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PERFECTIONNEMENTS AU DEPOUSSIERAGE A SEC DES' CHARBONS ET MATIERES
ANALOGUES.
L'invention est relative au dépoussiérage à sec des charbons et matières analogues., et elle a pour objet des perfectionnements aux pro- cédés et appareillages dans lesquels les charbons et matières analogues sont dépoussiérés par entraînement des fines particules à 1-laide dun flui- de en écoulemento
Il est déjà connu en soi de faire cheminer à contre-courant dans un conduit d9allure verticale, d'une part les matières à traiter et d'autre part un courant fluide, tel l'air, froid ou chaud,le dit fluide devant en- traîner les très fines particules vers un cyclone dans lequel s'effectue une séparation, et cela soit en circuit ouverte soit en circuit ferméo
Dans un tel processus toutefois, pour obtenir un dépoussiérage convenable des particules les moins fines,
on est généralement amené à uti- liser un excédant important de fluide entraîneur avec la conséquence d'ame- ner dans le cyclone des quantités importantes de particules autres que les très fines particules. Des moyens de réoupération de ces particules ont été aménagés sur le trajet vers le cyclone, mais néanmoins les rendements sont limités et la dépense de fluide importante.
On a également proposé de présenter les matières dans une for- mation ouverte ou éparpillée par des moyens mécaniquement actionnés., aux actions de plusieurs courants de fluide devant entraîner comme précédemment les plus fines particules vers un cyclone séparateur, les particules les moins fines contenues dans les fines et très fines particules entraînées vers le cyclone étant soit constamment ramenées en cycle et incorporées à la matière de départ, soit incorporées directement au produit fini.
Dans ce cas, non seulement l'appareillage est complexe mais les réglages à effectuer sont délicats; en outre 1?ouverture et l'éparpillement des matières par des moyens mécaniquement actionnés entraîne une fragmenta- tion non négligeable de ceux-ci.
L'invention a pour but de réaliser un dépoussiérage convenable des charbons et matières analogues,, avec une dépense de fluide limitée et
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un appareillage simple, en évitant les entraînements excessifs vers le cy- clone de'particules utilisables ainsi que la fragmentation inutile des pro- duits traités.
A cet effet,conformément à l'invention, pour dépoussiérer à sec des charbons et matières analogues à l'aide d'un fluide, tel d'air, on éli- mine dans les produits bruts la majeure partie des particules fines et très fines, les particules de dimensions plus importantes, dénommées ci-après grains ou grenus, résultant de cette opération, subissant une épuration complémentaire exécutée en deux stades, savoir un stade préliminaire dans un courant de fluide et un stade final dans un autre courant de fluide, tan- dis que les dites particules fines ou très fines sont traitées pour en ex- traire les portions les moins fines, lesquelles sont soumises'à un traite- ment complémentaire séparé dans un ou des courants de fluide, pour en éli- miner les très fines particules qu'elles pourraient encore contenir.
Selon un autre caractéristique de l'invention, les fines et très fines particules sont éliminées des produits bruts soit par le courant de fluide, qui peut être pulsatoire, issu du traitement d'épuration prélimi- naire des produits grenus résultant de la dite élimination, soit par une opération de tamisage mécanique, de préférence accompagnée de.vibrations, soit encore par une combinaison de ces moyens.
Selon une autre caractéristique de l'invention les particules moins fines séparées des particules fines et très fines peuvent être divi- sées en catégories de dimensions différentes, chacune de ces catégories étant soumises à un traitement complémentaire séparé.
On obtient ainsi que le fluide cheminant entre les grenus dans le premier stade de l'épuration complémentaire de ceux-ci, puisse débarras- ser effectivement ces grenus des très fines particules éventuellement adhé- rentes sans se charger lui-même excessivement des très fines particules et sans provoquer dans le stade final de l'épuration des grenus des entraîne- ments inutiles des particules moins fines rencontrées. Ces particules moins fines peuvent elles-mêmes être bien épurées des particules très fines qu'el- les pourraient encore contenir. Enfin l'appareillage reste simple et les règlàges peu nombreux.
D'autres caractéristiques de l'invention ressortiront de la des- cription plus détaillée qui va suivre de modes d'exécution préférés ainsi
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que de certaines .realï.'saMacscappareillages donnés a titre d'exemples et il- lustrés schématiquement par les dessins annexés sur lesquels:
Fig. 1. - est une vue partielle, en élévation et coupe, d'une réalisation d'appareillage pour la mise en oeuvre de l'invention selon un de ses modes d'exécution;
Fig. 2. - est une vue partielle en élévation de côté, prise à 90 de la fig. 1;
Figo 3. - 3b, 3c, 3d, 3e et 3f montrent en coupe suivant 3-3 de la fig. 1, divers agencements de conduits;
Fig. 4. - montre, d'une manière analogue à la fig. 1, une vari- ante de réalisation;
Fig. 5. - montre également d'une manière analogue à la fig. 1, un autre mode d'exécution.
En référence aux dessins, et tout d'abord à la fig. 1, 1 dé- signe une trémie d'alimentation des produits à traiter, munie à sa base d'un obturateur réglable 2 et débitant dans un conduit 3 sensiblement vertical comportant vers son extrémité inférieure une ouverture 4 permettant l'in- troduction d'un fluide, tel l'air, qui peut être froid ou échauffé suivant la teneur en humidité des produits à traiter. L'ouverture 4 est de préférence munie d'un registre mobile 4a.
Le conduit 3 est en communication, à sa partie supérieure, avec un conduit 5 menant à un cyclone séparateur d'un type quelconque, désigné
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dans l'ensemble par 6, raccordé en 7 avec un ventilateur d'aspiration non représenté, et pourvu à sa base d'un dispositif de vidange 8; -Une portion de la paroi du circuit 3, qui est tournée vers le conduit 5, est ajouré et de préférence découpée et garnie d'une série de lames étagées et inclinées vers le bas 9 dont l'espacement et l'inclinai- son sont réglables placées sur le trajet de chute des produits débités dans la trémie 1, de manière à ouvrir ou étaler ces produits.
Derrière les lames 9 par rapport au conduit 3, et en avant de l'entrée au conduit 5, est aménagée une chambre de détente 10, dont la partie inférieure comporte une ou plusieurs trémies, deux dans l'exemple désignées Il±!: et llb, chacune d'elles étant pourvue à sa base d'un obturateur règlable, désignés par 12a et 12b.
Le conduit 3 se termine à son extrémité inférieure par un pas- sage de sortie 13 équipé d'un obturateur règlable 14, et débouchant à un ni- veau intermédiaire de sa hauteur, dans un second conduit généralement ver- tical 15, muni à sa partie inférieure d'une entrée d'air 16 pour un fluide, tel l'air, qui peut être froid ou échauffé suivant la teneur en humidité des produits traités. L'entrée 16 est avantageusement pourvue d'un registre de réglage 16a Au lieu que le fluide pénètre dans le conduit 15 uniquement par son extrémité inférieure, des entrées de fluide peuvent être prévues à différents niveaux, par exemple comme il est figuré en traits interrompus en 17. Un dispositif d'évacuation à obturateur règlable est prévu-en 18.
A son extrémité supérieure le conduit 15 se raccorde également au conduit 5 menant au cyclone 60
Un passage partant de la base de chacune des trémies 11a, llb, au delà de l'obturateur 12a, 12b, et désigné 19a, 1912,fait communiquer cette trémie avec un conduit 20a, 20b muni, à sa partie inférieure, d'une entrée 21a, 21b (fig. 2), pour un fluide qui peut être froid ou échauffé. Un re- gistre mobile 22a, 22b est de préférence associé à chaque entrée et chacun des conduits est pourvu d'un dispositif de décharge règlable 23a, 23b. Cha- cun des conduits 20a, 20b débouche à son extrémité supérieure dans la por- tion supérieure du conduit 15.
De préférence, à l'extrémité supérieure du conduit 15, à l'en- droit de sa jonction avec le conduit 5 et avec la chambre 10, est aménagé un clapet 24 à commande manuelle ou mécanique, propre à permettre de régler différentiellement l'action du ventilateur-aspirateur qui est relié au con- duit 7, dans le conduit 15 d'une part et dans la chambre 10 et le conduit 3 d'autre part.
De préférence une chambre de détente 25, avantageusement con- formée en spirale, est intercalée dans le conduit 5, cette chambre, désignée pour récupérer les particules encore utilisables qui pourraient avoir été emportées par les courants de fluide quittant la chambre 10 et le conduit 15, comportant à sa partie inférieure une trémié 26 se prolongeant vers le bas par un conduit d'évacuation 27, muni d'un obturateur règlable 28 et ter- miné inférieurement par une ouverture de décharge 29 munie d'un obturateur 30.
Si on le désire, une communication 31 contrôlée par l'obturateur 30, peut être prévue entre le conduit 27 et le conduit 15, comme il est re- présentéo
Finalement on peut prévoir un ventilateur auxiliaire 32, qui est raccordé d'une part au conduit 15 soit à un niveau intermédiaire, et en par- ticulier sensiblement celui du passage 13, soit vers son extrémité inférieu- re, et d'autre part à chacun des conduits tels que 20a, 20b, par des bran- chements figurés en 32a et pourvus d'organes de contrôle de la section de passage 32b. Un appareillage tel que décrit fonctionne de la manière sui- vantes
Les produits bruts à dépoussiérer introduits dans la trémie 1 passent dans le conduit 3 sous le contrôle de l'obturateur 2,
en tombant et
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s'ouvrant au moins en partie sur les lames étagées 9 dans la portion supé- rieure de ce conduit.
Dans cette portion de ce conduit 3, ces produits sont soumis à l'action du courant de fluide issu de la partie inférieure du conduit dans laquelle il pénètre par l'ouverture 4, avec la conséquence d'une séparation des particules fines y contenues, lesquelles sont emportées dans la chambre 10 en traversant les intervalles entre les lames 9.
Les grenus contenus dans les dits produits poursuivent leur chute dans le conduit 3, en y ren- contrant le courant fluide venant de l'entrée 4 qui les débarrasse de la majeure portion des particules très fines dont ils peuvent encore être chargés, qui sont emportées vers la chambre 10 après quoi les grenus sont introduits, par le passage 13, sous le contrôle de l'obturateur 14, dans la partie inférieure du conduit 15, où ils sont soumis à l'action du courant fluide pénétrant dans ce conduit par l'entrée 16, et éventuellement par les passages 17, à l'effet de parfaire leur épuration en très fines particules.
Ils sont finalement déchargés à l'extrémité inférieure du conduit 15 sous le contrôle de l'obturateur 18.
Le courant fluide ayant traversé la portion inférieure du con- duit 15 dans lequel s'effectue la phase finale d'épuration des grenus, re- joint le sommet de ce conduit et passe par le conduit 5 au cyclone 6.
D'autre part, la détente qui s'effectue dans la chambre 10 déter- mine la séparation,dans les fines et très fines particules entraînées à travers les'intervalles des lames 9 par le courant fluide venant du conduit 3, des particules les moins fines qui, dans l'exemple, sont recueillies en catégories de dimensions décroissantes dans les trémies 11b et 11a Les très fines particules sont emportées par le courant fluide vers le conduit 5 et le cyclone 6.
A partir de chacune de ces trémies lla, llb, les particules ainsi recueillies passent, sous le contrôle de l'obturateur correspondant, 12a, 12b, dans les conduits 20a, 20b, où elles rencontrent un courant de fluide y pénétrant par l'entrée 21a, 21b, sous le contrôle du registre rè- glable 22a, 22b, et propre à les débarrasser des très fines particules qu'elles peuvent encore contenir. Ces très fines particules sont emportées vers le haut du conduit 20a, 20b correspondant et, à la partie supérieure de ce conduit,rejoignent le conduit 15 et le courant fluide qui s'y écou- le vers le conduit 5 et le cyclone 60
Par une action judicieuse sur le clapet 24 on peut régler dif- férentiellement les courants traversant les conduits 15, 20a, 20b d'une part et le conduit 3 et la chambre 10 d'autre part.
A l'entrée du conduit 5 se trouvent donc réunis tous les cou- rants de fluide emportant les très fines particules, et le courant résul- tant, eg traversant la chambre de détente 25, y abandonne le cas échéant les particules moins fines qui peuvent avoir été entraînées.
Ces particules moins fines passent dans la trémie 26 et de là, par le conduit 27, sous le contrôle de l'obturateur 28 et suivant la posi- tion de l'obturateur 30, soit à la décharge 29, soit, par 31, dans le con- duit 15, conduit dans lequel elles pénètrent à un niveau plus élevé que la zone d'épuration finale des grenus.
Les particules très fines qu'elles pourraient contenir sont reprises et emportées par le courant fluide issu de cette zone, vers le sommet du dit conduit 15, le conduit 5 et le cyclone 6.
Les particules moins fines¯ainsi introduites dans le conduit 15, sont déchargées avec les grenus par la sortie 18.
Les particules recueillies dans les conduits 20a et 20b sont déchargées à la base de chacun de ces conduits, par 23a et 23b respective- ment.
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@ Dans l'exemple, on a supposé que les conduits 15, 20a et 20b affectaient en coupe la conformation représentée par la fige 3a. Une telle conformation est simplement illustrative, et l'on pourrait naturellement adopter d'autres conformations, notamment celles illustrées par les figs.
3b, 3c et 3ed
Egalement dans l'exemple précédent, on a supposé que les par- ticules moins fines séparées dans la chambre de détente 10, étaient divi- sées en catégories de diverses granulométries.
Il pourrait ne pas en être ainsi, et les trémies telles que lla llb seraient alors réunies en une seule trémie, tandis qu'un seul conduit tel que 20a, 20b serait prévu pour recevoir et épurer les particules re- cueillies sans ladite trémiea Différentes conformations pourraient encore être adoptées pour ces conduits et exemplativement, les figs 3e et 3f montrent deux réalisations.
Il rentre encore dans le cadre de l'invention de prolonger vers le haut des conduits tels que 20a, 20b, de manière telle que leur extré- mité supérieure se relie directement au conduit 5, c'est-à-dire au delà du clapet 24 situé à la jonction du conduit 15 et de la chambre 10 avec ce conduit 5, comme il est indiqué en traits interrompus sur la fige 1.
On obtient ainsi de n'influencer par l'action de ce clapet 24 que les seuls courants fluides du conduit 15 et des conduit 3 et chambre 10.
Finalement, au lieu que les particules moins fines séparées dans la chambre de détente 25 soient introduites dans le conduit 15, elles pour- raient l'être dans les conduits 20a ou 20b d'épuration des particules ayant les dimensions les plus voisines ou bien dans le conduit unique de traitement complémentaire des particules les moins fines séparées dans la chambre 10.
Dans la fige 4, l'agencement général est le même que dans la fige 1, sauf que la chambre de détente 25 de cette figure est aménagée en vue du réglage de son volume, en lui faisant comprendre au moins une paroi mobile, composée par exemple de panneaux articulés entre eux, les panneaux exté- rieurs 33 et 35 coulissant sur la paroi d'enveloppe 36, tandis que le panneau médian 34 est déplagable sous Inaction d'un, organe approprié, par exemple une vis 37
Les particules qui se séparent dans la chambre de détente 25 sont recueillies dans la trémie 26 et évacuées, sous le contrôle de l'obturateur 28, à l'extrémité inférieure du conduit 27
Le fonctionnement est sinon le même que celui du mode de réali- sation selon la fige 1, et l'on pourrait prévoir, comme indiqué pour cette figure ,
l'introduction des produits recueillis dans la trémie 26 dans le, ou l'un ou l'autre des conduits tels que 20a, 20b.
Dans le mode dexécution illustré par la fige 5, on a prévu pour séparer des produits bruts les fines et très fines particules, de ta- miser ces produits sur un crible 39 qui est représenté fixe,,. mais pourrait également être mobile, et en particulier animé de vibrations.
Ce crible est aménagé dans un espace reliant l'extrémité supé- rieure du conduit 3 à la chambre de détente 10, laquelle est formée sous le crible, surmonte une trémie 11 et communique à son extrémité supérieure et de sortie avec le conduit 5 comme précédemment a
On voit sur la figure que le courant de fluide issu du conduit 3 traverse, en même temps que les fines et très fines particules, les in- tervalles du crible 39.
De ces particules fines et très fines, la détente qui s'opère dans la chambre 10 sépare les particules les moins fines, lesquelles sont recueillies dans la trémie 11 et passent de là dans un conduit 20 juxtaposé au conduit 15 et comportant à sa base une entrée pour un fluide, 21, de pré- férence pourvue d'un registre réglable 22. A son extrémité inférieure un dispositif à obturateur réglable 23 permet l'évacuation des produits épurés
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dans le conduit '20. Celui-ci se raccorde à son extrémité supérieure; soit au conduit 15 soit directement au conduit 5 au delà du clapet réglable 24 comme indiqué, précédemment.
Les conduits 15 et 20 peuvent affecter en section des formes diverses, par exemple celles représentées dans les figs. 3e, 3f
Enfin, au lieu que les produits séparés dans la chambre de déten- te 25, illustrée comme analogue à celle décrite en référence à la fige 4, et qui sont recueillis dans la trémie 26, soient simplement évacuées à la sortie 38, ils peuvent, en totalitéou pour partie, être introduits, soit dans le conduit 15 comme représenté, soit dans le conduit 20, pour y être soumis à un complément d'épuration ainsi qu'il a été expliqué en référence aux figs. 1 et 2.
L'agencement et le fonctionnement sont sinon les mêmes que ceux des réalisations décrites précédemmento
Dans toutes ces réalisations, si par suite de variations très importantes dans la composition des produits, l'épuration finale des gre- nus du conduit 15, ou bien celle de l'une ou l'autre des portions de matiè- res- traîtées dans des conduits tels que 20, 20a, 20b, laisse à désirer, l'opérateur pourrait mettre en marche le ventilateur auxiliaire 32 et, en agissant convenablement sur'les organes 32b contrôlant les branchements 32a et la section utile de ceux-ci, rétablir dans l'un ou les conduits considé- rés les conditions désirées d'épuration.
Bien que l'on se soit borné à la description plus détaillée de certains modes d'exécution et de certaines réalisations seulement, il est bien entendu que l'invention n'y est pas limitée, mais qu'elle englobe également les modifications et les variantes. C'est ainsi que dans la pha- se initiale de l'épuration complémentaire des grenus on pourrait utiliser du fluide pulsé, les pulsation\; lui étant communiquées par tout dispositif convenable, par exemple la vanne tournante schématisée en 40 dans la fig.5.
Dans ce cas, il peut être avantageux, et le cas échéant préfé- rable, de conduire vers un cyclone séparé 6a, en passant éventuellement par une chambre de détente telle que 25, non représentée, les très fines parti- cules prevenant du conduit 3 et de la séparation des fines et très fines du brut et de la chambre 10, ainsi que figuré en traits interrompus dans la fig. 5.
REVENDICATIONS.