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Warloy-Baillon

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Warloy-Baillon
Warloy-Baillon
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Somme
Maire
Mandat
Frédéric Martin
2020-2026
Code postal 80300
Code commune 80820
Démographie
Gentilé Warloisiens
Population
municipale
746 hab. (2021 en évolution de −2,99 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 00′ 38″ nord, 2° 31′ 28″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 142 m
Superficie 15,27 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Corbie
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Warloy-Baillon
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Warloy-Baillon
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Warloy-Baillon
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Warloy-Baillon
Liens
Site web http://www.warloy-baillon.fr/

Warloy-Baillon est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Communes limitrophes

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Nature du sol et du sous-sol

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Le sol de la commune est recouvert d'une couche de terre végétale épaisse dans la vallée, mince le long des pentes et sur les côtes au nord-est et au sud.

Le sous-sol est composé d'un lit argilo-calcaire avec bancs de silex. Au nord sur le plateau, le sol est argilo-siliceux et au sud sur la côte le sous-sol est crayeux essentiellement[1].

Relief, paysage, végétation

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Le relief de Warloy-Baillon se compose d'une vallée sèche qui parcourt le territoire communal du nord au sud. Il s'agit de l'ancien lit de l'Hallue asséché.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le ravin[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Warloy-Baillon[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[2].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 744 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Warloy-Baillon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,1 %), zones urbanisées (3,6 %), prairies (2,6 %), forêts (1,8 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Maison de maître.

La commune de Warloy-Baillon est composée de deux entités : Warloy et Baillon. Ces deux entités liées entre elles depuis des temps reculés sont maintenant jointives et ne forment plus qu'un seul et même ensemble urbanisé.

La commune de Warloy-Baillon est assez enclavée et éloignée des centres urbains qui polarisent les territoires de cette partie du département de la Somme.

Une maison de Santé a été ouverte au public en , un ancien presbytère serait rénové pour devenir la nouvelle mairie, située à côté de l'école publique.

Voies de communication et transports

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La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 36)[14].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Warledum (985) ; Waerlois (115.) ; Waelois (115.) ; Walois (1157) ; Warloy (1138-1160) ; Walloy (1186) ; Warloi (1183) ; Wailloi (1266) ; Varlay (1557) ; Warley (1579) ; Vuarloy (1567) ; Warlois (1557) ; Varloi (1733) ; Warloy-Baillon (1764) ; Varsoi (1787)[15].

Baillon est une ancienne dépendance de Warloy attesté sous les formes Balons (1256) Baaillon (1301) ; Baillon (1733)[16].

Préhistoire

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Des silex taillés, des haches celtiques et des sarcophages ont été retrouvés sur le territoire de la commune[1].

Le lieu-dit la Bataille serait lié à un combat de l'époque gallo-romaine[réf. nécessaire].

À l'époque mérovingienne, Warloy aurait possédé un fort (une place du village s'appelle place du Fort).

La seigneurie de Warloy appartenait à l'abbaye de Corbie depuis sa fondation.

En 1294, la seigneurie de Warloy est vendue à Guy IV de Châtillon, seigneur d'Encre.

Époque moderne

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Au XVIe siècle, Baillon avait pour seigneur Caron de Millies. En 1504, la seigneurie de Warloy fut revendue à l'abbé de Corbie. En 1509, la seigneurie de Warloy fut vendue par l'abbé de Corbie à Adrien de Hénencourt, doyen du chapitre de la cathédrale d'Amiens, pour la somme de 5 550 livres. En 1528, il fit imprimer à ses frais le premier bréviaire à l'usage du diocèse. En 1530, à la mort d'Adrien de Hénencourt, la seigneurie de Warloy passa à Antoine de Lameth.

En 1598, Warloy-Baillon subit les invasions espagnoles et les habitants se réfugient dans les muches, souterrains composés de nombreuses chambres[1].

Entre 1787 et 1789, un habitant de Warloy-Baillon, Pierre Petit dit « Prêt à boire », peigneur de laine, fut condamné par le tribunal de l'Élection de Doullens à 1 000 livres d'amende pour contrebande de tabac et de sel[17].

En 1789, les cahiers de doléances de la paroisse de Warloy-Baillon demandent la suppression de tous les impôts du Royaume et leur remplacement par un impôt sur les propriétés sans aucun privilège et par un impôt par tête selon les facultés et les ressources de chacun. Les habitants se plaignent des dégâts causés aux cultures par les bêtes sauvages (lapins, etc.) qui se multiplient dans la garenne seigneuriale[17].

Époque contemporaine

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En 1870-1871, pendant la guerre franco-prussienne, la commune de Warloy-Baillon subit de nombreuses réquisitions. Soixante jeunes gens de la commune combattent, deux sont morts, deux blessés et médaillés et six faits prisonniers[1].

Pendant la Grande Guerre, Warloy-Baillon était un village de l'arrière du front de l'Ouest, un hôpital militaire est installé dans la maison de retraite.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, deux aviateurs alliés périrent à Warloy-Baillon : en 1940, K. R. Lucas sur un Hurricane Mk1, et en 1944, D. E. Pinkney, sur un Auster[18].

Politique et administration

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Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1802   Charles Vignon    
mai 1805   Pierre Vignon    
1817 1821 Pierre Caussin    
avant 1837   M. Outrequin    
avant 1868   Pierre Constantin    
avant 1873   Alfred Théodore Marie Delannoy    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 2001 Pierre Darras[20] DVD  
mars 2001 En cours
(au 8 octobre 2020)
Frédéric Martin   Réélu pour le mandat 2020-2026[21],[22],[23]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 746 habitants[Note 3], en évolution de −2,99 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 7001 7501 7782 0741 9722 0712 0922 0181 926
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 8611 7041 4691 3701 2971 2721 1971 1661 074
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 027996984894836805797722737
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
733710698718708734743807769
2020 2021 - - - - - - -
750746-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune scolarise 45 élèves dans son école publique placée en zone B, dans l'académie d'Amiens, pour l'année scolaire 2016-2017[28].

Culture, fêtes, sport et loisirs

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La commune compte plusieurs associations :

  • une équipe de football,
  • une équipe de ballon au poing,
  • un club de danse zumba,
  • un club des aînés,
  • une association des familles rurales,
  • une société de chasse,

ainsi que : un terrain de football, de ballon au poing, de tennis, et de pétanque.

Activités économiques et de services

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Les activités économiques sont représentées essentiellement par l'agriculture, l'artisanat et le commerce (boulangerie, coiffeur, deux menuiseries, un paysagiste) et les services de santé de proximité (médecin, pharmacien, kinésithérapeute). Les services publics sont représentés par les écoles (publique et privée), la poste et la maison de retraite qui est le premier employeur de la commune. Warloy-Baillon possède également un notaire, un orthopédiste et dentiste équin. De plus, la commune dispose d'une équipe de sapeurs pompiers (volontaires, ou professionnels) et, l'été, d'un centre aéré.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Pierre (XVIIIe siècle) : les murs de l'édifice, en grande partie en pierre, reposent sur une épaisse ceinture de grès d'environ un mètre de hauteur ; il dispose d'une entrée unique, sous la tour-clocher à la silhouette trapue.
  • Muches de Baillon, souterrains-refuges appelés muches.
  • Vestiges du moulin de Rolmont : moulin à vent, dont ne subsiste que la tour en pierre, fort endommagée, mais dont la restauration est envisagée. C'est le dernier des cinq moulins de la commune de Warloy-Baillon encore debout en 1835. Il a cessé de fonctionner en 1887. Le moulin existait déjà au XVe siècle, appartenant comme le village de Warloy à l'abbaye de Corbie puis à la famille de Lameth. Il s'agissait d'un moulin banal, les paysans avaient obligation d'y faire moudre leurs grains en payant une taxe ou banalité au seigneur.
  • Buste d'Henri Carnoy, en bronze, sur la place du Fort.
  • Monument aux morts : il se dresse à proximité immédiate de l'église, à l'avant, un peu sur le côté et en léger contrebas. Son sommet est décoré par un coq.
  • Le cimetière militaire Warloy-Baillon Communal Cemetery Extension Cemetery près du cimetière communal.
  • Stèle à la mémoire de deux aviateurs de la Royal Air Force, abattus lors de la Seconde Guerre mondiale. Cette petite plaque commémorative de marbre noir est visible à la sortie de la localité, devant l'entrée du cimetière, sur le bord opposé de la route.

Personnalités liées à la commune

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  • Jean-François Clément, né à Warloy-Baillon, le - † le , des suites de blessures reçues à la bataille de Valoutino).

Il s'enrôla dans les armées de la Révolution le avec le grade de sergent dans le 3e bataillon de la Somme qui, par amalgame du 5 nivôse an II (1793), fut incorporé à la 24e demi-brigade d'infanterie qui fit partie de l'armée de Sambre-et-Meuse, puis, en 1793, de l'armée du Nord.

En 1796, la 61e demi-brigade d'infanterie de ligne fut formée le 5 ventôse an IV à partir des unités suivantes : 24e demi-brigade de bataille (2e bataillon du 12e régiment d'infanterie, 3e bataillon de volontaires de la Somme, 10e bataillon de volontaires des réserves et bataillon de volontaires de réquisition de Saint-Omer).

Jean-François Clément participa donc aux campagnes de 1792 à l'an VI aux armées du Nord, de Sambre-et-Meuse et d'Italie, fut nommé sous-lieutenant le , lieutenant le 24 brumaire an IV, et se trouva à l'affaire de Sultzbach, près de Bamberg, le 30 thermidor suivant, où la 61e demi-brigade résista aux charges de la cavalerie ennemie, ainsi qu'à la bataille de Gradisca le 29 ventôse an V.

Il prit part à la campagne d'Égypte et reçut un coup de feu à la main droite au siège du Caire le 28 germinal an VIII. Il fut promu capitaine, le 12 prairial suivant.

Il tint garnison dans l'intérieur pendant les ans X et XI, passa au camp de Bruges en l'an XII, et y fut nommé chevalier de la Légion d'honneur le 25 prairial.

Attaché au 3e corps de la Grande Armée pendant les campagnes en Autriche (1805), en Prusse (1806) et en Pologne (1807), il se fit remarquer à la bataille d'Iéna et reçut le brevet de chef de bataillon, le . Resté en cantonnement en Prusse en 1808, il participa à la campagne de 1809 en Allemagne et fut nommé officier de la Légion d'honneur le 7 juin de la même année. En garnison à Hambourg en mai 1811, promu major en second le 15 avril suivant, il passa dans le 12e régiment de ligne le 18 juillet.

Il fit la campagne de Russie en 1812, et mourut le 23 août des suites de blessures reçues à Valontina-Gora le 19 du même mois. Clément avait été créé chevalier de l'Empire le [29].

  • Pierre-Louis-Arthur du Blaisel d'Enquin, né le et décédé le à Warloy-Baillon. Directeur de la Banque de France d'Amiens, chevalier de la Légion d'honneur en 1903.
  • Henri Carnoy, poète folkloriste né le à Warloy-Baillon, décédé à Paris le . Son buste orne la place du Fort.
  • René Debrie, universitaire, spécialiste de la langue picarde, est né dans la commune en 1920 et décédé à Amiens en 1989. Professeur émérite de l'université de Picardie Jules Verne, il a fondé avec Pierre Garnier et René Vaillant l'association culturelle picarde Éklitra, en 1966.
  • Jean Lombard, né à Warloy-Baillon, le et décédé le , agrégé de lettres classiques, professeur des universités, membre de l'Académie des sciences, des lettres et des arts d'Amiens.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Daniel Pillon et Catherine Roussel, Mémoire de pierre, mémoire des hommes du canton de Corbie, Association « Villers-Bretonneux Mémoire », Villers-Bretonneux, 2010 (ISBN 2 - 9 525 411 - 6 - 7).
  • Guy Marin, De l'évolution de Warloy-Baillon au cours des temps, Association Val d'Hallue, 2004, (ISBN 978-2-7466-1870-1).

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Warloy-Baillon » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Notice géographique et historique sur la commune de Warloy-Baillon, rédigée par Monsieur Pruvost, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme
  2. « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Warloy-Baillon et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Warloy-Baillon ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 415 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  16. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 70 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  17. a et b Pierre Desbureaux, Des Picards en Révolution, l'exemple du Doullennais, collection Souvenance, Woignarue, La Vague verte, 1995.
  18. Stèle commémorative dans le village.
  19. « Les maires de Warloy-Baillon », sur francegenweb.org (consulté le ).
  20. « À la mémoire de Monsieur Pierre Darras », sur memoire.lavoixdunord.fr (consulté le ).
  21. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  23. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. L'école sur le site de l'éducation nationale.
  29. A. Lievyns, Jean Maurice Verdot, Pierre Bégat, Fastes de la Légion d'honneur, biographie de tous les décorés accompagnée de l'histoire législative et réglementaire de l'ordre, vol. 5, [détail de l’édition] (BNF 37273876) .