[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Vesoul (chanson)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Vesoul
Description de cette image, également commentée ci-après
Statue de Jacques Brel exposée dans le hall du théâtre Edwige-Feuillère de Vesoul depuis 2016.
Chanson de Jacques Brel
extrait de l'album J'arrive
Sortie 1968
Durée 03:06
Genre Chanson française
Auteur Jacques Brel
Compositeur Jacques Brel
Label Barclay

Vesoul est une chanson écrite, composée et interprétée par Jacques Brel sortie en 1968, faisant référence à la ville de Vesoul, préfecture du département de la Haute-Saône, mais également à d'autres villes telles que Vierzon, Honfleur, Hambourg, Anvers et Paris. Jacques Brel est accompagné par l'accordéoniste Marcel Azzola, d'où l'expression « Chauffe, Marcel ! » qui a — avec le solo à l'accordéon — contribué au succès de la chanson. Comme plusieurs des œuvres du chanteur, la chanson est caractérisée par le style « brélien » consistant en une accélération progressive de la rythmique, de l'intensité et de la tonalité de la voix.

Mondialement connue, la chanson a été reprise et enregistrée sur support physique plus de 150 fois dans une quinzaine de langues par des artistes de réputation nationale et internationale. Elle a été citée dans de nombreuses œuvres littéraires, musicales et cinématographiques.

Contexte et inspiration

[modifier | modifier le code]
Bâtiment à deux étages.
L'hôtel Eurotel anciennement La Bonne Auberge, où Brel séjourna en 1960.
Jacques Brel séjourna également à l'hôtel du Nord.

Jacques Brel est venu deux fois à Vesoul, dans les années 1960, cependant certaines confusions existent sur les dates et les raisons qui l'ont amené à s'arrêter à Vesoul.

Le , Jacques Brel séjourne dans la ville de Vesoul, en Haute-Saône. Il passe une nuit à l'hôtel-restaurant La Bonne Auberge ; l'établissement étant situé plus précisément à cheval sur les communes de Vesoul et de Frotey-lès-Vesoul, à proximité de la nationale 57. Après avoir passé la soirée en compagnie des clients, du personnel et des patrons de l'hôtel René et Jacqueline Kielwasser, il promet d'écrire un jour une chanson évoquant Vesoul[1],[2],[3]. L'artiste signe le livre d'or de l'établissement : « Avec ma plus gentille chanson. Très amicalement. J Brel. ». D'après Danièle Déroulède-Kielwasser, la fille des propriétaires de l'établissement, qui était alors adolescente à l'époque, Jacques Brel aurait déclaré en déjeunant en terrasse sous un arbre[4] :

« Vous m'avez tellement bien reçu qu'un jour, je ferai une chanson sur Vesoul. »

Le ou selon d'autres sources en 1967, Jacques Brel a passé une seconde nuit à Vesoul, à l'Hôtel du Nord ayant pour patrons Henri et Monique Kielwasser (actuellement Grand Hôtel du Nord), hôtel renommé de la ville construit en 1928 par l'architecte André Boucton, situé rue de l'Aigle Noir, dans le centre-ville de Vesoul. Selon Brigitte Maspla, actuelle propriétaire de l'établissement, il s'est arrêté dans cet hôtel à la suite d'une panne de voiture mais selon d'autres hypothèses, Brel aurait réalisé un concert au casino de Luxeuil-les-Bains en ce , cependant la ville ne possédant pas de terrain permettant l'atterrissage des avions civils (le seul aérodrome de la ville est la base aérienne 116 Luxeuil-Saint Sauveur n'autorisant pas les avions civils), le chanteur se serait posé sur l'aérodrome le plus proche : l'aérodrome de Vesoul - Frotey[5]. Ainsi, il séjourna une nuit à l'Hôtel du Nord dans la chambre no 246, pièce d'environ 25 m², et a mangé dans ce même hôtel, un repas composé notamment d'une chartreuse de truite avec une mousse aux morilles préparée par Alain Madeleine[6], chef cuisinier de l'hôtel, réputé dans la région[4],[7],[8].

Composition et paroles

[modifier | modifier le code]

Il écrit et compose Vesoul entre 1967 et 1968[5].

La chanson est composé de 5 couplets et de 3 refrains. Les couplets sont chantés en crescendo avec une augmentation progressive de la voix, qui finit très rapidement, à la fin de chacun d'entre eux[9]. Textuellement, plusieurs lieux sont cités dans la chanson, qu'on retrouve en majorité dans les couplets : principalement des endroits localisés en France (Vierzon, Vesoul, Honfleur, mont Valérien, Cantal, la gare Saint-Lazare, Paris), mais aussi en Europe (Hambourg, Anvers, Byzance). On note aussi des noms : Dutronc (en référence à Jacques Dutronc) et Hortense[9].

Le style musical de la chanson serait un mélange de musette et de swing. La chanson commence avec le son de l'accordéon, qui accompagne la musique tout le long de la chanson.

Enregistrement

[modifier | modifier le code]
Marcel Azzola, accordéoniste de la chanson.

Vesoul constitue la deuxième chanson de la face A de l'album J'arrive, le dixième de l'artiste, enregistré dans les studios Barclay, à Paris. Pour cette chanson, Jacques Brel est accompagné de l'accordéoniste Marcel Azzola et du compositeur François Rauber. La chanson a une durée totale de 3 minutes et 6 secondes.

L'enregistrement, qui s'est déroulé le [3], est en grande partie une improvisation du fait, notamment, du manque de temps. En effet, il restait 10 minutes d'utilisation du studio pour Brel et Azzola ; le jazzman américain Chet Baker attendait son tour à la porte pour utiliser le lieu[10]. Par conséquent, seules deux prises de la chanson sont faites. Au cours de la première prise, Jacques Brel demande à Marcel Azzola de faire quelques variations, tandis qu'habituellement il le lui interdisait. Lors de la seconde, Marcel Azzola ajoute quelques variations musicales et rythmiques ce qui amène Jacques Brel à s'exclamer « Chauffe, Marcel ! ». C'est la seconde, au cours de laquelle le chanteur interpelle par son prénom l'accordéoniste Marcel Azzola, qui est finalement retenue[3],[7],[11].

À propos de l'apostrophe « Chauffe, Marcel ! », déjà enregistrée et popularisée par le duo d'humoristes Dupont et Pondu (1960) puis par Les Charlots (1966)[3], elle devient l'une des plus célèbres de la chanson française, au point de passer dans le langage courant[12].

Marcel Azzola déclare en [7] que « c'est une chanson de fin de séance sur laquelle il ne comptait pas beaucoup. Cette chanson, il l'avait écrite comme un jeu ». Initialement, le titre de l'œuvre aurait dû être Vierzon-Vesoul ou Azzola - Vesoul ; cette dernière option a été refusée par Marcel Azzola[7].

Interprétations en direct

[modifier | modifier le code]

Outre la version originelle audio enregistrée le , existent deux autres versions de Vesoul interprétées par Jacques Brel et filmées[7] :

  • l'une, diffusée le durant l'émission de télévision À l'affiche du monde de Christophe Izard : Reportage noir et blanc Jacques Brel enregistre réalisé par Robert Manthoulis [Cf. Coffret Brel, Comme quand on était beau (2003) : DVD Brel 02] ;
  • l'autre, diffusée le durant l'émission télévisée Soirée prestige Réveillon d'Alain Dhenaut, avec Marcel Azzola à l'accordéon [Cf. Film 35 mm Jacques Brel (1982) de Frédéric Rossif / Cf. VHS Jacques Brel (n.d.) et VHS Brel, 10 ans après (1988) / Cf. Coffret Brel, Comme quand on était beau (2003) : DVD Brel 01].

Ayant abandonné le tour de chant en 1967, Jacques Brel n'a jamais chanté Vesoul sur scène.

Mentions dans la culture et les arts

[modifier | modifier le code]

Œuvres littéraires

[modifier | modifier le code]

Dans la bibliographie de l'ouvrage de Bernard Belin Jacques Brel, T'as voulu voir Vesoul…! (2013) qui lui est consacré, il est question de la chanson Vesoul au sein de nombreux essais, biographies, récits de souvenirs, récits de voyages, lettres, mémoires, thèses, recueils de chansons, etc. concernant tant Jacques Brel que la chanson française en général.

La chanson a été mentionnée en outre dans divers romans et œuvres littéraires, notamment : le roman Café-Crime de Jacques Lanzmann (1987)[13], les chroniques Les métiers de la rue de Jil Silberstein & Jean Mohr (1990)[14], le roman Tigre en papier d'Olivier Rolin (Prix France Culture 2002)[15], le roman Le paradis d'en face de Paul M. Marchand (2007)[16], le roman noir Lazy Bird d'Andrée A. Michaud (2009)[17] et On ne vit qu'une heure, une virée avec Jacques Brel de David Dufresne (2018).

Œuvres cinématographiques

[modifier | modifier le code]

Dans le film Jacques Brel (1982) de Frédéric Rossif faisant apparaître à travers chansons et documents l'aventure et la carrière du chanteur-auteur-compositeur et comédien, figure l'originale interprétation de Vesoul, au cours de l'émission télévisée Soirée prestige Réveillon d'Alain Dhenaut diffusée le , avec le « Chauffe Marcel ! » et le solo à l'accordéon de Marcel Azzola qui ont contribué au succès de la chanson.

Dans le film Voyage en Chine (2015) de Zoltan Mayer, le personnage Liliane (Yolande Moreau) entend la voix de Jacques Brel chantant Vesoul.

Œuvres musicales

[modifier | modifier le code]

La chanson Vesoul a été citée dans diverses œuvres musicales : Il pleut sur Bruxelles (1981) de Michel Jouveaux (paroles) et Jeff Barnel (musique) interprétée par Dalida, Le temps de nos guitares (2008) de/par Georges Moustaki (accompagné à l'accordéon par Marcel Azzola sur l'enregistrement CD).

Œuvres humoristiques

[modifier | modifier le code]

Dans l'une de ses capsules audio humoristiques Les 2 minutes du peuple parodiant un épisode type de la série télévisée X-Files (la série d'épisodes parodiques s'intitulant X-Files du peuple), François Pérusse met en scène un extraterrestre qui interprète devant public une version parodique de Vesoul (étendant la géographie et le voyageur de la chanson au Système solaire)[18].

Postérité

[modifier | modifier le code]
La place Jacques-Brel à Vesoul.

Grâce au succès populaire qu'a rencontré la chanson, la ville de Vesoul a nommé plusieurs de ces lieux du nom de l'artiste[7],[11] :

  • Le festival Jacques Brel : concours de musique créé en 2000 qui se déroule pendant 2 semaines chaque année au théâtre Edwige-Feuillère et qui a pour objectif de faire découvrir des jeunes nouveaux talents de la chanson française[19].
  • Le collège Jacques-Brel : établissement scolaire située dans le quartier du Montmarin, initialement nommé collège de Pontarcher qui fut ensuite rebaptisé collège Jacques-Brel.
  • La place Jacques-Brel : place publique localisée à proximité du collège Jacques-Brel[20].
  • La fresque murale Jacques-Brel : fresque murale de grandes dimensions (28 mètres de haut par 12 mètres de large) réalisée à l'été 2019 par l'artiste vésulienne Pink'ArtRoZ sur l'une des façades latérales d'un immeuble de neuf étages du cours Montaigne dans le quartier du Montmarin. Achevée le et inauguré le , la réalisation de cette œuvre nécessita 175 litres de peinture et environ vingt jours de travail. Il s'agit de la plus haute fresque réalisée dans la région[21],[22],[23].
  • Le buste Jacques-Brel : buste représentant l'artiste inauguré le et exposé au théâtre de Vesoul[24]. L'œuvre a été réalisée par le sculpteur haut-saônois Frédéric Lanoir, fan de Jacques Brel. Fait d'argile entourée d'une armature métallique, le moule du buste a été réalisé par la fonderie d'art Serralheiro, à Port-sur-Saône, non loin de Vesoul. Le coût total de construction est d'environ 6 000 [25],[26].

Une place, au nom de Jacques Brel, est également inaugurée à Vierzon en , pour rendre hommage à l’artiste ainsi qu’à la chanson[27].

Reprises de la chanson

[modifier | modifier le code]

Outre les 3 interprétations de Jacques Brel, on compte plus de 150 versions de la chanson enregistrées sur support physique (vinyles, K7, CD, DVD, film) par des artistes de la scène française et internationale, qui ont été recensées dans un ouvrage de Bernard Belin[28].

[Versions en français ; Traductions-Adaptations : allemand (8), anglais (2), anglais-américain (2), croate (1), dalmate (1), finnois (1), hébreu (4), italien (1) et génois (1) et milanais (1), néerlandais (3), norvégien (1), polonais (1), slovène (1), suédois (3) ;

(*) Versions instrumentales (39) ; (**) Cartons perforés pour musique mécanique (3)].

Année Autres interprètes ayant repris et enregistré la chanson
1968 Marcel Azzola * ; Robert Trabucco & son ensemble musette * ;
1969 Les Compagnons de la Discothèque de Paris [Voix masculine anonyme] ;
1970 Aviva Schwartz, Dany Litany, Ricky Gal & Israël Gurion [ריקי גל, ישראל גוריון, דני ליטני, אביבה שוורץ] (hébreu : אלואיז / Éloïse) ;
1973 Yossi Banaï [יוסי בנאי] (hébreu : יש גבול / Yesh gvul) ;
1976 Michael Heltau (allemand : Wien) ;
1978 Hector Delfosse ("Vezoul") * ;
1980 Marcel Azzola & Lina Bossatti, Version no 1 * ; Ferdie Uphof (anglais-américain : The music of Paree) ;
1982 Jean Corti ("Vezoul") * ;
1983 Rino "Joe" Sentieri (génois : Ti voevi anda' a Rapallo / T'as voulu voir Rapallo) ;
1986 Pierre Devreux ; Taupa Norvegica (K7) * ;
1988 Coimbra ("Vesour") (K7) * ;
1989 Lydie Auvray, Version no 1 (vinyle et CD) * ;
1992 Gina Sbu * ;
1993 La Girolle ; Danielle Oderra [& Jean Marchand] ; Marcel Salvi * ;
1995 Evabritt Strandberg (suédois : Flen) ;
1996 Jean-Louis Daulne ; Daniel Guichard ; Arnold Johnston (anglais-américain : Vesoul) ; L'Âme des Poètes * ; Manu [Manu Bello] ; Jean-Pierre Morkerken ;
1997 Jenny Arean & Lucretia Van der Vloot (néerlandais : Delfzijl) ;
1998 Sébastian Farge * ; Francis Goya & le Trio de Michel Herr * ; Jean Guidoni ; Musique Simili ; Queen Bee (allemand : Du wolltest nach Vesoul) ; Zinzin [Bruno Desmet] * ;
1999 Jenny Arean (néerlandais : Delfzijl / Vesoul) ; Rossana Casale (italien : Vesoul) ; Claude Delabays & Christophe Leu ; Srđan Depolo (dalmate : Pusta Londra) ; Jean-Claude Derudder ;

Sylvie Vartan, Version CD (medley) ;

2000 Christian Brun * ; Larue ; Rick & Les Affranchis ; Sylvie Vartan, Version DVD (idem Version CD 1999 / medley) ; Rony Verbiest * ;
2001 Gil Alon (hébreu : וזול / Vesoul) ; FreeBidou * ; Alain Jadot & Pierre Poujet (allemand : Bochum) ; Elsa Kvamme (norvégien : Moss) ; Alain Roels * ; David Vos ;
2002 Florence Absolu & Tobias Knebel ; Nathalie Boucheix * ; Vincent Carenzi * ; Noel Harrison ("Vésoul") ; Dirk Loombeek (allemand : Vesoul) ; Roland Matthies ; Barbara Thalheim & Berliner KammerOrchester (allemand : Glück ?) ;
2003 Marcel Amont ; Stéphane Courtot-Renoux & son Orchestre [Chant : Michel di Tore], Version no 1 (DVD) ; Dézoriental ; Jack L [Jack Lukeman] (DVD) (anglais : Vesoul) ; La Smala ;

Le Guinguette Orchestra * ; Roland Moreno & Sylvain Robert & Jean-Sébastien Bach (Partita no 1 en si bémol majeur, BWV 825, Gigue) ; Mouron & Terry Truck ; North Gospel Quartet ; Dany Rossi ; Peter Ostrowski (anglais : Vesoul) ; Dirk Schäffer (allemand : Ulm / Vesoul) ; [Play-back = CD1 (chant témoin : Michel Thibault) + CD2 (anonyme) *] ;

2004 Camille O'Sullivan, Version no 1 (CD) ; Walter Di Gemma (milanais : A Milàn vegni nò) ; Kent ; El Kerfi Marcel [Kerfi Trouguer & Marcel Jouannaud] * ; Les Castafiores ; Les Martine City Queen ; Oblivion Jazz Trio (medley) * ;
2005 Camille (Camille O'Sullivan), Version no 2 (CD) ; Stéphane Courtot-Renoux, Version no 2 (CD) * ; Hot Lips Parade * ; Achil KomoDo ; Elmar Wittmann (allemand : Vesoul) ;
2006 Patrick Artero * ; Philippe Callens ; Camille (Camille O'Sullivan), Version no 3 (DVD) ; Canal'do (a cappella : "Vesoul, hambourg, en vers et en fleur") ; LeDuo [(Perrine Mansuy & François Cordas) + Bernard Santacruz] * ; Le Duo Absinthe ; Slovenian Police Band & Peter Kleine Schaars (medley) * ; Wende [Wende Snijders], Version no 1 (CD) ;
2007 A4 [Brel Unplugged] ; Philippe Callens (DVD) ; Dominique Horwitz ; Maxime Issakov [Максим Исаков], "Vésoul", Version CD et DVD-R double couche 8.5 GB ; Les Ekorchés ; Les Voisins du d'sus ;

Flossie Malavialle ; Petra Nielsen (suédois : Borås) ; Florent Pagny, Versions no 1 (accompagné par Marcel Azzola) et no 2 (bonus = "fantôme" Opendisc) ; The Shoepolishers, Version no 1 ; Laurent Viel ; Dariusz Wasilewski (polonais : Vesoul) ;

2008 Marcel Azzola & Lina Bossatti, Version no 2 * ; Axel Chill ; Alain Marquina ; Daniel Michelin, Version CD et DVD ; Florent Pagny, Version no 3 (DVD bonus : édition limitée des 3 x CD digipack) ; Quatuor de Saxophones Inédits & Marcel Azzola * ; Sauf Qu'i Pleut ; Scorbüt (français et allemand) ; Wende [Wende Snijders], Version no 2 (DVD) ; Branko Završan (slovène : Tko kot zmer) ;
2009 Lydie Auvray Trio, Version no 2 (CD) * ; Bitte Bamberg-Thalén (suédois : Flen) ; Caragoss' ; Julien Dhalci ; Claire Elzière ; Les Chœurs de France (medley) ;

Micheline [Micheline Van Hautem], Version no 1 ; Monig ha Captain Malo (orgue de barbarie : carton noté par Antoine Bitran) * ; Tatiana ; Robert Valter Trio ;

2010 Duo Sophie & Manu [Sophie Cornaz & Manu Maugain] (medley) * ; Lebeau Trio ; Micheline Van Hautem, Version no 2, & Erwin Van Ligten ;
2011 Lydie Auvray, Version no 3 (DVD et CD) * ; Branko Galoić & Skakavac Orkestar (croate : Ili ideš ti ili idem ja / Vesoul) ; Pier Paolo Pozzi Quartet * ; The Shoepolishers, Version no 2 ;
2012 Beltuner * ; Dominique Horwitz, Version no 2 ; Florent Pagny, Version no 4 (CD) ; Matti Seri [מתי סרי] (hébreu : יש גבול / Yesh gvul) ;
2013 "Belch'Quartet (démo)" ; HK [Kaddour Hadadi] ; Hiroko Ito [伊藤浩子] feat. Patrice Peyriéras * ; Frédéric Lamantia * ; Shirley Théroux ;
2014 Caroline du Bled & Scorbüt (français et allemand) ;
2015 Edith Darasse ; Adriana Queiroz & Filipe Raposo (CD et Brochure) ; Riguelle [Patrick Riguelle] ; Emmanuel Urbanet (CD et Livre-CD) ;
2016 Berline ; EVA [Embrasser Vivre Aimer] & Hiske Oosterwijk ; Fernand Rock Expérience ; David Linx & Brussels Jazz Orchestra ; Micheline Van Hautem, Version no 3, & Koninklijke Fanfare Kempenbloei ;
2017 Timo Tuominen (finnois : Vesouliin) ; Jeroen Willems (néerlandais : Leerdam)[29] ;
2018 Camille & Julie Berthollet * ; Sébastien Lemoine ; Mimie Mathy (in Les Enfoirés : medley / CD et DVD) ; Maurane ;
2019 Thomas Dutronc ; Abdel Khellil (in Film-documentaire "Que l'Amour" de Lætitia Mikles) ;
2020 Les Goguettes en trio, mais à quatre;
2021 Pomplamoose
  • non datés : Roger Le Coz & Marcel Azzola (vinyle EP) + 3 Cartons perforés pour Musique mécanique : Antoine Bitran (L'Atelier...) ** ; Pierre Charial ** ; Perbost (Atelier Didier Bougon) **.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Voir Vesoul, Haute-Saône, Texte Guy-Jean Michel, Photographies Marc Paygnard, Langres (Haute-Marne) : D. Guéniot, 2004, 156 p, ill. coul., 31 cm (p.48).
  2. « Théâtre Edwige-Feuillère »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur zevisit.com (consulté le ).
  3. a b c et d Eddy Przybylski, Brel, la valse à mille rêves, Archipel, , 770 p. (ISBN 978-2-8098-1113-1, lire en ligne), p. 305.
  4. a et b « On a voulu voir Vesoul », sur liberation.fr (consulté le ).
  5. a et b « Vesoul : enquête sur une chanson - Stupéfiant ! », sur youtube.com (consulté le ).
  6. « La cuisine, c’est merveilleux ! », sur estrepublicain.fr (consulté le ).
  7. a b c d e et f Anne Audigier, « Vesoul de Jacques Brel : l'histoire d'un chauffe Marcel devenu mythique », France Inter,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. « Il y a cinquante ans, Brel immortalisait Vesoul : Vesoul s'en souvient », sur lefigaro.fr (consulté le ).
  9. a et b « Paroles de la chanson », sur paroles-musique.com (consulté le ).
  10. « Comment Jacques Brel a écrit Vesoul », sur people.bfmtv.com (consulté le ).
  11. a et b Fabien Lecoeuvre, 1001 Histoires secrètes de chansons, Editions du Rocher, , 608 p. (lire en ligne), « Vesoul ».
  12. Vincent Bessières, « Marcel Azzola », sur mediatheque.cite-musique.fr, .
  13. « Café-Crime », sur books.google.fr (consulté le ).
  14. « Les métiers de la rue », sur books.google.fr (consulté le ).
  15. « Tigre en papier », sur books.google.fr (consulté le ).
  16. « Le paradis d'en face », sur books.google.fr (consulté le ).
  17. « Lazy Bird », sur books.google.fr (consulté le ).
  18. « Les 2 minutes du peuple – Spécial X-Files #1 – François Pérusse (Europe) » (consulté le ).
  19. « Le festival Jacques Brel bat son plein à Vesoul »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur france3-regions.francetvinfo.fr (consulté le ).
  20. Frédéric Potet, « Le jour où Vierzon a pardonné à Brel », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. « Street art : un portrait géant de Jacques Brel dévoilé à Vesoul », sur europe1.fr (consulté le ).
  22. « Un portrait de Jacques Brel monumental s’installe sur le flanc d’un immeuble à Vesoul », sur lefigaro.fr (consulté le ).
  23. « La fresque de Jacques Brel, « une bouffée d’art frais » », sur estrepublicain.fr (consulté le ).
  24. « Jacques Brel : Vesoul l'honore d'une statue », sur lefigaro.fr (consulté le ).
  25. « Brel, version statue », sur vosgesmatin.fr (consulté le ).
  26. « À Chargey-lès-Port, Frédéric Lanoir dévoile « le Brel de sa vie » », sur estrepublicain.fr (consulté le ).
  27. Centre France, « Evénement - La nouvelle place Jacques-Brel inaugurée ce samedi à Vierzon [en images] », sur leberry.fr, (consulté le ).
  28. Belin 2013, présentation en ligne.
  29. https://www.brelitude.net/covers_chanson.htm?song=https://www.brelitude.net/Covers/chansons/fanette.htm / consulté le 3 juillet 2022.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Laurent Abrial et Fabien Lecoeuvre, Petites histoires des grandes chansons: Volume 3, Editions du Rocher, (ISBN 978-2-268-09583-7, lire en ligne)
  • Bernard Belin, Jacques Brel, T'as voulu voir Vesoul…!, F-C Culture & Patrimoine (Franche-Comté / Vesoul-Edition), , 256 p., phot. coul., bibliographie (Préface et Postface des Éditions musicales Jacques Brel) [ Notes de l'auteur (B.B.) : Reprises omises lors de la parution courant 2013 : Alain Jadot & Pierre Pouget (2001) ; Barbara Thalheim & Berliner KammerOrchester (2002) ; El Kerfi Marcel (2004) ; The Slovenian Police Band & Peter Kleine Schaars (2006) ; Scorbüt (2008) ; Lebeau Trio (2010) ; Branko Galoić & Skakavac Orkestar (2011) ; Pier Paolo Pozzi Quartet (2011) ; The Shoepolishers, Version no 2 (2011) ; Beltuner (2012) ; Dominique Horwitz, Version no 2 (2012) ; Matti Seri [מתי סרי] (2012) // Erratum : Evabritt Strandberg, lire 1995 (au lieu de 1980) // Nouvelles reprises après 2013 : voir "Reprises de la chanson" ci-dessus ].
  • Daniel Ichbiah, 50 ans de chansons françaises, Daniel Ichbiah (ISBN 979-10-91410-16-8, lire en ligne), p. 1986-1987
  • Fabien Lecoeuvre, 1001 histoires secrètes de chansons, Editions du Rocher, (ISBN 978-2-268-09848-7, lire en ligne)

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]