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"APPiHBII XTËSPIRATOIRS 'IlIUNSPOR'r.ABI3 POUR P.AIULY', 4Tt'ï H SIQPXS, AOOIDmiES M' JBTBB8 , '1 On connaît les problèmes posés par la nécessité d'un- rer ou de rétablie les fonctions respiratoires chez de nombreuses victimes de maladies ou d'accidents.
Différentes solutions ont été présentées à cette fin comme les poumons d'acier et aussi divers appareils de dimensions plus réduites permettant de rendre une certaine possibilité de dépla-
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cement aux patienta Ces derniers appareils sont. 11....6. sur le principe de l'insufflation de l'air dans les poumons, 1 expira- tion se produisant naturellement.
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Généralement, un petit compresseur aotionné par uxt moteur .1t.:
!"1.. que envoie l'air, avec éventuelle interposition d'un détendeur
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et d'un humidificateur, dans une tubulure dont l'48b01111 est tenu en bouche par le patient, aboutit à un masque respiratoire, à une canule placée dans la trachee-artere eto.
lie ttoteur est actionne soit directement par le réseau, soit par uns batterie d'accumulateurs ou des piles, soit indifféremment par le réseau et la source autonome, avec commutation automatique en cas de
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d6te.illanoe du réseau
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Ces divers dispositifs connu présentent plusieurs incon- vénients comme un prix de revient très élevé, leur encombrement ou leur poids relativement considérables, parfois une gênante élévation de la température de l'air fourni.
L'appareil, objet de la présente invention, donne une solution extrêmement; simple, de réglage aisé, et surtout d'un prix de revient particulièrement modique.
Il se compose essentiellement d'un soufflet élastique qui, actionné par un petit moteur-réducteur grâce à un jeu de biellettes articulées, se dilate et se comprime alternativement, aspirant puis refoulant l'air passant éventuellement au préalable par un humidificateur ou autre dispositif de conditionnement; d'une arrivée d'air avec soupape ;
d'une tubulure de départ de l'air, tubulure dans laquelle est insérée, à proxxmité de son extrémité libre, une soupape permettant soit le passade de l'air frais vers le patient, soit l'échappement direct de l'air vicié dans l'atmosphère, et qui se termine par un embout de forme convenable; d'un équipement transformateur-redresseur d@ courant d'alimentation du moteur; d'un commutateur automatique permettant le raccordement sur une batterie de secours en cas de défaillance du réseau ou lors de l'utilisation de l'appareil pour des dépla- cements;
d'un rhéostat de réglage du rythme des insufflations (en général, entre 16 et 20 par minute); d'une valve de réglage de la quantité d'air débité et, éventuellement, d'un manomètre de mesure de la pression de cet air.
Afin de mieux faire ressortir l'exoosé ci-dessus, les dessins annexés schématiquement représentent, à titre exemplatif et non limitatif, un mode de réalisation d'un appareil selon l'invention.
A cet effet, la figure 1 est une vue latérale sur l'appa- reil en position de début d'insufflation de l'air.
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La. figure 2 est une vue latérale sur l'appareil en fin de période d'insufflation. la figure 3 est, à plus grande échelle, une vue en coupe sur la tubulure avec sa.
soupape en position d'insufflation, La. figure 4 est une vue en coupe sur la tubulure avec la soupape en position d'expiration de l'air vicié,
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In a* reportant aux figurée, 1 désigne le a,atecuwrdacateva sur l'arbre 2 duouel est calée la manivelle 3 quipar rotation sur son pivot d'extrémité 4, la bielle 5 dont l'autre extrémité porte un pivot 6 sur lequel est fixé, avec possibilité de déplacement en sens rotatif, le bras 7 rendu solidaire,
par via de fixation ou autre moyen approprié du fond algide 8 du soufflet élastique 9. Est également fixé avec possibilité de rotation sur le pivot 6, un levier 10 dont l'antre extrémité s'articule, par un pivot 11, sur une pièce-support 12 solidaire du carter du moteurs-réducteur 1. Ce levier 10 limite, en sens vertical, l'amplitude des mouvements de l'articulation 6.
Le
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soufflet élastique se compose d'un corps cylindrique z.3 en oaoutr- chono ou autre matière analogue, à paroi nervurée .pour en facili- ter, comme connu, les mouvements d'extension et agi rétraction, du foid avant 8 en un matériau rigide, avantageusescent une matière synthétique, et du fond arrière 14, en même matièab, qui se fixe, par vis ou autre moyen, sur la paroi 15 du coffrer contenant 1'ensemble de l'appareil. Dans le fond 14 débbuoho la. canalisa- j tion d'aspiration d'air 16 munie d'une soupape (n<n représentée) normalement maintenue fermée et s'ouvrant par la. Répression créée lors du mouvement d'extension du soufflet, oanalif ation éventuel-' lement reliée à un humidificateur ou autre disposait de oondi.
,rt.ox.emezt d'air. Le fond 14 porte également un roooord pour la tubulure de départ 17 de l'air destiné au patienta Oette tubulure, réalisée en caoutchouc ou, de préférence en matière plastique,
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se termine par un embout 18, de forme convenable pour être tenu en bouche par le patient, ou conditionné pour le raccordement à un masque respiratoire, à une canule dans la trachée-artère etc.
Dans la tubulure 17 est disposée une soupape 19 pour le passage de l'air frais ou l'évacuation de l'air vicié. Sa construction est détaillée ci-après. Le fond avant 8 du soufflet porte deux ou plusieurs bras 20, y fixés par exemple au moyen de vis 21, et dont l'extrémité libre porte une perforation pour l'engagement du crochet terminal du ressort de régulation 22 attaché, d'entre part, à la. paroi 15. Le moteur-réducteur 1 est fixé, avec éventuel- le interposition d'un socle de réglage en hauteur 23, sur le fond 24 du coffre, au moyen de via 25.
Sa fixation sera, ai nécessaire, parachevée par des entretoises ou autres (non représentées) le reliant audit coffre, Le moteur 1 est alimenté par du courant basse tension débité, soit depuis le réseau à l'aide d'un petit groupe transformateur-redresseur de conception connue, soit par une batterie d'accumulateurs. Un commutateur automatique, de construction également connue, permet de passer de l'alimentation réseau à l'alimentation batterie en cas de défaillance de la première source.Il permet aussi l'utilisation de l'appareil lorsaue le patient est, par exemple, promené dans une voiturette ou en auto. D'autre part, la vitesse de rotation du moteur, donc à la cadence des insufflations peut se régler à l'aide d'un rhéostat.
L'ensemble da cet équipement électrique n'est pas représentée étant de réalisation bien connue. Bnfin, l'appareil peut se com- pléter, si désiré, -par un manomètre de mesure de la pression de l'air débité.
La soupape 19, de réalisation remarquablement simple et efficace, se compose d'une base cylindrique creuse 26 prolongée par un corps 27 également creux et taillé en double biseau. Ces éléments sont réalisés en un matériau rigide comme avantageuse-
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Ment une Ratière synthétique moulée.
Le diamètre 4f( la taae et des flânes du corps est choisi tel$ par rapport m 4!8tlt istérieur
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de la tubulure 179 que la soupape soit maintenu* eti place par simple serrage 'la.tique dans cette tubulure obxqw paroi du biseau du corps 27 est munie d'une perforation 28. (Sensiblement
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en regard de chaque perforation 289 et trouve menai;**, dans la paroi de la tubulure 179 une perforation correspondant* 29.
Une lamelle élastique 309 en toute matière oonT.ab1e joute caoutl- choucq cuir matière rinth6t;L=o ou a#re, est oo1].'e wur le dessous de chaque face du double biseau t Ot'ét ndjju$qu'A l'extrémité de celle-ci Cette l8Ml1e peut, Mien-le out N'appliquer et obturer soit la perforation 289 soll la portor*-, tien 29,tout en dégageant, par l@ fait mine la perforation opposée*
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Le fonctionnement de l'appareil :J:t8pu.t;
o" se comprend dès lors comme suit Il! Lorsque l'appareil se trouve dans la position représentée à la
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figure 1, le soumet élastique 9 est dilaté et relkpli d'air, son ressorts de régulation 22 sont tendus* Dès que, nous l'action
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de.dit. ressorts et du mouvement de gauche à droite du bras 7 QUe ! repousse la bielle., elle-mb. repoussée par la m&>ivolle 3 qui pivote nous l'a.otion du moteur-réducteur 1, le soufflet se r6traoi te progressivement la soupape 16 étant fermée, :1.:1.1 chus. l'air ! qu'il contient dans la tubulure 17* Lea lamelles 6:
ast1au.. 30 de la soupape 19 sont écartées du corps 27, par l'action de la
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pression de l'air, elles dégagent chacune la perforation corrée- poudante 28 et obturent la perforation 29* L'air refoulé par le soufflet peut, dès lors, passant par les perforations 28 arriver à l'embout 18 et de là, au patient. Cette phase d'insufflation s'achève lorsque, le soufflet étant comprimé, l'appareil se trouve dans la position représentée à la figure 2.
Le mouvement de rotation du moteur se poursuivant, l'appareil va, retendant
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les ressorts 22, progressivement repasser à la position de la. ,
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fleur* it pazt le JOUI et oomprtnant aisément des différentes pièces articulées. La soupape de canalisation 16 s'ouvre alors nous l'effet de la d6,pre..ion n&ia an1> dans le eoufflet, ou qui permet l'entrée, dana celui-ci, de l'xdLa? frai , 6nntueU...nt co:Ddit1onn6 oonmo d6;1' dit.
Bîmultan6asuUt à la tots $OU l'ao- tion de la dépression dans le soufflet et de la pression d'Mi"* ration de l'air vicié par le patient, les luel1.. élastique$ 30 sont appliquées contre le corps 271 o12.aOUM d'entre elle$ 4"... géant sa perforation 29 de la tubulure et obturent sa perfora' tion 28 du corps de la soupape* L'air vicié s'échappe alors pu les perforations 29,
sans pouvoir pénétrer du la tubulure 17* Le cycle respiratoire est ainsi terminé et le cycle suivant peu' s'effectuer*
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les ressorts de régulation 22 reatplioeent un rôle fort importent d'égalisation de durée des deux phases du cycle respira- foire.
Effectivement, l'effort demandé au moteur est, cela se comprend, nettement plus faible lors de l'aspiration de l'air
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dans le soufflet ou$ lors de la phase de jpefûttlezet puisqu'il faut réaliser une certaine pression afin de chasser l'air dans les poumons du patient.
Comme il s'agit d'un moteur à courant
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continu et de puissance minimâ afin d'en réduire les d1IIIu1ou et celles du groupe sa titesse de rotation serait unes sensiblement différente d'une phase à l'autre ce qui. comme l'expérience le prouve, serait très g@nant pour le patient. Les ressort.
permettent la suppression de cet
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inooayénient 1 lors de la phase d'aspiration, Il$ ne tendent progressivement et ralentissent donc le aourensnt, par contre, ils ajoutent leur action à celle du moteur Ion de la phase de compression et accélèrent alors le mouvement. On conçoit donc aisément, que par un choix judicieux des caractéristiques de
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ces ressorts, ilaioit'yosaible du réaliser l'égalité pratiquerez
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complète des durées des deux phases.
Enfin, une petite valve de réglage commandée par une tige filetée 31 permet de réduire la quantité d'air! chassée dans la tubulure 17. Elle agit simplement par obturation!plus ou moins complète d'une petite canalisation 32 reliant le @@@fflet à l'atmosphère, Il est bien évident sue diverses variantes @onstructives peuvent s'envisager sans, pour cela, s'écarter du cadre du présent brevet pouvant se caractériser par ce qui suite