"Appareil pour traiter successivement un tissu continu'\.
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-La présence invention se rapporte, d'une manière générale, à un appareil pour traiter, successivement, une matière textile continue et concerne plus particulièrement un appareil perfectionne adapté à traiter un tissu continu, tout en l'entraînant alternativement en avant et en arrière d'une manière telle que la distance dont il est entraîné vers l'avant est plus grande que celle vers l'arrière. . Il existe déjà un appareil de traitement continu qui est adapté à traiter, successivement, un tissu en le déplaçant alternativement en avant et en arrière d'une manière telle que la distance dont il est entraîné vers l'avant est plus grande que celle dont il est entraîné vers l'arrière. Dans le présent mémoire descriptif, les termes "tissu" ou "matière"-comprennent les tissus tissés et nontissés, les tissus à mailles et autres.
Dans un appareil de traitement continu de ce genre, le tissu est introduit sous la forme d'un cordage et est soumis à des opérations de lavage, de dégraissage, de blanchiment, de calandrage et autres dans la section de traitement disposée sur son trajet. Les machines pour dégraisser un tissu textile successivement qui se présente sous la forme d'un cordage peuvent être classées en deux catégories, à savoir, les machines discontinues et les machines continues.
Comme exemple d'une machine discontinue, on utilise un treuil qui sert pour
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posées en une boucle sans fin est placée sur le treuil et est dégraissée pendant qu'elle circule dans le liquide de lavage, tandis que le treuil tourne. Dans ce cas du fait que la matière pnsse simplement dans le liquide de lavage, l'efficacité du dégraissage est très faible et ne convient pas pour des applications pratiques. Une autre machine discontinue utilise une action de serrage. Dans tous les cas, ces machines discontinues n'ont qu'une faible production et ne conviennent pas pour des applications pratiques.
En ce qui concerne les appareils continus, on connaît une installation utilisant un certain, nombre de machines à laver comportant des rouleaux d'essorage qui exploitent les particularités du treuil de teinture et une action de serrage et sont disposés en série de telle sorte que la matière traitée est dégraissée en
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grande productivité comparativement aux appareils discontinus, mais pour obtenir de meilleurs résultats (c'est-à-dire, pour répéter un grand nombre de fois l'impré-
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de machines à laver sont nécessaires, ce qui est non seulement désavantageux 'du point de vue économique, mais encore, exige un vaste espace pour l'installation, de sorte que cette solution n'est également pas applicable pratiquement.
La présente invention a pour objet un système de traitement continu adapté à traiter, d'une manière successive, un tissu textile continu pendant que celui-ci
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selon la présente Invention, un dispositif d'essorage comportant des rouleaux réversibles, est disposé au-dessus du centre d'une chambre de traitement et des rouleaux de guidage, également réversibles, sont disposés de part et d'autre du dispositif d'essorage, tandis qu'un tissu, disposé en hélice d'une extrémité à l'autre d'une chambre de traitement, est obligé de se déplacer alternativement en avant et en arrière de sorte qu'il est soumis un grand nombre de fois à une i�prégnation avec un liquide de traitement suivie d'un essorage, ce qui a pour effet de le laver continuellement.
Un autre but de la présente invention est d'éviter qu'un tissu continu, quand il est alternativement entraîné en avant et en arrière, soit abîmé ou déchiré du fait qu'il s'entortille autour d'un dispositif d'essorage du fait qu'il se détend, ce qui peut arriver lors du passage du dispositif d'essorage de la marche avant à la marche arrière ou inversement puisque, dans ce cas, il y a une très grande différence entre la teneur en hunilité du tissu après l'essorage. et imr.édiatement avant ; c'est ainsi, par exemple, que dans le cas d'un tissu de laine ou
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immédiatement avant l'essorage. Pour atteindre ces buts, l'invention prévoit de disposer des rouleaux de guidage de part et d'autre d.i dispositif d'essorage au-dessus du niveau de l'intervalle de serrage des rouleaux de celui-ci et de faire tourner positivement, pendant l'entraînement vers l'avant ou vers l'arrière du tissu, celui des rouleaux de guidage qui est disposé du côté par lequel le tissu sort à une vi-
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L'invention se propose également d'éviter que le liquide de traitement soit entraîné hors de la chambre de traitement, ce qui pourrait arriver pendant les mouvements en avant et arrière du tissu, et, par conséquent, de prévenir les pertes
de liquide de traitement et les instabilités du niveau du liquide dans la chambre de traitement ; et d'éviter aussi les.mouvements indésirables du .liquide de trai- f tement qui pourraient se produire si le tissu entrait à l'état sec dans la chambre de traitement pendant la marche en avant, et, par conséquent, d'éviter un traitement irrégulier du tissu résultant de ce mouvement. Pour atteindre ces'buts, l'invention prévoit des sections de stockage à l'entrée et a. la sortie de la chambre de traitement, chacune desdites chambres contenant une quantité de tissu au moins égale à celle qui se déplace vers l'avant., tandis qu'un bain de prémouillage est prévu en avant de la chambré de stockage disposée à l'entrée de la chambre de traitement, de sorte que letissu qui se dirige vers la chambre de traitement est mouillé avant d'y <EMI ID=10.1>
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de cella-ci, quelle que soit la direction, en avant ou en arrière, de son mouve�nt.
Un autre but de la présente invention est d'éviter que le tissu 8 'entortille autour des rouleaux du dispositif d'essorage et, par conséquent, que le tissu soit endommagé ou détérioré tandis que la machine devient incapable de fonctionner, ce qui pourrait arriver quand un tissu se déplace alternativement en avant et en arrière, car dans ce cas, la partie serrée dans le dispositif d'essorage a souvent tendance à glisser et à patiner, l'importance du patinage à chacun des intervalles de serrage du dispositif d'essorage pouvant-être différente de sorte qu'un traitement prolongé du tissu a pour résultat des variations considérables de longueur des parties du tissu comprises entre les intervalles adjacents, c'est-à-dire, entre les
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une toile "la réglage de longueur de boucle ayant des parties détectables espacées d'une distance prédéterminée, et, au besoin, on coupe le tissu traité à l'entrée et
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toile de réglage afin de produire un tissu sans fin qui se déplace alors dans l'appareil de traitement, et pendant les mouvements duquel les longueurs des boucles individuelles sont corrigées.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront de la description qui va suivre, donnée uniquement à titre d'exemple nullement limitatif, en référence au dessin annexé, dans lequel :
- la fig. t est une vue en plan montant la disposition générale d'un appareil pour traiter, successivement, un tissu continu conformément à la présente invention;
- la fig. 2 est une vue en coupe suivant la ligne Il-Il de la fig. 1;
- la fig. 3 montre un détecteur pour mesurer le nombre de tours effectué par un arbre du dispositif d'essorage, <EMI ID=14.1>
- la fig. 5 montre schématiquement une toile utilisée pour régler ou corriger la longueur des boucles du tissu traité;
- la fig. 6 est une vue schématique de l'appareil des fig. 1 et 2, repré- senté développé par rapport au tissu traité, pour la commodité de l'exposé, et qui est pourvu de moyens pour régler la longueur des boucles, seule la toile de réglage étant représentée en extension, en traits mixtes;
^ la fig. 7 est une vue en coupe du dispositif utilisé par la présente invention pour corriger ou régler la longueur des boucles; .
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les fig. 9 et 10 illustrent les étapes successives du fonctionnement des
<EMI ID=16.1> la L'il;. ne mourant que l'un de ces organes, tandis que la fig. 10 est une vue prise dans la direction de la-flèche Z de la fig. 9 ; et, <EMI ID=17.1> tionnement du dispositif de réglage ou de correction de la longueur des boucles
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générale d'un appareil pour traiter un tissu continu pour le traitement duquel la présente invention peut avantageusement être utilisée, la fig. 2 étant une coupe suivant la ligne Il-'il de la fig. 1. L'appareil représente comprend une chambre 1 contenant un liquide de traitement et des chambres de stockage 3 et 3' pour la matière traitée 2, qui est un tissu relié en une boucle continue, disposé de part et d'autre de la chambre de traitement, ces chambres étant supportées sur des châssis 4 et 4'. Un même niveau de liquide 5 est maintenu dans les trois chambres grâce à des cloisons perforées 6 et 6'. La configuration de la chambre de traitement n'est pas limitée à celle représentée, n'importe quelle autre configuration appropriée pouvant être utilisée aux fins de la présente invention.
Au-dessus de la chambre de traitement est monté un dispositif d'essorage 7 supporté sur des châssis 14 et 14' et comprenant deux rouleaux 7' et 7", le rouleau supérieur 7' étant pressé contre le rouleau inférieur 7" par des moyens, non représentés. Le rouleau inférieur 7" est entraîné par un moteur réversible 8, par l'intermédiaire de deux réducteurs de vitesse 9 et 10 et une roue de chaîne 12 fixée sur l'arbre Il du rouleau inférieur 7".
Le dispositif d'essorage 7 est conçu de façon à entraîner le tissu sur une plus grande distance quand il tourne en sens direct (c'est-à-dire, dans la direc-
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lisation représenté, cette distance d'entraînement est déterminée par le nombre de tours effectués par le dispositif d'essorage.
En se référant à la fig. 3, on voit qu'un disque D dont fait saillie une
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l'arbre ll du rouleau inférieur 7". De plus, un détecteur (ou un contact de proximité) pour détecter l'objet S' est placé sur la trajectoire de rotation de ce dernier, de sorte que celui-ci est détecté chaque fois que le dispositif d'essorage effectue une révolution complète, ce qui permet de compter le nombre de révolutions effectuées. Le détecteur pourrait être un dispositif à contact physique, tel qu'un
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fectués par le dispositif d'essorage pour déterminer la distance d'entraînement du tissu, il est également possible d'utiliser un minuteur, mais cette solution est
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la rotation en avant et ou en sens direct du dispositif d'essorage 7 (c'est-à-dire, pendant que le tissu 2- est entraîné vers l'avant), l'un des rouleaux de guidage 13'
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leau de. guidage 13' placé du côté par lequel le t'issu est évacue est le seul qui soit entraîné positivement et ce, de telle manière que Sa vitesse superficielle est supérieure- à celle du dispositif d'essorage 7, tandis que l'autre rouleau de
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non-représenté, permettant ainsi au rouleau de guidage 13 de tourner négativement ou conjointement avec le mouvement du tissu 2. La vitesse superficielle du roule.111 de guidage 13' placé � la sortie: du tissu est choisie entre 1,03 et 1,15 fois celle
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rotation rétrograde du dispositif d'essorage 7 (c'est-à-dire, pendant le mouvement en arrière du tissu 2), le rouleau de guidage 13' est libéré en le séparant de la roue de chaîne 12 grâce à un accouplement 30', tandis que l'autre rouleau de gu:- dage 13 assure la fonction de rouleau d'évacuation du fait qu'il est entraîné po-
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La raison pour laquelle les rouleaux de guidage 13 et 13' ont été placés au-dessus de l'intervalle de serrage des rouleaux du dispositif d'essorage 7 et pourquoi ils sont entraînés positivement ou négativement, comme il a été déc-it ci-dessus, va être expliquée maintenant. On suppose, par exemple, que pendant que le dispositif d'essorage 7 tourne en sens direct, l'autre rouleau 13 est entraîne positivement. Dans ce cas, puisque ce rouleau de guidage est réalisé de manière
que sa vi.tesse superficielle soit supérieure à celle du dispositif d'essorage,
on comprend aisément que le tissu 2 arriverait en trop grande quantité au dispositif d'essorage 7 et qu'il se formerait un certain mou entre ce dernier et le rouleau
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positif 7, et notamment, autour du rouleau inférieur 7". Les mesures ci-dessus ont pour but d'éviter un tel incident. De plus, la raison, pour laquelle la vitesse
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le tissu traité est léger, les rouleaux de guidage 13 et 13' peuvent être lisses, comme représente, mais lorsqu'il s'agit de tissus-lourds, par exemple, comme des couvertures, il est préférable d'utiliser des rouleaux cannelés ou striés pour éviter qu'ils glissent. Le cas échéant, les rouleaux pourraient être revêtus d'une matière anti-glissement.
Un certain nombre (8, dans le mode de réalisation représente), d'anneaux de guidage 15a-15h et 16a-16h sont prévus entre le dispositif d'essorage 15 et les
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facilement être comprimée et, partant, qu'elle puisse être mieux essorée. La disposition est telle que quand le tissu se déplace dans la direction de la flèche X de la fig. 2, par suite de la rotation en sens direct du dispositif d'essorage 7, seuls les anneaux de guidage de droite 15a-15h projettent le liquide de traitement, tandis que quand la matière se déplace vers la droite, elle est arrosée seulement par les
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supposant, par exemple, que les anneaux de guidage de gauche 16a-16h arroseraient le tissu 2 avec le liquide de traitement pendant qu'il se déplace dans la direction de la flèche X, celui-ci serait ainsi soumis à une résistance pendant son passage dans ces anneaux, ce qui aurait pour résultat la formation d'un mou entre les anneaux de
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viter un tel incident.
L'appareil représenté comprend, en'outre, des rouleaux d'alimentation 17 et 17' disposés au-dessus de l'une des chambres de stockage 3 et des rouleaux de distribu-
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d'alimentation et de distribution sont entraînés respectivement, dans une certaine
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ficielle est inférieure à celle du dispositif d'essorage 7.
L'appareil représenté comporte, en outre, des guides en treillis 21a-21h et
22a-22h disposés sous les rouleaux de guidage 13 et 13' et percés d'ouvertures de guidage par lesquelles le tissu passe. Ainsi, dans le cas ou le tissu viendrait à vriller avant de passer dans l'une quelconque desdites ouvertures de guidage, le dispositif de guidage en treillis serait levé par cette vrille, actionnant ainsi
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Un palpeur 23 est prévu pour détecter la matière traitée, de sorte que,
quand la partie de cette.matière contenue dans-la chambre de traitement devient
trop courte, par suite du glissement, ce palpeur peut être relevé par le tissu,
ce qui provoque l'arrêt de l'appareil par l'intermédiaire d'un détecteur, non- représenté.
.!.'appareil représenté comporte, en outre, des guides 24, 25, 26 et 27 dis- i posés à l'entrée et un guide 29 disposé à la sortie du tissu. La matière traitée 2, qui est un tissu formant une boucle sans fin, est introduite dans l'appareil dans la forme décrite plus haut, dans lequel elle est traitée.
Avant le traitement, le tissu est enroulé en hélice au-dessus et dans la chambre de traitement 1, afin de passer entre les rouleaux du dispositif d'essorage 7 et sur les rouleaux de guidage 13 et 13', ainsi que dans le liquide de traitement, cependant qu'une quantité de matière 2 correspondant a. la longueur entraînée par la rotation directe du dispositif d'essorage 7, c'est-à-dire, au moins, une quantité de matière 2 égale à celle se déplaçant vers l'avant, est stockée dans chacune des chambres 3 et 3'.
Dans ces conditions, le dispositif d'essorage 7 est alternativement tourné
en avant et en arrière afin d'entraîner, tour à tour, le tissu 2 en avant et en arrière. La matière 2 est avancée progressivement, chaque fois, d'une longueur correspondant à la différence entre sa course en avant et sa course en arrière, tandis
que les parties traitées sont conservées dans la chambre de stockage 3', de laquelle
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quantité de matière égale à celle délivrée par les rouleaux-distributeurs 18 et i8' est, évidemment, introduite dans la chambre de stockage 3 par les rouleaux d'ali-
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bain de prémouillage 28.
Le schéma du circuit de commande au moyen duquel cette rotation en sens direct et rétrograde du dispositif d'essorage, c'est-à-dire, au moyen duquel les
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sur les fig. 4a et 4b.
Les mouvements de rotation en avant et en arrière des rouleaux d'essorage et, partant, les mouvements vers l'avant et vers l'arrière de la matière traitée sont réalisés par un circuit de commande représenté sur les fig. 4a et 4b qui comprend divers commutateurs, contacts et relais branchés entre des lignes ri, r2, r3 et S, comme représenté. En se référant à la fig. 4A, on voit qu'en appuyant sur un bouton de mise en marche PB2, un relais RI d'un circuit automatique est excité et provoque
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Ensuite, on appuie sur le bouton PB8 qui déclenche l'opération de démarrage auto-
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tique MR qui commande la rotation rétrograde du moteur.
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meture d'un contact MFa2, ce qui assure l'auto-maintien de celui-ci quand les
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sorte que le nombre de tours effectues par les rouleaux d'essorage 7 et 7', dans le sens direct est compté en utilisant les signaux de sortie du détecteur représenté sur la fig. 3.
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mutateur BS du moteur, ce qui a pour conséquence de desserrer le frein (non-représenté) de celui-ci. Lorsque le total des rotations du moteur en sens direct atteint un nombre pré-établi dans le compteur ACF, un commutateur acf se ferme, ce qui excite un relais R4 qui arrête la rotation en sens direct.
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que les contacts a de R4a2 à R4a4 de celui-ci se ferment aussi.
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pour retarder la rotation rétrograde, de sorte que le contact a.de Tla ne se ferme
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ouvert, ce qui empêche positivement l'actionnement du commutateur électromagnétique
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L'excitation du commutateur électromagnétique Mil provoque la fermeture du contact a de MRa2, ce qui assure l'auto-maintien du commutateur MR, tandis que les
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la bobine de remise RC du compteur ACF comptant les/rotations directes est excitée par le contact a de MRa4 du commutateur MR et le contact a de R4a2 du relais R4, ce qui provoque la remise du compteur ACF.
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la bobine CC d'un compteur ACB qui compte les rotations rétrogrades est excitée,
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rectes pré-établi sur le compteur ACF est choisi plus grand que le nombre de rotations rétrogrades pré-établi sur le compteur ACB.
Puisque le contact a de MRa3 du commutateur électromagnétique MR s'est ferme,
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tromagnétique MR et par le contact a de R4al du relais R4, ce qui ouvre le contact b de T7b du minuteur T7 et, partant, provoquant la désexcitation du relais R4 au terme
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aussi, actionné, de sorte que le frein est desserre.
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respondant au nombre pré-établi sur le compteur ACB, le contact acb du compteur ACB se ferme, ce qui a pour effet d'exciter le relais R5 qui arrête la rotation rétrograde. L'excitation du relais R5 provoque l'ouverture du contact b de R5bl , désexcitant ainsi le commutateur électromagnétique MR'qui commande la rotation en arrière du moteur 8, avec pour résultat que le moteur 8, et partant, les rouleaux d'esso-
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tromagnétique se ferme et que, de ce fait, le commutateur de frein BS s'ouvre (fig. 4B), ce qui permet au frein de se refermer. Puisque le contact b de R5b2 du relais R5 est ouvert, la bobine de comptage CC des rotations rétrogrades est désexcitée.
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sont aussi fermes. La fermeture du contact a de R5a3 du relais R5 provoque la mise
<EMI ID=63.1> en marche d'un minuteur T2. destin? à. retarder, la rotation en sens direct, de sotte
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la rotation en sens- direct est, lui aussi, excité au terme du retard introduit par le minuteur T2.
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que les rouleaux d'essorage aussi, se remettent tourner en sens direct. Le relais R5 qui arrête la rotation rétrograde est excite lorsque le contact b de T8b s'ouvre au terme du retard introduit par le minuteur T8, le minuteur TS étant mis en marche par la fermeture du contact a de MFa4 par suite de l'actionnement du commutateur
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La séquence d'opérations décrite ci-dessus se répète pendant toute la durée du traitement pendant lequel la matière ou le tissu est progressivement entraîné
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avant et en arrière qui résultent de la différence des nombres de tours en avant et en arrière du moteur 8, et partant, du dispositif d'essorage 7.
Il est à noter que le circuit des fig. 4A et 4B comprend un bouton-poussoir
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chacun a pour fonction de maintenir la direction d'entraînement lorsque la machine
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arrière ou par suite d'incidents imprévisibles. Ces relais servent à maintenir une relation normale entre la distance d'entraînement en sens direct et la distance d'entraînement en sens arrière du tissu quand la machine se remet en marche, permettant ainsi d'exécuter l'opération conformément au programme pré-établi. Pour
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voyant 60 tours de marche avant et 50 tours de marche arrière, il se produit une panne de courant après 29 tours en arrière. Du fait que le relais KR reste fermé jusqu'à l'opération de démarrage suivante, la machine repart en marche arrière
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en marche avant. On conçoit donc-. que quand l'énergie électrique est rétablie après <EMI ID=74.1>
repart en sens arrière, dans 1'exemple ci-dessus.
Comme il a été expliqué, avec l'appareil représente sur les fig. 1 et 2,
la matière 2 subit un traitement efficace avec un plus petit nombre d'étapes. Dans
un tel appareil, toutefois, la matière traitée, qui est serrée dans le dispositif d'essorage 7, glisse souvent et l'importance du glissement dans les intervalles
de serrage individuels peut être différente de l'un à l'autre. Dans ces conditions, un traitement prolongé ferait varier la distance entre les points de serrage voi- ;
sins sur la matière au point qu'il en résulterait une situation indésirable. La longueur de la matière ou du tissu comprise entre deux points de serrage-voisins sera qualifiée ci-après de "longueur de boucle" du fait que cette partie forme, ap- ; proximativement, une boucle. En conséquence, la présente invention se propose également de corriger ou de régler les longueurs de boucle individuelles avant qu'une variation excessive de cette longueur se produise. Les perfectionnements concernant
i
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La fig. 5 montre schématiquement une toile de correction de longueur de
boucle 40 (qualifiée ci-après "toile de réglage") utilisée pour réaliser la pré- sente invention. La toile de réglage 40 est pourvue, à l'avance, de deux parties
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longueur de boucle prédéterminée du tissu. Les deux parties détectables 41 et 41' peuvent être formées par des feuilles métalliques, par des fils métalliques, par des fils textiles fluorescents, par des filets ou des toiles métalliques, etc., usais dans le mode de réalisation représenté, des feuilles d'aluminium sont fixées
à travers la toile.de réglage 40, ou bien des anneaux de fil de cuivre sont disposé?;
sur la toile de réglage 40, aux extrémités opposées de celle-ci, dans les positions , décalées dans le sens de la largeur, et une seconde toile est superposée sur la première, produisant ainsi un sandwich qui est cousu à la machine.
La fig. 6 est une vue de l'appareil des fig. 1 et 2, qui a été représenté
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est pourvu de moyens de réglage de la longueur des boucles conformes à l'invention; un seul tissu de réglage ayant été esquissé en extension. Comme on le voit sur la <EMI ID=78.1> sire corriger la longueur des boucles, on fixe la toile de réglage aux extrémités
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<EMI ID=82.1> qui sera décrite ci-après.
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la longueur des boucles utilisés dans la présente invention. La fig. 8 est une coupe suivant la ligne VIII-VIII de la fig. 7. Comme on voit sur les fig. 7 et 8,
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ces rails étant constitués, dans le mode de réalisation représenté, par des barres montées sur le châssis de la machine, de sorte que le chariot 50, en se déplaçant,
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la roue 49 peut être entraînée par un moteur 49M fixé sur le dessus du chariot 50. Sur la fig. 6, les positions respectives occupées par le détecteur .47 , par rapport
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signées 47a-47h.
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de Foucault, dans le cas où les parties détectables 41 et 41' se présentent sous
la forme de feuilles métalliques ; ils sont du type à fcr dans le cas où les par-
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teurs de fluorescence dans le cas où les parties détectables sont des fils fluo-
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de proximité, la disposition est telle que quand l'un ou l'autre des détecteurs 47 ou 47' est actionné, la machine s'arrête. En variante, les détecteurs 47 et 47' peuveqt être fixés à une autre position, par exemple, sous les rouleaux de guidage.
La machine représentée sur les fig. 6 et 7 comporte des organes d'arrêt en forme de fourche à deux dents 55 et 56 pour arrêter, en relevant la matière traiter, la course de la partie correspondante de cette dernière quand la partie détectable
41 est détectée par le détecteur 47. La structure et le fonctionnement de ces or- ganes d'arrêt seront décrits plus en détail par la suite. Les organes d'arrêt sont disposés sur le trajet du tissu 2 (dans l'exemple représenté, au-dessus des rouleaux
-de guidage 13 et 13')il
Les étapes successives du fonctionnement des organes d'arrêt 55 et 56 sont
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d'arrêt 55, la fig. 10 étant une vue prise, dans. la direction de la flèche Z de la <EMI ID=92.1> <EMI ID=93.1> dante de la matière 2 et à l'écarter des rouleaux de guidage 13 et 13' (voir, fig.9
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dante de la matière ou du tissu.
En se référant à la fig. 7, on voit que les organes d'arrêt 55 et 56 sont respectivement-fixés a des arbres 60 et 60', qui s'étendent dans les paliers 57
et 57' fixés au chariot 50, respectivement au-dessus des rouleaux 13 et 13' et qui sont reliés par des joints universels 58 et 58' à un arbre 59 disposé au-dessus du chariot 50. En se référant aux fig. 7 et 8, on voit que l'arbre 59 est adapté à
être entraîné en rotation par un moteur 59M fixé sur le chariot 50. Quand le cha-
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teurs 47 et 47', le long de l'axe du dispositif d'essorage 7. Sur la fig. 6, les positions occupées par les organes d'arrêt 55 et 56 par rapport aux régions correspondantes du dispositif d'essorage 7 pendant le mouvement de ces organes, sont dé-
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tiquement parallèle à la corde qui sous-tend l'arc le long duquel la matière 2 est
au contact du rouleau de guidage correspondant 13 ou 13' quand le rouleau supérieur 7' du dispositif d'essorage 7 est levé et, de préférence, les arbres 60 et 60' sont. disposés perpendiculairement à l'axe du dispositif d'essorage 7, de sorte qu'ils peuvent être alignés avec le détecteur 47.
Il est à noter que les crochets utilisés comme organes d'arrêt 55 et 56 ne sont que des exemples nullement limitatifs, tant en ce qui concerne leur forme que leur nombre. On notera, également, que si dans l'exemple les crochets sont tourné:; automatiquement par le moteur 59M, rien ne s'oppose à ce que les arbres 60 et 60' soient pourvus de manivelle permettant de faire tourner les crochets à la main.
Dans l'exemple représenté, la disposition est telle que les crochets sont rotatifs afin de réaliser, automatiquement, l'action d'arrêt de la course de la matière ou
du tissu, ces crochets pourraient également être fixes au chariot 50, auquel cas,
la matière pourrait y être accrochée à la main. De plus, les crochets constituant lesdits organes d'arrêt pourraient être remplacés par des pinces, permettant d'é- Carter la matière ou le tissu des rouleaux de guidage 13 et 13'. Ces pinces pour- raient être disposées entre le dispositif d'essorage 7 et les rouleaux de guidage 13
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jointement, mais ils pourraient aussi être conçus de façon à être mobiles séparément <EMI ID=100.1>
commande dont le fonctionnement électrique sera décrit plus loin- Par contre, le. fonctionnement mécanique du dispositif de correction de la longueur des boucles va être décrit immédiatement. Quand on délire corriger la longueur des boucles, on arrête d'abord la machine, puis- on coupe la matière ou le tissu 2 à l'entrée et à la sortie de la chambre de traitement : 1 et on fixe les extrémités
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maintenant le rouleau supérieur 7' du dispositif d'essorage 7 en position haute
(voir fig. 7), et on place les détecteurs 47 et 47' aux positions 47a et 47b et
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de départ. On suppose maintenant que les longueurs des boucles après le traitement, c'est-à-dire. dans l'exemple représente, "les longueurs de boucle" de .la matière ou du tissu s'étendant entre les positions des détecteurs adjacents, telles qu'elles ont été spécifiquement définies ci-dessus, sont 25m, 45m, 25m,
25m, 45m, 25m et 25m dans l'ordre, en partant de l'entrée et que la distance <EMI ID=104.1>
à dire que la longueur prescrite des boucles est 35m.
Dans ces conditions, le rouleau de guidage 13', situé du côté de l'évacuation entraîne la matière 2, c'est-à-dire, fait avancer celle-ci dans le sens di-
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détecteur 47' placé à la position 47a, après quoi, les détecteurs 47 et 47' sont mis en marche ou activés. Même dans cette situation, la matière continue sa translation et puisque la première boucle a une longueur inférieure à la longueur prescrite, la partie détectable de tête 41 atteint le détecteur 47 placé 3 la position
47b avant que la partie détectable de queue 41' atteigne le détecteur 47' occupant la position 47a. En réponse à la détection de la partie 41, par le détecteur 47,
la machine s'arrête et, par conséquent, l'entraînement de la matière aussi. Ensuite, les organes d'arrêt 55 et 56 sont mis en marche, de la manière représentée sur les
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cartant des rouleaux de guidage 13 et 13'.
On appuie sur un bouton de démarrage (non-représenté). ce qui a pour effet
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le tissu. Toutefois, la partie du tissu cueillie par les organes d'arrêt 55 et 56 est maintenue immobile. Quand la partie détectable postérieure 41' arrive au dé-
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la machine et, par conséquent, le défilement de la matière traitée. Après cela, le réglage ou la correction de la longueur de la première boucle, correspondant
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Après l'achèvement de la correction de la longueur de la première boucle,
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laquelle elle s'étend autour des rouleaux de guidage 13 et 13', tandis que les détecteurs 47 et 47' se déplacent respectivement aux positions 47c et 47b et
que les organes 55 et 56 reviennent respectivement aux positions 55b et 56b.
Ensuite, la machine est remise en marche pour exécuter la correction
de la longueur de la seconde boucle. Dans ce cas, toutefois, puisque la seconde boucle est plus longue qu'il ne faudrait, la partie détectable postérieure 41' arrive au détecteur 47' occupant la position 47b avant que la partis détectable de tête 41 parvienne au détecteur 47 placé à la position 47c. Dans ces conditions,
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Toutefois, dans le cas présent, sans que les organes d'arrêt 55 et 56 soient actionnés, la machine se remet en marche jusqu'à ce que la partie antérieure 41 atteigne le détecteur 47 occupant la position 47c, après quoi, la machine s'arrête et la matière cesse d'être entraînée, les organes d'arrêt 55 et 56 étant ensuite actionnés afin d'écarter la partie correspondante du tissu des rouleaux de guidage 13 et 13' pour maintenir cette partie au repos.
Ensuite, la machine est mise en'marche dans la direction opposée à la précédente, c'est-à-dire, en arrière. Dans ce cas, le rouleau de guidage 13 est entraîné positivement, ce qui a pour conséquence d'entraîner le tissu vers l'arrière. Quand la partie détectable postérieure Il!' atteint le détecteur 47' occupant la position 47b, la machine s'arrête, arrêtant ainsi le défilement du tissu. La correction de la longueur de la seconde boucle a ainsi été achevée. Les organes d'arrêt 55 et 56 sont ensuite actionnés dans l.a direction opposée à la précédente afin de ramener le tissu à sa position initiale.
La correction des longueurs des boucles suivantes est réalisée de la même façon et quand toutes les longueurs ont été corrigées, les rouleaux de guidage 13 et 13' s'arrêtent, les détecteurs 47 et 47' sont rendus inopérants ou sont désac-
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La fig. Il est un schéma de principe d'un circuit pour commander le fonctionnement du dispositif de correction de longueur de boucle représenté sur les <EMI ID=115.1> crire maintenant le fonctionnement du dispositif de correction de longueur de boucle, on relie les deux extrémités de. la matière ou du tissu 2 traité au moyen
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il a été expliqué. On lève le rouleau supérieur 7' du dispositif d'essorage 7 et on place les détecteurs 47 et 47' respectivement aux positions 47b et 47a (fig. 6).
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glage 40 et que la longueur de la seconde boucle est plus grande que- cette longueur prédéterminée de la toile 40.
Pour mettre en marche la machine, on appuie sur le bouton-poussoir PB4 qui déclenche le fonctionnement manuel (voir il?,. 4A), ce qui a pour effet d'ex-
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ferment aussi. En se référant à la fig. Il) on enfonce le bouton-poussoir d'actionnement PB14 du circuit de correction de-longueur de boucle, ce qui a pour
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pour assurer l'auto-maintien du relais 59, tandis que le contact a de R9a2 se ferme aussi. On suppose, par ailleurs, qu'un contact de limite LS2 a été fermé du fait que le chariot 50 occupe sa position initiale ou de repos et, en consé-
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ouvert. Il est à noter que quand le chariot 50 se déplace, il cesse d'appuyer sur le contact de limite LS2, lequel s'ouvre, par conséquent.
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conséquent, le contact b de Kb est ouvert, ce qui a pour résultat de désexciter le
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la partie détectable de tête n'est pas détectée au premier passage.
Quand la partie détectable de tête atteint le second détecteur 47 placé
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verture du commutateur électromagnétique MF, arrêtant ainsi l'entraînement en avant de la machine. La fermeture du contact a de R13a4 du relais R13 provoque
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actionnant les organes d'arrêt 55 et 56 (fig. 7), de sorte que le moteur 59M est entraîné positivement, avec pour résultat que le tissu est écarté, des rouleaux de guidage J3 et 13' par les organes 55 et 56. Lorsque les organes 55 et 56 ont été tournés à une position prédétermine'? , un contact de limite LS3 s'ouvre, tandis
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Lorsque la partie détectable postérieure 41' de la toile de réglage 40 atteint le premier détecteur 47' sur la fig. 6, elle est. détectée par le détec-
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du relais C et le contact.!. de Ca2 du relais C se ferme aussi, tandis que le contact b de Cb du relais C s'ouvre, désexcitant ainsi le commutateur électromagnétique MF pour arrêter l'entraînement en sens direct de la machine. Ainsi, la cor-
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La fermeture du contact a de Ca2 du relais C provoque l'excitation d'un
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entraîne les organes d'arrêt 55 et 56, ce qui a pour effet d'entraîner le moteur
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tiale. L'excitation du relais m' provoque la fermeture du contact a de m'a du
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de limite LS3 se ferme, tandis que le contact de limite LS3' s'ouvre.
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le déplacement des détecteurs, ce qui a pour effet d'exciter un relais M de sorte
<EMI ID=138.1> <EMI ID=139.1>
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mentionnées ci-dessus.
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cette fois, la longueur de la seconde boucle. En conséquence, le commutateur élec-
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marche en sens- direct. Puisqu'on a pris pour hypothèse que la longueur de la seconde boucle est supérieure à. la longueur prédéterminée de la toile de réglage 40,
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glage 40 va arriver la première au premier détecteur 47' (fig. 8), de sorte que ce premier détecteur 47' est activé et, en conséquence, provoque l'excitation du re-
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Lorsque la partie détectable antérieure 41 de la toile de réglage 40 atteint le second détecteur 47 (fig. 8), le relais R13 est excité et, en conséquence, le con-
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(fig. Il), de sorte que le relais m est excité et que les organes d'arrêt 55 et 56 sont tournés comme il a été décrit en détail plus haut, écartant ainsi le tissu des rouleaux de guidage 13 et 13'. Lorsque les organes 55 et 56 atteignent la position prédéterminée, le contact de limite LS3 s'ouvre, tandis que le contact de limite LS3' se ferme, comme il a déjà été décrit en détail, de sorte que le
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mutateur MR, avec pour résultat que le moteur 8 (fig. 1) se met à tourner en ar-
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eux aussi, fermés.
Pendant la rotation rétrograde du moteur 8 (fig. 1), la partie détectable arrière 41' de la toile de réglage 40 arrive au premier détecteur 47' (fig. 6),
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s achevée. L'excitation du relais, B provoque aussi, la fermeture du contact a de Ba2,
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commande les- organes d'arrêt 55' et 56. Ensuite, le. fonctionnement est le même que
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Les opérations décrites ci-dessus se répètent ensuite pour les boucles res- tantes; corrigeant ainsi la longueur de toutes les Boucles du tissu. Quand la lon-
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désexcitant ainsi le relais R9 et ouvrant le contact a de R9a2, avec pour résultat l'interruption du circuit de la fig. Il.
Dans la description qui précède, on suppose que la correction de la longueur des boucles s'effectue sur une bande sans fin entraînée dans le sens direct ou en avant, mais cette opération pourrait tout aussi bien être exécutée pendant
que ladite bande est entraînée en arrière. De plus, le mode de réalisation repré- ' tente utilise deux parties détectables mais, en variante, on pourrait en utiliser trois ou davantage, auquel il devient possible de décider si une ou plusieurs boucles, situées d'un et/ou de l'autre côté d'une toile de réglage ayant une longueur prédéterminée, sont plus longues ou plus courtes que la longueur prescrite.
Dans les explications précédentes, la matière traitée par la présente invention a
été désignée comme un tissu continu. Toutefois, le terme "tissu" ne doit pas être pris dans un sens limitatif, mais au contraire, dans une acceptation très large.
En conséquence, on entend que le mot "tissu", tel qu'il est utilisé ici, comprenne aussi bien les tissus tissés que les tissus à maille, notamment, les draps, les dentelles et les tricots, ainsi que les tresses et les feutres.
Un premier avantage du mode de réalisation représenté réside dans le fait
que le dispositif d'essorage est monté réversible en rotation au-dessus du centre
ce la chambre de traitement tandis que les rouleaux de guidage, qui sont également réversibles, sont disposés de part et d'autre dudit dispositif d'essorage, et en
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nière que le tissu est entraîné en avant sur une plus grande distance qu'en arrière, tout en étant imprégné, de façon répétée, avec le liquide de traitement, puis est essoré un grand nombre de fois. En conséquence, la présente invention permet de traiter efficacement le tissu en un plus petit nombre d'étapes.
Un autre avantage du mode de réalisation de l'invention réside dans le fait que les rouleaux de guidage. sont disposés au-dessus du niveau de l'intervalle de
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partant, d'exclure tout risque de déchirer le tissu, tout en assurant une qualité ; stable. De plus-, un traitement continu devient possible avec un équipement très
peu coûteux.
Un autre aspect du mode de réalisation représenté est le suivant ; dans ce mode de réalisation, les chambres de stockage sont prévues dans les sections d'entrée et de sortie de la chambre de traitement, chacune desdites chambres renfermant une quantité de tissu au moins égale à celle cheminant vers l'avant, la chambre de stockage située à l'entrée étant précédée d'un bain de mouillage préparatoire 'dans lequel le tissu se dirigeant vers la chambre de stockage d'entrée est mouillé à l'avance, le tissu introduit dans la chambre de stockage d'entrée étant empêché de ressortir, en arrière, de cette chambre, tandis- que le tissu traité sort pro- gressivement de la chambre de stockage de sortie indépendamment du mouvement d'entraînement en avant et en arrière.
En conséquence, la situation indésirable suivante peut être évitée : dans un appareil à entraînement réversible de ce. genre, il est nécessaire de prévoir un dispositif d'accumulation à l'entrée et à la sortie du bain de lavage afin de stocker la matière traitée. Toutefois, les dispositifs d'accumulation classiques ne conservent la matière traitée qu'à l'état sec. C'est ainsi, par exemple, que quand la matière à traiter est entraînée vers l'avant, cette matière, qui est sèche, est transférée du dispositif d'accumulation situé à l'entrée et est ensuite immédiatement immergée dans le bain, qui entoure le dispositif d'essorage.
En conséquence, son degré d'imprégnation est très différent entre l'extrémité initiale et l'extrémité terminale du dispositif d'essorage et, par conséquent, la tension dans la matière qui s'élève vers l'intervalle de serrage varie
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cette matière aux différents intervalles de serrage. Il en résulte des variations
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jorage, ce qui rend impossible un traitement uniforme et tend à être la cause de divers incidents, tels que des déchirures, des allongements longitudinaux et des. ruptures de la matière traitée. C'est ainsi, par exemple, que si les distances d'entraînement en avant et en arrière de la matière traitée sont respectivement
100 m et 80 m, une section de matière sèche mesurant 20 m est introduite dans le bain de lavage disposé à l'entrée quand la matière se déplace vers l'avant, et cette matière absorbe rapidement le liquide de lavage qui l'entoure, provoquant ainsi un afflux de ce liquide, de lavage des autres régions vers cette région afin de compenser la quantité consumée, ce qui de. son côté, provoque un mouvement en
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auxquelles: la matière. s'élève, il se produit des variations- de tension, dans- la matière se dirigeant vers- les différents intervalles de serrage. Pendant le
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avant. Toutefois-, les conditions- de traitement sont très différentes entre les marches avant et arrière, ce qui est l'un des facteurs rendant impossible un traitement uniforme. De plus, la quantité accrue de liquide de lavage extraite du bain durant la marche avant ou arrière a pour résultat une certaine instabilité du niveau du liquide. Un autre inconvénient est que ceci risque de provoquer des pertes'importantes de liquide de lavage. Le mode de réalisation représenté élimine tous ces inconvénients.
Un autre aspect du mode de réalisation représenté est la suivant : dans
le mode de réalisation représenté, on prépare et, au besoin, on coupe le tissu
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ayant des parties détectables qui ont un espacement prédéterminé, aux fins de correction de la longueur des boucles, et on relie les extrémités du tissu coupé aux extrémités de cette toile, afin de produire une boucle sans fin, tandis que des détecteurs sont disposés sur le trajet du mouvement du tissu sans fin résultant pour détecter les parties détectables de la toile de réglage afin de corriger la longueur des boucles du tissu, des organes d'arrêt étant prévus pour arrêter la course d'une partie donnée du tissu lors de la détection desdites parties détectables, de sorte que les longueurs des boucles individuelles sont corrigées, tandis que le tissu sans fin chemine à travers l'appareil de traitement.
De cette manière, une correction de la longueur des boucles peut être effectuée simplement, facilement et avec précision, en peu de temps et sans travail inutile.
Dans le mode de réalisation de la présente invention décrit ci-dessus, un chariot 50 est prévu au-dessus du dispositif d'essorage et peut se déplacer dans la direction des axes des rouleaux de ce dispositif et des rouleaux de guidage, de manière à venir se placer au-dessus de la boucle voulue, de sorte que les détecteurs 47-et 47' font face aux deux boucler adjacentes, tandis que les organes d'arrêt 55 et 56 prévus sur le chariot viennent aussi se placer en face de-ces boucles, au-dessus des rouleaux de guidage 13 et 13', le chariot pouvait être entraîné à cette fin dans la direction des axes des rouleaux du dispositif d'essorage 7 et des rouleaux de guidage 13 et 13'. En variante, un certain nombre de détecteurs pourraient être prévus et pourraient être associés respectivement aux différentes boucles et un appareil de sélection pourrait être prévu qui, en ré-
<EMI ID=166.1> sélectivement les deux organes, d'arrêt adjacents concernes., à l'exclusion des.
<EMI ID=167.1> .dessus. Selon une autre vari'ante, un certain nombre de- détecteurs et un certain nombre d'organes d'arrêt sont prévus, un pour chacune des boucles et un appareil de sélection est également prévu pour activer successivement et sélectivement <EMI ID=168.1>
de remplacer le chariot mobile 50 pourvu de deux détecteurs et d'une paire d'organes d'arrêt..
Il va de.soi que de nombreuses- modifications peuvent être apportées aux exemples représentés et décrits, sans sortir pour autant du cadre de l'invention.
<EMI ID=169.1>
comprend un/
/dispositif d'essorage allonge dans, la direction axiale pour essorer ledit tissu
continu à son passage- ; des.- rouleaux de guidage disposés de part et d'autre dudit
<EMI ID=170.1>
ti's-su passant entre lesdits rouleaux d'essorage ; ledit tissu s'enroulant successivement et en Hélice autour desdits rouleaux, d'une, extrémité à l'autre de ceuxci, formant ainsi' un certain nombre de boucles entré les points de serrage adjacents où le tissu est comprimé par le dispositif d'essorage, des moyens définissant un trajet le long duquel ledit tissu est entraîné, des moyens disposés le
long de ce trajet d'entraînement pour traiter lesdites boucles dudit tissu, des
moyens pour entraîner ledit tissu pendant qu'il est enroulé en hélice autour desdits rouleaux, une première commande qui permet auxdits moyens d'entraînement de
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<EMI ID=172.1>
seconde direction.