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La présente invpnti.on est à<>1 ?1;iv<# de nouvelles nrÉn-- ,. j rations fongicides contef.pnt. un sE:-! de cuivre bisifinr, et à 11'1 fabrication d cos pr6pnw tions.
Lp présente invention fnurni.t un nouvelle nr< r:=ration fon- gicide comprenant des -orrticiil-e.-3 4P cr. hon¯t 'dp nvtfJ.l alcaline- terreux chacune de ces particulDs 'tant pnY'obtp d'une pellicln continue d'un sel de cuivre b:: siour fongicide.
T'expression '"m4tal- p ICD Ij. TI0-t-'1'reux" '.1t,.lis"" ici, n" désigne que le YaFgn'sium, le cE,icill'1., le Htr'')ntiu''n on 10 bryur\1.
Suivant 1'" présente invt:'Y'tion, 1-: n:J11vel1., Drortion fongicides sont '- nrinPS en traitant un" '-1r'1111tj."'I!'1. p,n1Jf"'USr> {l'un sel cuivrique soluble dans 13APu par un'" iyrnt3t de C"'rbnhF:tE:, do
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métal alcalino-terreux finement divisé en excès par rapport à la quantité nécessaire pour transformer le sel cuivrique en sel basi- que correspondant, de manière à former une suspension aqueuse de particules de carbonate de métal alcalino-terreux, chacune de ces particules étant enrobée d'une pellicule continue d'un sel de cuivre basique fongicide.
Le carbonate de métal alcalino-terreux au cours de ce traitement sert à la fois de précipitant alcalin et de véhicule pour le composé de cuivre précipité; l'excès à utiliser doit être calculé d'après la teneur en cuivre désirée du produit final, qui est comprise entre 1 et 20% de cuivre ,dans .les qualités commerciales habituelles.
La suspension aqueuse de particules enrobées peut être utilisée telle quelle comme liquide de pulvérisation, de préférence, après addition d'un agent collant et/ou d'un agent de suspension et/ou d'un agent mouillant. De préférence, cependant, les particules enrobées sont séparées de la suspension aqueuse et lavées. Les particules lavées sont ensuite préparées avec de l'eau en une pâte ou en une suspension concentrée, de préférence avec addition d'un agent collant et/ou d'un agent de,suspension et/ou d'un agent mouillant. Cette pâte ou cette suspension concentrée peut être faci- lement diluée avec de l'eau lorsqu'elle doit servir de liquide de pulvérisation.
Dans un autre mode d'exécution de l'invention, les parti- cules de carbonate de métal alcalino-terreux enrobées du sel de cuivre basique, sont séparées sous forme anhydre de la suspension aqueuse dans laquelle elles sont formées en premier lieu, et elles sont utilisées comme poudre pour le poudrage. Cette poudre s'écoule librement sans colmater les gicleurs et ne se divise pas en parties ayant des teneurs en cuivre différentes sous l'action d'éventement du dispositif de poudrage.
Il a été possible au moyen des poudres enrobées de cuivre, cornue décrit ci-dessus, de réduire considérablement la quantité-de
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cuivre nécessaire par arc pour enrayer de manière efficace une attaque de fongus. L'application de doses de cuivre très faibles par are peut être effectuée de deux façons différentes: soit en rédui- sant la teneur en cuivre de la poudre enrobée de cuivre, soit en réduisant la quantité de poudre enrobée dispersée par are.
Le premier mode est très réalisable, parce qu'il n'est pas difficile de fabriquer une poudre enrobée ayant une très faible teneur en cuivre (par exemple 1% contre les 4% habituels) en utilisant, dans le procédé, un excès plus élevé correspondant de carbonate de métal alcalino-terreux, mais pour réduire le mélange qui a réagi en poudre sèche, il est nécessaire d'éliminer une grande masse d'eau par séchage, ce qui rend la fabrication coûteuse.
Si l'on choisit l'autre alternative, c'est-à-dire si on essaye d'utiliser une poudre enrobée ayant une teneur en cuivre voisine de la teneur habituelle (par exemple 4%) et de la répandre sur le terrain suiva.nt un taux par arpent (40,47 ares) inférieur au taux habituel (par exemple une livre (0,45 kg) au lieu de 5 livres (2,26 kg) ), on se heurte à un autre obstacle. Dans la plupart des machines de poudrage de conception connue, le débit de la poudre ne peut pas être restreint à volonté au-dessous d'une certaine limite qui est approximativement de 5 livres de poudre par arpent.
Une restriction plus poussée arrêtera la poudre ou entraînera un débit non uniforme et souvent interrompu.
On a trouvé à présent que ces deux difficultés peuvent être surmontées en préparant en premier lieu une poudre enrobée, ayant une teneur en cuivre supérieure celle qu'on compte appliquer au terraincomme décrit ci-dessus, et en diluant mécaniquement la poudre par un véhicule solide finement divisé jusqu'à la. teneur désirée en cuivre.
Par conséquent, ce mode d'exécution de la présente inven- tion procure un procédé perfectionné de fabrication d'une poudre fongicide,, dans lequel on traite la solution aqueuse d'un sel cuivrique soluble dans l'eau par un carbonate finement divisé
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d'un métal alcalino-terreux, en quantité dépassant, modérément de préférence, la quantité nécessaire pour transformer le sel cuivrique en sel basique correspondant, de manière à former une suspension aqueuse de particules d'un carbonate de métal alcalino-terreux, chacune des particules étant enrobée d'une pellicule continue d,'un sel de cuivre basique fongicide ;
on sépare les particules enrobées sous forme d'une poudre sèche de la solution, et on dilue la poudre en la mélangeant intimement par un diluant solide finement divisé, et de préférence par une quantité d'un diluant solide inerte, fine- ment divisé suffisante pour produire une masse de poudre assez gran- de pour être répandue de manière uniforme par une machine de poudra- gesuivant un taux de cuivre désiré par arpent.
Ce mode d'exécution de l'invention procure également une poudre fongicide améliorée comprenant des particules d'un carbonate de métal alcalino-terreux, chaque particule étant enrobée d'une pellicule continue d'un sel basique fongicide, ces particules étant intimement mélangées avec les particules d'un diluant solide finement divisé. Le diluant est de préférence broyé en particules ayant approximativement les mêmes dimensions que celles des parti- cules enrobées, et il a de préférence également une densité et un poids apparent comparables à ceux de la matière enrobée. Des diluants bien connus, comme le carbonate de calcium, le phosphate de calcium, la silice, le talc,'le kaolin, etc., peuvent être utilisés.
On obtient de bons résultats en choisissant pour diluant la même matière que celle utilis!ée dans la réaction par laquelle on forme la matière enrobée ; par exemple, si on fait réagir du carbonate de calcium précipité en suspension aqueuse avec du chlorure de cuivre, la matière enrobée résultante après lavage et séchage peut être diluée par la quantité appropriée de la même qualité de carbonate de calcium précipité pour obtenir une poudre fongicide de teneur en cuivre désirée.
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On peut ajouter de.petites quantités de matières compati- bles destinées à améliorer les propriétés d'adhérence et de disper- sion de la poudre.
Les préparations suivant ce mode d'exécution sont supé- rieures aux mélanges mécaniques connus d'un composé de cuivre actif et d'un véhicule solide parce que dans les premières, le composé de cuivre actif est étendu sous forme d'une mince pellicule sur la particule du véhicule et expose ainsi une plus grande surface active, tandis que dans les mélanges mécaniques, le composé de cuivre actif forme des particules lui-même et offre une surface active beaucoup plus petite.
L'avantage des poudres de cuivre diluées par rapport aux poudres enrobées non diluées de très faible teneur en cuivre, réside dans le fait que les nouvelles préparations rendant possible d'appliquer à la récolte des taux extrêmement faibles de cuivre sans devoir utiliser des quantités importantes de diluant dans les phases humides du procédé- Le mélange sec de la poudre enrobée initiale avec le diluant ne doit pas être fait à. l'endroit même où la poudre initiale est fabriquée; ce mélange peut, par exemple, être effectué à l'endroit où il faut répandre la préparation finale, ce qui peut avoir en outre l'avantage d'économiser le coût de transport du diluant.
La poudre sèche, particulièrement la, poudre non diluée, ne doit pas nécessairement être appliquée par poudrage, mais elle peut aussi être agitée avec de l'eau pour former une suspen- sion aqueuse, de préférence evec addition d'un agent collant et/ou d'un agent de suspension et/au d'un agent mouillant. Les agents mouillants qu'on peut mentionner comprennent les alka.ryl-sulfonates et les produits de condensation d'alkylphénols avec des polyéthylèn' oxyglycols.
Des agents de suspension ou défloculants appropriés, sont le triphosphate de sodium, les polyphosphates tels que le polymétaphosphate de sodium et les produits de condensation
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naphtalène-formaldéhyde sulfonés, comme ceux vendus .sous la marqua "Belloid T.D. par Geigy.
Des agents collants appropriés; qui peuvent eux-mêmes avoir certaines propriétés mouillantes et de suspension, sont les déchets de cellulose au sulfite, les éthers cellulosiques solubles dans l'eau comme ceux vendus sous la marque "Cellofas A" par Imperial Chemical Industries Limited, le sel de sodium de l'acide cellulose-glycollique, par exemple la matière, vendue sous la marque "Cellofas B" par Imperial Chemical Industries
Limited, les caséinates tels que le caséinate de sodium, la dextrine, la gélatine, l'amidon soluble et la colle animale.
Les sels de cuivre solubles appropriés pour le procédé de l'invention, comprennent le chlorure,, le sulfate.* le nitrate et l'acétate cuivriques. Le carbonate de calcium est le carbonate de métal alcalino-terreux le moins cher et le plus facilement obtenu.
Le calcaire et la craie broyés, par exemple la qualité connue sous le nom de Creta Preparata". sont appropriés,de même que le carbonate précipitéde solutions de chlorure de calcium par du carbonate de sodium, ou la matière obtenue au cours de l'adoucisse- ment de l'eau par le procédé de traitement de l'eau contenant du: ,bicarbonate de sodium par la chaux; cette matière comprend le précipité''obtenu qui consiste principalement en carbonate de calcium et de quantités variables, mais faibles, de carbonate de magnésium et qui par séchage donne une matière en particules de dimensions uniformes qui s'écoule et qui se disperse facilement.
Toutes ces matières,,doivent si nécessaire, être broyées au préalable, de préférence, jusqu'à une finesse telle que 90% traversent un crible à 200 mailles I.M.M.. D'autres matières appropriées comprennent le carbonate de magnésium précipité, la magnésite broyée, la dolomite ' et le carbonate de baryum.
Le procédé n'exige pas d'appareillage chimique compliqué, . Lorsqu'on utilise, par-exemple, du chlorure de cuivre et du carbo- nate de calcium, la réaction peut être effectuée dans une cuve ou- verte munie d'un agitateur efficace, de préférence, en mettant la
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solution de sel de cuivre dans un magma de carbonate de calcium et d'eau. Le dioxyde de carbone s'échappe et aucun apport extérieur de chaleur n'est nécessaire; le mélange est chauffé par la chaleur dégagée par la réaction. Un refroidissement temporaire peut être nécessaire pour régler la réaction, dont l'achèvement est indiqué par la cessation du dégagement de dioxyde de carbone et par la décoloration de la phase liquide.
Lorsque le sel de cuivre soluble est le sulfate, il se forme du sulfate de calcium dans la réaction et tend à recouvrir partiellement la surface du carbonate de calcium et de ralentir ainsi le processus ou même de l'arrêter. Ceci peut être évité en maintenant la température au cours de la réaction à 60 C ou plus.
, Le sulfate de calcium forme se dépose avec le précipité de cuivre et se comporte comme véhicule, en addition à l'excès de carbonate de. calcium.
Certains autres sels de cuivre peuvent également nécessi- ter un certain chauffage du mélange afin de faire démarrer la réaction.
La suspension résultante de la réaction peut être trans- formée de différentes façons en poudre sèche. La liqueur mère peut, par exemple, être éliminée par décantation ou par filtration, opération qui est suivie, lorsqu'on utilise le chlorure de cuivre dans la réaction, de lavage de laphase solide jusqu'à ce qu'elle soi exempte de chlorure de calcium qui rendrait le produit final hygroscopique. Le chlorure, au lieu d'être éliminé par lavage, peut être transformé en sulfate inoffenif en ajoutant un sulfate de métal alcalin à la liqueur mère ou à l'eau de lavage.
Le gâteau de filtration peut ensuite être. séché,.par un procédé quelconque connu, mais il faut veiller, en tout cas, à maintenir la température de séchage au-dessous de 110 C pour éviter la déshydratation du sel de cuivre basique.
Une autre façon de traiter la suspension consiste à la
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sécher en masse, c'est-à-dire sans séparation préalable au sédi- ment de la liqueur mère. Ce procédé, bien sûr, laisse tous les constituants non volatils du liquide dans le produit final, et il est même plus important dans ce cas que dans le procédé décrit ci-dessus que tout chlorure de calcium dans le liquide soit trans- formé en sulfate avant le séchage. Le séchage en pellicules est préféré, parce qu'il donne une poudre très fine sans broyage.
Les exemples suivants sont donnés pour illustrer le procédé de la présente invention.
EXEMPLE1.-
On mélange 970 livres (439,9 kg) de craie précipitée avec 200 gallons (909,2 1) d'eau dans un précipité ouvert pour former un magma fluide et on ajoute rapidement 50 gallons (227,30 1) d'une solution aqueuse contenant 127 livres (57,59 kg) de CuC12 avec ' agitation mécanique. Il se dégage du dioxyde de carbone, et après une demi heure la réaction est achevée, ainsi qu'on peut en juger par l'absence de cuivre soluble. On filtre le magma résultant dans un filtre à vide et on lave le gâteau de filtration à l'eau jusqu'à. ce que le filtrat soit exempt de chlorure de calcium.
Le gâteau de filtration est séché à 100 C dans un séchoir à plateaux et broyé dans un broyeur à marteaux et pour donner 990 li vres (449 kg) d'une poudre verte s'écoulant librement, contenant 6,1% de cuivre sous forme d'un sel basique.
EXEMPLE 2.-
On mélange 100 livres (45,4 kg) de la poudre enrobée de cuivre préparée comme dans l'exemple 1 avec 500 livres (226,7 kg) de craie précipitée de la même qualité que celle utilisée pour fabri- quer la poudre enrobée de cuivre. On obtient une poudre diluée contenant environ 1% de cuivre sous forme d'un sel basique, qu'on peut répandre uniformément sans difficulté, à l'aide d'une machine de poudrage sur une réclote à un taux aussi faible que 1 once de cuivre par arpent (soit 0,7 g environ par are).
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The present invpnti.on is at <> 1? 1; iv <# of new nrÉn--,. j fungicidal rations count. a sE: -! of bisifinished copper, and to 11'1 manufacture of cos preparations.
The present invention fnurni.t a novel nr <r: = fungicidal ration comprising -orrticiil-e.-3 4P cr. Each of these particulars being obtained from a continuous film of a copper salt b :: siour fungicide is all alkaline earthy hon¯t 'dp nvtfJ.l.
The expression '"m4tal- p ICD Ij. TI0-t-'1'reux"' .1t, .lis "" here, n "designates only YaFgn'sium, cE, icill'1., Htr ' ') ntiu''n on 10 bryur \ 1.
Next 1 '"present invt:' Y'tion, 1-: n: J11vel1., Drortion fungicides are '- nrinPS by treating a"' -1r'1111tj. "'I!' 1. P, n1Jf" 'USr> {a copper salt soluble in 13APu by a '"iyrnt3t of C"' rbnhF: tE :, do
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an alkaline earth metal finely divided in excess with respect to the amount necessary to convert the cupric salt into the corresponding basic salt, so as to form an aqueous suspension of particles of alkaline earth metal carbonate, each of these particles being coated with a continuous film of a fungicidal basic copper salt.
The alkaline earth metal carbonate during this treatment serves both as an alkaline precipitant and as a vehicle for the precipitated copper compound; the excess to be used should be calculated from the desired copper content of the end product, which is between 1 and 20% copper, in usual commercial grades.
The aqueous suspension of coated particles can be used as such as a spray liquid, preferably after addition of a tackifying agent and / or a suspending agent and / or a wetting agent. Preferably, however, the coated particles are separated from the aqueous suspension and washed. The washed particles are then prepared with water into a paste or a concentrated suspension, preferably with the addition of a tackifier and / or a suspending agent and / or a wetting agent. This paste or suspension concentrate can easily be diluted with water when it is to serve as a spray liquid.
In another embodiment of the invention, the alkaline earth metal carbonate particles coated with the basic copper salt are separated in anhydrous form from the aqueous suspension in which they are first formed, and they are formed. are used as powder for dusting. This powder flows freely without clogging the nozzles and does not divide into parts having different copper contents under the venting action of the powdering device.
It has been possible by means of the copper coated powders, retort described above, to considerably reduce the quantity of
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copper required per arc to effectively suppress a fungus attack. The application of very low doses of copper per are can be carried out in two different ways: either by reducing the copper content of the copper coated powder, or by reducing the amount of coated powder dispersed per are.
The first mode is very feasible, because it is not difficult to make a coated powder having a very low copper content (for example 1% against the usual 4%) using, in the process, a higher excess. corresponding alkaline earth metal carbonate, but to reduce the reacted mixture to a dry powder, it is necessary to remove a large mass of water by drying, which makes the manufacture expensive.
If we choose the other alternative, that is to say if we try to use a coated powder with a copper content close to the usual content (for example 4%) and to spread it on the ground following .nt a rate per arpent (40.47 ares) lower than the usual rate (for example one pound (0.45 kg) instead of 5 pounds (2.26 kg)), one comes up against another obstacle. In most powder coating machines of known design, the flow rate of the powder cannot be restricted at will below a certain limit which is approximately 5 pounds of powder per acre.
Further restriction will stop the powder or cause uneven and often interrupted flow.
It has now been found that these two difficulties can be overcome by first preparing a coated powder, having a copper content higher than that which is intended to be applied to the soil as described above, and by mechanically diluting the powder with a solid vehicle. finely divided up to the. desired copper content.
Accordingly, this embodiment of the present invention provides an improved method of making a fungicidal powder, in which the aqueous solution of a water-soluble cupric salt is treated with a finely divided carbonate.
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of an alkaline earth metal, in an amount exceeding, moderately preferably, the amount necessary to transform the cupric salt into the corresponding basic salt, so as to form an aqueous suspension of particles of an alkaline earth metal carbonate, each of the particles being coated with a continuous film of a fungicidal basic copper salt;
the coated particles are separated in the form of a dry powder from the solution, and the powder is diluted by mixing it thoroughly with a finely divided solid diluent, and preferably with a sufficient amount of an inert, finely divided solid diluent to produce a mass of powder large enough to be evenly spread by a powdering machine at a desired copper level per acre.
This embodiment of the invention also provides an improved fungicidal powder comprising particles of an alkaline earth metal carbonate, each particle being coated with a continuous film of a basic fungicidal salt, these particles being intimately mixed with. particles of a finely divided solid diluent. The diluent is preferably ground to particles having approximately the same dimensions as those of the coated particles, and it also preferably has a density and bulk weight comparable to that of the coated material. Well known diluents, such as calcium carbonate, calcium phosphate, silica, talc, kaolin, etc. can be used.
Good results are obtained by choosing for diluent the same material as that used in the reaction by which the coated material is formed; for example, if precipitated calcium carbonate in aqueous suspension is reacted with copper chloride, the resulting coated material after washing and drying can be diluted with the appropriate amount of the same grade of precipitated calcium carbonate to obtain a fungicidal powder desired copper content.
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Small amounts of compatible materials can be added to improve the adhesion and dispersion properties of the powder.
The preparations according to this embodiment are superior to the known mechanical mixtures of an active copper compound and a solid vehicle because in the former, the active copper compound is spread as a thin film over it. particle of the vehicle and thus exposes a larger active surface area, whereas in mechanical mixtures the active copper compound forms particles itself and provides a much smaller active surface.
The advantage of diluted copper powders over undiluted, very low copper content coated powders is that the new preparations make it possible to apply extremely low copper levels to the crop without having to use large amounts. of diluent in the wet phases of the process - Dry mixing of the initial coated powder with the diluent does not have to be done. the place where the initial powder is made; this mixing can, for example, be carried out at the point where the final preparation is to be spread, which can have the further advantage of saving the cost of transporting the diluent.
The dry powder, particularly the undiluted powder, need not necessarily be dusted, but it can also be stirred with water to form an aqueous suspension, preferably with the addition of a tackifier and /. or a suspending agent and / or a wetting agent. Wetting agents which may be mentioned include alka.ryl-sulfonates and condensation products of alkylphenols with polyethylenoxyglycols.
Suitable suspending or deflocculating agents are sodium triphosphate, polyphosphates such as sodium polymetaphosphate and condensation products.
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Sulfonated naphthalene-formaldehyde, such as those sold under the brand name "Belloid T.D. by Geigy.
Appropriate tackifiers; which themselves may have certain wetting and suspending properties are waste sulphite cellulose, water soluble cellulose ethers such as those sold under the trademark "Cellofas A" by Imperial Chemical Industries Limited, sodium salt of cellulose-glycollic acid, for example the material, sold under the trademark "Cellofas B" by Imperial Chemical Industries
Limited, caseinates such as sodium caseinate, dextrin, gelatin, soluble starch and animal glue.
Soluble copper salts suitable for the process of the invention include cupric chloride, sulfate, nitrate and acetate. Calcium carbonate is the cheapest and most easily obtained alkaline earth metal carbonate.
Ground limestone and chalk, for example the grade known as Creta Preparata ". Are suitable, as is carbonate precipitated from solutions of calcium chloride by sodium carbonate, or the material obtained during softening. - ment of water by the process of treating water containing:, sodium bicarbonate with lime; this material comprises the precipitate '' obtained which consists mainly of calcium carbonate and variable, but small amounts of magnesium carbonate and which on drying yields a particulate material of uniform size which flows and disperses easily.
All of these materials, if necessary, should be pre-milled, preferably to a fineness such that 90% passes through a 200 mesh IMM screen. Other suitable materials include precipitated magnesium carbonate, milled magnesite, dolomite 'and barium carbonate.
The process does not require complicated chemical equipment,. When, for example, copper chloride and calcium carbonate are used, the reaction can be carried out in an open vessel fitted with an efficient stirrer, preferably with
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solution of copper salt in a magma of calcium carbonate and water. Carbon dioxide escapes and no external heat input is necessary; the mixture is heated by the heat given off by the reaction. Temporary cooling may be necessary to control the reaction, the completion of which is indicated by the cessation of evolution of carbon dioxide and by the discoloration of the liquid phase.
When the soluble copper salt is sulfate, calcium sulfate is formed in the reaction and tends to partially cover the surface of calcium carbonate and thereby slow down the process or even stop it. This can be avoided by maintaining the temperature during the reaction at 60 ° C or more.
The calcium sulphate formed is deposited with the copper precipitate and behaves as a vehicle, in addition to the excess carbonate. calcium.
Certain other copper salts may also require some heating of the mixture in order to start the reaction.
The suspension resulting from the reaction can be converted into a dry powder in various ways. The mother liquor can, for example, be removed by decantation or by filtration, which operation is followed, when copper chloride is used in the reaction, washing the solid phase until it is free of copper chloride. calcium which would make the final product hygroscopic. Chloride, instead of being washed away, can be transformed into harmless sulfate by adding an alkali metal sulfate to the mother liquor or the wash water.
The filter cake can then be. dried, .by any known process, but care must be taken in any case to maintain the drying temperature below 110 ° C. to avoid dehydration of the basic copper salt.
Another way to deal with the suspension is to
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bulk drying, that is to say without prior separation from the mother liquor to sediment. This process, of course, leaves all of the non-volatile constituents of the liquid in the final product, and it is even more important in this case than in the process described above that any calcium chloride in the liquid is converted to sulfate. before drying. Film drying is preferred because it gives a very fine powder without grinding.
The following examples are given to illustrate the process of the present invention.
EXAMPLE 1.-
970 pounds (439.9 kg) of precipitated chalk are mixed with 200 gallons (909.2 L) of water in an open precipitate to form a fluid magma and 50 gallons (227.30 L) of a solution are quickly added. aqueous containing 127 lbs (57.59 kg) CuCl2 with mechanical agitation. Carbon dioxide is given off, and after half an hour the reaction is complete, as can be seen from the absence of soluble copper. The resulting magma is filtered through a vacuum filter and the filter cake is washed with water until. that the filtrate is free from calcium chloride.
The filter cake is dried at 100 ° C in a tray dryer and crushed in a hammer mill to give 990 lb (449 kg) of a free-flowing green powder containing 6.1% copper as. of a basic salt.
EXAMPLE 2.-
100 pounds (45.4 kg) of the copper coated powder prepared as in Example 1 was mixed with 500 pounds (226.7 kg) of precipitated chalk of the same grade used to make the coated powder. copper. A dilute powder containing about 1% copper is obtained in the form of a basic salt, which can be spread evenly without difficulty, using a powdering machine on a reclote at a rate as low as 1 ounce of copper per acre (approximately 0.7 g per are).