[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Pontevès

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pontevès
Pontevès
Vue sur le village de Pontevès.
Blason de Pontevès
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté de communes Provence Verdon
Maire
Mandat
Frank Panizzi
2020-2026
Code postal 83670
Code commune 83095
Démographie
Gentilé Pontois, pontoises
Population
municipale
743 hab. (2021 en évolution de −5,47 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 16″ nord, 6° 01′ 48″ est
Altitude Min. 240 m
Max. 813 m
Superficie 41,07 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pontevès
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pontevès
Géolocalisation sur la carte : Var
Voir sur la carte topographique du Var
Pontevès
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Pontevès
Liens
Site web http://www.mairie-ponteves.fr

Pontevès est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants se nomment les Pontois et les Pontoises. Ce village perché est surplombé par le massif des Bessillons. Fief de la famille de Pontevès, il reste des vestiges de leur château.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Commune située aux portes du Verdon[1], à proximité de Barjols, Châteauvert et à 25,5 km de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume[2] et 26,7 km de Brignoles.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]
Petit Bessillon.

Le territoire totalise 130 hectares de forêts communales.

Quartiers :

  • des Costes,
  • des Piés,
  • de l'Abrégier.

Montagne Petit Bessillon[3] et sommet le Gros Bessillon[4].

Hydrographie et eaux souterraines

[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune :

  • la Rivière des écrevisses ;
  • le ruisseau de Pontevès, affluent de la Rivière salée ;
  • le ruisseau de Saint Andrieu ;
  • Source du Pavillon.

La commune dispose de deux réservoirs :

  • au village : 250 m3 ;
  • au lieu-dit La Lauve : 500 m3.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 811 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 2,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Varages », sur la commune de Varages à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 786,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 44,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −12,5 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Voies de communications et transports

[modifier | modifier le code]

Voies routières

[modifier | modifier le code]

Accès autoroute A8, sorties Brignoles, Saint-Maximin.

D 560 depuis Saint-Maximin, Cotignac[12].

D 554 depuis Châteauvert, Le Val.

Transports en commun

[modifier | modifier le code]

Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou !. Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![13].

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté de communes Provence Verdon et du Pays de la Provence Verte.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Il existe trois zones de sismicité dans le Var :

  • Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du Centre Var. Les communes du littoral ne sont pas à l'abri d'un tsunami, lié à un séisme qui se produirait soit en mer sur la marge Ligure entre Nice et Impéria, soit sur la côte algérienne ;
  • Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel ;
  • Zone Ib : Risque faible. Ce risque, le plus élevé du département mais qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du nord du département.

La commune de Pontevès est en zone de sismicité faible Ia[14].

Au , Pontevès est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19 %), cultures permanentes (14,8 %), terres arables (6,1 %), zones urbanisées (2,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La commune est couverte par un plan local d'urbanisme dont la dernière procédure a été approuvée le 29 janvier 2020[20].

Au Moyen Âge, Pontevès est le chef lieu d’une puissante seigneurie dont dépend la ville voisine de Barjols. Cité comme Castrum dès 1021, le château de Pontevès est situé sur une éminence rocheuse qui surplombe la plaine.

À la fin du XIIe siècle, le village est protégé par une enceinte qui est venu doubler celle de la forteresse. Barral de Pontevès, viguier de Marseille (1370), est seigneur de Pontevès. Il est le premier enfant d'Isnard de Pontevès et de Thomasse de Gantelmi, fille de Jacques Gantelmi. Marié à Isabelle des Baux, ils ont pour enfants Jean et Agoult[21]. Peu avant le , il est élu gouverneur, capitaine et défenseur des comtés de Provence et de Forcalquier pour l'Union d'Aix[22]. La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Aix se soumet en , ce qui précipite le ralliement des Carlistes, dont le seigneur Barral de Pontevès. Bien qu’il soutienne Charles de Duras depuis plusieurs années, il rejoint le camp angevin, entre les mains du sénéchal de Provence. Le , il prête hommage à Louis II d'Anjou, âgé de dix ans[23].

Renaissance et Temps Modernes

[modifier | modifier le code]

Dès le XVe siècle, les Pontevès s’installent dans leur hôtel de Barjols. Le château est vendu en 1650 à Pierre Maurel, un financier aixois, surnommé le Crésus de Provence qui a épousé Diane de Pontevès, le . Celui-ci entreprend son réaménagement complet et l’édifice se compose alors de trois corps de logis flanqués de quatre tours. Au sommet du bourg, on y entre par une porte qui existe toujours. Une cinquantaine de pièces composent le vaste bâtiment dont quatorze chambres, quatre caves, une chapelle et une galerie.

Au cours du XVIIIe siècle, le château tombe petit à petit à l’abandon. Au début du XIXe siècle, le bourg compte 550 habitants. Le château est déjà en ruine. Le site et les ruines de l’édifice sont la propriété de la famille de Pontevès (Qu'en est-il aujourd'hui ?)[24].

XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 1950, quelques industries fournissent du travail aux villageois : deux mines de bauxite sont exploitées ; une tuilerie et une fabrique de tomettes sont en activité. L'élevage de vers à soie s'ajoute aux activités agricoles. La cave coopérative a été créée en 1913. De nos jours, la région maintient une tradition viticole.

Après un exode rural durant les Trente glorieuses, le village a vu sa population augmenter à la fin du XXe siècle et au début du XXIe siècle.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1804 Benoît Aureille   Propriétaire
1804 1809 Jean-Joseph Blancard   Propriétaire
1809 1813 Jean-Honoré Aureille   Propriétaire
1813 1815 Jean-Antoine Maille   Propriétaire
1815 1815 Jean-Joseph Blancard   Propriétaire
1815 1817 Hyacinthe Maille   Propriétaire
1817 1819 Jean-Jacques Maille   Propriétaire
1819 1825 Joseph-François Carmagnolle   Propriétaire
1825 1826 Hyacinthe Maille   Propriétaire
1826 1830 Jean-Joseph Aureille   Propriétaire
1830 1831 Jean-Joseph Blancard   Propriétaire
1831 1848 Joseph-François-Narcisse Aureille   Propriétaire
1848 1865 Gervais Maille   Maréchal-ferrant
1865 1876 Jean-Bienvenu Dauphin   Propriétaire
1876 1877 Louis-Félicien Porre   Propriétaire
1877 1880 Louis-Adrien Porre   Propriétaire
1880 1888 Louis-Félicien Porre   Propriétaire
1888 1889 Fernand Guiot   Propriétaire
1889 1895 Eugène-Janvier Maille   Propriétaire
1895   François-Félix Maille   Propriétaire
Les données manquantes sont à compléter.
1983 1997 Guillaume de Jerphanion    
1997 2020 Jean-Marc Etienne    
2020 En cours Frank Panizzi[26]    

Budget et fiscalité 2020

[modifier | modifier le code]

En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[27] :

  • total des produits de fonctionnement : 725 000 , soit 946  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 671 000 , soit 876  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 539 000 , soit 704  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 978 000 , soit 1 276  par habitant ;
  • endettement : 856 000 , soit 1 118  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 10,74 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,84 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 68,00 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 650 [28].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 743 habitants[Note 2], en évolution de −5,47 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
553547518543541580524532508
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
489511511472464451455447420
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
389350354329404399353332300
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
341345319417450573657669781
2017 2021 - - - - - - -
748743-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[33] :

  • École maternelle,
  • École primaires à Pontevès, Barjols, Fox-Amphoux, Taverne, Correns,
  • Collèges à Barjols, Carcès, Brignoles, Aups,
  • Lycées à Brignoles.

Professionnels et établissements de santé[34] :

  • Médecins à Barjols, Varages,
  • Pharmacies à Barjols, Varges, Cotignac,
  • Hôpitaux à Salernes, Brignole, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Commerces et services

[modifier | modifier le code]
  • Commerce et services de proximité[41].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

L'église Saints-Gervais-et-Protais de Pontevès

[modifier | modifier le code]

En 1666, l'ancienne église du XIIe siècle, mentionnée en 1135, dédiée à Saint Gervais[42], étant en mauvais état, le Conseil de communauté décide la construction de l'église actuelle. Les plans sont dessinés par Jean Daret, artiste aixois qui peint aussi en 1671 le retable du maître-autel, deux tableaux : Saint Gervais et saint Protais martyrs aux pieds de la Vierge et l'Enfant, Vierge à l'Enfant dans un médaillon en cœur[43]. La façade est constituée d'un mur postiche surmonté d'une génoise. L'édifice est terminé en 1669. Cette église apparait dans l'esprit de la Contre-Réforme.

Sur le clocher de l'église, un campanile en fer forgé abrite une cloche qui date de 1762[44].

Ruine de château dont il subsiste l'entrée monumentale, deux tours et le mur d’enceinte[45],[46].

Monuments commémoratifs

[modifier | modifier le code]

Autres lieux

[modifier | modifier le code]
  • Château de Saint-Ferréol[52].
  • Aven de la Stèle - Sainte Catherine[53].
  • L'Espace des Claux[54], établissement disponible pour les associations Pontoises, l'école des Bessillons, les organismes publics, les organismes de formation et les professionnels du spectacle.

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Pontevès se blasonnent ainsi :

De gueules au pont de deux arches, alésé, d'or maçonné de sable.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Le groupe Battaglia compte une vingtaine de maquisards détachés de la 1re compagnie FTPF de Provence. Divisé en trois groupes de combat, il vient stationner dans le massif du Bessillon en juillet 1944. De là, il opère des coups de main épurateurs dans les localités voisines. Peut-être dénoncé, il est encerclé par les occupants le 27 juillet et huit hommes sont tués. Sur l'autre versant du massif sont fusillés dix otages, raflés les jours précédents dans les communes de la région (Méounes, Le Val, Cotignac, Brignoles et surtout Barjols) et extraits pour l'occasion de la prison de Brignoles (Jean-Marie Guillon, La Résistance dans le Var, Thèse de doctorat d’État, Université de Provence, 1989).
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Commune située aux Portes du Verdon
  2. Itinéraires
  3. Le Petit Bessillon
  4. Le Grand Bessillon, côté Pontevès
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Pontevès et Varages », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Varages », sur la commune de Varages - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Varages », sur la commune de Varages - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. Accès à la commune
  13. Réseau régional de transports en commun
  14. Didacticiel de la réglementation parasismique
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. Insee, « Métadonnées de la commune de Pontevès ».
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. PLU, sur Géoportail
  21. Baratier, Atlas, p.130
  22. Venturini, la guerre, p.46
  23. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 408 (note 33).
  24. Duchesse de Sabran-Pontevès, Bon sang ne peut mentir, Paris, Éditions Jean-Claude Lattès, , 311 p.
    Roselyne Manca de Vallombrasa, fille du comte de ce nom et d’Adrienne Lannes de Montebello, elle a épousé en 1936 Foulques, comte puis duc de Sabran-Pontevès, fils du comte de ce nom et de Constance, princesse de Croÿ. Par cet ouvrage, elle livre ses souvenirs. Page 295 : En 1963, avec le duc Amic s’éteint la branche aînée. Le titre revient à Foulques ainsi que les ruines de Pontevès et de Bargème qui lui sont attachées. Maintenir les racines est indispensable au prestige du nom. Mon époux en est conscient et il entend bien assumer ses responsabilités. A Pontevès contre un droit de promenade dans l’enceinte la municipalité entretiendra les vestiges de la forteresse. En revanche à Bargème que désertent ses habitants, la charge sera plus lourde.
  25. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques, Draguignan, 1897, p.361 [1]
  26. Frank Panizzi
  27. Les comptes de la commune
  28. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Établissements d'enseignements
  34. Professionnels et établissements de santé
  35. Paroisse Saint-Gervais
  36. « moulin à huile, puis coopérative agricole (coopérative oloéicole), enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur) », notice no IA83001359, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Coopérative vinicole de Pontèves », notice no IA83001358, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Domaines viticoles
  39. Plantes aromatiques
  40. Hébergements touristiques
  41. L'épicerie Familiale
  42. Saint Gervais et Protais : les églises dédiées
  43. [2] base Palissy, retable église de Pontevès
  44. Notice no PM83000418, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saints-Gervais-et-Protais
  45. Château de Pontevès
  46. [3]
  47. Monument aux Morts
  48. Monument commémoratif aux résistants fusillés du Bessillon sur le site de la DRAC PACA.
  49. Vue du monument sur Google Maps.
  50. Pontevès : Monument dédié aux héros et martyrs du Bessillon sur le site MémorialGenWeb.
  51. Le mémorial du Bessillon sur le site du musée de la Résistance en ligne.
  52. « Château de Saint-Ferréol », notice no PA83000029, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. Cavité souterraine naturelle
  54. L'Espace des Claux

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]