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Vl..r..t.. J ur,' i¯IVi,L7 u.. LWIi:lII l,.l :L'.CI;".
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1'.I: Ct.l'u.liuL 3..iicE'..ii .1e j.'c-cctictcCiirnt;, 14i1)Jrvb .iiiiuer .lc. ïc:lE:r flVcC ie tl'c.: I'LllUd y'c..¯¯.i 15 i't.'.'utdi'b rLyac .t. ivur crclt 'nicLii.. 0<i :1:1c:...i m 1J;¯y ¯ u.i'u.ii'1 a.".riô 1v Ça;. ,.v .,dl".1W;.¯. li..jucl ,.W.:1 ait 1R"iI'W:t .1w.1:J1lCûEtLII' ue: J)UiL-*,Ilct;, ut un.i. ac ie.
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..1 i:.., 1.). - C t, 17z; t il - ' . " '., )11.&-
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Lorsque ces équipements d'essai comportent une source principale fournissant le courant de court-circuit et une sourc auxiliaire fournissant ou amplifiant la tension de rétablisses, il faut fermer la dite source auxiliaire à chaque passade théo- rique par le zéro du courant, ainsi que rétablir à chaque résel cage de l'arc le courant de court-circuit provenant de la soure
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principale.
Cette cOlliLBnde syncuronisée des circuits électrique; doit être très rapide, précise, réglable et sûre, c'est à aire qu'elle doit exclure toute probabilité de fermetures inteiapestr à des moments autres que ceux ou elle doit intervenir utilement
La réalisation complète de toutes ces conditions présent,
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ue sérieuses difficultés. Si, pour effectuer une telle ferwe turt synchronisée de la source auxiliaire, on fait, par exemple, appel à des circuits-modèles, destinés à reproduire correcteuen le oourt-circuit ue puissance non perturbé par le disjoncteur, si on utilise le passage par le zéro de ces courants-modèles
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pour provoquer une impulsion de couimande de la source auxiliaire on se heurte à la difficulté de réaliser les circuits et les alternateurs rigoureuseruent homothétiques aux éléments corres- ponuants de puissance.
Lorsque, suivant une suggestion connue, on synchronise
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la commande de la fermeture par le passage par le zéro du courel de puissance, pris avant sa décroissance anormale au voisinage au passage effectif par le zéro, le fonctionnement correct nést
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possible que pour des courants parfaitement symétriques et U'L,11 amplitude bien connue L l'avance : ce système n'est donc pas utilisable en station d'égal. lin syncuronlsaut cette fermeture au circuit coonandé par la pointe d'extinction ue l'arc, on risque le fonctionnement intempestif à des moments autres que les passages par le zéro du courant, et cela par suite des variations erratiques ue la tension d'arc.
Four la môme raisin , il est difficile de fixer le seuil de tension ù partir duquel le fonctionnement doit être
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cJ:..r...Ln<.lé.
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1nfin, t-i (,4, se base sur le signe ae la dérivée ue la tension aux bornes au disjoncteur, on a les mêmes ut.4né;er-e ue bnctionue.eut intempestif.
La présente invention, système 5,'jr;,;R, A ..I3.Tr "''' André GUILLAUME et 1..C.;.¯;R, a pour objet une métuoue et aEs dispositifs permettant de réaliser la commande sync.ronmée ue circuits avec toute la précision et la sécurité voulues, ainsi qu'aveo les possibilités uésirables ae réglage.
Conformément à l'invention, la commanue synchronise de la fermeture d'un circuit est suboruonnée à l'action combinée de deux manifestations ou paramètres au moins, agissant chacun
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dans un 0.: dre déterminé sur des relais à action rapide, de façon à ce que le fonctionnent d'un ae ces relais prépare et rende possible le fonctionnement au suivant, et agencée pour que la
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commande ne puisse s'effectuer que si les dits paramèti s inter- viennent tous dans l'ordre prescrit.
Ainsi, dans le cas particulier des équipements n'essai indirect ae disjoncteurs, la fermeture du circuit de la source auxiliaire est subornée, d'une part, à l'intervention préalable .'un relais électronique, dit de uéblocage, agencé pour répondre au passagreeffectif par le zéro ou courant de court- circuit, et d'être part, au fonctionnement a'un autre relais
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électronique dit a'aeorçae, agencé jour être libéré par le Précéuent pour réponse au cHWlt;eJJ..t:nt au i01H: '4t: la uérivée dU/dt de la tension aux bornes du uisoncteur, le fonctioul.e..xnt (le ce aernier relais ayant pour effet le aéclencuece,t u'une in-pulsion à frunt rame qui alorce le circuit co.zan(ié.
Le ae.sln 81111t;Áé représente 1:1 t.l "l'e J'e:e!..pl.es divers ligues (il F-1.),)IicEltion le l'invention toujours "-ne, le cas particu- lier (les squipa,ei.ts d'essai inairect ae (ilf;Jon<.:teurs. Sur ce ae,-:;s1n, la 1'l;ule est un uiat;rallJ.We t;.J..pli<..:atlf, les fib.ures 2 et j sosit ,es '-C.t2LILS SiLai).Lifi6s de # équipas u'essai, et fliura 4 reproduit plus en détail le schéWb de la fit Jur .LI. fi,,-ure Une alternance du courant de court-' <':d'C-l1 t :rav.P6fcnt le ù.1sj;n;.cteur est représentée en I et la
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tension d'arc en U,, . suivant l'invention, on fait intervenir au moment t1 un relais, dit de déblocage, agencé et réglé pour fonctionner'lorsque le courant, en diminuant se rapprocue suffi- saent du zéro.
Cette intervention du relais de uéblocage prépare et rend possible le fonctionnement d'un autre relais ai d'amorçage, qui est sensible au sens de la dérivée aU/dt. Le deuxième reiais intervient peu après le premier, à un moment t où dU/dt change de sens, c'est à dire, par exemple, un peu au delà de la pointe d'extinction. Un verra plus loin que l'mter- velle de temps entre g1 et t2peut être réglable, de qui peut présenter un grand intérêt pour les essais de recherches.
Le fonctionnement du deuxième relais a pour effet de fermer le circuit de la source auxiliaire fournissant la tension ae rétablissement et cette dernière prend l'allure désirée U2.
Si, au moment t3 l'are se réamorce en rétablissant une nouvelle alternance 12 du courant de court-circuit, on peut faire appel à un troisième relais dit de réamorçage, qui inter- vient pour mettre hors service la source auxiliaire uont le circuit vient d'être fermé.
Sur la figure 2 on a représenté souématiquement l'application de ces trois relais dans le cas d'un équipement d'essai dont la source auxiliaire est reliée en parallèle avec la source principele .
Sur cette figure, G est la source principale; D le disjoncteur essayé, D. un interrupteur auxiliaire et S la source auxiliaire alimentant 'un transformateur auxiliaire T. Ou férue le conjoncteur F et on ouvre D et D... Lorsque le courant traver- sant les arcs dans ces aeux derniers dispositifs se rapprooae au zéro, la tension fournie par le transformateur d'intensité Ti et transmise par la connexion ± tombe au voisinage de zéro, ce qui fait fonctionner le relais de déblocage B.
Par la connexion L 1 relais B prépare et rend possible le fonctionnement au relais 'demorcage A alimenté par la borne H; lorsque la tension aux borne au disjoncteur essayé D, abaissée par le .potentiomètre r
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et transLllise par le i'il 1, coince à aécroitre en valeur absolue. z fonctionne a son tour et envoie par le fil une impulsion ae couzande à front raide qui anorce l'éclateur :;. Ce dernier -et en service le secondaire au transformateur T, aximenté par la source auxiliaire S qui fournit la tension ae rétablissement.
Sur lE2 figure qu'on vient ae décrire et sur les suivantes ire conaensatem- C;i est destiné d diriger les courants de ueute fréquence ue
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façon à ce qu'ils ne passent pas par la source G.
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oi cette tension de rétablissement prouuit un réa:.rça;e uns D, l'a.el de courant correspondant (qui traverse ïi j L:v"!;.'n"", par le fil le fonctionnement au relais ae réengage ; ce dernier envoie par la fil ±. une ili-juision à front raite dW eu tude suffisante pour réamorcer l'interrupteur auxiliaire D et
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compléter ainsi le cout-circuit. L'éclateur -.' se désamorce grâce
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à une liwitation adéquate du courant qui le traverse et à un soufflage approprié non représenté; l'é.,ipe.ent revient alors à son état initi-1.
Le sciiéme ue 1 fiuui-e ¯3aiffère uu précédent par le fait que le secondaire du transformateur f est en série avec la sou,* principale G. Par ailleurs, le fonctionnent est ana.o.ue;
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il sera exposé à propos ue la figure . qui représente à titre
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d'elle u'ur.e faÇ0u plus aétaillée l'aenL:eÙlent possible ae, élé c.ents u, /., ; et C au souéiuû ue la figure e , La source au::ilieire peut être alimentée c.J....Le-",....e par les uornes . qui lui fournirent une tens.on syTC..rwne avec celle ue la source ; el.e peut comporter un trollL)rù..8:tJl..r T associé à ueu: tubes reurec5eurs j:... et 1i2, des a;îorrm p/..r exele, qui cuar.ent le condensateur 81.
Un cow.utc;tdur syj,c..r- ile est inséré dons -Le circuit de décharge ue ce condensateur Cl ne fâ,on ii fournir u tout ool#nt au :Jriwì1'e du tre1L.sf.:.>rLJateur OÙ...l.....1Llr 'il Le courant axent la o.arité appropriée.
Le ci. cuit de décharge au o.:>nl.enoteur C, 1 est normale, 1I,tel'rvL.pU par l'éclateur L'sluOrçagE de cet éclateur est cor,- #ue, e':'>!4t; il a été er.o:.é plus aat, par les relais A et .
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. :;ura 4 iuiuue une ibr de réalisation.
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Le relais ue uéblooage B peut par exemple comporter une lampe triode 1; dont le tension anodique est fournie par le reuresseur a monté en pont et alimenté par le fil venant uu transforuateur d'intensité Ti. Ce dernier, comportant ue ;>r f-
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rence un noyau magnétise qui est saturé par une valeur relative-
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.-ont faible au courait, charge le enaensateur Cj à une tension
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ue crête sensiblement constante.
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Un autre redresseur (analogue au récc:aatlt ) foùl;.it par l'intermédiaire du Dotentio:uètre l2.J à le grille de .. une ten.,mu ,.e C:l:it lors#ùe le courant 'traversa 'le disjoncteur D est important; quand ce courant est faible, la tension de polari- sation lui est proportionnelle. La Grille ue h reçoit, u'autre
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part, une tension opposée constante, fournie par la source - et
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tendant à amorcer la û.écubrge de -Le lampe 1,. Normalement le.
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tension fournie par est supérieure à celle qui est fournie par
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et elle agit de façon à bloquer la lampe J:.
Dans ces conditions, le fonctionnent du relai5 ae
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déblocage B peut être exposé de la façon suivante : le condensa-
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teur Ci est cnargé par au cours d'une alternance (ou u'une :rcc tion d'alternance au courant ae court-circuit Il ( voir figure ; Aussi longtemps eue et courant est important, la-tension fourme par ,4 et par polarise la Grille de 1: de façon telle 4 ue ce tu e ne peut pas s'amorcer, uais dès que le courant devient très faire (point tl de la figure :J. J, la tension ue ,,,¯# ,, devient prépondérante, .: S'oL1Orce et #,## bzz par la résistance .. La tension (ae si)1e négatif ) ...
CvrIlf;;.. "':'t.. le lampe Ij qui était due a la charGe de C, tOIùLe pretm.ue.et s zéro, ae sorte que à .ensi.n qui était t trE::nt..ie 16 bzz la grille ue la lacupe L. au reicis il pellullit t l'e ..lt. ter.ce .....u ciurniit ae court-circuit se trouve pratiquent mutulée, Un voit que le re.ais ci6 a6blc)cc,e ne peut fonction- Iler ue la façon décrite et libérer la lampe . \.tU '6, aeU). Conu.l tl.">!l::'.
...0) ::''''11 fonctionnent n'est possible qu'r,¯rè la c:. prgala;,lt ue C,, c est a dire après le iïB8tw de une alternance ou d'une h,c tl 01. u.' [;l ternWlOti du courut de court-circuit;
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2 i faut que ce cjuran. soit touicé ensuite à une très faible valeur, VJLllle uu .éro. Le fonctionnement intempestif uu rt.LaisP au nécut ou au wi:.ieu u'une alternance n'et (une ¯z.:. ti .-rmt,4 e , Le relais u 'lJkOrçfjb"S A peut comporter 1¯, 1:..:Lpe i.. L),-,6 L dont l'anjue est .li,enté pr.r lu 'eusiuu osiùve IL Lrne II; cette tension cuaryo lt l:...>nuen8teur IL griilt ut ru-)it un tension venant au secondaire au xransforix te..r ^ .
Le ri.Li- re ue ce dernier comporte un point liiilieu relié par la conne:.ion e à un point apro rié au potentiomètre P; la en8ion ae ce point wilieu est aone proportionnelle à la tension aux bornes du cuejoiic teur D. Les extrémités du pritiaire (le Tij sont reliéts a 18 terre par les redresbeura '<'1. et coiuiie représenté.
Dans ces conditions , quelle # suit la polarité de l'j connexion el le flux uu transforuateur T3 passe toujours dans le r#e sens. Lorsque la valeur absolue ue la tension ue e uuguiente, le secjndaire de Tj produit une tension qui charge ngr.tlVet...±:nt la grille de , et lorsque cette v-leur absolue diuinue, la uite gril le est c..srgée :)oSiÜVal.lent, tendant à amorcer le tube i... '.I.';>utt."0i, pe"dlil" ir. durée uu courant a'us T., ces tensions positive- sent
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largeuient compensées par la tension négative amenée par lu conne-
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xion ¯, ce qui bloque le relais A et évite toute possibilité ue
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son fonctionnement intempestif.
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#i-ar contre, des ue la l, ulla i* ',,orce, c' x ure au pf:t:sage par le Léro du cjr'-nL uu UlbJ nd6ur D r-- ie (.1- terimnce co.... lote ou }!rcie11e uu cJ.,rúnt, la ¯enHon !',ve
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transmise ,o.r 1: coiinexi-)ii 1 ect pr.-iueLient annulât:, il a été exposé ci-aestus, et la 1LIL..-,e i.. ;:.' a4:Jl'oe act, le precaer cne.ncel.4ent du Ligue de aU/ut, cou e l'ludiyue 11 :'ll;ure 1.
Cet aluJrç ge ae w ..éc. rg<- 'rusyue ",t 1. le ondent-eteur C2 et rjouit au... hjrnu; se !# r.&sutúnoe Rj une impulsion à frjnt rLide aont le tells...ll, amplifiée . .r le transforuiuteuT élévateur To et trans- jcf! par la connexion ab ropriée , euorce l'éclateur K. ou v it aoao que ju n'importe quelle polarité ue la Leil1-ilil u.. cornet uu tiisjonjfeur D, le relais A peut amorcer l'é-
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¯1 a¯ , fermer uinti l'ulii-entation du tn;:nsfor au.r T Uinis
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à condition .,ue : .o) cette -Lunsion soit u6croinante tir valeur absolue, et 20) que le relais ut uéblobb B ait :r.Llc.:,¯.en fonctionné.
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Ln a'autres termes, le relais ne peut sr \.tu'1..u -.lit t., de la figure 1.
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Dans ces conditions, on a notamment la ,crtituue l.u'i.u- cune pointe de la tension d'arc U1 (figure 1) ne risque de provo-
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quer l'amorçage intefupestif ou prématuré de l'éclateur ...
Il ebt à noter que la connexion e. est reliée au point milieu du transformateur T. par l'intermédiaire d'une résistance réglable. Cette résistance, en modifiant la sensibilité au reilr peut retaraer plus ou moins la position au point par rapport au point t1' c'est a dire qu'elle permet ue régler avec une granne précision le moment d'amorçage ue l'éclateur
On peut également constituer la connexion, désignée par a, comme une ligne de retard, en utilisant des moyens connus pour temporiser dans 1: mesure voulue la transmission de l'impulsion
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à l'éclateur E et jour régler a-nisi le moment a'eiaorç: ge ue ce uer nier.
1'aliroontution de T, qui vient d'et fermée per l'8:Jor-i cage de :;, groauit aux bornes de D, en série avec 1L ource arm oipale G, la tension de rétablissement aésirce. i cette tension
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donne lieu à un réamorçage au point t3 de la figure i, l'appel de ' courant coiresponaant crée aans T, une tension ceojnuaire de com- mnde qui est transmise au relais C de réamorce;.
Ce relais C est analogue au relais A; la grile de on tube trioae 0 est alimentée par le transformateur T 4 (analogue à
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'L"3) et par une source Y donnant une légère polari sction constante.
Le sens ue la tension fournie par T4 est tel que si le tension ae la oniiu;iDn u 1 augmente, le t rbe 0 s'amorce. L'amorçage de o pro- duit, par la décatre de C4 et à l'aide au transformateur éléveleur une impulsion a front raide d'une amplitude suffisante
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pur riamoiccr l'interrupteur auxiliaire vl par l'intermédiaire ue 1. ;o.r.e3.ion '-, et le courant de oourt-oirèuit se rétablit suivant
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10 de la figure @ @
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Dans ces conditions, le relais C -e réamorça;e ne peut intervenir qu'au dé.ut d'une alternance de court-circuit, lors ce courant augmente. pendant le passages du courant de court-circuit rétacli
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le condensateur G, de la source auxiliaire S e,-t déchargé e Il dateur il s'éteint;
le condensateur CI peut se ciiLr6er à nouvtai et ou l'équipement retourne à son état initial.
On voit que les divers dispositifs qui ont été désigne.
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par A, B et C sont agencés de façon à ne fonctionner .¯u' a (J.t';;; ce mants bien déterminés et que tout fonctionnement intempestif est exclu. On voit également que l'on peut, s'il y a lieu, régler a- vec une grande précision les divers moments du fonctionnement qui est extrêmement rapide et précis.
Il va de soi que ces dispositifs peuvent être modifiés suivant les besoins, de façon à s'adapter aux conditions d'emple et que l'application de 'invention n'est pas limitée au cas pei
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tioulier dédit à titre d'exe..le non limitatif.
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Méthode et dispositifs e commande synchronisme de cir- cuits électriques se distinguant essentiellement par le fait que
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la fermeture de ces circuits ett subordonnée rez l'action couinte de deux manifestations ou paramètres au uoins, agissant chacun
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dans un ordre préaéterruiné sur aes relaie à action rapide, ae fa- on à ce que le fonctionnement de chacun de ces relais prépare et
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rende possible le fonctionnement du suivant, pour que la c0...:i.811de ne prisse s'effectuer que si les dits parâmes très interviennent tous dans l'ordre prescrit.
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