête (45) sur laquelle est mon tée de façon à tourner une meule (W), cette tête pouvant subir un déplacement rectiligne sur le sup port, au moins approximativement en direction de la génératrice de la surface conique de la meule qui correspond à l'axe du support, un dispositif de dres sage (D, 105, 112) de la meule, monté sur un sous- châssis, de façon à pouvoir subir un déplacement rectiligne sur la tête,
    au moins approximativement dans la direction d'une autre génératrice de la surface conique de la meule, et des moyens (109, 111) per mettant d'effectuer les deux déplacements dans un rapport déterminé entre eux. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Machine selon la revendication, caractérisée par le fait que les moyens permettant d'effectuer les deux déplacements dans un rapport déterminé com prennent une came (111) et un galet (109) circulant sur elle et obligeant le dispositif de dressage à se déplacer sur la tête sous l'effet du déplacement de la tête sur son support, l'un (111) des organes (came et galet) étant monté sur le support et l'autre (109) étant mobile avec le dispositif de dressage. 2.
    Machine selon la revendication et la sous-re- vendication 1, caractérisée par le fait que le dispo sitif de dressage, pour son déplacement rectiligne, est monté sur une pièce (102, 104) réglable par rap port à la tête autour d'un axe (90) perpendiculaire à celui (33) de la meule et approximativement tan gent au pourtour de la meule, de manière à modifier la direction de ce déplacement rectiligne par rapport à celle de la deuxième génératrice (w) de la surface conique de la meule. 3. Machine selon la revendication, caractérisée par le fait que les moyens permettant d'effectuer les deux déplacements dans un rapport déterminé entre eux sont réglables de manière à pouvoir modi fier ce rapport. 4.
    Machine selon la revendication, caractérisée par le fait que le support (31, 53) est en forme de berceau et tourne autour d'un axe disposé dans la di rection suivant laquelle la tête effectue son déplace ment rectiligne. 5. Machine selon la revendication, caractérisée par le fait que le dispositif de dressage comprend un organe (102, 104), un carter (1l2) pivotant autour d'un axe (104), une console (113) coulissant sur le carter, un bras portant un outil de dressage (D) et tournant sur la console autour d'un axe incliné par rapport audit axe (104) et des moyens (121, 124, 125, 134, 135, 144) agissant pendant le dressage de la meule pour faire pivoter successivement le carter sur ledit organe,
    faire tourner le bras sur la console, et faire coulisser la console sur le carter. 6. Machine selon la revendication et la sous-re- vendication 5, caractérisée par le fait que les der niers moyens ci-dessus comportent une pièce de com mande (121) mobile dans le carter dans le sens du coulissement de la console, des cames provoquant le pivotement pendant une phase du déplacement de la pièce, un moyen (134, 135) faisant tourner le bras sur la console pendant une autre phase et-faisant coulisser la console sur le carter pendant une autre phase. 7.
    Machine selon la revendication et les sous- revndications 5 et 6, caractérisée par le fait que les moyens faisant tourner le bras sur la console con sistent en une crémaillère (135) coulissant sur la console dans le sens où celle-ci peut coulisser, la pièce de commande ci-dessus étant disposée de telle sorte que, pendant sa course dans un sens; elle fait coulisser d'abord la crémaillère par rapport à la con sole, afin de faire tourner le bras, puis fait coulisser la crémaillère et la console en bloc par rapport au carter. 8.
    Machine selon la revendication et les sous- revendications 5 à 7, caractérisée par le fait qu'une des cames est réglable en ce qui concerne son incli naison par rapport au sens du déplacement de la pièce de commande pour faire pivoter le carter sur ledit organe pendant que la console coulisse sur le carter.
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* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
WO1996005940A1 (fr) * 1994-08-19 1996-02-29 Western Atlas U.K. Limited Perfectionnements apportes aux meuleuses rectifieuses ou s'y rapportant
CN115972066A (zh) * 2022-12-29 2023-04-18 江苏绿能家电科技有限公司 一种家电塑料抛光装置

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