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Saint-Léger-aux-Bois (Seine-Maritime)

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Saint-Léger-aux-Bois
Saint-Léger-aux-Bois (Seine-Maritime)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Code postal 76340
Code commune 76598
Démographie
Gentilé Léodégariens, Léodégariennes
Population
municipale
485 hab. (2021 en évolution de −3,77 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 50′ 04″ nord, 1° 36′ 42″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 221 m
Superficie 11,02 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Eu
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Saint-Léger-aux-Bois
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Saint-Léger-aux-Bois

Saint-Léger-aux-Bois est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie

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Description

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Saint-Léger-aux-Bois est un village rural normand situé à 11 km à vol d'oiseau au sud de Blangy-sur-Bresle, 12 km au nord-ouest d'Aumale, 17 km au nord-est de Neufchâtel-en-Bray et 57 km de Rouen, et 29 km au sud-est du Tréport et du littoral de la Manche.

La commune se trouve dans la zone d'emploi de la Vallée de la Bresle-Vimeu et dans le bassin de vie de Blangy-sur-Bresle[I 1].

Localisation

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Les communes limitrophes sont Foucarmont, Landes-Vieilles-et-Neuves, Réalcamp, Rétonval, Richemont, Saint-Martin-au-Bosc et Villers-sous-Foucarmont.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 11,02 km2 ; son altitude varie de 153 à 221 mètres[1].

Elle se trouve sur un plateau surplombant la vallée de la Bresle.

Hydrographie

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Aucun cours d'eau ne draine la commune.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 902 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bouelles à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 838,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Léger-aux-Bois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].

Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,4 %), forêts (20,9 %), prairies (19,4 %), zones urbanisées (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 240, alors qu'il était de 237 en 2016 et de 229 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 88,6 % étaient des résidences principales, 8 % des résidences secondaires et 3,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,4 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Léger-aux-Bois en 2021 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8 %) supérieure à celle du département (4,1 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Saint-Léger-aux-Bois en 2021.
Typologie Saint-Léger-aux-Bois[I 3] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 88,6 88 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8 4,1 9,7
Logements vacants (en %) 3,4 7,9 8,1

Le nom de la localité est attesté sous les formes de Sancto Leodegario au XIIe siècle[13] en 1151, de Sancto Leodegario en 1165, Ecclesie sancti Leodegarii fin du XIIe siècle[14] et vers 1240, Parrochia Saint Ligier ou bos en 1312[15], Saint Léger en 1715 et 1738, Saint Léger au Bosc en 1740, Saint Léger au Bois en 1757[16].

Saint-Léger est un hagiotoponyme et un patronyme inspirés de Saint Léger d'Autun, VIIe siècle.

Le déterminant locatif aux-Bois est dû à la partie du territoire communal située dans la Forêt d'Eu.

Selon l'Abbé Cochet[17], « deux ou trois cercueils de pierre, qui pourraient bien remonter à l'époque franque, ont été découverts en 1864 ».

Une verrerie est fondée vers 1455 pour fabriquer du verre en plat. Elle est fermée en 1493 par Guillaume de Caqueray qui la transfère à Rétonval. Il n'en subsiste pas de vestiges[18].

Époque contemporaine

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Un relais de télégraphe Chappe est installé vers 1820 sur le clocher de l'église, l'un des plus hauts du secteur, et fonctionne une dizaine d'années, établissant la liaison entre Martincamp (hauteurs de Bully) et le Mont de l'Aigle (hauteurs de Grandcourt)[19].


Seconde Guerre mondiale

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Lors de la Seconde Guerre mondiale, un poste de guet allemand est installé dans le clocher de l'église en 1943-1944[19].

Le village a notamment subi un bombardement le dans le cadre de l'opération Crossbow[20],[21].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime[I 1].

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Blangy-sur-Bresle[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Eu[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

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La commune était membre de la communauté de communes de Blangy-sur-Bresle, créée fin 2001 et qui succédait au SIVOM de Blangy-sur-Bresle, créé au afin de gérer le ramassage et le traitement des odures ménagères ainsi que le ramassage scolaire.

Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercimmunalité fusionne avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1995 septembre 2024[22],[23] Rémy Ternisien DVD Agriculteur retraité
Vice-président de la CC de Blangy-sur-Bresle (2014 → 2016)
Vice-président de la CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle (2017 →2024 )
Président du regroupement scolaire ( ? → 2024)
Vice-président du SDE 76 ( ? → 2024)
Vice-président du Syndicat du bassin versant de l’Yères ( ? → 2024)
Mort en fonction

Équipements et services publics

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Enseignement

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Les enfants de la commune sont scolarisés dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec ceux d'Aubermesnil-aux-Erables et Rétonval.

La commune dispose d'une école dotée d'un accueil périscolaire[24] et d'une salle des fêtes qui accueille la cantine scolaire.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 485 habitants[Note 1], en évolution de −3,77 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
910790938737766770780734736
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
704665737705697654637574590
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
550521503474502500442402415
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
494502528512509455476479506
2015 2020 2021 - - - - - -
504485485------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête patronale, début octobre[28]

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Léger, construite en 1751, remaniée en 1819, 1868 et 1899[29], dont la flèche est inclinée[19].
    L'abbé Cochet indiquait en 1871[17] : « L'église, sous le vocable de Saint-Martin, est généralement récente par son appareil, qui dénote surtout le XVIIe et le XVIIIe siècle. Il n'y a d'un peu ancien que la corniche intérieure de la nef, qui est de bois sculpté au XVIe siècle. On y voit, comme partout dans ce pays, une vigne sculptée chargée de fruits et d'oiseaux et entrecoupée de têtes ou bossets saillants ».
    Le , la cloche « Marie » de l'église, datant de 1834, sonnant à grande volées la fin de la Seconde Guerre mondiale, s'écroule. Elle est refondue en 1952 et est l'une des trois cloches actuelles[19].
  • Tour du duc de Mailly, construite en briques au XVIe siècle par Adrien de Mailly, vestige du château démoli pendant la Révolution française. Elle contient un remarquable escalier hélicoïdal en voute sarazine qui relie les 4 niveaux de l'édifice. L'ensemble est couronné d'une toiture en poivrière supportée par une charpente en chêne édifiée sur un poinçon central. Malgré son allure défensive, c'est avant tout une tour de prestige. Elle est labellisée « Patrimoine rural d’intérêt départemental[30].
  • Deux circuits de randonnée parcourent la commune, celui du Moulin à vent, vers Foucarmont, long de 9 km, et le Circuit de la Tour de Mailly vers Rétonval, long de 5 km.

Personnalités liées à la commune

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Jérôme de Mailly, dernier seigneur de Saint-Léger-aux-Bois ayant vécu au château seigneurial, mort en 1755 repose dans la chapelle du village[30].

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Saint-Léger-aux-Bois et Bouelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Archives départementales de la Seine-Maritime, 7 H (charte de Jean comte d'Eu).
  14. Archives de Seine-Maritime, 8 H 6 — charte de Jean comte d'Eu).
  15. Archives de Seine-Maritime, G.
  16. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 912.
  17. a et b Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 190, lire en ligne sur Gallica.
  18. « Verrerie », notice no IA00057491, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. a b c et d Sébastien Aliome, « La question pas si bête : Pourquoi le clocher de l'église de Saint-Léger-aux-Bois est-il penché ? », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Norbert Dufour et Christian Doré (préf. Daniel Pégisse), L'Enfer des V1 en Seine-Maritime durant la Seconde Guerre mondiale, Luneray, Bertout, , 295 p. (ISBN 978-2-86743-179-1), p. 102-103.
  21. Bernard Garnier (dir.), Michel Pigenet (dir.), M. Dandel, G. Duboc, A. Kitts et E. Lapersonne (préf. Antoine Rufenacht), Les Victimes civiles des bombardements en Haute-Normandie. 1er janvier 1944-12 septembre 1944, CRHQ-IRED-La Mandragore, , 350 p., relié (ISBN 978-2-912468-02-4, LCCN 2001351420), p. 49.
  22. « Rémy Ternisien, maire depuis plus de vingt ans, n'est plus », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « À la tête du village depuis 1995, l’édile est décédé ce mercredi 4 septembre 2024, à l’âge de 74 ans. Il était également vice-président de la Communauté de communes interrégionale Aumale/Blangy-sur-Bresle »
  23. Sébastien Aliome, « Maire de Saint-Léger-aux-Bois depuis 1995, Rémy Ternisien est décédé », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Sébastien Aliome, « Saint-Léger-aux-Bois : récemment lancée, la garderie satisfait les parents d'élèves », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il y a quelques mois, le Sivos réunissant les communes de Saint-Léger-aux-Bois, Rétonval et Aubermesnil-aux-Erables créait une garderie. Le premier bilan est positif ».
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Sébastien Aliome, « Manèges, corso fleuri, foire à tout et retraite aux flambeaux vous attendent ce week-end à Saint-Léger-aux-Bois », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Eglise paroissiale Saint-Léger », notice no IA00057356, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. a et b « D’un siècle à l’autre. Le clocher et la Tour Mailly à Saint-Léger-aux-Bois », Le Réveil de Neufchâtel édition Pays de Bray, no 3702,‎ , p. 8.
  31. « Mairie, école », notice no IA00057357, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Maisons et fermes », notice no IA00057355, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.