<Desc/Clms Page number 1>
EMI1.1
Commande à re1OEis à. sûreté' de 'opupure aooeme pour con-
EMI1.2
mandes de machines.'
EMI1.3
EMI1.4
-Le développement de la: commande individuelle de 'machines a' conduît,la constructeur de machines à utiliser ' à+une faq-on tout à fait générala linterrupteur électrique la place d*un accouplement mécanique.
Dans-le cas de dan= , gar pour la machine et 1,lhoùbe., 1 tàcaoupi emed-t m.canique
EMI1.5
est considéré comme un moyen sûr pour couper le'flux de force,
EMI1.6
cest à dire pour séparer la, machine de, sa source de force: Parmi les électriques, donc les, interrupteurs de mise hors et en circuit ltinterruptoeuoe de' courant-prin- cipal actionné directement à la main ou -caniquement est:
également oon'sidéré comme sûr et. il peut recevoir diverses formes de réalisation, comme interrupteur à cylindres, ion terrupteur à couteaux, eté.,w Contrairement à cela, l'interrup- teur, commandé indirectement., donc 3a:' relais interrupteur comportant une bobine, ci*.exaitat3.an dont'-le couran.t excitateur est coupé, nrest pas considêrd.'cltune façon générale comme un' moyen absolument sûr'pour. couper le courant principal allant à la commande, de. la-machine ,en cas de danger. Ainsi, par , exemple, l* interrupteur principal acioané à la main est de- mandé expressément pour toutes negohinçs-autiis et: 1=utilisa= tion de relais nest pas :recormu. comme interrupteur princi- pal.
Dans''les. râklemplte-t îodu, relatives' à 1t installation et '
<Desc/Clms Page number 2>
à l'exploitation d'ascenseurs ou monte-charges, il est expressément prescrit que des interrupteurs de secours puissent couper directement et impérativement le circuit du moteur; par conséquent, des relais ne sontégalement pas admis pour cela. Ces prescriptions expriment qu'un relais n'est pas considéré, d'une façon générale, comme un élément de coupure sûr pour interrompre le flux de force allant à la machine. Ces prescriptions concordent avec l'expérience qui a montré que des relais peuvent de- meurer accrochés pour diverses causes.
Par exemple, les contacts de commutation peuvent se trouver fixés par sou- dure par un fort passage de courant; lorsque les relais deviennent très vieux, il se présente des phénomènes de rémanence qui peuvent produire un collage magnétique, en particulier lorsque les ressorts de pression des contacts, qui augmentent la force de coupure, cèdent par suite de vieillissement et enfin les pièces mécaniques disposées sur un relais peuvent s'user si fortement en présence d'u- ne grande fréquence de commutation- qu'un coincement peut se produire. A cela s'ajoute que les relais 'sont maintenant des produits fabriqués en liés grande série dans lesquels diverses tolérances peuvent se rencontrer accidentellement, si oien qu'il faut compter qutun relais peut ne pasfonc- tionner.
'D'autre part, les relais de commutation actuels, qui sont utilisés dans des millions de cas pour contrôler des machines, ont donné de si bons résultats et dans la pratique leur travail sûr est tellement recommandé aux di- recteurs d'exploitations qu'ils peuvent être utilisés et que l'on ne peut guère sten passer en réalité également pour de nombreuses opérations de coupure qui comportent du danger.
pour augmenter la sûreté de coupure d'un montage à relais, il y a, comme on le sai t, la possibilité d'utiliser plusieurs relais couplas en parallèle par leurs bobines d'excitation et de coupler leurs contacts principaux en série de façon que le courant principal soit simultanément
<Desc/Clms Page number 3>
coupé 'en plusieurs points lors de la coupure.. S'il y avait déjà la possibilité qu.'un relais reste: accroché par suite des commutations répétées des millions de fois ou par suite de vieillissement, lors de'la coupure de son courant d'ex- citation;. le cas que par exemple deux relais couplés en série restent accroches 'simultanément au même instant n'est' pas vraisemblable.
Dans la. pratique, ce cas n'a également pas encore pu être démontré. La sûreté de coupure de cou- plages à relais peut donc être augmentée. dans une très for- te mesure par l'utilisation, de deux ou plusieurs relais dont les contacts principaux sont couplés en série. Mais le . cas peut se produire que l'un de ces relais reste constam- ment accroché et que cet accrochage ne soit pas do servé.
Le second relais assumerait alors la totalité du travail de mise en et hors circuit èt la commande à relais con.ti- nuerait à travailler sans perturbations, mais la sûreté multiple n'existerait plus.
Ce danger est supprimé, conformément à l'invention, du. fait que le- circuit: excitateur de chacune des bobines cou- plées en parallèle des relais couplés en. série par leurs contacts,principaux est amené à passer par un contact de repos de l'autre relais et que le contact de repos de chaque relais est établi avec un faible retard ou avec un trajet d'ouverture, agrandi par'rapport à son.. propre contact de maintien. Par ce couplage, lorsque l'un des relais reste . accroché, le circuit, excitateur de l'autre relais est main- tenu constamment coupé, de sorte qu'une continuation du travail n'est pas possible avec cette. commande à relais dé- . fectueuse.
Ce n'est que lorsque le ,défaut 'est supprimé et que les deux relais ont été ramenés à la position de repos, que les deux relais'peuvent être remis en circuit et que le circuit de courant principal contrôlé par eux peut pâtre fermé. L'invention, peut être utilisée également lorsqu'on emploie plus de deux relais coupas en parallèle, avec leurs bobines et en série par leurs contacts principaux, le cir- cuit excitateur de chaque bobine de relais étant amené à passer en série par un contact de repos de chacun des autres relais.
<Desc/Clms Page number 4>
Quatre exemples de réalisation de ,1' invention sont représentés sur le dessin annexé.
La fig. 1 montre l'application de l'invention à deux relais devant être actionnés par un contact de mise en cir- cuit commun.
La fig. 2 contre l'utilisation à un couplage de sécu- rité pour presses.
La fig.3 montra une autre application à un couplage de sécurité pour presses .
La fig. 4 montre l'application de l'invention à trois relais.
Les éléments correspondant les mis aux autres dans les diverses figures portent les mêmes numéros de références.
Dans la figure 1, 1 et 2 sont les bobines de deux re- lais dont les contacts principaux 1h et 2h sont couplés en série pour couper.doublement, avec une plus grande sûreté, lE! circuit principal allant, du réseau N au consommateur A.
-Les contacts de travail la et 2a, ainsi que les contacts de repos 1r et 2r, sont encore'manoeuvres par lis bobines de.;relais 1 et 2. Le bouton poussoir de mise en circuit 6 est placé dans le circuit de fermeture. Lors de la fermeture de l'interrupteur 6, la bobine 2 est excitée en passant par le contact de repos 1r et la bobine 1 est excitée en pas- sant par le contact de repos 2r. Les deux bobines 1 et 2 reçoivent simultanément de la'tension et les deux armatures de relais sautent dans la position de fermeture du circuit.
Elles ferment ainsi leurs cont acts de maintien la et 2a, en passant par lesquels un circuit de maintien passant par le bouton-poussoir de coupure 5 et un interrupteur de fin de course 4 est fermé pour les deux bobines de relais. Hais, pendant l'opération de fermeture du cir cuit , les relais ont en même temps coupé mutuellement leurs circuits de fermeture par ouverture de lr et de 2r. Dans la pratique, on constate que les contacts de repos 1r et 2r ne doivent pas s'divrir trop tôt lors de la fermeture du circuit . Ceci est indiqué au dessin par l'élasticité de la pièce de contact mobile.
<Desc/Clms Page number 5>
La. mesure du trajet d'ouverture, dépend de la construction du relais. La construction normale, selon laquelle les re- lais sont fabriqués en règle générale., est le plus souvent suffisants. Autrement; la mesure nécessaire doit être trouvée par des essais. En ce faisant,'il fautprendre en considé- ration que le dispositif doit aussi travailler encore d'une' manière sûre lorsqu'un relais effectue la commutation plus . facilement que ltautre, de sorte que de petites différences
EMI5.1
peuvent se produire dans le temps dtattractian. des deux. re- lais. On peut observer toutes.ces conditions facilement avec des relais normaux fabriqués en série.
La disjonction des deux relais fermés se fait de la manière usuelle par coupure du courant de retenue en .action-
EMI5.2
nant le' bouton-poussoir de disjonction 5 ou l'interrupteur de fin de course 4. Les deux bobines 'sont . simu.l t an,ér#. nt privées de courant, de' sorte quelles deux. points d/interruption du courant principal s'ouvrent 9.'peu près simultanément,, Si le cas se présente qu'un relais, .par exemple le râlais 1, reste accroché, le relais 2 coupe encore le courant principal.
'Le relais 1 se trouve'alors dans la position de fermeture. du
EMI5.3
circuit; et le 'relais 2 ,dans la.position- ,de disjohoticEL. Mais, lors de la nouvelle fermeture suivante du bouton-poussoir de mise en circuit 6, il ne. se produit pas, conformément à l'in- vention, de fermeture du circuit du consommateur A. Le refais 1 est bien dans la position de fermeture du circuit, mais il
EMI5.4
coupe, par son contact de repos Ir, le. courant, de mise elic1r cuit pour la bobine du relais 2. Ce dernier reste dans la po- sition de 1 disjonction .. La zaàhine ne re 16marre pas.
Si ce cas se présente dans l*'-exploitation- pratique.,' on fait appel nor- malement à ltélectrinien de surveillance, qui doit maintenant , supprimer la' perturbation au. reLais 1, a,van. t qut il soit pos- sible de continuer 'à travaillera Si l'un des relais intéressés
EMI5.5
est devenu\ si peu. sûr par suite d'usure ou de dêfaots qoe. la perturbati#.' se produit plus souvent, un changement du, relais dangereux-est imposé par l'invention-* Les deux relais 1 et 2 se surveillant, conformément à l'invea..tion, de telle IIJ.a!l.:ièré. que, lorsqu'un défart se produit à l'un des relais et fait- cou- rir un danger à ce relais, le relais'-qui est encore bon est '
<Desc/Clms Page number 6>
empêché de ce fait de fermer le circuit.
Si l'onveut encore accroître la sûreté de la coupure, on peut monter plus de deux relais en série avec les contacts principaux, par exemple trois relais, comme cela est indiqué à la fig.4. Dans ce cas, chaque relais reçoit un nombre correspondant de contacts de re- pos pour la surveillance réciproque.
Le couplage représenté à la fig.2 est une application pratique de l'invention à la mise en circuit électrique de presses. Dans ce cas, on utilise un'enclenchement de sûreté, dit à deux mains, étant donné qutil faut que les deux boutons pous- soirs 6 et 7 soient actionnés chacun par une nain de l'homme de de service, da sorte que lors de la mise en circuit l'homme de service doit avoir les mains à l'extérieur de la zone dan- gereuse du poinçon. Le circuit de courant principal N/A sert à l'alimentation de l'embrayage à volant actionné électrique- ment de la presse. Cet accouplement doit également être ouvert avec la plus grande sûreté possible lorsqu'on lâche les boutons poussoirs 6 ou 7, donc lors de l'interruption du courant de commande.
Lors de l'accrochage redouté et dangereux d'un re- lais, le blocage de la possibilité de travail de l'ensemble de la machine se, produit de nouveau. Ce n'est qu'après la suppres- sion du défaut que l'on peut continuer à travailler avec la presse.
Le couplage suivant la fig.3 constitue une extension du couplage suivant la fig.2 pour'l'embrayage de sûreté de pres- se. Les boutons-poussoirs 6 et 7 sont surveillés par les relais auxiliaires 8 et 9 de telle manière que l'un d'entre eux ne peut pas être immobilisé arbitrairement et, en outre, la continua- tion du travail est bloquée, conformément à l'invention, par l'interruption de fin de course 10 des relaisde commande et relais auxiliaires 8 et 9 , lorsqu'un des relais reste accroché et est ainsi dangereux.
Le mode de fonctionnement de la commande selcn la fig.
3 est en bref le suivant : Dans la position de repos représentée, la commande est privée de courant par l'interrupteur principal ouvert H et les contacts des relais et relais auxiliaires pren- nent la position représentée . La presse se trouve à sa posi- tion la plus iiaute, dans laquelle le contact 10a est ouvert par l'interrupteur de fin de course 10 et le contact 10r est fermé.
Lorsque l'interrupteur principal H est fermé, les relais auxi-
<Desc/Clms Page number 7>
liaires 8 et sont immédiatement excités en passant par le circuit suivant : pôle positif de la source de courant de com- mande, contact supérieur de'l'interrupteur principal H, les bobinas couplées en parallèle des relais auxiliaires 8 et 9,
EMI7.1
le contact de repos 9' Óu' 8±r, les contacts de repos 6r et 2r des boutons poussoirs, de mise en circuit,-le contact 10r de l'interrupteur de fin de course 10 et le contact inférieur de
EMI7.2
l'interrupteur principal H, p8le-négatif -de la source de cou= rant. Les relais auxiliaires 8, et 9 fonctionnent et s'appli- quent par fermeture¯de leurs contacts-auxiliaires de travail 8a1 et 9,=:1. dans un circuit de maintien indépendant des contacts de repos des boutons poussoirs 6 et 7.
En passant par les con- tacts auxiliaires de' travail 8a et 9a, ils préparent le circuit excitateur pour les relais principaux 1 et 2. Lorsque les deux boutons-poussoirs 6 'et 7. sont pressés chacun par une main
EMI7.3
de l'homme de service, le'circuit drexcitation suivant et fermé pour les relais principa.ux 1 et 3 : tôle positif de la source de courant de commande, contact supérieur de l'interrupteur principal H, les bobines couplées en.parallèle des,relais
EMI7.4
principaux 1 et 2, les contacts de repos 2r et lr, les contacts de travaia.. 9a et 8a, les, contacts de travail à boutons pous- soirs 7a e..6a, le contact inférieur dé l'interrupteur principal H, le pôle négatif de la source de courant.
Les relais principaux 1 ne peuvent donc-être excités, de. même. que les relais auxiliaires 8 et 9 ,que lorsque leurs contacts de repos soit fermés, par conséquent lorsqu'aucun des relais n'est resté accroché dans la position de fermeture du circuit. Ava'nt que les contacts de repos 1r et 2r stouvrent, les contacts de travail
EMI7.5
la. et 2a se ferment et le'circuit O,excitatiom- décrit des re- lais prinoi.ux continue alors- à passer par ces contacts de travail.
Les relais prinoipa.ux'établissent, par ferneture de leurs contactsprincipaux ih et 2h, le circuit dtalimentation de l'embrayage à. volant actionné électriquement de la pressa. ' Pendant la partie dangereuse de l'opération de travail, donc
EMI7.6
pendant l'aba1ssament dupoinçoh,de la presse, les deux boL- tons poussoirs 6 et 7 sont maintenus enfoncés. Lorsqu'on lâche l'un des boutons poussoirs, 1,e circuit'pour les relais princi- panel et 2 est coip6, les relais principaux mettent imuedia- tement hors circuit l'embrayage à volant de la-presse et celui-6:1
<Desc/Clms Page number 8>
est de alite freiné.
Lorsque par contre la course de pressage es effectuée régulièrement en maintenant les deux joutons po@s- soirs 6 et 7 enfoncés, dans la position. inférieure de la presse, l'interrupteur de fin de course est rabattu, de sorte elle le contact 10r est ouvert et le contact 10a est fermé. Le contact 10a se ferme alors peu avant que le contact 10r soit ouvert.
Le contact 10a férue, en passant par les contacts de retenue 1a1 et 2a1, un circuit de maintien pour les relais principaux 1 et 2, qui est indépendant des boutons poussoirs 6 et 7 et des contacts des relais auxiliaires 8 et 9, de sorte que les deux boutons poussoirs 6 et7 peuvent être lâchés pendant la partie non dan- gereuse de l'opération de travail, donc pendant la montée du piston de presse. Par ouverture du contact 10r, le circuit de maintien pour les relais auxiliaires 8 et 9 est coupé.
Les re- lais auxiliaires 8 et 9 sont prévus pour empêcher que la pres- se effectue une autre course de travail immédiatement après la montée du piston de la presse, lorsque les boutons poussoirs 6 et 7 sont maintenus enfoncés constamment, par conséquent éga- lement pendant la montée du piston, ou sont verrouillés de fa- çon inautorisée dans leur position de travail de sorte qu'au cours de la seconde course de travail, et des courses de travail suivantes de la presse, l'homme de service pourrait engager ses mains dans le trajet du poinçon ou pis ton poussoir de la presse.
Le circuit excitateur pour les relais auxiliaires 8 et 9 ne peut être fermé de nouveau qu'en passant par les con- tacts de repos,des boutons poussoirs 6 et 7 et en conséquence après la remontée du piston de la presse, il faut absolument relâcher tout d'abord les boutons poussoirs avant que les relais 8 et. soient de nouveau excités et puissent fermer, par leurs contacts de travail 8a et 9a, le circuit excitateur des relais principaux 1 et 2.
Revendications.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.