<Desc/Clms Page number 1>
La présente invention est relative à un ensemble formé, d'une part,
1 (par un siège à effet d'étanchéité variable et réglable)
2 d'autre part (par une ventouse ordinaire)
Cet ensemble (siège à effet d'étanchéité variable et reglable combiné, avec l'emploi d'une ventouse ordinaire), est employé ici, dans le but, de permettre l'emploi d'un tube central, surmonté lui-même,(d'un siège et d'une soupape) Ce tu- be central ayant pour effet lui, de remplacer dans un réservoir de chasse de w.C.
1 le siphon ordinairement employé pour permettre la vidange de ce réservoir dans le pot du W.C., où 2 la soupape de vidange dans les réservoirs de W.C siphonique ou autres.
L'invention sera décrite ci-dessous avec référence au dessin schématique annexé-.:: Cette minuterie se compose 1 (d'un siège 1 surmonté d'un corps cylindrique 2 taraudé ce qui permet dans le cas présent de la fixer au couvercle 29 au moyen de l'éorou 3
Ce siège 1 est percé au centre d'un trou 4 taraudé pour permettre 1' emploi d'une visse 5 qui, lorsqu'on lui imprime un mouvement de rotation, permet suivant le sens de celle-ci de comprimé où de décomprimé une soupape 1, (formée d'une pastille en caoutchouc) qui à sa face en contact avec le siège 1' (gauffrée légèrement) entre la visse 2. et la soupape 7 se trouve intercalée une pastille métallique 6 pour favoriser le glissement). et 2 : d'une ventouse en caoutchouc 10).
La minuterie ici décrite est employée, en combinaison avec d'autres organes pour permettre l'emploi d'un tube central en lieu et place d'un siphon, ou d'une sou- pape suivant le cas, dans un réservoir de chasse pour W.C.
Comme le représente le dessin,ce tube central est formé du tube 31 portant à sa partie inférieur, une colérette 32 contre laquelle s'appuie la rondelle en caout- chouc souple 25 formant soupape de retenue d'eau, au centre de ce tube 31 ce trouve emboité avec serrage, un crois sillon 34 servant de guide au tube 31 lorsqu'il're- pose sur le siège 26, (ceci par l'intermédiaire de la soupape 25¯ ce siège 26 est fixé au fond du réservoir de chasse, cette position représentée par le dessin, est celle correspondante à la position de tous les autres organes, quand le réser- voir 28 est plein d'eau.
A sa partie supérieur ce tube 31 est surmonté et fixé d'une façon étanche, à un boitier 23 ce boitier est fermé par le dessus au moyen d'un couvercle 19, qui lui est solidaire et ayant un bord retourné intérieurement 22 formant siège, contre lequel vient s'appliquer, la soupape 20 fixée au porte ventouse 12 par l'écrou 21.
Cette soupape 20 est percée sur sa périférie, d'entailles 24 et 24'qui permettrais si, (par accident le robinet servant au remplissage, venait à ne plus fermer), de laisser passer directement par le tube central 31, l'eau qui sans ce passage dé- borderais par le dessus du réservoir.
Au repos cette soupape 20 est retenue dans sa descente au milieu de la hauteur du boitier 23 par la goupille 27 solidaire du porte ventouse 12 cette goupille étant retenue elle-même par le couvercle 19.
L'espace annulaire 35 compris entre le diamètre du porte ventouse 12 et le diamè- tre intérieur du siège 22 étant calculé pour remplir cette mission.
Pour compléter ce mécanisme de chasse, (au moyen d'un levier 14 portant deux tou- rillons 15 emboité dans deux encoches 16 pratiquées de part et d'autre dans les parois du réservoir 28), et qui s'emboîte dans une lumière 13 pratiquée dans le porte ventouse 12, il est facile de comprendre que si, une traction est opérée au moyen de la poignée 17 et de sa chaînette 17', sur l'extrémité 30 du levier 14 auquel ces deux organes sont reliés,ceci provoquera le pivotage de ce levier 14, (qui du fait que son autre extrémité est engagée dans le porte ventouse 12) va naturellement faire levé ce porte ventouse, ainsi que celle-ci mais avant que la ventouse ne soit amenée contre le siège 1,
la soupape 20 à rencontré le siège 22
<Desc/Clms Page number 2>
ce qui empêche toute rentrée d'air, par le haut du tube 31, la traction étant con- tinuée, la ventouse vient rencontré ensuite le siège 1 sous l'effet de la près- sion exercée sur la ventouse, celle-ci s'affaise, l'air contenu dans la chambre creuse 9 que forme celle-ci, quand elle est contre le siège 1 est chassé, et quand cette ventouse est tout à fait applatie contre le siège 1 si on cesse la traction sur la poignée 17, cette ventouseveut reprendre sa forme première.
Mais si le siège est bien plat et lisse, et d'autre-part, si le bord de la ventouse en contact avec ce siège est également bien plat, la ventouse pourais dans ce cas resté collée et cela pendant un temps plus ou moins long.
C'est ici qu'intervient l'effet de "l'entrée d'air réglable objet principal", de cette demande de brevet.
Si au moment ou la traction sur la chainette est exercée, et si également à ce moment au moyen de la visse.2 on à comprimé la soupape en caoutchouc 7 contre le siège 8, toute rentrée d'air venant de l'extérieur est donc empêchée par le pas- sage ménagéà cet effet dans le filet de la visse 5 ou même simplement par le jeu de celle-ci dans l'écrou que forme le trou central taraudé 4 cet air pouvant par le trou 11 venir comblé le vide que crée la ventouse 10 en voulant reprendre sa position lère indiquée par le dessin, il est donc facile de comprendre que lorsque par le désserrage de la visse 1 on aura libéré progressivement la soupape en caout- chouc 7 ce passage d'air venant de l'extérieur, poura être réglé de façon tel, que même à une seconde près, il est possible de limiter,
le temps pendant lequel la ventouse restera adérente au siège 1 et de ce fait même tenir levé le tube 31 portant la soupape 25 pendant le temps nécessaire, pour effectuer la vidange complète du réservoir 28.
REVENDICATIONS.
1 Minuterie, caractérisée par le fait qu'elle nécessite pour sa réa- lisation, (un siège normalement bien plat, mais munis d'un robinet, de forme qui peut être quelconque, très sensible, permettant de doser d'une façon parfaite la quantité d'air nécessaire devant rentré pour combler le vide crée par la ventouse quand celle-ci après avoir été aplatie contre lui, est ensuite livrée à elle-même) dans le but qu'elle reprenne sa position primitive, mais cela après être restée adérente au siège pendant le temps nécessaire pour remplir l'office pour lequel elle est employée.