[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Senzeilles

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Senzeilles
Senzeilles
L'entrée du château de Senzeilles.
Blason de Senzeilles
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Drapeau de la province de Namur Province de Namur
Arrondissement Philippeville
Commune Cerfontaine
Code postal 5630
Zone téléphonique 071
Démographie
Gentilé Senzeillois(e) Surnom :
Population 839 hab. (1/1/2020)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 10′ nord, 4° 27′ est
Superficie 2 190 ha = 21,90 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Voir sur la carte topographique de Belgique
Senzeilles
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Voir sur la carte administrative de Belgique
Senzeilles
Géolocalisation sur la carte : Région wallonne
Voir sur la carte administrative de la Région wallonne
Senzeilles
Géolocalisation sur la carte : province de Namur
Voir sur la carte administrative de la province de Namur
Senzeilles

Senzeilles, (en wallon Sinzêye) est une section de la commune belge de Cerfontaine, située en Région wallonne dans la province de Namur.

C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.

Le village est borné au nord, par Soumoy et Villers-deux-Églises ; à l'est, par Neuville ; au sud par Frasnes-lez-Couvin et Boussu-en-Fagne, et à l'ouest par Cerfontaine.

L'altitude au seuil de l’église est de 253 m. Le plus haut point du village se situe près de la taille Gosset suivant la carte IGN de Senzeilles et culmine à 295 m[1].

Ramassé sur lui-même, le bourg s'étend au sommet d'une petite butte, au centre de prairies, à quelques centaines de mètres au nord d'un massif forestier important, sur la ligne de faîte des bassins de la Meuse (au sud) et de la Sambre (au nord). Un nouveau quartier a vu le jour à partir de 1904 suivant les archives du cadastre de Namur[2] à l’époque de la construction de la gare et de la ligne 136A Senzeilles-Florennes (la ligne de chemin de fer 132 Charleroi-Vireux existait depuis le , date de l'inauguration, mais il n’y avait jusqu’alors, pas d’arrêt dans le village). Depuis 1978 et jusque 2020, de nombreuses maisons ont été construites entre l’ancienne gare et le centre, avec pour conséquence un habitat continu dans cette direction.

Étymologie

[modifier | modifier le code]

En 1016, Sencile[3] ; en 1066, Sencelia ; en 1113, Senzeley et Senzilia ; en 1166, Sencelia et Senzelia[4].

'Senzeilles' a quatre étymologies possibles : petit buisson épineux (latin *senticellia, diminutif de sentis « buisson épineux »)[5] ou petite Chinelle (latin *Sinnicellia, de *Sinna ancien nom du cours d'eau de la Chinelle)[6] ou [forge] de (suffixe -ia) Senzilo, anthroponyme germanique (?)[6] ou viendrait de la langue celtique, de sai forêt, de nès près de, et de "sale, seel, zelle propriété ou habitation et signifierait une propriété près d'une forêt, ce qui correspond le mieux à la situation de Senzeilles[3].

L'origine antique de Senzeilles ne fait aucun doute car on a trouvé dans un dépôt de scories de fer dans les bois une médaille grecque en argent [7]de la fin du IVe siècle av. J.-C. ou début du IIIe siècle av. J.-C.[8].

La localité était déjà habitée à l'époque romaine: on a découvert, en 1907, une villa belgo-romaine incendiée vers 250 par des rôdeurs francs.

Le village appartient d’abord aux Rumigny-Florennes. Ensuite en 1075, Arnould II de Morialmé reçoit les 3/4 de Senzeilles et un 1/4 à Godefroid IV de Rumigny-Florennes. En 1113, Arnoud III de Morialmé donne les 3/4 du village à l’abbaye Saint-Nicaise à Reims, où il prend l’habit religieux. Par la suite, le fils de Pétronille de Rumigny-Florennes, Simon de Secelia de Thiméon (1/4 de Senzeilles) se maria avec sa cousine Emma de Morialmé, héritière de l'avouerie des biens de l'abbaye de St Nicaise à Senzeilles (c'est-à-dire les 3/4 de village)[9]. Leur fils Henri devint seigneur de Senzeilles et la souche des sires du lieu[10].

Cette famille noble (baron du Hainaut) qui porte le nom du village du XIIe au XVIe siècle jouera un rôle important dans la région. La plupart de ses membres occupent des postes en vue, tant sur le plan civil que militaire ou religieux, en Hainaut, à Liège dans le comté de Namur et jusqu'en Angleterre, où ils ont suivi Philippa de Hainaut, qui, en 1328, avait épousé le roi Édouard III[9].

Le château, dont il subsiste trois tours d'angle, une terrasse et l'habitation surmontée d'une tour centrale, joua un rôle non négligeable de défense avant le XVIe siècle. À son pied se dresse le beau bâtiment en pierre de la ferme de la Basse-cour. Fin , 300 hommes de troupe, envoyés à Mariembourg pour défendre cette place contre l’attaque d’Henri II, roi de France, arrivent trop tard et se retirent à Senzeilles. Le prince-évêque de Liège estime que la garnison de Thuin serait « plus nécessaire à ce pauvre peuple d’Entre-Sambre-et-Meuse étant mise à Walcourt et à la Thour de Senseille »[11].

Après la famille des de Senzeilles, d'autres familles importantes prendront le titre de baron de Senzeilles : les de Lannoy puis les de Croÿ.

À partir des successeurs de Charles de Croÿ, la terre de Senzeilles fut souvent saisie et mise en adjudication à des fermiers chargés de gérer la seigneurie pour les créanciers. Les seigneurs n'avaient plus qu'un titre honorifique[12].

Si le village passe en 1706 dans la famille des ducs d'Orléans, il était déjà devenu français au traité de Nimègue en 1678. Presque cent ans plus tard, en 1772 exactement, il devient liégeois jusqu'en 1793, date à laquelle Senzeilles est le siège d'une administration municipale de canton du district de Couvin dans le cadre du département des Ardennes, comprenant les communes de Cerfontaine et Neuville[13].

Les différents seigneurs du lieu ont été successivement :

  1. La Maison de Florennes, ensuite Florennes et Morialmé (1/4 et 3/4), puis les seigneurs qui suivent et l'abbaye de Reims au Moyen Age.
  2. Senzeilles (1163 - vers 1450)
  3. Lannoy (vers 1450-1570)
  4. Chimay : Croÿ, Arenberg, puis Hénin-Liétard (1570-1706)
  5. Orléans (1706-1789)
  6. Simonis (de Verviers) (1789-1793)[14]

Le château de Senzeille (sic) et son vaste domaine boisé fut acheté par le comte Ferdinand de Meeûs en 1836. Le 15 janvier 1851, Ferdinand revendait le château, le moulin et 11 hectares de prés et de bois ceinturant le manoir à Léopold de Sébille pour 400 000 Francs[15]. Le restant du domaine forestier, coupé par le chemin de fer entra alors par héritage dans le patrimoine des comtes de Bruneteau de Sainte-Suzanne[16].

L'église est complètement ruinée le à la suite de l'incendie qui a ravagé le centre du village, dont les maisons étaient couvertes de paille[17].

En 1944, l’ennemi attaque le maquis du lieu dont 11 hommes seront pendus par les pieds à Breendonk, ainsi que Julien Lehouck, un des responsables, tandis que 59 autres personnes sont arrêtées dans les environs[18].

Depuis le , le village fait partie de l'entité de Cerfontaine.

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]
  • Source: DGS, 1831 à 1970=recensements population, 1976= habitants au 31 décembre

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blasonnement : Parti ; au un, écartelé aux un et quatre d'argent à trois fasces de gueules, qui est de Croÿ ; aux deux et trois d'argent à trois doloires de gueules, les deux en chef adossées, qui est de Renty ; au deux, vairé en chevron d'argent et d'azur chargé d'un chevron de gueules, qui est de Senzeilles



On a extrait à Senzeilles un marbre rouge, notamment à la carrière du Beauchâteau (site classé en 1992).
L’essentiel des terrains qui affleurent dans la région de Rance-Philippeville date du dévonien et correspond à des dépôts formés dans une mer qui a envahi la Belgique. Le climat de la région est alors chaud, de type équatorial et l’on assiste à l’épanouissement de récifs coralliens. (Dévonien moyen : 370 à 360 millions d’années : étages couvinien et givétien) ; dévonien supérieur : 360 à 345 millions d’années : étages frasnien et famennien)
Ces récifs coralliens sont des accumulations d’organismes qui, au Beauchâteau, se présentent sous la forme d’un dôme. Ce dernier offre une variété de structures et de couleurs qui correspondent à la construction du récif. Au sommet, couche de terre, couche de sédimentations : schistes et calcaires ; puis de haut en bas, Gros Rouge, Rouge Royal supérieur, Marbre gris, Rouge Royal byzantin, Rouge Royal foncé, Royal rosé, Griotte, Griotte fleurie[19].

C'est dans ce site qu'eurent lieu les premiers essais d'utilisation du fil hélicoïdal, en 1874.

Les roues supportant ce fil sont toujours en place et des morceaux de fil traînent sur le sol. Une tranche de marbre a été détachée de la masse et sa base a été taillée en coin. Il ne restait plus qu'à scier cette base et à abattre la tranche. On peut voir aussi un plan incliné : il permettait de remonter les masses lorsqu'un nouveau niveau de base d'exploitation devait être établi.

Sur le chantier, les blocs de marbre étaient ensuite débités en tranches par une batterie de fils fixes. Des blocs de marbre prêts à être sciés sont restés dans la carrière[20].

Cette carrière, classée le par un Arrêté ministériel de la Région Wallonne, offre un aspect particulièrement didactique.

La carrière de Beauchâteau appartenant à la communauté du village fut exploitée à partir de 1766 et s'appelait à l'époque le terne Tibiauchateau. Elle n'aurait pas été louée de 1789 à 1848 pour ensuite connaître son heure de gloire jusqu'en 1952 officiellement[21].

La création du chemin de fer de l'Entre-Sambre-et-Meuse dans les années 1850 a nécessité le creusement d'un tunnel (et d’un deuxième en 1911, finalement bouché en 1976). Ces travaux ont mis au jour un bel affleurement de schiste qui permettait une bonne observation du contact du frasnien et du famennien. Vers 1970 existait un panneau explicatif : Limite biostratigraphique et lithographique de deux étages géologiques
Un atelier de fabrication mécanique a été créé par Felix Gerbehaye en 1884 au lieu-dit Moulin Lauvau. Ensuite, il s'installa en 1904 au lieu-dit Les Vaux en face de la gare en construction. Sa spécialité était la construction de machines pour le travail du marbre. L'usine fonctionna jusque 1980[22]. Il y a eu 4 ateliers de maroquinerie à Senzeilles[23] : celui de la famille Morlie de 1931 à 1963 ; celui de Jules Deville de 1949 à 1966 ; celui de Vanderelst de 1966 à 1975 et celui de Georges Charloteaux de 1968 à 1990.

  • L'église Saint-Martin de style néo-gothique à trois nefs, a été construite de 1860 à 1862 par Louis Pêche sur les conseils de l'architecte Sylvain Piret de Silenrieux[24] mais la façade et la tour ont été construites de 1867 à 1870 par Joseph et Alexis Charmane et Nicolas Massard d'Yves-Gomezée sur les conseils de l'architecte Schadde[25]. Après un incendie de l'ancienne église, elle est un des 235 sanctuaires de Wallonie dédiés à saint Martin, évêque de Tours († 397)
    . Derrière l'autel se trouve la pierre tombale de Marie d'Orjo († 1617), épouse de Toussaint de Robaulx, père des premiers seigneurs de Daussois et de Soumoy, bailli d’Entre-Sambre-et-Meuse et mayeur de Cerfontaine [26].Il y a 9 autres pierres tombales derrière l'autel, principalement de prêtres ou vicaires de Senzeilles[27]
  • Une croix d'occis datée de 1642 se trouve dans la rue Basse, en face de la ferme de la Basse-cour. Cette année-là, les Français pillent et incendient le village et tuent sept habitants[28].
  • L’horloge astronomique, due à un autodidacte, Lucien Charloteaux (1870-1958)
  • Une plaque commémorative apposée dans la cour de l'école de la rue du Cornet rappelle le souvenir de deux Senzeillois décédés au Congo à la fin du XIXe siècle. À l’entrée du château, un autre plaque commémorative rappelle le souvenir de Mme Lehouck, née Gerbehaye (1899-1987), rescapée de Ravensbruck, sénatrice et bourgmestre du village.
  • La Place verte bordée d'arbres anciens.
  • La carrière du Beauchâteau, site d'archéologie industrielle, avec un pan de marbre d'une vingtaine de mètres de hauteur.

Personnalités

[modifier | modifier le code]
  • Charles de Lannoy, né à Valenciennes en 1482 et mort à Gaète (Italie) en 1527, est le seigneur le plus célèbre de Senzeilles. Issu de deux des plus grandes familles hennuyères de son temps, il est le fils d’un Lannoy et d’une Lalaing,Charles de Lannoy est célèbre pour avoir reçu la reddition de François Ier, roi de France, lors de la bataille de Pavie (), après l’avoir sauvé d’une mort certaine sous les coups des mousquetaires espagnols.
    • Son grand-père, Antoine de Lannoy († 1465), avait épousé Jeanne de Ville, dame de Senzeilles et d’Erquelinnes. Il portait le titre de seigneur de Senzeilles, alors enclave hennuyère entourée de terres liégeoises, reçu à la mort de son père avec la seigneurie d’Erquelinnes. Son mariage en 1510 l’avait fait seigneur de Steenockerzeel, mais il restait pour tous le seigneur de Senzeilles.
  • Lucien Charloteaux (1870-1958), constructeur de l'horloge astronomique.
  • Julien Lehouck, athlète, industriel à Senzeilles, conseiller communal en 1932, échevin en 1938, empêché en 1940 (non rentré d'exode en juin) [17], exécuté au Fort de Breendonk en 1944.
  • Simonne Gerbehaye (1899-1987), épouse de Julien Lehouck[29], rescapée de Ravensbruck, 1re femme sénateur[30].
  • Albert Jamme (1916-2004), Père blanc. Docteur en philologie et histoire orientales, spécialiste des civilisations pré-musulmanes, il a participé à de nombreuses fouilles au Yémen et à Oman. Il a été notamment conseiller épigraphique du Gouvernement de l'Arabie Saoudite en 1968-1969 avec 3 expéditions scientifiques. En 1955, « Research Professor » dans le département des langues orientales à l’Université catholique de Washington, et en 1978, vice-président de The American Foundation for the Study of Man[31].
  • Le général Paulin Devaux (1895-1974) fut une personnalité remarquée et courageuse lors des 2 guerres mondiales[32]. Il participe à la campagne des 18 jours. Prisonnier, il s’échappe du camp de Béverloo et quitte le territoire le pour arriver en Espagne et y être interné le . Libéré le 23 décembre suivant, il rejoint les Forces belges en Grande-Bretagne le Il participe à la campagne de 1945 jusqu’à Weimar à la tête du 5e bataillon de fusiliers rattaché à la 1re Armée américaine[33].
  • François Brouers (1915-2003), Docteur en philosophie et lettres, fut spécialiste de paléontologie et de langue orientale. Il était une personnalité de paix en devenant le vice président de l'Union Belge pour la défense de la paix[34]
  1. Body 2020, p. 10.
  2. Body 2020, p. 66.
  3. a et b Body 2020, p. 3.
  4. Edmond Reusens et J. Barbier, Analectes pour servir à l'histoire ecclésiastique de la Belgique, t. XV, Louvain, Ch. Peeters,
  5. A. Carnoy, Origines des noms des communes de Belgique, Louvain, Éditions Universitas, , 2 vol.
  6. a et b Jules Herbillon, Les noms des communes de Wallonie, Bruxelles, Crédit communal, coll. « Histoire » (no 70),
  7. « Mélanges », Annales de la Société archéologique de Namur, vol. 10,‎ , p. 515 (lire en ligne)
  8. Body 2020, p. 134
  9. a et b Jean Philippe Body, Senzeilles, 2020, chapitre sur les seigneurs de Senzeilles
  10. Charles-Gustave Roland, « Histoire généalogique de la Maison de Rumigny-Florennes », Annales de la Société archéologique de Namur, vol. 19,‎ , p. 54-304 (lire en ligne)
  11. Albert de Robaulx de Soumoy, « Notice historique sur Philippeville », Annales de la Société archéologique de Namur, vol. 6,‎ , p. 165-222 (lire en ligne)
  12. Body Jean Philippe, Senzeilles 2020, p. 176-177.
  13. Body Jean Philippe, Senzeilles, 2020, chapitre sur les seigneurs de Senzeilles
  14. Auguste Soupart, « Les seigneurs et la noble famille de Senzeilles », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 25,‎
  15. Jean-Louis Van Belle (historien), Meeûs à de Meeûs, Editions de la Taille d'aulme, Braine-le Château, 1997
  16. Famille Bruneteau de Sainte-Suzanne
  17. a et b André Lépine, « Il était une fois ...Senzeilles », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 10,‎ .
  18. Maurice Van Cantfort, « Le maquis de Senzeilles (1944) », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 20,‎
  19. Claire Neuray, Claire Billen et Jean-Pierre Grimmeau, Itinéraire du marbre, 50 km dans l'Entre-Sambre-et-Meuse méridionale, de Rance à Soulme par Philippeville, Société Royale Belge de Géographie, coll. « Hommes et paysages », , 36 p.
  20. André Lépine, « La carrière du Beauchâteau à Senzeilles », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 150,‎
  21. Body 2020, p. 386-399
  22. Body 2020, p. 417-420
  23. Body 2020, p. 448-451
  24. Body 2020, p. 638-641
  25. Body Jean Philippe (2020), Senzeilles (ISBN 978-2-9600695-2-5) p. 639 à 641
  26. André Lépine, « A Senzeilles. La pierre tombale d'Anne d'Orjo (†1617), épouse de Toussaint de Robaulx, bailli de Pesche », Revue En Fagne et Thiérache, no 191,‎ , p. 61-64
  27. Body 2020, p. 667-670.
  28. André Lépine, « Les malheurs de la guerre à Senzeilles : l'année 1642 », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 157,‎
  29. Eliane Gubin, Dictionnaire des femmes belges : XIXe et XXe siècles, Éditions Lannoo, , 637 p. (ISBN 978-2-87386-434-7 et 2873864346, lire en ligne).
  30. André Lépine, « Mme Lehouck, née Simone Gerbehaye, une grande dame de chez nous », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 138,‎
  31. André Lépine, « L’entité de Cerfontaine vue par … (12) », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 167,‎ , p. 21-22
  32. Body 2020, p. 104-105.
  33. André Lépine, « Daussois : Senzeilles. Prisonniers et déportés (1940-1945) », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 111,‎
  34. Body 2020, p. 105-106.

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • André Lépine, « Senzeilles au temps de son dernier seigneur (1789-1793) », Aux Sources de l’Eau d’Heure, no 30,‎ , p. 99-161
  • André Lépine, « L’obituaire de 1664 », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 118,‎
  • André Lépine, « Les registres paroissiaux de 1664 à 1796 », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 134,‎
  • André Lépine, « L’état civil du 19e siècle », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 143,‎
  • André Lépine, « La paroisse St-Martin, de Senzeilles », Cahier du Musée de Cerfontaine, no 178,‎
  • Jean-Philippe Body, Senzeilles, , 728 p. (ISBN 978-2-9600695-2-5)
  • Jean-Philippe Body, La paroisse de Senzeilles et son église paroissiale, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 85 p.
  • Jean-Philippe Body, La marche Saint Martin de Senzeilles, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 12 p.
  • Jean-Philippe Body, Le folklore de Senzeilles, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 46 p.
  • Jean-Philippe Body, Les noms de lieu-dit du village, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 26 p.
  • Jean-Philippe Body, L'évolution de la population, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 24 p.
  • Jean-Philippe Body, La guerre 14-18, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 20 p.
  • Jean-Philippe Body, La guerre 40-45 et le maquis de Senzeilles, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 36 p.
  • Jean-Philippe Body, L'urbanisation et l'habitat de Senzeilles, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 26 p.
  • Jean-Philippe Body, L'histoire du château et des seigneurs de Senzeilles, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 86 p.
  • Jean-Philippe Body, L'exploitation du marbre rouge et les carrières, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 33 p.
  • Jean-Philippe Body, L'hydrographie et la domestication de l'eau à Senzeilles, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 28 p.
  • Jean-Philippe Body, L'environnement et la biodiversité, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 24 p.
  • Jean-Philippe Body, Les faits divers, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 10 p.
  • Jean-Philippe Body, Les sorcières au XVIIe siècle, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 4 p.
  • Jean-Philippe Body, L'enseignement, son personnel et les bâtiments, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 28 p.
  • Jean-Philippe Body, Les services sociaux à travers les siècles à Senzeilles, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 21 p.
  • Jean-Philippe Body, Les associations et activités culturelles, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 33 p.
  • Jean-Philippe Body, Les clubs et activités sportives, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 27 p.
  • Jean-Philippe Body, Les élections et l'évolution politique à Senzeilles, centre d'archives et d'histoire de Senzeilles, , 47 p.

Liens externes

[modifier | modifier le code]