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Pierre Perrin (écrivain)

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Pierre Perrin
Portrait du poète romancier et critique littéraire Pierre Perrin [2018].
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Directeur de thèse

Pierre Perrin de Chassagne est un poète, romancier et critique littéraire français né en 1950[1].

Pierre Perrin de Chassagne[2] a publié quatre recueils entre 1972[3] et 1980[4]. Il a créé la revue Possibles en janvier 1975. Vingt-deux numéros sont parus, dont un spécial Jean Breton[5], un spécial Yves Martin en 1979. Mise en pause de la revue en 1981.

Il a participé en tant que critique au magazine Poésie/Vagabondages et participe toujours en tant que critique à La Nouvelle Revue française et à une douzaine d'autres revues et périodiques.

Il a été rédacteur en chef de la revue La Bartavelle 2e série publiée par La Bartavelle Éditeur de 1994 à 1997[6]. Il a relancé sa revue Possibles de 2015 à 2021, avec 62 numéros parus, près de 300 poètes à l'affiche[7]. Et en 2022, la revue Possibles revient au papier, avec 4 numéros par an[8].

Il a évoqué le confinement pour Marianne[9].

Œuvres principales

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Notes et références

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  1. « Pierre PERRIN », sur www.leshommessansepaules.com (consulté le )
  2. « Auteurs français contemporains (0 à R) - aLaLettre », sur www.alalettre.com (consulté le )
  3. « « Un poète tenu tout de suite par les thèmes qui comptent. Il a des cris d’amour non truqués, un goût du “verger transparent” et une colère partout qui fait ployer le langage et libère les images » [Jean Breton, Le Magazine littéraire, n° 68 consacré à Albert Camus, octobre 1972] », Les inégalités comptent-elles ?,‎ (DOI 10.1787/62d02282-fr, lire en ligne, consulté le )
  4. « Pierre Perrin publie discrètement de superbes Chroniques d’absence aux poignantes évocations de la mère disparue. » [Didier Pobel, Esprit n° 1667, novembre 1979, page 227].
  5. « La revue Possibles est un bel exemple de ce que peut la foi, sinon l’acharnement. En peu de mois, cette revue a progressé sur tous les plans, avec régularité, et la poésie de Pierre Perrin a suivi même chemin. Des petits numéros ronéotés, maladroits, du début, aux numéros consistants, tel le Breton pourtant bien mal agrafé, au Mafaraud, à l’Éroticothèque, il y a une émergence dont je mesure le prix qu’elle a dû coûter. Ce que publie Perrin le concerne toujours, et il est aisé de voir ce qui fait la personnalité de sa revue : une sorte de réalisme passionné, le goût du détail vécu, quelque chose de terrien, de sensuel, de vigoureux, de paysan. À noter aussi la force des notes critiques qui bénéficient d’une nette orientation, et en ce domaine rien ne vaut le parti-pris quand il est médité et fondé en expérience. Pierre Chabert, Le Pont de l’Épée n° 67-68, juin 1979 [p. 186] »
  6. Voir le site revues-litteraires.com.
  7. Le site sur lequel retrouver les numéros et les poètes : http://longueroye.free.fr/index.php
  8. Le site sur lequel retrouver les sommaires successifs, les couvertures de la revue Possibles papier : http://possibles3.free.fr/index.php
  9. « Pierre Perrin » (consulté le )
  10. Marilyne Bertoncini, « Pierre Perrin : Une Mère, le cri retenu », sur Recours au poème, (consulté le )
  11. Isabelle Brunnarius, « L’amoureuse de Courbet, Virginie Binet, héroïne du roman de Pierre Perrin », sur Le blog de la Loue et des rivières comtoises, (consulté le )

Liens externes

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