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pour : PROCEDE MECANIQUE POUR LE BRUNISSAGE DES OBJETS, TELS QUE DES COUVERTS EN METAL ARGENTE AINSI QUE POUR LE POLISSAGE D'OBJETS ANALOGUES EN METAL BRUT, ET APPAREIL POUR LA MISE EN OEUVRE DE CE PROCEDE.
Le brunissage des objets tels que notamment des couverts en métal argenté se fait généralement soit à la main soit au tonneau. la premier (le ces procédés permet d'obtenir un finissage satisfaisant maie présente l'incon- vénient de nécessiter un main d'oeuvre nombruse, par suite de son faible rendement* et coûteuse Le second procédé,
qui consiste à placer les objets à traiter dans un tonneau mis en mouvement et contenant des billes métalliques ne donne
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que des résultats médiocres nécessitant un finissage à la main, et entraîne fréquemment une déformation des objets qu'il :
faut ensuit redresser la présente invention a pour objet un procédé méca- nique de brunissage consistant à traiter 1* objet au moyen dune molette dont la nature et la forme varient suivant le travail à réaliser et qui est animée d'un mouvement de rotation autour de son axe, tandis que la pièce a traiter
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se déplace automatiquement devant 1* outil ainsi constitua n>tl$Lt"ti Mu>Mj>ji et se meut dan"s tous. les sens par rapport , lui* Les molettes seront, suivant le métal à. traiter, en aller* en agathe verre, diamant/ eta... cette énonoiation fêtant purement Indicative et nu limitative. De atome la forage de ces molettes variera suivant la forme des pièces ou. des parties de Pièces à travailler.
Elles seront, sui- vant les cas, animées d'un mouvement circulaire ou d'un mouvement excentrer agiront par leurs surfaces extérieures, inférieures ou latérales*
Elles sont munies d'une dentelure qui peut, suivant la nature du travail,' être taillée en chevrons, en courbes en lignes brisées etc... $tre de :tome convexe ou concave etc..
Différentes formes de réalisation de ces molettes sont représentées à titre d'exemple aux dessins annexés
La figure 1 représente en élévation une molette 1 destinée au travail de parties arrondies dont la partie active constituée par une sorte de denture 2 est représentée développée en fige 2. Cette molette tourne d'un mouvement circulaire autour de son axe de figure*
La figure 3 représente une molette 3, pour la tra- vail de la surface des fourchettes; elle porte des dentures en forme de chevrons 4, représentées développées en figure 4.
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Cette molette comme la précédente, tourne autour de son axe
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de figure* <,.frv Une molette ppur la travail de 7.iix,târieux de; la ouiller est représentée en fig< 5,* Cette molette 5 tourne autour dlun axe excentra posant par les trous 6i Elle corn" porte une denture 7, représentée développée en :tige 6.
Enfin la figure 7 représente une molette 8pour la travail du dés de la cuiller, qui tourne également autour
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d'un axe emoeutré et comporte une denture 9 représentée en fig. a
Il est bien entendu que la forme de ces molettes peu* varier à 1* infini* suivant la nature des ob- jets à traiter et que les exemples qui précèdent ont été donnés simplement à titre indicatif*
Ce procédé peut S'appliquer non seulement au brunis* sage des objets en métal argenté mais également au polissage
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dobets en métal brut.
Il est plus ]Eeoialemen6 destiné au traitement des couverte., paie peut être également appliqué au brunissage et au polissage des objets de toute nature.
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Toutes les opérations se <ont automatiquement Itob, jet se présentant de lui* même sur toutes ses faoesj If objet est maintenu par un dispositif spécial qui le présente à 1* outil en maintenant constamment la pression nécessaire*
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Les avantages de ce procédé sont oonsiderables;alors (,Utaotuellement an est oblige de recourir à des ouvrières de profession qui après un long:
apprentissage* arrivent à pro-
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duire au maximum deux douzaines de couverts par JO=' on peut en employant le procédé conforme à 1* invention utiliser des Jeunes manoeuvres onaqun deux pouvant surveiller plusieurs machines dont le rendement varie entre 20 et 60 pièces à
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lthe-arae
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'Un appareil, pour la mise en oeuvra du procédé est représenta à titre d'exemple aux dessins annexée dans les* quels :
la figure 9 est une vue de la machine en élévation
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par b out,
La figure 10 est une vue en élévation latérale et la figure 11 est une vue en plan par dessus.! la machine comporte essentiellement une table 10 sur laquelle est monté un portique 11 entre les montants duquel sont disposées les molettes de travail qui./' dans l'exemple représente, sont destinées au brunissage d'une
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ouiller et comprenant à la partie lnfé:
rîeuren=è molette 5 pour le travail de intérieur de la cuiller et à la partie supérieure une molette 8 pour le travail du dos de la cuiller
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La molette 5 est montée sur un axe 12j, solidaire d'un arbre transversal 13 sur l'extrémité duquel est oalé un pignon conique 14 engrenant avec un second pignon conique 15 solidaire d'un pignon 16 engrenant avec un pignon de com-
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mande 17 monté sur un arbre 18 Cet arbre peut être mis en mouvement au moyen d'un embrayage 19 commande par le bouton
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de manoeuvre 20 (Cleell); par 1* intermédiaire de la tringle 21 et du renvoi de bonnette 22 pivoté en 23.
Sur l'arbre 13 est cale un pignon droit 24 engrenant avec un -autre pignon 25 monté sur un arbre 26 qui entraîne
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par l'intermédiaire de deux joints à la cardan 27-28 et d'une tige 29 un bout dtarbre 30 sur lequel est montée la molette supérieure 8* Cette molette est solidaire d'un oa dre 31 dispose à intérieur du portique Il >, cadre sur le quel appuie un ressort 32 dont la pression peut être relâchée au moyen d'une manette à came 33. On voit que de cette façon
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la mdette supérieure peut prendre; toutes les dispositions par rapport a la molette; inférieure et que la cuiller à trais
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ter est maintenue avec la pression voulue entre les deux molettes.
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Bien entendu le bout a* arbre 30 passe dans des boUl'll tonnieres appropriées des pieds du portique 1 de même que -arbre 12 traverse des boutonnières ménagées dans les cotés du cadre 31.
La cailler est diantre part maintenue par sa. spatule dans des mâchoires 34 (figs 10 & 11) dont le serrage et le
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desserrage sont c ndtJ8 par un levier à oame 350 Oesma" ohoires portent une queue. 36 pouvant pivoter autour 4'un axe horizontal .37 porte par une tige 38 qui peu+. coulisser dans
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un bloc 39 et ftre calée par une vif 40* J& b100 39 peut lui".,,8 ;
coulisser en hauteur dans un sopie 41 et être blo qu'au moyen a*une vis de ferrage 4Po Le sotie 41 est porté par un chariot 43 coulissant dans des glissières appropriées
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de la table 10* Ce chariot est solidaire pièce 44&$* mant éorou sur une tige filetée 45 parallèle à "v'" la table 10 et sur 1* extrémité de laquelle 0 et calée une roua degtdq 46 engrenant avec une vis sans fin 4? montée sur l'arbre 48 qui est mis en marche au moyen de 1* embrayage le*
Une butée 49 avec des tampons 50 permettent de faire
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varier l'inclinaison du,
portique de manière qtue la molette puisse suivre exactement la forme de la cuiller* Le portique
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est soumis à Inaction îL'= ressort de rappel SI*
On voit donc que, en même temps que les molettes 5 et 8 tournante la ouiller se déplace automatiquement par rapport à elles. Lorsque le corps de la cuiller est ainsi terminé on peut, pour travailler le manche,' soit changer les molette soit de préférence, pour éviter le démontage enle-
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ver la cuiller en desserrant le retisortzp.
au moyen du levier 33 et la porter sur une autre machine m1'1iJt de molettes apillri propr1t!es. On peut ainsi en disposant autut de machines
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qu'il y a de parties nécessitant des outils différente, ar- river à un débit horaire très considérable.
Bien entendu le mode d'éxécution de la machine qui vient d'être décria n'a dite, donna qu'à titre d'exemple et il pourrait être apporté de nombreuses modifications de détail sans sortir de l'esprit de 1* Intention '* c'est ainsi que la/tige filetée 45 pourrait être remplacée par une biel- lette et la roue dentée 46 par une came* une manivelle ou un excentrique le chariot et par suite les pièces à trai- ter portées par lui sont donc soumis à un mouvement de @a et vient à la vitesse désitée,
pendant que les molettes sont animées d'un mouvemânt de rotation très lent, orage à une démultiplication appropriée obtenu en remplaçant les pignons coniques 15 et 17 par des vis sans fin et les pignons coniques 14 et 16 par des roués dentées @ REVENDICATIONS
Ayant ainsi décrit notre invention et noua réservant d'y apporter tous perfectionnements ou modifications qui nous paraîtraient nécessaires,
nous revendiquons comme notre propriété exclusive et privative :
1) Dispositif de brunissage et de polissage des objets tels que les couverts caractérisé par le fait que l'objet est soumis à l'action mécanique d'une molette, ani- mée d'un mouvement de rotation autour de son axe, l'objet se déplaçant automatiquement dans tous les sens par rapport à cette molette.