[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Venise

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.
Byron in VeniceIvan Aïvazovski

Venise est une ville d'Italie, composé de 121 petites îles séparées par un réseau de canaux et reliées par 435 ponts.

Bande dessinée

[modifier]

Hugo Pratt, Les Celtiques, 1970, 1971

[modifier]

Sorrentino : Tu es sûr de vouloir partir ce soir ?
Corto Maltese : Oui, Sorrentino, cette ville est très belle et je finirais par me laisser prendre par son enchantement, je deviendrais paresseux… Venise serait ma fin.

  • Les Celtiques


Littérature

[modifier]

Guy de Maupassant, La Vie errante, 1890

[modifier]

On éprouve à Gênes ce qu’on éprouve à Florence et encore plus à Venise, l’impression d’une très aristocrate cité tombée au pouvoir d’une populace.
Ici surgit la pensée des rudes seigneurs qui se battaient ou trafiquaient sur la mer, puis, avec l’argent de leurs conquêtes, de leurs captures ou de leur commerce, se faisaient construire les étonnants palais de marbre dont les rues principales sont encore bordées.

  • La Vie errante, Guy de Maupassant, éd. P. Ollendorff, 1890, La Côte italienne, p. 34


Catherine Webb, La Maison des jeux T.1 Le Serpent, 2015

[modifier]
A Venise, souffle-t-il, la mort vous trouvera où que vous vous cachiez. Vous ne pouvez pas passer votre vie à l'attendre sinon vous ne vivrez pas.


Médias

[modifier]

Presse

[modifier]

Charles-Augustin Sainte-Beuve, Premiers lundis, 1833

[modifier]
Nulle part il ne rencontre de ces amantes acharnées qui s'attachent violemment à leur proie et ne lâchant pas volontiers leur infidèle ; nulle part de ces fornarina échevelées et menaçantes, comme Byron en affronta à Venise ; nulle part non plus de ces êtres gracieusement débiles qui meurent d'un abandon.
  • Les lumières et les salons — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès, Charles-Augustin Sainte-Beuve, éd. Hermann (éditeurs des sciences et des arts), coll. « Collection savoir : lettres », 1992  (ISBN 2-7056-6178-6), partie Giacomo Casanova, 18 novembre 1850. Causeries du lundi, t. III, p. 20


Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimédia :