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BE518213A - - Google Patents

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BE518213A
BE518213A BE518213DA BE518213A BE 518213 A BE518213 A BE 518213A BE 518213D A BE518213D A BE 518213DA BE 518213 A BE518213 A BE 518213A
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BE
Belgium
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cylinder
axis
oscillation
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fluid
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Publication of BE518213A publication Critical patent/BE518213A/fr

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    • DTEXTILES; PAPER
    • D06TREATMENT OF TEXTILES OR THE LIKE; LAUNDERING; FLEXIBLE MATERIALS NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
    • D06FLAUNDERING, DRYING, IRONING, PRESSING OR FOLDING TEXTILE ARTICLES
    • D06F37/00Details specific to washing machines covered by groups D06F21/00 - D06F25/00
    • D06F37/20Mountings, e.g. resilient mountings, for the rotary receptacle, motor, tub or casing; Preventing or damping vibrations
    • D06F37/22Mountings, e.g. resilient mountings, for the rotary receptacle, motor, tub or casing; Preventing or damping vibrations in machines with a receptacle rotating or oscillating about a horizontal axis
    • D06F37/225Damping vibrations by displacing, supplying or ejecting a material, e.g. liquid, into or from counterbalancing pockets

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Centrifugal Separators (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



   DISPOSITIF POUR L'EQUILIBRAGE DES CUVES TOURNANTES DE LAVAGE ET D'
ESSORAGE. 



   La présente invention a pour objet des perfectionnements aux dispositifs automatiques d'équilibrage dans lesquels on se sert d'un liquide pour rétablir l'équilibre d'une cuve tournante et plus particulièrement afin de compenser ou de corriger les défauts d'équilibre des cylindres de lavage ou de séchage tournant autour d'axes horizontaux, du type utilise dans les blanchisseries et dans les installations de nettoyage à sec. De tels cylindres comprennent généralement une paroi cylindrique perforée portant une série de nervures de brassage périphériques s'étendant longitudinalement entre les extrémités de ce cylindre. 



   Lorsqu'on utilise une cuve tournante de ce genre pour le séchage des vêtements, il est difficile de répartir également le poids de la charge qui y est placé pour traitement et il en résulte, en raison de,l'action des forces centrifuges non équilibrées, que le cylindre aura une tendance à vibrer dangereusement pour les vitesses de rotation les plus élevées appliquées en cours d'essorage. 



   L'invention a par suite pour objet une machine de ce type comportant des moyens nouveaux, simples et efficaces qui compenseront automati-   quement   toute charge mal équilibrée de la machine ou tout déséquilibre dynamique dû à d'autres causes. 



   D'autres objets de l'invention apparaîtront d'une manière évidente et d'autres encore seront indiqués ci-après. 



   L'invention couvre par-suite les caractéristiques de construction, de disposition des éléments et de fonctionnement, décrites ci-dessous. 



  D'une manière plus précise, l'appareil conforme à l'invention comprend, en combinaison avec un cylindre d'essorage ou de lavage, tournant autour de supports horizontaux, des moyens pour assurer un mouvement latéral du cylindre par rapport à sa position normale dès que le cylindre n'est plus en équilibre dynamique, lesdits moyens comprenant des organes oscillants servant à la suspension des supports horizontaux du cylindre sur des supports fixes,   grâ-   

 <Desc/Clms Page number 2> 

 ce à quoi le cylindre peut osciller dans le sens latéral à la manière d'un pendule autour des supports fixes, la longueur de pendule pouvant être assez courte pour obtenir une vibration rapide de fréquence donnée qui ne soit pas en résonance avec la fréquence propre de vibration du cylindre sous   l'effet .   de la rotation aux vitesses normales.

   



   On a représenté à titre d'exemple aux dessins ci-joints une forme d'exécution préférée de l'inventions Sur ces dessins: - la figure 1 est une coupe verticale prise suivant la ligne de coupe I-I de la figure 2 avec arrachement du support proprement dit; - la figure 2 est une vue partielle par la gauche et suivant la ligne 2-2 de la figure 1, certains organes étant représentés arrachés ; - la figure 3 est une coupe longitudinale à plus grande échellesuivant la ligne 3-3 de la figure 2 et représentant les supports du cylindre avec plus de détail, d'autres organes étant représentés arrachés; - la figure 4 est une vue de bout à plus grande échelle avec coupe partielle verticale suivant la ligne 4-4 de la figure l, l'enveloppe étant supposée partiellement arrachée ; - la figure 5 est une vue de détail à plus grande échelle suivant la ligne 5-5 de la figure 1;

   - la figure 6 est une vue en coupe avec arrachement suivant la ligne 6-6 de la figure 1; - la figure 7 est une vue en coupe verticale suivant la ligne   7-7 -   de la figure   4;   - la figure 8 est une coupe verticale du bâti et des portées recevant l'arbre d'entraînement du cylindre et l'arbre excentrique qui lui est associé, cette coupe étant faite.suivant .la ligne   8-8.- de.   la-figure 3; et - la figure 9 représente en coupe verticale une soupape suivant la ligne de coupe 9-9 de la figure 7. 



   Des chiffres de référence analogues désignent les mêmes éléments sur toutes les figures. 



   Avant de décrire en détail l'appareil représenté, on va d'abord rappeler brièvement les nombreux efforts faits jusqu'à présent par des ingénieurs et d'autres personnes qualifiées pour améliorer le fonctionnement des cylindres tournants de lavage et des cuves tournantes de séchage ou d'essorage afin d'assurer d'une manière satisfaisante les résultats visés ci-dessus. 



  On est arrivé à de bons résultats à ce point de vue dans le cas des   essoreu-   ses verticales centrifuges et l'on a-égalemént étudié jusqu'à un certain point l'équilibrage des.  cylindres.-d'essoreuses   horizontaux. 



   Dans la première catégorie correspondant aux essoreuses centrifuges verticales, on a prévu, entre autres, l'addition automatique   d'un   fluide d'équilibrage du côté le plus léger ou l'extraction de ce fluide du côté le plus lourd de paniers déséquilibrés tournant autour d'axes verticaux. Dans de tels dispositifs, la commande automatique de l'écoulement du fluide en vue de l'équilibrage dépendait de l'importance du flottement ou de l'excentricité du panier par rapport à son axe normal de rotation à la suite principale- ' ment d'un chargement non équilibré du panier.

   De tels dispositifs convenant aux essoreuses verticales ne peuvent facilement être appliqués dans le cas de cylindres tournant autour d'axes horizontaux, et en particulier là où, comme dans le cas actuel, les forces centrifuges dues à un déséquilibre doivent être appliquées, directement pour assurer le fonctionnement des dispositifs   @   de commande du fluide d'équilibrage. 



   On a déjà effectué quelques essais pour arriver aux résultats désirés dans le cas de machines horizontales à laver ou à essorer, ces machines comportant des arbres de cylindre tournant à la manière habituelle dans des supports fixes; les vibrations dues au manque d'équilibre du tambour tournant 

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 ou de son enveloppe ou même du prolongement de l'arbre du tambour étant déce- lées par un appareillage électrique délicat qui transmet, par des   interrup-   teurs et des amplificateurs électroniques, un potentiel électrique suffisant pour agir sur des soupapes électromagnétiques commandant elles-mêmes l'ad- mission du fluide dans des réservoirs d'équilibrage portés par le cylindre tournant. Les dispositifs commandés par vibration du type ci-dessus sont ex- trêmement délicats et leur prix est inutilement élevé.

   Ces dispositifs deman- dent-une grande surveillance qui entraîne à de grands frais et ils présentent généralement un inconvénient majeur en raison de la nécessité de fixer soli- dement les machines au plancher de l'atelier ou d'utiliser des montages élastiques. 



   Au cours des recherches qui ont abouti à la présente invention, on a cherché à découvrir des moyens sensibles au déséquilibre de la charge et susceptibles d'appliquer des forces centrifuges de déséquilibre directement au mécanisme compensateur à faire fonctionner. On a imaginé de   nombreux   moyens indirects pour arriver à ce résultat, mais ces moyens ne sont révélés insuffisants et, de plus, aucun d'eux ne semblait résoudre le problème d'une manière satisfaisante. Ce que l'on recherchait était un dispositif commandé par le cylindre lui-même et associé en cas de déséquilibre à un point de repère fixe, tel par exemple que l'axe support de la masse tournante de la cuve. 



   L'utilisation de rais élastiques pour porter le cylindre semblait une voie d'accès tout indiquée pour arriver à la solution du problème. Ceci permettrait au panier d'être amené en position excentrique par rapport à son propre arbre d'entraînement sous l'effet d'une charge excentrique. Un tel déplacement agirait alors directement sur un mécanisme sans avoir recours à une source d'énergie extérieure et sans agir sur un interrupteur. Différentes formes d'exécution de tels rais élastiques ont été essayées mais toutes présentaient en commun le défaut consistant en ce que le panier présentait toujours une certaine excentricité en raison de la composante due à la pesanteur des forces appliquées. 



   On a étudié beaucoup de dispositifs qui auraient permis au panier de se déplacer horizontalement tout en limitant son déplacement verticalo La meilleure idée semblait consister à monter le panier et son arbre par l'intermédiaire d'une suspension pendulaire. Dans une telle suspension, la pesanteur n'agirait pas sur la disposition relative du cylindre et de l'enveloppe à l'état statique ni en cours de marche normale.

   Des forces agissant dans le sens horizontal pourraient, toutefois, obliger le cylindre à se déplacer d'un côté à   l'autre.   On a constaté qu'il était nécessaire cependant de tenir compte du problème de la résonance en ce sens qu'il était préférable d'éviter des conditions telles que la fréquence naturelle du pendule coïnciderait avec la fréquence de la vitesse de rotation imposée en produisant ainsi des vibrations dangereuses ou critiques. 



   Par exemple, si l'on voulait obtenir à priori une longueur de pendule correspondant à une fréquence inférieure à la fréquence d'essorage, l'oscillation à vitesse maxima rencontrerait une résistance et il s'ensuivrait une vitesse critique par laquelle il faudrait passer pendant l'accélération donnée à la vitesse de rotation. D'autre part, une longueur de pendule choisie pour une fréquence au-dessus de la vitesse de rotation serait très petite et serait même inférieure à un ou deux centimètres. Ceci amènerait le point d'oscillation du pendule à l'intérieur du diamètre de l'arbre, ce qui correspond à un problème de construction très difficile.

   La période naturelle d'une pendule libre est : 
 EMI3.1 
 F 1/ " x ou F = 9, 55 OE L X 25 21f L X 25 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 
F étant la fréquence du pendule, G l'accélération de la pesanteur et L la longueur du pendule en mm. 



   Si l'on suppose que l'on veuille extraire à une vitesse de 500 à 700 t/m un choix à priori de 800 pour la fréquence F afin que celle-ci soit nettement supérieure à la vitesse d'extraction donnerait à la longueur du pendule une valeur égale à 1,4 mm environ. 



   Dans le cas de la présente invention, le pendule comprend le   cy-   lindre, son arbre et ses supports agissant au centre de gravité placé au centre de rotation. La suspension de ce dispositif formant lentille de pendule sur un axe ne se trouvant qu'à 1,4 mm au-dessus de l'axe de l'arbre qui doit avoir environ 75 mm de diamètre, forme un problème difficile à résoudre. 



   Ce problème a été résolu par l'établissement pour l'ensemble d'un second dispositif de support dont le centre est disposé à 1,4 mm au dessus de l'axe des supports principaux de rotation. Ceci permet à l'arbre principal de tourner autour de ses propres supports tout en oscillant autour des supports fixes   d'oscillation.   



   Un modèle établi conforme aux calculs ci-dessus a montré qu'une excentricité de 1,4 mm tout en étant bonne au point de vue fréquence donnait lieu à une tendance à l'auto-verrouillage et ne pouvait absorber d'une manière sûre les forces horizontales. Pour surmonter cette difficulté, on a accru la longueur du pendule et pour éviter toute résonance, on s'est écarté quelque peu de l'idée première d'un pendule libre en ayant recours à un ressort de rappel pour raidir le système oscillant et accroître la fréquence.

   Ce ressort produisait deux résultats avantageux: 
1) possibilité d'accroissement de la longueur du pendule jusqu'à 3 mm sans réduire sa fréquence naturelle, cet accroissement de longueur supprimant l'effet d'auto-verrouillage et permettant aux forces horizontales de faire osciller le cylindre; 
2) le ressort ou les ressorts, comme on pourra le voir aux dessins annexés que l'on décrira ci-après avec plus de détail, agissent au droit du support et des organes recevant à rotation l'un des bouts du cylindre ou les deux bouts, par l'intermédiaire de tiges fixées à des bouts d'arbres excentriques portant le cylindre et oscillant avec lui. Lorsque le cylindre tourne autour d'un axe excentré d'environ 3 mm, la où les tiges se mettent à osciller et, par suite, tendent le ressort, ou les ressorts dans le cas d'un cylindre porté à chaque extrémité.

   Un léger déplacement du cylindre est multi-   plié   plusieurs fois au point de fixation du ressort. Au cas où la tige attachée au ressort a une longueur de 168 mm, le déplacement oscillant du cylindre est multiplié par 56 par rapport à l'unité de 3 mm. 



   La tension du ressort croît considérablement avec l'amplitude d'oscillation du cylindre, mais présente une faible résistance aux oscillations de faible amplitudeo Cette réduction de la résistance s'est avérée comme intéressante, puisque l'on a constaté qu'aux grandes amplitudes, de par exemple 30 , on ne pouvait obtenir un équilibre sûr en raison du retard entre les causes et les effets, tandis que pour une amplitude de 3 ou 4 degrés, l'équilibre était excellent. 



   En utilisant un stroboscope à effet d'arrêt et en appliquant un poids d'essai fixe excentrique dans le cylindre, on a constaté qu'aux grandes amplitudes pour lesquelles l'oscillation n'était freinée que par l'action du pendule libre, la charge de déséquilibre se trouvait à la position verticale supérieure ou de zénith lorsque se produisait le mouvement horizontal maximum. Ceci montrait que la cause et l'effet étaient déphasés de 90 , ce qui rendait impossible tout bon équilibre. Avec l'amplitude réduite et la fréquence accrue d'oscillation dues à l'action énergique du ressort, on a constaté que le poids fixe était en position horizontale à peu près au moment où se produisait l'oscillation maxima dans le sens horizontal, ce qui montrait que, pour de faibles amplitudes, la cause perturbatrice et son effet sur le pendule étaient en phase.

   La discussion ci-dessus des objets et caractéristi- 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 ques de l'invention sera comprise plus aisément si l'on se réfère à la des- cription suivante d'une forme d'exécution préférée de l'invention, et plus particulièrement aux figures 1 et 2 représentant un tambour de cuve ou cylindre 10. 



   L'appareil représenté comprend une cuve destinée au lavage, à l'essorage, ou au séchage, ou à plusieurs ou toutes ces opérations,   appliea-   bles au linge à blanchir ou à des objets analogues. La cuve 10 comprend une paroi ou tôle cylindrique perforée 12 et est montée sur un arbre tournant 11, que l'on peut entraîner par des moyens classiques quelconques tels qu'un moteur ou une courroie non représentée et cet arbre peut être réversible et tourner à des vitesses   différenteso   Un type classique de porte coulissante 14 est prévu pour charger et décharger le cylindre qui comporte à droite et à gauche des fonds 16 et 18 qui en sont solidaires ainsi que les nervures de brassage 20 dont le nombre est égal à quatre dans le cas représenté,

   ces nervures étant solidaires de l'intérieur du cylindre et disposées à égale distance l'une de l'autreo Chaque nervure s'étend d'un fond du cylindre jusqu'à l'autre et sert de réservoir, ou contient un réservoir destiné à recevoir à tour de rôle et au moment opportun le fluide d'équilibrage pour compenser tout déséquilibre du cylindre chargé. Ces réservoirs ou nervures 20 ont une forme de dièdre, l'arête du dièdre étant montée radialement à une profondeur déterminée par rapport à la tôle cylindrique, comme représenté en 22.

   Chaque réservoir comporte une cloison transversale axiale centrale 24 s'étendant depuis la paroi cylindrique 12 jusqu'à un point légèrement en dehors de l'arête 22 de manière à diviser le réservoir en deux compartiments droite et gauche, reliés l'un à l'autre uniquement par l'espace laissé libre à l'intérieur de la cloison 24 entre celle-ci et l'arête 22. Autour de la cuve est disposé un carter 25 présentant des parois latérales 26 et 27 susceptibles d'être portées par des montants 30, comme représenté aux figures 1, 2 et 3. 



  Le carter sert d'enveloppe recevant le bain de solution de lavage ou de nettoyage à sec que l'on peut introduire à la manière habituelle avec évacuation au moyen d'une soupape de fond 29. 



   Le carter ou enveloppe est solidaire des montants 30 portant euxmêmes les paliers supports 32 à chaque extrémité de l'enveloppe. Chacun de ces paliers-supports comprend un chemin de roulement extérieur 32' (figure 3) porté par le palier proprement dit   32,   tandis que le chemin de roulement intérieur   32"   formant roulement à billes avec le chemin de roulement 32' porte le bout d'arbre   34   correspondant à l'extrémité considérée du cylindre. 



  Ces bouts d'arbre comportent des parties excentrées 34' qui peuvent osciller à l'intérieur des paliers 32. Toutefois, ces bouts d'arbre 34 ne peuvent effectuer une rotation complétée Chaque fond de cylindre porte un ensemble 36 formant moyeu rigide destiné à tourner autour d'un palier 38 s'alignant par lui-même et comportant un chemin de roulement intérieur 38' solidaire de l'extrémité intérieure du bout d'arbre correspondant et un .chemin de roulement extérieur 38" susceptible de tourner avec le   cylindrée   Sur les dessins, on a représenté les moyeux comme étant constitués par des éléments assemblésCeci permet un montage plus facile mais ne correspond pas à une caractéristique essentielle de l'inventiono 
Comme il a été indiqué ci-dessus,

   l'axe d'oscillation se trouve normalement placé à 3   mm   plus haut que l'axe de rotationo Par suite,, les supports 32 ont leur axe à 3 mm au-dessus de celui des supports de moyeu 380 Le cylindre est ainsi suspendu par rapport aux supports d'oscillation 32 à la manière d'une lentille de pendule de faible longueur, cette manière de faire tendant normalement à maintenir les dits bouts d'arbre dans la position que l'on voit au mieux en figure 3. 



   Comme on le voit, l'arbre d'entraînement est monté coaxialement par rapport aux moyeux et il est couplé à l'un de ceux-ci pour assurer la rotation du   cylindrée   On le voit ici relié au moyeu de gauche au moyen d'une clavette coulissante 37 qui sert de joint universel permettant un mouvement relatif léger entre l'arbre et le cylindre pendant que ce dernier oscille autour des supports d'oscillation 32. Ce joint universel peut être par exemple du type Oldham. Dans beaucoup de cas, il y a assez d'élasticité dans l'and   @   

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 d'entraînement lui-même pour qu'il puisse se prêter à une très légère excentricité pendant le fonctionnement du cylindre.

   On remarquera que chacun des supports d'oscillation 32 auquel le dispositif est suspendu,   comprend   deux parties écartées l'une de l'autre de manière à donner au cylindre une assise meilleure. Cependant, il n'y a pas lieu de limiter l'exécution de ce support d'oscillation à la construction qui vient d'être décrite, étant donné qu'on peut utiliser un support d'oscillation unique pour chaque bout d'arbre. 



   Le dispositif décrit permet de monter entre les différents éléments du support d'oscillation de chaque bout d'arbre un collerou manchon 39 maintenu solidement sur le bout d'arbre au moyen d'une vis sans tête 39'. 



  Chaque collier 39 porte à sa partie inférieure une tige filetée 40 ou pièce équivalente qui descend en traversant une fente 41 ménagée à la partie inférieure du bloc support 42 du support d'oscillation. Chacune de ces tiges 40 est fixée au delà. de cette fente, par l'intermédiaire d'un ressort de tension 44, à la paroi terminale du carter 26, par exemple par l'intermédiaire d'une cheville transversale 45. 



   Le fond de cylindre 16 à la partie gauche de la figure 2 porte une chambre ou réservoir fermé coaxial annulaire 47 qui lui est fixé de manière étanche, par exemple par soudure. Ce réservoir peut être rempli jusqu'au niveau voulu par le fluide d'équilibrage que l'on introduit par une ouverture prévue à cet effet et comme indiqué par le bouchon 48 de la figure 2. On peut utiliser tout fluide d'équilibrage approprié. On peut utiliser par exemple du perchloréthylène pesant environ 1,3 kg par litre et qui agit d'une manière satisfaisante. Les réservoirs formés par les nervures 20 présentent un volume suffisant pour porter des masses appropriées d'un tel fluide de manière à pouvoir assurer les conditions d'équilibre désirées pour la cuve.

   Le réservoir annulaire 47 présente des dimensions telles qu'il puisse contenir plus de liquide que cela n'est nécessaire pour l'alimentation des nervures afin d'amortir un déséquilibre de caractère normal apparaissant en cours de fonctionnement, étant donné qu'il est nécessaire pour le fonctionnement du dispositif décrit, comme expliqué ci-après, qu'il y ait un espace libre dans ledit réservoir. 



   L'alimentation en fluide d'équilibrage à partir du réservoir 47 vers les nervures 22 est assurée par la force centrifuge fournie par la masse annulaire de fluide projetée contre la paroi cylindrique de ce réservoir dès que le cylindre a commencé à tourner à une vitesse suffisante. Le fluide est ainsi rejeté vers l'extérieur par les conduites 50 s'étendant entre la périphérie du réservoir 47 et l'extrémité de chaque réservoir 20 qui vient buter contre le fond de gauche du cylindre. Chaque conduite 50 aboutit à une soupape de commande 51 d'où le fluide s'écoule par une canalisation 52 dans le compartiment 53 de l'une des nervures, disposée à gauche de la cloison   24.   



  Chaque conduite 50 est également reliée par une dérivation 54 traversant chaque nervure 20 à une soupape de commande analogue 55 portée par le fond de droite   18,du   cylindre. Cette soupape 55 est reliée par une canalisation 56 au compartiment 57 disposé à droite de la cloison 24 dans la même nervurerésèrvoir 20 du cylindre. 



   Les soupapes 51 et 55 sont du type à clapet ou à champignon dont la construction apparaît clairement à l'examen de la figure 9 des dessins. 



  Chacune des soupapes disposées à gauche et à droite du cylindre est commandée par une tige-poussoir 58 venant en prise avec la tige de soupape 59 des que le cylindre oscille, ainsi qu'il sera expliqué ci-après. Le réglage de la longueur de la tige-poussoir est obtenu par le dispositif à vis et écrou représenté en 600 On comprendra que chaque compartiment de réservoir formé dans une nervure peut être alimenté par l'intermédiaire de la soupape-clapet disposée au voisinage de l'extrémité correspondante de cette nervure en un point fixe par rapport au fond de cylindre correspondant. 



   , Les extrémités intérieures des tiges-poussoirs 58 sont filetées et assujetties, comme représenté en figure 1, à l'intérieur d'un manchon 6l susceptible de tourner sur le palier concentrique 62 qui lui. est coaxial et qui est fixé sur le carter ou bâti de la machine, ce manchon 61 étant   mont@   

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 coaxialement par rapport à l'axe de rotation normal du dispositif. Ainsi, cha- que fois que le cylindre se met à osciller, les tiges-poussoirs tournant avec le cylindres servent à actionner les tiges de soupapes pour ouvrir certaines d'entre elles.

   Des guidages 63 fixées sur le cylindre obligent les tiges- poussoirs 58 à tourner avec le cylindre tout en permettant aux tiges de se déplacer radialement par rapport au cylindre pour actionner les tiges de sou- papeso La raison pour laquelle les réservoirs formés par les nervures compren- nent un compartiment correspondant à chaque extrémité du cylindre et   compor-   tant les connexions déjà   décrites,   consiste en ce que le fluide d'équilibrage peut être amené simultanément aux deux parties si le déséquilibre du cylindre est réparti uniformément sur toute la longueur du cylindre ou encore que ce fluide peut pénétrer plus facilement dans un compartiment correspondant à une extrémité du cylindre que dans l'autre si le déséquilibre se fait sentir davantage à une extrémité du cylindre.

   On voit ainsi que l'écoulement du li- quide a partir du réservoir 47 est commandé par des soupapes s'ouvrant dans des compartiments correspondante, étant donné qu'il y a une soupape à chaque extrémité de chacune des quatre nervures. 



   Revenant à la figure 1, on voit que les tiges poussoirs 58 dispo- sées du côté du réservoir du   cylindre,   sont alignées sur les soupapes corres- pondantes 51 sans faire de coude, tandis que les tiges 56 de l'autre côté du cylindre sont montées au voisinage de la surface du fond correspondant du cylindre, et présentent un petit décrochement à chaque extrémité pour pouvoir venir en prise à leurs deux extrémités avec le collier 61, d'une part, et avec les tiges de soupape 55,d'autre part. Cette différence de construc-   tion'n'est   qu'une question de présentation et n'a pas d'effet sur le fonc-   tionnement.   



   Le dispositif décrit qui assure la compensation de tout déséquilibre dû à une disposition non uniforme de la charge introduite dans le cylindre, fonctionne d'une manière qui sera immédiatement comprise, si l'on se rappelle que le centre d'oscillation coïncide avec le centre de suspension et passe normalement au-dessus de l'axe de rotation qui coïncide normalement avec le centre de la masse solidaire du cylindrée En condition d'équilibre normal, on voit qu'il ne se produit pas d'oscillation; il s'ensuit que le , poids du cylindre agit sur chacun des supports d'oscillation suivant une ligne verticale.

   Toutefois, lorsqu'il y a défaut d'équilibre, le centre de gravité du cylindre et de sa charge n'agit plus verticalement à tout moment et pour toutes les positions   du-cylindrée   Au cours de la rotation du cylindre le centre de rotation oscillera autour du centre de suspension jusqu'à rétablissement de l'équilibre et retour à la coïncidence entre l'axe de la masse du cylindre et l'axe de rotationo 
Lorsque la vitesse de rotation est suffisante pour provoquer l'oscillation du cylindre, il est évident qu'un déséquilibre de la charge d'un côté de l'axe provoquera une oscillation du cylindre de ce côté,

   c'est- à-dire dans le sens d'une force centrifuge non équilibréeo Un très faible déplacement dans cette direction amènera une tige de soupape du côté allégé à venir au contact de sa tige-poussoir de manière à ouvrir la soupape et à permettre au fluide de s'écouler dans la nervure-réservoir dudit côté allégé. 



   Le cylindre'continuant à tourner., les soupapes du côté allégé s'ouvriront et se fermeront l'une après l'autre aussi longtemps que leurs tiges continuent à venir au contact des   tiges-poussoirso   Généralement, une ou deux nervures-réservoirs se trouvant dans une position plus ou moins symétrique par rapport à la charge non équilibrée, recevront du fluide, mais cette introduction de fluide s'arrêtera rapidement en pratique, étant donné que l'équilibre est obtenu d'une manière à peu près immédiateo Lorsque ceci se produit, les soupapes cesseront de faire passer du fluide et l'équilibre sera maintenu jusqu'à ce que le cylindre ralentisse et s'arrêteo Pendant ce dernier stade de fonctionnement,

   le fluide s'écoulera sous l'action de la pesanteur et reviendra dans le réservoir en passant par les ouvertures 64 disposées au voisinage de l'arête 22 de la nervure sur la paroi terminale gauche des nervures-réservoirs (figure 1). Dans ces ouvertures   débouchés     @@s   

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 conduites 65 traversant la paroi périphérique du réservoir annulaire   47   pour se prolonger par les tuyaux 66 pénétrant jusqu'à une petite distance de la paroi intérieure 67 de ce réservoir à fluideo
Alors que les soupapes d'admission du fluide d'équilibrage ont été décrites dans leur position relative par rapport à un dispositif de support prévu à chaque extrémité du cylindre,

   il doit être bien entendu que le dispositif excentrique assurant le rééquilibrage peut être appliqué aussi bien au support unique d'un cylindre d'essorage ou analogue, du type en porte-à-faux ou à extrémité découverteo
Etant donné que de nombreuses formes d'exécution peuvent être prévues pour l'exécution des principes mécaniques définis ci-dessus, sans sortir pour cela du domaine de l'invention, il doit être bien entendu que tout ce qui a été dit ci-dessus ou qui a été représenté aux dessins ci-joints doit être interprêté à titre d'exemple seulement et nullement d'une manière limitative. 



    REVENDICATIONS.   



   1. Appareil d'extraction, comprenant un cylindre extracteur tournant autour de supports horizontaux, des moyens pour assurer un mouvement latéral du cylindre par rapport à sa position normale dès que le cylindre n'est plus en équilibre dynamique, lesdits moyens comprenant des organes oscillants servant à la suspension des supports horizontaux du cylindre sur des supports fixes, grâce à quoi le cylindre peut osciller dans le sens latéral à la manière d'une pendule autour des supports fixes, la longueur de pendule pouvant être assez courte pour obtenir une vibration rapide à une fréquence donnée qui ne soit pas en résonance avec la fréquence propre de vibration du cylindre sous l'effet de la rotation aux vitesses normales d'extraction.

Claims (1)

  1. Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens élastiques destinés à coopérer avec les organes oscillants et les supports d'oscillation pour accroître la période propre des oscillations du cylindre oscillant à la manière d'un pendule et faciliter le retour du cylindre à sa position horizontale normale pour laquelle l'axe des supports horizontaux de rotation du cylindre se trouve sensiblement dans le plan vertical de l'axe d'oscillation de la masse tournante et audessous de cet axe, dès que le déséquilibre a été corrigéo 3. Appareil d'extraction suivant l'une ou l'autre des revendications 1 et 2, caractérisé en ce qu'il comprend une source de fluide d'équilibrage,
    une série de réservoirs distribués régulièrement à la périphérie du cylindre et des moyens portés par le cylindre et coopérant avec les supports d'oscillation pour assurer un afflux de fluide d'équilibrage à au moins un réservoir disposé sensiblement dans une position diamétralement opposée à la partie du cylindre qui peut être plus chargée à la suite d'une répartition inégale des poidso 4. Appareil suivant la revendication 3, caractérisé en ce que la source de fluide d'équilibrage comprend une chambre annulaire tournant coaxialement avec le cylindre et reliée à sa périphérie par des conduites à chacun des réservoirs portés parle cylindre de manière que le fluide ait tendance à s'écouler dans ces réservoirs sous l'effet de la force centrifuge.
    5. Appareil suivant la revendication 4, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens associés aux conduites et aux supports d'oscillation du cylindre pour empêcher normalement l'écoulement du fluide vers les réservoirs et pouvant être amenés dans une position telle que l'introduction sélective du fluide dans les réservoirs soit assurée à la suite de l'oscilla- tion de ce cylindre provoquée par une répartition inégale des poids.
    6. Appareil suivant l'une ou l'autre des revendications 3 à 5, caractérisé en ce que le cylindre est porté par l'intermédiaire d'un arbre <Desc/Clms Page number 9> creux monté horizontalement dans les supports fixes d'oscillation et présen- tant une partie formant tourillon dont l'axe normal est décalé au-dessous de l'axe de ces supports d'oscillation et peut osciller transversalement en tournant autour dudit axe, tandis que les supports de rotation comprennent des paliers recevant ces tourillons et permettant la rotation du cylindre autour de l'axe de ces derniers et qu'un arbre d'entraînement passant libre- ment dans cet arbre creux est relié par un joint universel à ces paliers de tourillon, dont l'axe est sensiblement aligné sur cet arbre tournant.
    7. Appareil suivant la revendication 6, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens fonctionnant pendant la rotation du cylindre d'une maniè- re sélective pour régler l'admission du fluide dans les réservoirs suivant les déplacements de cet axe du tourillon transversalement par rapport à sa position normale.
    8. Appareil suivant l'une ou l'autre des revendications 6 et 7, caractérisé en ce que la position normale de l'axe du tourillon porté par l'arbre creux est décalée vers le bas par rapport à l'axe des supports d'os- cillation, ce décalage étant sensiblement inférieur au rayon de l'arbre.
    9. Appareil suivant l'une ou l'autre des revendications 6 à 8, caractérisé en ce que les supports d'oscillation sont portés d'une manière fixe par une enveloppe non susceptible de tourner, l'arbre creux présentant une partie formant tourillon concentrique à l'axe du cylindre et une partie excentrique par rapport à cet axe, les supports d'oscillation portant cette partie excentrique de manière à permettre l'oscillation autour d'un axe s'étendant verticalement au-dessous de l'axe de rotation du cylindre.
    10. Appareil suivant l'une ou l'autre des revendications 6 à 9, caractérisé en ce que les supports de rotation du cylindre comprennent une pièce support montée sur l'arbre creux et une autre pièce portée par le cylindre extracteur et tournant sur la première pièce, cette première pièce étant montée sur une partie de l'arbre creux entourant concentriquement l'axe passant par le centre de gravité du cylindre., tout en étant excentrique par rapport à l'axe des supports d'oscillation, tandis que des moyens susceptibles de tourner par rapport aux supports d'oscillation et d'être mis en relation à tour de rôle avec la source de fluide d'équilibrage permettent l'introduction du fluide d'équilibrage dans les réservoirs sous l'action d'une oscillation du cylindre par rapport à l'axe des supports d'oscillation.
    11. Appareil suivant la revendication 4, caractérisé en ce que la chambre annulaire contenant le fluide d'équilibrage est montée concentriquement sur un fond du cylindre, des soupapes commandent la connexion entre chaque réservoir et l'intérieur de ce réservoir annulaire en un point en alignement radial avec une ouverture d'admission dans ce réservoir, tandis que des moyens sont prévus pour ouvrir sélectivement ces soupapes et admettre le fluide d'équilibrage dans au moins un réservoir se trouvant à peu près dans une position diamétralement opposée à la partie alourdie du cylindre non équilibrée 12.
    Appareil suivant la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens destinés à ouvrir sélectivement les soupapes comportent une pièce se déplaçant avec le cylindre autour d'un axe fixe coïncidant avec l'axe de rotation normal du cylindre et comportant des tiges-poussoirs s'étendant radialement par rapport aux tiges des soupapes correspondantes pour pouvoir venir en prise avec celles de ces tiges qui se trouvent du côté allégé du cylindre afin de laisser pénétrer le fluide d'équilibrage dans les réservoirs d'équilibrage correspondants en assurant ainsi la compensation des poids et le retour de l'axe de rotation du cylindre dans sa position normale parallèlement à l'axe des supports d'oscillation, lorsqu'un déséquilibre a provoqué un déplacement latéral de ce cylindre par rapport à la position normale de son axe de rotationo
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* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE3145588A1 (de) * 1981-11-17 1983-05-26 Gerhard 8500 Nürnberg Deschler Maschine mit rotor, insbesondere waschmaschine mit schleudergang

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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DE3145588A1 (de) * 1981-11-17 1983-05-26 Gerhard 8500 Nürnberg Deschler Maschine mit rotor, insbesondere waschmaschine mit schleudergang

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