[go: up one dir, main page]

CH26162A - dispositif d'embrayage pour monteurs avec marche en avant et en arrière et de débrayage - Google Patents

dispositif d'embrayage pour monteurs avec marche en avant et en arrière et de débrayage

Info

Publication number
CH26162A
CH26162A CH26162A CH26162DA CH26162A CH 26162 A CH26162 A CH 26162A CH 26162 A CH26162 A CH 26162A CH 26162D A CH26162D A CH 26162DA CH 26162 A CH26162 A CH 26162A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
lever
watch
instrument according
winding
indicator
Prior art date
Application number
CH26162A
Other languages
English (en)
Inventor
Fritz Moser
Original Assignee
Fritz Moser
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Fritz Moser filed Critical Fritz Moser
Publication of CH26162A publication Critical patent/CH26162A/fr

Links

Landscapes

  • Measurement Of Unknown Time Intervals (AREA)

Description


  
 



   Instrument de mesure portatif.



   La présente invention a pour objet un instrument de mesure portatit.



   Des instruments de mesure portatifs tels que les   podombtres    et certains totalisateurs horaires sont déjà connus.



  Actuellement, l'emploi de ces instruments est limité à certains cas particuliers. C'est ainsi qu'on utilise des appareils de ce type pour des   tudeJ    relatives aux problèmes posés par le s montres   b    remontage automatique. Certains instruments utilises dans   #    ce but comprennent une masse mobile sollicitée par un organe   61astique    et actionnant un dispositif indicateur totalisateur. L'appareil est fixé au poignet du porteur et permet    dtobtenir    une   indication    sur le nombre et l'importance des mouvements   effectués    par cette personne.



   Le but de la présente invention est de permettre une généralisation de l'utilisation de ces instruments
 Pour   cela,    l'instrument selon la présente invention est   caractérisé      n    ce   qutil    comprend   loge    dans un bottier commun, un dispositif indicateur de mouvements et une montre à remontage automatique dont la masse mobile de remontage en  train      lorgne    indicateur du dispositif sous   11 action    des mouvements du porteur de   l'instrument.   



   Le dessin   annexé    représente,   C    titre d'exemple, une    forme d'exécution de ltinstrument de de mesure selon la présente    invention,
 La   fig,    1 en est une vue en coupe selon la ligne   1-I    de la fig. 2,
 la fig. 2 une vue en plan, de dessus, certaines parties étant   enlevées    et d'autres étant coupées, et
 la fig. 3 une vue schématique, de dessous.



   L'instrument représenté au dessin comprend un mouvement. de montre usuel, à remontage automatique. L'organe moteur de ce mouvement est constitué par un barillet 1 porté par un arbre 2 et pivoté entre une platine 3 et un pont de barillet 4. Un ressort 72 est logé dans le tambour du barillet 1 et est   raccroché,    d'une part, à l'arbre 2, et d'autre part, par un   dispositif    à  bride   gliss;nte,    au tambour du barillet 1. L'extrémité inférieure de l'arbre 2 fait saillie au-dessous du pont 4 et présente une portée oylindrique 5 et un carré 6. Ces deux parties de   l'axe    2 portent, la première, un rochet 7 monté fou sur la portée 5, et la seconde, un second rochet solidaire en rotation de l'arbre 2, grâce au carré 6.

   Alors que le rochet 8 est en prise avec des organes de remontage manuels de la montre, comprenant une roue de couronne 75, un mobile 76 à deux dentures coaxiales superposées et un renvoi baladeur 77, le rochet 7 est   entrain8    par un train d'engrenage 73 à inverseur, connu en soi, à partir d'une masse de remontage rotative 74 logée dans le mouvement. Entre les deux rochets 7 et 8 se trouve un dispositif d'accouplement à sens unique d'un type connu. Le rochet 8 est maintenu axialement en place par une vis 9 engagée dans le carré 6.



   La couronne du barillet 1 est en prise, au centre du mouvement, avec le pignon d'un mobile de grande moyenne 10, pivoté entre la platine 3 et un pont intermédiaire 11. Ce mobile 10 présente un canon 12 qui   s'étend    à travers un bâti 13, fixé sur la platine 3 par trois vis 14 (fig. 2) et à travers un cadran usuel 15, fixé sur le bâti 13. L'ouverture centrale du canon 12 est destiné à permettre le passage de l'arbre d'un mobile de seconde central (non   représenté),qui    est   entratné    de façon connue par le rouage du mouvement décrit. Une chaussée 16 et une roue   b    canon 17, engagées, la première, sur le canon 12, et la seconde, sur la chaussée 16, portent respectivement une aiguille des mi  nutes 18 et une aiguille des heures 19, qui s'étendent au-dessus du cadran 15.

   La roue du mobile 17, de même que le pignon de la chaussée 16 sont logés dans une creusure 20 pratiquée dans la face supérieure de la platine 3.



     Eoeme    on le voit à la fig. 1, la partie de la platine 3 qui s'étend au-dessus du barillet 1 est relativement épaisse.



  Elle présente une creusure 21 pratiquée dans sa face supérieure et dans laquelle débouche une ouverture 22 servant de palier supérieur à l'arbre 2. Ce dernier présente un logement axial dans lequel est chassé un pivot 23 solidaire d'un pignon 24, dont une partie s'étend dans la creusure 21. Ce pignon 24   entraîne    un train d'engrenage qui actionne un organe indicateur 25 coaxial aux aiguilles 18 et 19 et s'étendant sous ces dernières, au-dessus du cadran 15. Les éléments de ce train d'engrenage sont pivotés entre la platine 3 et le bâti 13, qui est constitué par une plaque circulaire épaisse recouvrant la platine 3. Différentes découpures et des fraisures, visibles en plan à la fig. 2, sont pratiquées dans cette plaque 13.

   Une première fraisure, pratiquée depuis le haut dans sa partie centrale, délimite un voile inférieur 26, qui s'étend immédiatement au-dessus de la platine 3. Ce voile 26 est crevé en différents endroits par une découpure 27, qui entoure l'axe du mouvement, par deux fentes en arc de cercle 28 et 29 et par une courte fente   rectiligne    30. in outre, la face inférieure du bâti 13 présente une frai sure rectiligne 31, trois fraisures en arcs de cercles 32 et 33 et 78, une fraisure circulaire 34 et une fraisure 66, de forme rectangulaire,  constituant des logements pour différents organes qui seront décrits ci-après,
 Le train d'engrenage qui   entrasse    l'aiguille 25 comprend tout d'abord un mobile réducteur 35, qui est pivoté entre la platine 3 et la partie du bâti 13 qui   limite    la frai sure 78 vers le haut.

   Ce mobile 35 s'étend en partie dans la fraisure 78 du bâti 13 et en partie dans la creusure 21 de la platine 3 et sa roue est en prise avec le   piton    24. Son pignon est en prise avec une roue 36, qui fait partie d'un mobile de   transission    (36, 37, 38), logé dans la fraisure 32 et pivoté entre la platine 3 et le voile supérieur du   baAti    13. Un arbre 37,   classé    dans la roue 36, et une seconde roue 38, montée   i    frottement doux sur l'arbre 37, forment d'autres éléments de ce mobile. Un fil ressort 39, entourant une vis 40, vissée dans la roue 38, appuie contre le fond d'une gorge 41 de l'arbre 37.

   La roue 38 est ainsi rendue solidaire en rotation de l'arbre 37 et de la roue 36 pour autant que la force qui s'oppose   t    sa rotation n'excède pas une valeur déterminée. Enfin, la roue 38 porte encore, sous sa face inférieure, une plaque 42 en forme de coeur, qui est assujettie au mobile (36, 37, 3d) par la vis   4G,    cette plaque présentant une ouverture engagée sur l'arbre 37.



   L'ouverture centrale du bâti 13 est   suffisamment    grande pour livrer passage au canon de la roue 17 et à un canon 43 qui entoure le canon 17, qui porte l'organe indicateur 25   l    son extrémité supérieure et sur lequel est encore cassée une roue 44 en prise avec la roue   35.    Les mouvements de rotation de l'arbre  de barillet 2 sont donc transmis par le mobile 35 au mobile (36, 37, 38) et à la roue 44, qui entraîne l'aiguille 25. Le rapport de démultiplication entre le pignon 24 et l'aiguille 25 est choisi d'environ un à quarante, de sorte que l'aiguille 25 parcourt un tour sur elle-même, lorsque l'arbre du barillet fait quarante tours.



   La   faoe    visible du cadran 15 porte un tour d'heures usuel et, à l'intérieur de ce dernier, une graduation qui permet de lire les indications données par l'aiguille 25. A sa partie inférieure, le canon du mobile 17 présente une portée sur laquelle est chassée une roue 45, qui s'étend   ixnediatement    au-dessus de la face supérieure de   a    platine 3. Un renvoi 46, pivoté sur une vis à portée 47 vissée dans   /i    la platine, est en prise avec la roue 45 et   entratne    une roue 48, de diamètre double, qui est également pivotée au moyen d'une vis à portée 49 sur la platine 3.



  Cette roue 48 porte une came 50 représentée en plan à la fig. 2.



  La roue 48 et la came 50 sont logées dans la frai sure circulaire 34 de l'élément de bâti 13.



   Le voile 26 de l'élément de bâti 13 porte un levier 51 à deux branches, pivoté sur ce voile 26 au moyen d'une vis 52. L'extrémité de l'une des branches du levier 51 porte un galet 53, qui est engagé dans la fente 28, tandis que l'extrémité de l'autre branche s'étend en   rerard    du coeur 42.   Prbs    de son point de pivotement, le levier 51 porte enfin une goupille 54 qui s'étend dans la fente 30 et sur l'extrémité inférieure de laquelle appuie  l'extrémité d'une lame-ressort 55. Cette dernière est logée dans la fraisure 31.   ville    est fixée au bâti 13 par une vis 56 et deux tenons de guidage 57.



     L'ingt;;ra t    décrit comprend en outre un mécanisme de mise à l'heure et de remontage manuel, à tirette, qui diffère   légère-    ment des mécanismes usuels. Ce mécanisme comprend une tige 58 engagée radialement dans une ouverture de la platine 3.   I1    comprend en outre un ressort de tirette 59 de forme usuelle et une tirette 60 pvotée en 61 sur la platine 3. La tirette 60 présente un tenon 62 engagé dans la gorge de la tige 58 et un second tenon 63 planté dans un bec qui s'étend de l'autre côté de la tige 58. Un levier 65, logé dans la fraisure rectangulaire 66 et pivoté en 67 sur l'élément de bâti   13i    présente une encoche 64 dans laquelle le tenon 63 de la tirette 60 est engagé.

   Le levier 65 comprend deux branches, dont l'une présente l'encoche 64 et   l'arbitre    un tenon 68, qui est engagé dans la fente en arc de cercle 29 et qui peut faire pivoter le levier 51 dans le sens anti-horaire dans la fig. 2, en armant le ressort 55, lorsqu'on amène la tige en position de mise à l'heure.



   Le levier 51, la came 50 et le coeur 42 constituent un dispositif fonctionnant automatiquement pour ramener l'aiguille 25 dans une position de référence donnée, correspondant à l'ori  gaine    de la graduation portée par le cadran 15. Pour cela, cette came 50 comprend une première portion   69    en forme de   s?irale,    une seconde portion   7,    en arc de cercle coaxial à la roue 48, et un décrochement radial 71 qui se raccorde à   l'origine    de la  portion en spirale 69. Lorsque la came 50 est orientée comme le montre la fig. 2, le levier 51 appuie contre le coeur 42 et le maintient dans la position représentée à cette figure.



  L'aiguille 25 se trouve alors en regard de l'origine de la graduation correspondante. Comme la roue 48, qui porte la came 50, a un diamètre double de la roue 45, et que cette dernière est solidaire de la roue a canon des heures 17, elle fait un tour en vingt-quatre heures, et tourne dans le sens horaire, vu dans la fig. 2. Lorsque la portion en spirale 69 vient en contact avec le galet 53, le levier   5i    commence à pivoter en s'écartant du coeur 42 pour atteindre, lorsque le galet 53 suit la portion   e    arc de cercle 70, une position telle que le coeur 42 peut tourner librement autour de son axe sans toucher l'extrémité du levier 51.

   En revanche, lorsque le décrochement radial 71 arrive sous le galet 53, le levier 51 n'est plus retenu par la came 50 et son extrémité vient heurter le coeur 42.   I1    ramène brusquement le coeur 42 dans la position de la fig. 2, sous l'action du ressort 55, en faisant tourner la roue 38 par rapport à l'arbre 37, contre l'action du ressort 39, ce qui ramène l'aiguille 25   à 11 origine    de la graduation correspondante du cadran 15.



   Le levier 65 a pour but de permettre la mise à l'heure en faisant tourner les aiguilles   18,    19 dans les deux sens. En effet, lorsque la tige 58 est en position de mise à   l'heure,    le levier 51 est bloqué en position de dégagement   comme    on   l'a    expliqué   a-    dessus. Le galet 53 est hors du   chemin    de la came 50, de sorte  que cette dernière, la roue 48 et le train d'engrenages avec lequel elle est en prise peuvent tourner librement dans   l'un    ou l'autre sens.



   Le fonctionnement du dispositif décrit est le suivant lorsque la montre est portée au poignet, par exemple, certains mouvements effectués par le porteur ont pour effet de déplacer la masse oscillante 74, qui entraîne alors l'arbre 2 par l'intermédiaire du train 73 et des rochets 7 et 8 accouplés. Chaque mouvement de rotation de l'arbre 2 est transmis, démultiplié, à l'organe indicateur 25. Lorsque le nombre de tours effectué par l'arbre du barillet surpasse celui qui est nécessaire pour provoquer un armage complet du ressort moteur, la bride glissante de ce dernier fonctionne et empêcne une surtension du ressort, mais l'arbre 2 continue à tourner sous l'influence des déplacements de la masse oscillante 74, en maintenant le ressort moteur 72 armé au maximum. Ces mouvements de rotation de l'arbre 2 du barillet sont également totalisés par l'organe 25.

   Une fois par vingt-quatre heures, à un moment que l'on peut régler à volonté lors de l'assemblage de la montre, en orientant la came 50 convenablement par rapport à la roue   '    canon 17, le levier 51 ramène   organe    indicateur 25 à zéro. Ce moment peut être fixé, par exemple, entre minuit et l'heure à laquelle le porteur de la montre se lève, de façon que l'indicateur 25 soit toujours   à afro    au début de la journée. Lorsqu'on met la montre   'N      1'neutre,    il faut naturellement prendre garde à la tranche de douze heures (0 heure à midi, midi à 24 heures) dans laquelle on la règle, afin que  la remise à zéro de l'indicateur de mouvements 25 se fasse aux environ de minuit et non de midi.

   On peut s'assurer que la roue 48 est convenablement orientée en amenant les aiguilles 18, 19 de la montre sur l'heure à laquelle la remise à zéro doit se faire et en   ramenant    la tige de remontoir   58    dans sa position de remontage. L'indicateur 25 doit alors revenir à zéro. Si ce n'est pas le cas, il suffit de faire effectuer un tour complet   à la    roue des heures 17. La roue de vingt-quatre heures 48 effectue une demi-rotation et se trouve alors dans l'orientation désirée.



     L'thstruinent    décrit présente de nombreux avantages.   I1    est simple et son encombrement est pratiquement nul, puisque ses dimensions ne diffèrent que très peu de celles d'une montre usuelle. En outre, son réglage et son fonctionnement sont très simples.



  Les indications fournies par l'indicateur décrit ci-dessus peuvent remplacer avantageusement celles que fournissent les montres connues, pourvues d'un indicateur de réserve de marche. On sait que les indicateurs de réserve de marche sont   entrarnés    en général par un système à différentiel et indiquent la différence des nombres de tours effectués par le tambour da barillet et par l'arbre de ce mobile, cette différence,   comptée    à partir d'une origine correspondant à la position relative de ces deux organes lorsque le ressort est   ddtendiu,    étant une mesure de la tension du ressort, Or, les   disnositifs      ae    remontage automatique sont  actuellement Si perfectionnés que les déplacements de la masse de remontage sont suffisants, dans la plupart des cas,

   pour maintenir le ressort constamment armé. Autrement dit,   l'indica-    teur de réserve de marche indique constamment une réserve maximum. Toutefois, cet état de la montre est loin d'être très favorable. En effet, lorsque le ressort moteur est constamment armé au maximum, la bride glissante fonctionne en permanence. Or, les aciers utilisés pour fabriquer les brides glissantes sont sujets, comme tous les aciers, aux ruptures par fatigue, au bout d'un certain temps. Les différents types de bides   ;lantes    qui existent sur le marché sont caractérisés d'une façon assez précise par le nombre des glissements que la bride peut effectuer, avant rupture.



     L'inxttu*nt    décrit permet donc au porteur de la montre de se rendre compte d'une façon très simple de la mesure dans laquelle il "fatigue" la bride glissante de sa montre.



     L'inetruiient    décrit peut même remplacer un indicateur de réserve de marche. En effet, on peut marquer, sur le cadran 15, un repère correspondant au nombre de tours d'armage que l'arbre 2 doit faire pour accumuler dans le ressort 72 la quantité d'énergie nécessaire   a    faire marcher la montre pendant vingt-quatre heures. Si, dans le courant d'une journée, l'aiguille 25 n'atteint pas ce repère, cela signifie que   l'armage    a été insuffisant et il y a lieu de remonter la montre à la main pour éviter qu'elle ne s'arrête pendant la nuit.  



     L'initrunent    de mesure décrit ci-dessus peut encore servir   k    d'autres fins. Des études faites sur les conditions de fonctionnement des montres automatiques ont en effet   montrd    que le nombre de tours imprimés à l'arbre du barillet par la masse oscillante pendant une journée variait dans de très grandes limites d'une personne à l'autre. Alors que chez certains porteurs, les mouvements de la masse de remontage d'une montre déterminée suffisent à peine à faire faire à l'arbre les cinq à six tours nécessaires à un   armage    complet du ressort moteur pendant une journée, d'autres porteurs impriment jusqu' quarante tours à l'arbre du barillet de la même montre au cours d'une journée.



   On a constaté que ces résultats s'expliquent non seulement par des différences dans le genre d'activité des personnes ayant participé à ces essais, mais aussi   lear    des différences dans le comportement de ces personnes lorsqu'elles s'adonnent à des activités semblables. En d'autres termes, le   chelitin    total   parcouru    par une masse oscillante telle que la masse de remontage d'un mouvement automatique dépend non seulement du nombre de mouvements effectués par le porteur, mais aussi et surtout de la façon plus ou moins rapide ou plus ou moins brusque dont ces mouvements sont effectués.



   L'indtrument de mesure décrit ci-dessus peut donc fournir une mesure de la "mobilité' d'une personne et à ce point de vue, il peut constituer un instrument de mesure utilisable pour des études   sociologiriues,    médicales ou du domaine de la   pilysiologie    du travail, par exemple.   I1    pourrait aussi constituer un instrument de contrôle personnel donnant au porteur une indication quantitative aii sujet de son activité journalière. 

Claims (1)

  1. REVENDICÂTION
    Instrument de mesure portatif, caractérisé en ce qu'il comprend, logés dans un bottier commun, un dispositif indicateur de mouvements et une montre k remontage automatique dont la masse mobile de remontage entratne organe indicateur du dispositif sous l'action des mouvements du porteur de 1' instrument.
    SOUS-REVENDICATIONS le Instrument selon la revendication, caractérisé en ce que le dit organe indicateur est coaxial aux autres organes indicateurs de la montre et s'étend au-dessus de son cadran.
    2. Instrument selon la revendication, dans lequel la masse de remontage entratne un rochet solidaire en rotation de l'arbre du barillet, caractérisé en ce que le dit arbre porte un pignon en prise avec un train d'engrenage entratnant le dit organe indicateur.
    3. Instrument selon la sous-revendication 2, caractérisé en ce qu'un des mobiles du dit train porte un coeur se déplaçant en regard d'un levier mobile capable d'actionner le coeur pour le ramener dans une position de référence donnée.
    4. Instrument selon la sous-revendication 3, caractérisé en ce que le levier est soumis à l'action d'un ressort et est commandé par une came montée sur une roue entratnée à raison d'un tour par wingt-quatre heures, le profil de la dite came étant déterminé de façon à maintenir normalement le levier dans une position inactive, à le libérer une fois par vingt-quatre heures, pour lui permettre d'actionner le coeur sous l'action du ressort, et à ramener ensuite le levier dans sa position inactive.
    5. Instrument selon la sous-revendication 4, dans le - quel la montre comprend un mécanisme de remontage et de mise b ltheure à tirette, caractérisé en ce que la tirette présente un bec pourvu d'un tenon actionnant un organe de verrouillage capable de bloquer le dit levier en position inactive, lorsque la tige est en position de mise à lVheure.
CH26162A 1902-05-26 1902-05-26 dispositif d'embrayage pour monteurs avec marche en avant et en arrière et de débrayage CH26162A (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
CH26162T 1902-05-26

Publications (1)

Publication Number Publication Date
CH26162A true CH26162A (fr) 1903-07-31

Family

ID=4237753

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
CH26162A CH26162A (fr) 1902-05-26 1902-05-26 dispositif d'embrayage pour monteurs avec marche en avant et en arrière et de débrayage

Country Status (1)

Country Link
CH (1) CH26162A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
EP1470452B1 (fr) Dispositif comportant un mouvement horaire et un module chronographe
EP0756217B1 (fr) Mécanisme de quantième annuel pour pièce d'horlogerie
EP2180383B1 (fr) Dispositif d'aide au maintien en position d'un disque indicateur de quantième pour pièce d'horlogerie
EP2407833B1 (fr) Mécanisme de rattrapage de jeu pour mouvement d'horlogerie
EP2410388A1 (fr) Pièce d'horlogerie à double affichage
EP2362277A1 (fr) Fuseau horaire à la demande sur l'aiguillage principal d'une pièce d'horlogerie
EP1936448A2 (fr) Dispositif d'affichage à la demande pour pièce d'horlogerie
EP2008159B1 (fr) Piece d'horlogerie comprenant un mecanisme a deux fuseaux horaires
EP1962152B1 (fr) Dispositif de sécurité pour affichage
CH716841A1 (fr) Mouvement d'horlogerie à chronographe.
EP1058166B1 (fr) Pièce d'horlogerie à heures universelles
CH377738A (fr) Instrument de mesure portatif
EP0008832A2 (fr) Mouvement d'horlogerie à aiguilles comprenant un mécanisme à engrenage différentiel
EP3584643B1 (fr) Dispositif de commande instantanée pour un affichage de quantième d'une pièce d'horlogerie
CH699794B1 (fr) Dispositif d'aide au maintien en position d'un anneau indicateur de quantième pour pièce d'horlogerie.
EP0950932B1 (fr) Garde-temps dont un des affichages s'étend sur un arc de cercle
CH26162A (fr) dispositif d'embrayage pour monteurs avec marche en avant et en arrière et de débrayage
EP4189489B1 (fr) Procédé de mise à l'heure d'une montre dans un ensemble sympathique d'horlogerie
EP3629102A1 (fr) Mécanisme d'affichage à guichet unique
EP1978424B1 (fr) Chronographe
CH425641A (fr) Montre-calendrier
CH699143B1 (fr) Mécanisme d'affichage.
EP4012505A1 (fr) Dispositif horloger à mobile antiblocage
WO2002071339A1 (fr) Montre mecanique dotee d'un indicateur de cycles hebdomadaires
CH717651B1 (fr) Procédé de remontage d'une montre sympathique.