Vailhan
Vailhan | |||||
Vue générale. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Les Avant-Monts | ||||
Maire Mandat |
Jean-Michel Ulmer 2020-2026 |
||||
Code postal | 34320 | ||||
Code commune | 34319 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vailhanais | ||||
Population municipale |
145 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 33′ 12″ nord, 3° 18′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 93 m Max. 460 m |
||||
Superficie | 11,23 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Cazouls-lès-Béziers | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
| |||||
modifier |
Vailhan [va.jɑ̃] (en occitan Valhan [βa.'ʎan]) est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault, en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Peyne et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Vailhan est une commune rurale qui compte 145 habitants en 2021. Ses habitants sont appelés les Vailhanois ou Vailhanoises.
Géographie
[modifier | modifier le code]Vailhan est située au nord et à 5 kilomètres de Roujan sur la limite de l'arrondissement de Lodève. L'on arrive dans ce village par la vallée de la Peyne ; on quitte cette rivière pour franchir la hauteur qui sépare du Grand Glauzy.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 887 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Roujan à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 14,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 577,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[7] : les « vallons de la rive gauche du lac des Olivettes » (197 ha), couvrant 3 communes du département[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Vailhan est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,1 %), cultures permanentes (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), eaux continentales[Note 2] (4,3 %)[9]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Vailhan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[10]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[11].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Vailhan est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[12].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 19,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 107 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 89 sont en aléa moyen ou fort, soit 83 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[13],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[14].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1996, 2003, 2014, 2016 et 2019.
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval du barrage des Olivettes, un ouvrage de classe A[Note 4] sur la Peyne, mis en service en 1988 et disposant d'une retenue de 4,4 millions de mètres cubes. À ce titre, elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[16].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Vailhan est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[17].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestée sous les formes in Vallano en 1147, de Valliano en 1167, Valhano en 1323, Valhan en 1571, Vallia en 1708[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Sur un rocher calcaire presque à pic se dressent les ruines de l'ancien château dit Lou Castela, au pied duquel s'étendent les hameaux placés jadis sous la dépendance du seigneur féodal. L'on a en face de soi ceux de Cabanon et Vallet sur une hauteur, et au-dessous Saudadié et Fabié sur la route de Roujan ; à gauche ceux de l'église de Trignan et de Bouscarel.
Ces hameaux sont au nombre de sept. D'après les origines légendaires du pays, un seigneur de Vailhan, de retour d'une croisade en Palestine, n'ayant ramené avec lui que sept de ses hommes d'armes, leur distribua des terres de ses domaines, d'où le sept Vaillants.
Ce lieu est mentionné dans plusieurs bulles du XIIe siècle : en 1178, Castrum de Vallano dans celle d'Alexandre III en faveur de l'église de Béziers, et en 1182 dans celle d'Honorius III ; il est encore question de Vailhan dans le livre noir de St Nazaire en 1174, Castrum de calenis de Vallano. Dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert le mas de Bouscarel est aussi mentionné : en 1060, Burcharius mansus ; en 1115 mas Burlarent et en 1148 dans celui d'Aniane Boscairolas.
La seigneurie de Vailhan appartenait aux évêques de Béziers depuis le XIIe siècle, qui la conservèrent jusqu'à la fin du XVIIe siècle époque à laquelle le cardinal Pierre de Bonsi, évêque de Béziers, en fit présent à sa sœur dame Marie de Bonsi, marquise de Caylus. Ce fief passe en 1723 entre les mains de M. Antoine Aphrodise de Castres, seigneur de Neffiès, qui le revend sans doute, car nous le retrouvons, en 1778, entre les mains de Mme Marthe Monique Adelaïde de Rouzières de Souvignardes, veuve de messire Joseph Guillaume Paschal de St-Guéry, sous le titre de vicomtesse et seigneuresse de Vailhan.
Son fils Gabriel-Jean-Guillaume, seigneur de Cazilhac (près de Pouzolles), marquis de St-Juéry, capitaine de régiment de Mestre de Camp-Cavalerie fut le dernier seigneur de Vailhan.
Il n'y avait pas à Vailhan d'habitation seigneuriale depuis l'abandon du Castela (grand château) qui remonte au moins au XIIIe siècle. Il ne reste de cet ancien manoir que quelques pans de murs et une citerne. L'on y arrive d'un côté par une pente douce ; mais le versant qui domine Vailhan est presque à pic et donne une idée de ce qu'étaient les habitations des seigneurs du Moyen Âge.
Le terrain de Vailhan est connu en géologie comme un des plus riches du département de l'Hérault.
Un seul chemin carrossable, le chemin vicinal de Roujan à Vailhan, dessert cette localité depuis plusieurs années ; les transports se faisant à dos de mulet avant l'amélioration de cette voie qui la met en communication avec la ligne de Paulhan par la gare de Roujan-Neffiès. Les chemins le reliant aux autres lieux sont tracés sur les flancs des montagnes à près de 500 m d'altitude.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].
En 2021, la commune comptait 145 habitants[Note 5], en évolution de −9,94 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 69 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 143 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 390 €[I 5] (20 330 € dans le département[I 6]).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 12,5 % | 15,8 % | 12,2 % |
Département[I 8] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 87 personnes, parmi lesquelles on compte 74,4 % d'actifs (62,2 % ayant un emploi et 12,2 % de chômeurs) et 25,6 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 10]. Elle compte 30 emplois en 2018, contre 25 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 54, soit un indicateur de concentration d'emploi de 56,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,2 %[I 11].
Sur ces 54 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 85,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8 % les transports en commun, 7,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]10 établissements[Note 8] sont implantés à Vailhan au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 10 entreprises implantées à Vailhan), contre 28 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[23]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 28 | 24 | 9 | 10 |
SAU[Note 10] (ha) | 219 | 168 | 119 | 131 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 24 en 2000 puis à 9 en 2010[25] et enfin à 10 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 64 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[26],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 219 ha en 1988 à 131 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 8 à 13 ha[25].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Barrage et lac des Olivettes.
- Château.
- Église de l'Assomption-de-Notre-Dame de Vailhan
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armoiries de Vailhan se blasonnent ainsi : |
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[15].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[24].
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Vailhan ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vailhan » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vailhan » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vailhan » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Vailhan » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vailhan et Roujan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Roujan-inra » (commune de Roujan) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Roujan-inra » (commune de Roujan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Vailhan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « vallons de la rive gauche du lac des Olivettes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Vailhan », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Vailhan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 601, (ISBN 2600028838).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Vailhan - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Albert Fabre et Paul Rouville (de), Histoire de Vailhan : avec une notice géologique sur cette commune par M. Paul de Rouville, Montpellier, Firmin et Cabirou, coll. « Histoire populaire des communes du département de l'Hérault », , 40 p.
- Albert Fabre, Histoire de Roujan : Fos, Fouzilhon, Gabian, Magalas, Margon, Montesquieu, Neffiès, Pouzolles, Roquessels, Vailhan, Nîmes, Lacour-Ollé, coll. « Rediviva », , 320 p.
Fonds d'archives
[modifier | modifier le code]- Fonds : Archives communales de Vailhan (1593-1848) [1,09 ml]. Cote : 319 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).