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Dispositif de sécurité contrôlé par un régulateur de température pour machines servant au travail de polymères supérieurs organiques thermoplastiques, plus spécialement pour extrudeur.
La présente invention concerne un dispositif de sécurité contrôlé par un régulateur de température pour utilisation dans des machines pour le travail de hauts polymères organiques, thermoplastiques, plus spécialement
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pour extrudeurs selon le brevet principal, avec amenée de retour disposée danle circuit de réglage par la température pour la mise en circuit et/ou la mise hors circuit anticipatives de l'énergie de chauffage lors du réglage de cette température de chauffage,dans lequel dispositif de sécurité à chaque zone de chauffage de la machine on dispose des commutateurs auxiliaires magnétiques ou électroniques, qui sont placés l'un après l'autre dans le circuit électrique de contrôle du moteur d'actionnement,
et qui répondent lorsqu'on a atteint la température de réglage correspondante prédéterminée et ferment ainsi avec leurs contacts opératoires le circuit électrique de contrôle jusqu'au commutateur de départ.
Pour diminuer les retards des impulsions de réglage et les temps morts qui se produisent entre les limites de réglage contrôlées par la température, et qui sont basés sur ce que les modifications du courant d'énergie ne peuvent être observées qu'après un certain temps à l'endroit de mesure de la température et qu'ainsi les impulsions de réglage également ne sont données qu'avec un certain décalage, on emploie généralement les soi-disant "amenées de retour" ou "retours" dans le circuit de réglage, qui effectuent l'introduction ou la suppression anticipatives de l'énergie de chauffage lors du réglage de la température de chauffage.
Egalement dans les machines pour le traitement de hauts polymères organiques thermoplastiques, par exemple des extrudeurs, qui sont d'abord chauffés avant la mise en marche et qui ensuite pendant le fonctionnement travaillent à une température prédéterminée
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il est déjà connu de diminuer les fluctuations de température au-delà des limites prédéterminées vers le.haut et vers le bas, au moyen d'un tel retour en ramenant l'indication de la valeur de mesure du régulateur plus rapidement en direction de la valeur théorique, que celle qui correspond au déroulement de fait de la température à régler. De cette manière, la fréquence des commutations du régulateur augmente, les écarts de réglage sont diminués et la température est maintenue presque constante.
La disposition usuelle d'un tel retour présente cependant lors du chauffage de l'installation l'inconvénient que la valeur effective réelle à cause de la longue durée de chauffage par rapport aux durées de chauffage du processus de réglage, est faussée beaucoup plus fortement et le courant d'énergie est ainsi toujours supprimé avant d'atteindre les valeurs de réglage prédéterminées de la température, de sorte que la durée de chauffage pour la machine est prolongée d'une manière considérable.
Pour supprimer cet inconvénient, on propose selon la présente invention de disposer de manière insérable le retour pour la durée du chauffage, et.cela seulement lorsqu'on a atteint la température de réglage prédéterminée simultanément avec la fermeture du circuit de contrôle jusqu'au commutateur de départ du moteur d'actionnement. De plus, on peut disposer le retour en dépendance de la température prédéterminée de réglage automatiquement mise en circuit et hors de circuit. Le retour est connecté avec ce dispositif de sécurité
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1 -12 manière que les dispositifs auxiliaires de protection utilisés dans le dispositif de sécurité qui répondent lorsque la température de réglage a été atteinte, rendent ce retour effectif.
Lorsqu'on utilise un commutateur collectif qui comprend e éléments individuels de commutation assujettis à chaque zone de chauffage de la machine, on peut accoupler le retour avec le commutateur collectif.
La connexion et la suppression du retour peuvent se faire de diverses manières.
On peut d'une part effectuer la suppression du retour par court-circuitage de la partie de retour placée dans le circuit de mesure du régulateur de température et on peut effectuer la mise en circuit par suppression du court-circuit. De cette manière, l'alimentation de courants thermiques est assujettie au retour dans le régulateur. D'autre part, la suppression du retour peut se faire par interruption de la connexion du retour au réseau, afin d'empêcher une alimentation de courants thermiques provenant du retour dans le régulateur, si l'on renonce au contact de court-circuit pour shunter la partie du retour qui est placée dans le circuit de mesure du régula*; ; leur de température. La mise en circuit se fait alors en rétablissant la connexion avec le réseau.
L'avantage de cette solution du problème consiste en ce qu'aux contacts des organes auxiliaires de protection, en plus des tensions usuelles élevées de contrôle il n'y a pas de canalisations conduisant aux instruments sensibles de mesure.
De plus, la mise hors circuit du retour par insertion en parallèle de la partie du réseau prévue pour les deux positions
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. é.rlae du retour, peut se faire lorsque les deux possibili- '.-=? de commutation mentionnées ci-dessus ne sont pas utilisées.
L'atureilement, on doit faire remarquer que les deux courants e retour possèdent approximativement la même valeur., car les deu -aleurs de retour opposées sont environ de même grandeur 2 se compensent et ne conduisent aucune valeur résultante dans le circuit de mesure du régulateur de température. D'un autre côté, pour des valeurs inégales des deux influences de retour il existe la possibilité d'admettre pendant le chauffage une valeur différentielle résultante résiduaire dnas le circuit de mesure du régulateur de température, afin de par exemple mettre en action le régulateur, déjà avant d'atteindre la température effective prédéterminée, afin d'éviter une surchauffe par écoulement ultérieur de chaleur.
L'avantage de cette disposition consiste en ce que la durée de chauffge .e laisse considérablement diminuer de la manière la plus simple sans moyens ou dispositifs additionnels spéciaux.
Dans le dessin, on a illustré un exemple de réalisation de l'invention. On a choisi le même exemple que dans le brevet principal, avec les mêmes chiffres de référence.
Pour le chauffage de par exemple un cylindre extrudeur ou d'un autre corps de chauffe, même d'un tel où l'on utilise un agent d'échange de chaleur, on donne la tension aux phases de contrôle R' et S' par l'intermédiaire du transformateur 2 après fermeture du commutateur principal. Le courant passe maintenant de la phase de contrôle R' par le contact double
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:.¯ ¯ ¯..::¯t ï3 üeur manuel 5 mis en circuit., et par n Juateur 38 avec contact de réglage lui appartenant, vers la bobine de protection 8 et de là vers la phase de contrôle S' de retour. L'organe de protection 8 tire, ouvre son contact 9 et ferme sec contacts principaux 40.
Après que, au moyen du commutateur manuel usuel 4, 5 et 6, toutes les zones de chauffage ont été mises en circuit, le dispositif auxiliaire lent de protection 7 tire et ferme ainsi le contact 13 avec un retard de quelques secondes. Le dispositif de protection 7 servant de relais retardateur a pour but de shunter la durée d'exploration dans les régulateurs à étrier tombant. Dans les régulateurs électroniques des zones de chauffe, l'énergie de chauffage s'écoule par exemple vers l'organe de protection 8 par l'intermédiaire des contacts 40 vers les bandes de chauffage 41 du cylindre extrudeur. Le dispositif palpeur 42 de mesure de la température de cette zone de chauffage donne sa valeur de mesure par le contact de repos 36 du dispositif auxiliaire de protection 14 du régulateur 38.
En atteignant la température prédéterminée,¯le régulateur 38 effectue la commutation.- Le dispositif de protection 8 tombe. Les contacts principaux 40 coupent le passage d'énergie vers les bandes de chauffage 41. En même temps, le contact de repos 9 de l'organe de protection 8-est fermé. De cette manière, le dispcsLtif auxiliaire de protection 14 tire, et le courant de la phase de contrôle R' retourne par le contact de travail 13 et le contact de repos 9 vers la bobine de protection 14, et de là vers la phase de contrôle S'. En tirant le dispositif auxiliaire de protection 14, on ferme également le contact de travail 18 et on obtient ainsi le maintien automatique du dispositif auxiliaire de protection 14.
Avec la fermeture de son
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contact de travail 22, le dispositif auxiliaire de protection 14 est dans la position permettant le fonctionnement de l'ins- tallation. Simultanément, le contact 37 prévu dans le disposi- tif auxiliaire 14 ferme selon l'invention l'excitation du retour 39 au réseau. Le contact de repos 36 également prévu, s'ouvre et la tension de mesure du palpeur de mesure 42 de la température s'écoule maintenant par les éléments thermiques du retour 39, de sorte que la tension résultante du palpeur de mesure et du retour peut agir sur le régulateur 38. A chaque régulateur on attribue son propre retour, de sorte que la commutation possède la même disposition dans chaque zone de chauffe.
Dans le deuxième exemple de réalisation selon le brevet principal, la protection collective 33 pour toutes les zones de chauffe devrait présenter des contacts 36 et 37 et agir en conséquence.
REVENDICATIONS.
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