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On sait que la vit uni ni A est xt.rlwtrstnfe a l'oxydations La vitamine A et ses etttre uuelop tilt que l'aoetate et le ptliditatop et décoispostnt Au oout*â de quelqueb heures déjà, lorsqu'ils sont exposés à 1 ix XI est vrai qu'en ajoutant, des antioxydants, on réussit à améliorer la stabilité de la vitamine A. Dans beaueoup de ois, l'effet ainsi obtenu est toutefois absolument Insuffisants Etant donné les propriétés de la vitamine A, de multiples
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tontattv6a ont été faites en vue d'empêcher la décomposition au moyen d'une protection appropriée. L'une des préférée méthodes
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proposées consistait à utiliser la vitamine A tous forme d'un a.dsorbt, par exemple à de la farine d'avoine.
De telles pré- parations ne montraient cependant qu'une amélioration relative- ment peu Importante de la stabilité. On a également essayé utiliser des solutions huileuses ou grasses de vitamine A, mais la stabilité de tels produits n'était pas satisfaisante. Une partie très importante des produits de vitamine A est actuelle- ment obtenue dans le commerce sous forme de dispersions dans un colloïde.
La plupart des procèdes pour la fabrication de tels produits sont caractérises par le fait qu'on prépare d'abord une émulsion de vitamine A dans un colloide Aqueux, par exemple
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de 1$ t<tlttiM eu de la somme #rat>iqu9, et élabore tâiultt 0<0 caution de mêmibrâ à obtenir des petites parti4glais chaque particule de vitamine étant finalement recouverte d'une couche par exemple de gélatine. Lors de l'élaboration de l'émulsion
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pulvérisée, un agent récepteur doit être utilisé, ce qui on* tribue à augmenter les trais de production, surtout dans les
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cas ou une régénération lit n'o...a1re pour des rl1.on. ' 0- .,-. nomiques.
On a maintenant trouvé que l'addition, d'une part, d'un antioxydant ou d'un mélange d'antioxydants et, d'autre part, d'un synergiste ou d'un mélange de synergistes, permet d'obtenir des préparations vitaminées dont la stabilité est excellente. Le procédé pour la fabrication de ces préparations vitaminées particulièrement stables est caractérise par le fait
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qu'on mélange une vitamine liposoluble avec de la 6-ethoxy-2,2, 4-trîméthyl-1,2-dihydro-quinoléine,, de l'hydroxytoluene butylé, de l'hydroxyanisol butylé, du 4,V-bia-(2,6-dl-tert.-butyl-phé- nol), du y-tooophérol, des gallates ou un mélange de ces sub- etances, agissant comme antioxydant, et avec une aminé secondaire aliphatique ou cyoloaliphatique, liquide ou solide, ou avec un mélange de telles amines, agissant comme synergiste, en utili- sant,
le cas échéant, un diluant.
La concentration des antioxydants par rapport à la quantité de la substance devant être stabilisée s'élève, en général, à au moins 0,1%. La limite supérieur* dépend de plusieurs facteurs, en général, on ne dépassera cependant pas les 50%. La concentration des synergistes est, en général, également d'au moins 0,1%. Il est avantageux d'utiliser au
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moins la même quantité de synergistes que d'&ntioXf4ant8.
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préférenoe, on utilisera cependant une quantité de synergistes 2-10 foie plue grande que celle des ant1oxrdant..
Par vitamines liposoluble', on entend lot vitaminee A, 5, 8 et K. Dans ce o on texte, le terme vitamine liposoluble comprend également les oot4no1d'8, tels que le 0-carotbne, le 0-apo-81-caroténali les d-apo-8'-oaroténoates, en particulier celui d'éthyle, le oanthaxanthène, le zéaxanthene, le lyoopne, etc.
Parmi les antioxydants, la 6-éthoxy-2,2,$-triméthyl-l,2dthydo-qu1nolé1ne est préférée du point de vue de son activité antioxydante. Le y-tocophérol, dont l'activité est en général beaucoup moine forte, est cependant utilise.dans beoauooup de cane étant donné que cette substance se trouve dans la nature.
En utilisant le y-tocophérol ensemble avec des aminés secon- daires, on peut obtenir une stabilisation qui correspond, par exemple pour la vitamine A, à celle des meilleurs antioxydants actuellement connus.
Les esters d'acide gallique avec des alcools contenant au moins 3 atomes de carbone, tels que le gallate de propyle, le gallate d'octyle, le gallate de décyle, le gallate de dodécyle, eto., sont des gallates appropriés.
Les aminés servant de synergistes lors de la mise en oeuvre du procédé susdit sont des aminés secondaires liquides
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eu .o11dt. k la température &mb1", qui font} partie de la
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série aliphatique ou cyoloaliphatique. De telles saine* sont.- en particulier, les dialooylamines, de préfrfreaot aille* com- portant au total 12 à 20 atome* de carbonée telles que 1* day1-pantyl aai.na, la dodicy 1 - pentyl -amine# 14 titrahydro- géranyl-hexylemine, la tétrahydrogéranyl-ootyi-a#int, Itt diheptyl-amlne, la tétradécyl-butyl -amine 1 de préférence les dlalcanolamines inférleuresplttllëo que la dléthanolamine et ses sels avec des acides gras supérieur*; les dit amînoalcoyl ]amines, telles que la speraine efe-1* ope midi.ne, la proline et les mélanges de tels cûtttpoo.
Les synergistes appropriée, auxquelles on donne 1* pré- férence, sont en particulier ceux représentés par la formule générale RCH HH CH2-R', dans laquelle R et R' représentent un groupement alcoyle,. hydroxyaleoyle ou aminoalcorlop 'est-
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k-dire les amines portant des groupement$ methylwnox (non substitués) en pouition-a par rapport à l'atoae d*M9.
Afin de faciliter l'emploi, il convient d)4utllî#tr des
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aminés solubles dans les huiles et les graisses. Il est donc
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avantageux d'utiliser les dialoanolaoinet inférieures, qui ne sont pas liposolubles, eoua forme de leurs sels avM des acides gras supérieurs, tels que l'acide palaitique, trafique et oléique, ces sels étant facilement dieperaiblett On a trouvé que même les alcanolamines inférieure non liposolubles
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exercent une action synergistique très forte. !
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Lorsque la vitamine A ou son esters sont 00*binêe avec
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le mélange composant antioxydant/composant synergists, décrit ci-dessus, elle possède déjà une stabilité permettant de l'uti- liser sans difficultés dans la pratique.
Ainsi, on peut par exemple ajouter au palmitate de vitamine A' un mélange compo- sant antioxydant/composant synergiste. L'huile ainsi obtenue peut être utilisée directement; on peut par exemple l'ajouter à un mélenge d'aliments pour les animaux, afin d'enrichir oe mélange en vitamine A. Dans beauooup de cas, l'addition d'un diluant peut être avantageuse soit pour obtenir une concentra- tion déterminée, soit pour préparer un produit pulvérulent.
Des diluants appropriés sont, par exemple, les farines végétales, telles que la farine d'avoine ou la farine de soja; les graisses, les paraffines, les cires ou les composés cireux, télé que l'huile de ricin hydrogénée, l'huile de graines de coton hydrogénée, les triglycérides solides ou les glycérides partiels, par exemple le monostéarate de glycérine, les amides d'acide* gras supérieurs, par exemple l'amide de l'aoide stéarique) des huiles, telles que l'huile d'arachides, l'huile de graines de coton, l'huile de sésame; des substances contenant de la protéine, par ex. du lait écrémé en poudre, la caséine, le caséinate de calcium, le gluten, la zéine, la gélatine;
les hydrates de carbone, tels que le lactose, l'amidon, la dextrine, la gomme arabique, la méthylcellulose; les savons métalliques, tels que le stéarate de magnésium, le palmitate de magnésium, le stéarate de calcium, à le atéarate d'aluminium; les véhicules minéraux physiologiquement acceptables, tels que l'oxyde de magnésium, l'hydroxydede mag- nésium, le' phosphate tricalsique, et les mélanges de telles sub- stances.
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Les huiles végétale , l'huile de ricin hydrogénée, la
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farine d'avoine, le gluten, le o&8é1n&t. de calcium# la fêla tine, le lait dirémé en poudre, Io etéaratt de magnésium, l'oxyde de magnésium, ou les mélangea do ces substances se dent revoies être particulièrement appropriât.
Les préparations obtenues suivant le procédé susdit
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eonviennent à la vitamination de denrées alimentaires et d'aliments pour les animaux. Les produite obtenus sont caractérisés par une très bonne stabilité, mime lorsque les conditions d'emmagasinage sont désavantageuses.
Exemple 1
En remuant à la température ambiante et en introduisant
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de itatote gAs4up on prépare un '1.n. hôteitfti de 92 a de palI1'. de vitamine Ai 2 a de y-tosophdrOl et 6 g 46 têtra- déyl-utyl.a#ln¯. La etabl11t4 40 la v1t&al. A contenu* dan% la solution claire obtenue est anéliorée.
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Zn excluant l'airs on chauffe ,2 z dtliuilt d'arachtdes à 90 0 et y dissout 5 S d'acide paloltiquo. En remuante on répartit 2 g de d14thAnolamlne finement dans 6*Me solution* On ajoute ensuite 60 g de palmitate de vitamine A et 1 g de -y-tocoph4rol et répartit, en remuant, cet subatancet unltorm4ment.
La solution qui en résulte est un concentré do vitamînt A
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(1 Mio d''. de vitamine A par S), que l'on peut utiliser directement pour enrichir en vitamines des produits tels que
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des graisse$ comestibles et des huiles comestibles# ffxeMPljBt.3
On fond 74 g de stéarate d'huile de graines de coton à 70 , puis y ajoute, en remuant et en excluant l'air ? g de 6-éthoxy.
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2, , .:t!^imthyl-1, 2-dihydro-quinoxdine et 3 g de diéthanolamine.
On ajoute ensuite 20 g de palmitate de vitamine A, prépare un mélange homogène et verse la fusion sur des plaques métalliques freides. On broyé la masse solidifiée, en ajoutant de la n,eige carbonique. La poudre formée peut être utilisée pour enrichir des farines fourragères en vitamine A.
Exemple
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On fond g6 g â Stêtrate dehuils de traîne# de eoten à 700 et y ajout*, en remuant et eh excluant l'air, J g de 6-ëthcxy'-8,a4-tri'!'ethyl-l,Ë-dihydo*quinol<iM$ et 3 due diéthanolamines Ensuite, on ajoute 18 g de farine d'avoine et 20 g de palmitate de vitamine A et remit* jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène$ La fusion est versée aux des plaques métalliques froides. On broyé la masse grasse solidifiée, en ajoutant de la neige carbonique. La poudre formée peut être utilisée pour l'enrichissement de farines fourragères en vitamine A .
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Exemple S .*."*#" T : 't:' 1-. - On fond 66 . d'huile de rioin hJ4rolln', , ,, , puis y ajoute# en remuant et excluant l'ir 3 < de $'he''<t<<4" tr1mltbyl.1,-d1hJdro-qu1no14nt et de â6hr1lr.
On ajoute ensuite 8 a de gluten et 20 a de ptlaa dqt v1t&m1nt A, et ramuo jusqu'à l'obtention d'un a<lM$w hoaoglnt.
A 9', on la188. tomber la mats* goutte & goutte lur Une Mai tte (atamétrrs 11 cm) tournant à 3000 tour*/minute# de sorte qu'elle est pulvérisée en gouttelettes tï'e< fiaee.
L'assiette de pulvr1u,11ca ne trouve une distance de 3 ? au- dessus de la surface de réception. Toutes les gouttelettes de graisse sont solidifiées, lorsqu'elles touchent la couche ré- ceptrloe. Apres l'avoir, le cas échéante répartit en diffé- rentes fractions de tamisage, on peut utiliser la perdre ainsi obtenue pour enrichir des aliments pour les animaux. La plu-
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part des g.,ut,t.rl-,tAs de graisse obtenues ont ufi diamètre de 0,15 à 0,45 mm par particule.
Exemple 6
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On fond 65 g d'huile de rioin hydrogénée à 90 , pul. 1 ajoute, en remuant et en excluant l'air, , 6 de rthaxy-2,5, 4-triméthyl-1,2-dihydro-quinoléine et 4 g de dacayl. pentrl- amine. On ajoute ensuite 8 g d'oxyde de magnésium et 20 g de palmitate de vitamine A, remue Jusqu'à l'obtention d'un mé- lange homogène, et verse la fusion sur des plaques Métalliques
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froides, On broyé la masse grasse so11d1t14e,tput en ajoutant de la neige carbonique. La poudre formât peut utilisée pour l1 enrichissement en vitamines de tarin,. 3t.
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Exemple 7
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3 g de palm1;att dt v1tamnt 1, 0,¯, 1 4t 6-"hoxr-.,.,¯. tlm'thYl.1#2-d1h1dO.1nol'1n..i 0,6 . 4e dfhlvaïie' EUnt remués sous azote Jusqu'à l'obtention* d'un a<lange uaifôrw, fruit un tambour mélangeur, le M<ltng< "U adrrb1 t 96 1 d, fârint d'avoine. Ctt adeorb" ôonvitnt I l'.n1oh±...meft' ta v1'n'. dt mélangea d'aliment. pouf lea animaux, en p.r1ou11 1 dt tartnl' f ourragèreo , Exemple 93 5 S d'huile de ricin hydrogénée sont ohaurr6. 1 130 sous vide. Dans la graisse tondue, on dissout 5 g de .apo-8t. caroténal, 0,5 g de gallate de propyle et 1 g dl1t4tr&b1drog4ranrl- hexyl-amine.
On pulvérise la fusion à l'aide d'un pistolet a pu!- vérisation chauffé. Après être tombées d'une hauteur d'environ 4 m, les gouttelettes se sont solidifiées et peuvent être ajoutées
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directement a un mélange d'aliments pour les animaux.
Exemple 9 89 g d'huile de ricin hydrogénée sont chauffés a 1350 sous
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vide. 5 g de -apoM8'-oaroténoate d'éthyle, 3 g de <y-tocophérol et 3 g de d1-heptyl.-.amlne sont dissous dans la graisse fondue. On verse la fusion sur un cylindre métallique refroidi, la laisse se solidifier, puis l'enlevé (en grattant) sous forme de flocons fins.
On peut ajouter ce produit sous cette forme, ou après l'avoir broyé (avec l'addition de neige carbonique), aux aliments pour les animaux.
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Exemple.
10 On chauffe 67 g d'huile de ricin hydrogénée à 9500 pull
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y ajoute 25 g de DL-a.tooopherol, 0, j g de butyl-hydïxy-ânieoi, 015 g d'hydroxytoluène butylép 2 g de bxdnrbr ¯a.trir iG 5 g de casemate de calcium, Suivant les indications donndes k l'exemple 5, on pulvérise la masse sur une assiette de pulvérisa
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tiont La poudre obtenue peut Itre utilisée pour enrichir des alimente pour Ion animaux en vitamine E.
Exemple 11
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a) On ajoute 4 mg de oy-tocophérol 11 200 ne de paltdtate de vitamine A. b) On prépare un mélange homogène contenant 200 mg de
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palmitate de vitamine A, 4 mg de y-tocephdroi et 8 tng de diethanol- amine. o) On mélange 200 mg de palmitate de vitamine A et 8 mg de diéthanolamine. d) 200 mg de palmitate de vitamine A pur (aans stabilisa- teur).
Les échantillons a, b, et d sont placée sur une plaque
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de verre d'une surface de 9 oma à 450 à l'air. Toutes les 12 heures, on détermine la teneur en vitamine A. On considère comme période d'induction l'espace de temps, pendant lequel la teneur en vita- mine A descend à 80%.
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La période d'induction de l'échantillon b) stabilisé avec le mélange de synergistes est beaucoup plus longue que celle de l'échantillon a),qui n'est stabilisé qu'avec l'antioxydant. Entre le$ échantillons c) et d) il n'y a pratiquement pas de différence,
Exemple la a) On mélange 200 mg de palmitate de vitamine A, 4 mg de 1-tocophérol et 28 mg de palmitate de diéthanolamine (correspondant à 8 mg de diéthanolamine . b) On mélange 200 mg de palmitate de vitamine A avec 4 mg de [gamma]-tocophérol et 8 mg d'hydroxyde de spermine.
Les échantillons a) et b) sont conservée dans les marnes conditions que celles décrites à l'exemple 11. La période d'induc- tion de l'échantillon a) est environ 3 fois plus longue que celle du meilleur échantillon [échantillon b)] de l'exemple 11. L'échan- tillon b) avec la spermine est encore plus stable que l'échantillon a) avec le palmitate de diéthanolamine.
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We know that the united life A is xt.rlwtrstnfe to oxidation Vitamin A and its effects uuelop tilt that aoetate and ptliditatop and decompose at oout * â of a few hours already, when exposed to 1 ix XI is true that by adding antioxidants, one succeeds in improving the stability of vitamin A. In many years, the effect thus obtained is however absolutely insufficient Given the properties of vitamin A, multiple
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tontattv6a were made to prevent decomposition by means of appropriate protection. One of the preferred methods
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proposed was to use vitamin A all form of an a.dsorbt, for example to oatmeal.
However, such preparations showed only a relatively small improvement in stability. It has also been tried to use oily or fatty solutions of vitamin A, but the stability of such products was not satisfactory. A very large part of vitamin A products is currently obtained commercially in the form of dispersions in a colloid.
Most of the processes for the manufacture of such products are characterized by first preparing an emulsion of vitamin A in an aqueous colloid, for example
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of 1 $ t <tlttiM had of the sum #rat> iqu9, and works out 0 <0 guarantee of the same to obtain small parts, each particle of vitamin being finally covered with a layer for example of gelatin. When making the emulsion
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sprayed, a receptor must be used, which will increase the production rates, especially in
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case where a regeneration reads no ... a1re for rl1.on. '0-., -. nomic.
It has now been found that the addition, on the one hand, of an antioxidant or of a mixture of antioxidants and, on the other hand, of a synergist or of a mixture of synergists, makes it possible to obtain vitamin preparations with excellent stability. The process for the manufacture of these particularly stable vitamin preparations is characterized by the fact
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that a fat-soluble vitamin is mixed with 6-ethoxy-2,2, 4-trimethyl-1,2-dihydro-quinoline, butylated hydroxytoluene, butylated hydroxyanisol, 4, V-bia- (2,6-dl-tert.-butyl-phenol), γ-tooopherol, gallates or a mixture of these substances, acting as an antioxidant, and with an aliphatic or cyoloaliphatic secondary amine, liquid or solid, or with a mixture of such amines, acting as a synergist, using,
if necessary, a diluent.
The concentration of the antioxidants relative to the amount of the substance to be stabilized is generally at least 0.1%. The upper limit * depends on several factors, in general, however, we will not exceed 50%. The concentration of synergists is, in general, also at least 0.1%. It is advantageous to use at
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less the same amount of synergists as & ntioXf4ant8.
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Preferably, however, a greater amount of synergists 2-10 liver will be used than that of the ant1oxrdants.
By fat-soluble vitamins' is meant batch vitamin A, 5, 8 and K. In this text, the term fat-soluble vitamin also includes oot4no1d'8, such as 0-carotbne, 0-apo-81-carotenali d-apo-8'-oarotenoates, in particular that of ethyl, oanthaxanthene, zeaxanthene, lyoopne, etc.
Among the antioxidants, 6-ethoxy-2,2, $ - trimethyl-1,2dthydo-quinoline is preferred from the viewpoint of its antioxidant activity. Γ-Tocopherol, the activity of which is generally very strong, is however used in beoauooup de cane since this substance is found in nature.
By using γ-tocopherol together with secondary amines a stabilization can be obtained which corresponds, for example for vitamin A, to that of the best antioxidants currently known.
Esters of gallic acid with alcohols containing at least 3 carbon atoms, such as propyl gallate, octyl gallate, decyl gallate, dodecyl gallate, eto., Are suitable gallates.
The amines serving as synergists during the implementation of the aforesaid process are liquid secondary amines
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had .o11dt. k the temperature & mb1 ", which are} part of the
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aliphatic or cyoloaliphatic series. Such healthy * are - in particular, the dialooylamines, preferably * containing a total of 12 to 20 carbon atoms * such as 1 * day1-pantyl aai.na, dodicy 1 - pentyl -amine # 14 titrahydro - Geranyl-hexylemine, tetrahydrogeranyl-ootyi-a # int, Itt diheptyl-amlne, tetradecyl-butyl -amine 1, preferably dlalkanolamines inférleuresplttllëo than dléthanolamine and its salts with higher fatty acids *; the so-called aminoalkyl] amines, such as speraine efe-1 * ope midi.ne, proline and mixtures of such cûtttpoo.
Suitable synergists, which are preferred, are in particular those represented by the general formula RCH HH CH2-R ', in which R and R' represent an alkyl group ,. hydroxyaleoyl or aminoalcorlop 'est-
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k ie amines bearing $ methylwnox groups (unsubstituted) in position-a relative to the atoae d * M9.
In order to facilitate use, d) 4utllî # tr
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amines soluble in oils and fats. It is therefore
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It is advantageous to use the lower dialoanolones, which are not fat soluble, or form their salts with higher fatty acids, such as palaitic, trafic and oleic acid, these salts being easily dieperaiblett. It has been found that even the lower alkanolamines not fat soluble
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exert a very strong synergistic action. !
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When vitamin A or its esters are 00 * mixed with
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the antioxidant component / synergist component mixture, described above, it already possesses a stability enabling it to be used without difficulty in practice.
Thus, for example, an antioxidant component / synergist component mixture can be added to the vitamin A palmitate. The oil thus obtained can be used directly; it can for example be added to a mixture of animal feed, in order to enrich the mixture with vitamin A. In many cases, the addition of a diluent can be advantageous either to obtain a determined concentration. , or to prepare a powdery product.
Suitable diluents are, for example, vegetable flours, such as oatmeal or soybean flour; fats, paraffins, waxes or waxy compounds, such as hydrogenated castor oil, hydrogenated cottonseed oil, solid triglycerides or partial glycerides, for example glycerin monostearate, amides of higher fatty acid (eg stearic acid amide) oils, such as peanut oil, cottonseed oil, sesame oil; substances containing protein, eg. skimmed milk powder, casein, calcium caseinate, gluten, zein, gelatin;
carbohydrates, such as lactose, starch, dextrin, gum arabic, methylcellulose; metallic soaps, such as magnesium stearate, magnesium palmitate, calcium stearate, with aluminum atearate; physiologically acceptable inorganic vehicles, such as magnesium oxide, magnesium hydroxide, tricalsium phosphate, and mixtures of such substances.
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Vegetable oils, hydrogenated castor oil,
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oatmeal, gluten, o & 8é1n & t. calcium # crackin, dry milk powder, magnesium etearatt, magnesium oxide, or mixtures of these substances are found to be particularly suitable.
The preparations obtained by the above process
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suitable for the vitamination of food and feed. The products obtained are characterized by very good stability, even when the storage conditions are disadvantageous.
Example 1
Stirring at room temperature and introducing
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from itatote gAs4up we prepare a '1.n. hostitfti of 92 a of palI1 '. of vitamin Ai 2 a of γ-tosophdrOl and 6 g 46 tetra-deyl-utyl.a # ln¯. The etabl11t4 40 la v1t & al. At content * in% the clear solution obtained is improved.
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Zn excluding the air is heated, 2 z dtliuilt of arachtdes to 90 0 and dissolved 5 S of paloltiquo acid. While stirring, 2 g of d14thAnolamlne are finely distributed in 6 * Me solution * 60 g of vitamin A palmitate and 1 g of -y-tocoph4rol are then added and, while stirring, this subatancet is distributed unltorm4ment.
The resulting solution is a concentrate of vitamin A
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(1 Mio of vitamin A per S), which can be used directly to enrich products such as
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edible $ fats and edible oils # ffxeMPljBt.3
We melt 74 g of cottonseed oil stearate at 70, then add to it, stirring and excluding air? g of 6-ethoxy.
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2,.: T! ^ Imthyl-1, 2-dihydro-quinoxdine and 3 g of diethanolamine.
Then 20 g of vitamin A palmitate are added, a homogeneous mixture is prepared and the melt is poured onto freeze metal plates. The solidified mass is ground, adding carbon dioxide. The powder formed can be used to enrich feed flours with vitamin A.
Example
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We melt g6 g of eoten trailing oil stetrate at 700 and add thereto *, stirring and eh excluding air, J g of 6-ethyl-tri'-8, a4-tri '!' Ethyl-l, Ë- dihydo * quinol <iM $ and 3 due diethanolamines Then, 18 g of oat flour and 20 g of vitamin A palmitate are added and stirred * until a homogeneous mixture is obtained. The fusion is poured into the cold metal plates. The solidified fat mass is ground, adding carbon dioxide snow. The powder formed can be used for the enrichment of feed flours with vitamin A.
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Example S. *. "* #" T: 't:' 1-. - We melt 66. rioin oil hJ4rolln ',, ,,, then add # thereto while stirring and excluding the ir 3 <of $' he '' <t << 4 "tr1mltbyl.1, -d1hJdro-qu1no14nt and of â6hr1lr.
Then 8 a of gluten and 20 a of ptlaa dqt v1t & m1nt A, and ramuo are added until an a <1M $ w hoaoglnt is obtained.
At 9 ', we have it188. drop the mate * drip & drop on a May head (atametrrs 11 cm) rotating at 3000 revolutions * / minute # so that it is sprayed into droplets on the head.
The plate of pulvr1u, 11ca does not find a distance of 3? above the receiving surface. All the fat droplets are solidified when they touch the receptor layer. After having it, if necessary, divided into different sieving fractions, the waste thus obtained can be used to enrich animal feed. The most
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Part of the fat g., ut, t.rl-, tAs obtained have a diameter of 0.15 to 0.45 mm per particle.
Example 6
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65 g of hydrogenated rioin oil at 90, pul. Add, stirring and excluding air,, 6 of rthaxy-2,5, 4-trimethyl-1,2-dihydro-quinoline and 4 g of dacayl. pentrl- amine. Then 8 g of magnesium oxide and 20 g of vitamin A palmitate are added, stirred until a homogeneous mixture is obtained, and the melt is poured onto metal plates.
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cold, We ground the fat so11d1t14e, tput by adding carbon dioxide snow. The powder formate can be used for the fortification of siskin vitamins. 3t.
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Example 7
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3 g of palm1; att dt v1tamnt 1, 0, ¯, 1 4t 6- "hoxr -.,., ¯. Tlm'thYl.1 # 2-d1h1dO.1nol'1n..i 0.6. 4th dfhlvaïie ' Went stirred under nitrogen Until obtaining * an a <mixture uaifôrw, fruit a mixing drum, the M <ltng <"U adrrb1 t 96 1 d, oat fârint. Ctt adeorb "ôonvitnt I l'.n1oh ± ... meft 'ta v1'n'. Dt mixed with feed. For animals, in p.r1ou11 1 dt tartnl 'f ourragèreo, Example 93 5 S oil of Hydrogenated castor beans are vacuum packed in 1130. In the clipped fat, 5 g of apo-8t carotenal, 0.5 g of propyl gallate and 1 g of b1drog4ranrl-hexyl-amine are dissolved.
The fusion is sprayed with a heated gun. After falling from a height of about 4m, the droplets have solidified and can be added
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directly to a feed mix.
Example 9 89 g of hydrogenated castor oil are heated to 1350 under
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empty. 5 g of ethyl -apoM8′-oarotenoate, 3 g of γ-tocopherol and 3 g of d1-heptyl .-. Amine are dissolved in the molten fat. The melt is poured onto a cooled metal cylinder, allowed to solidify, then removed (scraping) in the form of fine flakes.
This product can be added in this form, or after having been crushed (with the addition of dry ice), to animal feed.
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Example.
10 67 g of hydrogenated castor oil are heated to 9500 pull
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25 g of DL-a.tooopherol, 0.1 g of butyl-hydïxy-ânieoi, 015 g of hydroxytoluene butylep 2 g of bxdnrbr ¯a.trir iG 5 g of calcium casemate, according to the indications given in the example 5, we spray the mass on a plate of spray
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The powder obtained can be used to enrich animal feeds with vitamin E.
Example 11
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a) 4 mg of oy-tocopherol 11,200 n of vitamin A paltdtate are added. b) A homogeneous mixture is prepared containing 200 mg of
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Vitamin A palmitate, 4 mg of y-tocephdroi and 8 tng of diethanolamine. o) 200 mg of vitamin A palmitate and 8 mg of diethanolamine are mixed. d) 200 mg of pure vitamin A palmitate (without stabilizer).
Samples a, b, and d are placed on a plate
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of glass with an area of 9 oma to 450 in the air. Every 12 hours, the vitamin A content is determined. The induction period is considered to be the time period, during which the vitamin A content drops to 80%.
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The induction period of sample b) stabilized with the synergist mixture is much longer than that of sample a), which is only stabilized with the antioxidant. Between the $ samples c) and d) there is practically no difference,
Example la a) 200 mg of vitamin A palmitate, 4 mg of 1-tocopherol and 28 mg of diethanolamine palmitate (corresponding to 8 mg of diethanolamine) are mixed. B) 200 mg of vitamin A palmitate are mixed with 4 mg of [gamma] -tocopherol and 8 mg of spermine hydroxide.
Samples a) and b) are stored in marl conditions as those described in example 11. The induction period of sample a) is approximately 3 times longer than that of the best sample [sample b) ] of Example 11. Sample b) with spermine is even more stable than sample a) with diethanolamine palmitate.