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Naizin

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Naizin
Naizin
La Grand Rue en .
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Centre Morbihan Communauté
Statut Commune déléguée
Maire délégué Philippe Cadoret
Code postal 56500
Code commune 56144
Démographie
Gentilé Naizinois
Population 1 790 hab. (2013)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 59′ 24″ nord, 2° 49′ 50″ ouest
Altitude 110 m
Min. 57 m
Max. 136 m
Superficie 40,99 km2
Élections
Départementales Grand-Champ
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Évellys
Localisation
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Naizin

Naizin [nɛzɛ̃] (en breton Neizin, parfois abrégé en Nein) est une ancienne commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Le , elle prend le statut administratif de commune déléguée de la nouvelle commune d'Évellys de statut administratif commune nouvelle.

Géographie

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Localisation

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Vue générale de Naizin.

Traversée par l'Ével, la commune est située à 17 km au sud-est de Pontivy.

Relief et hydrographie

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Le finage de l'ancienne commune de Naizin est formé pour l'essentiel d'un plateau incliné vers le sud-ouest, les altitudes les plus élevées se rencontrent à la limite nord du territoire (136 mètres au hameau de Penvern, à cheval avec la commune voisine de Kerfourn, ainsi qu'à Boquetteu, proche de cette même limite communale) et la plus basse (57 mètres) se trouve à la confluence entre l'Ével, rivière affluente de rive gauche du Blavet, qui forme la limite sud de la commune avec Moréac, et de son affluent de rive droite le Ruisseau de Belle Chère, qui formait sur une partie de son tracé la limite avec l'ancienne commune de Moustoir-Remungol avant la création de la commune nouvelle d'Évellys, avant de traverser la partie sud-ouest du territoire communal de Naizin. Ce ruisseau de Belle Chère a comme affluent le Ruisseau du Guénolay, qui coule aussi nord-sud et traverse la partie centrale de cette ancienne commune, passant à l'ouest du bourg. À l'est, le Ruisseau de Coëtdan, affluent du Ruisseau du Runio et sous-affluent de l'Ével, traverse la partie orientale de la commune, forme sur une partie de son tracé la limite communale avec Réguiny et alimente l'étang de Coëtdan, aménagé désormais en base de loisirs. Le bourg est sur une hauteur vers 120 mètres d'altitude.

Le paysage agraire traditionnel de cette ancienne commune est celui du bocage avec un habitat dispersé en de nombreux écarts formés de hameaux (villages) et fermes isolées. Éloignée des grands centres urbains, cette commune a échappé à la rurbanisation ; par contre le bourg a connu une expansion notable avec la création de plusieurs lotissements dans ses alentours (périurbanisation) de puis les deux dernières décennies du XXe siècle.

Cette ancienne commune était traversée par la Route nationale 167 allant de Vannes et Locminé au sud, vers Pontivy et Lannion en direction du nord ; cette route a été déclassée en route départementale (D 767), aménagée en voie express, qui traverse sa partie occidentale. Le bourg de Naizin et le reste de son finage ne sont desservis que par des axes routiers secondaires, l'échangeur de Kerroux desservant toutefois aisément, à partir de la D 767, via la D 203, le bourg, desservi par ailleurs par la D 17 venant de Locminé, via Moréac.

Paysages et habitat

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Naizin présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en de nombreux écarts formés de hameaux et fermes isolées. Le territoire de la commune comprend de nombreux lieux-dits : le Pudy ; Corgarho ; Kermaprio ; le Cosquer ; le Boterff ; Kerrrobin ; Kerjaujic ; le Clandy ; Tocplouz ; le Salut ; Pont Dran ; Kergat ; la lande de Porhman ; Coëtdan ; la lande de la Chataigneraie ; le Perzo ; la Poste ; Pembual ; Pervern ; Kerabevin : Saint Brigitte ; Hembord ; Kerdréan ; Kermaria ; Kergicquel ; les Trois Alouettes ; Kerlagadec ; Kerdec ; Keriel ; Luzunin ; le Stimoès ; le Camper ; Siviac. Le bourg est excentré vers l'est du territoire de cette ancienne commune.

Géologie et relief

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Hydrographie

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Voies de communication et transports

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Le nom de la localité est mentionné sous les formes Naizin, Neidin[1], Neizin, prononcée Nein en breton vannetais ; Naizain en 1793 ; Naizin en 1801[2],[3].

Naizin [nɛzɛ̃], en breton Neizin, parfois abrégé en Nein dérive du vieux breton Nith signifiant « lieu où l'on s'établit ».[réf. nécessaire]

Préhistoire et Antiquité

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Joseph-Marie Le Mené a écrit en 1891 que « dans la lande de Guerneven et dans celle de Kerdec, se trouvent deux petits retranchements, de forme carrée, de 60 à 80 mètres de côté, dont les parapets ont encore 2 m. de hauteur ; ils portent le nom de Camp, et on y trouve des briques en assez grand nombre », ce qui est révélateur d'une ancienne présence romaine[4].

Naizin est une paroisse de l'Armorique primitive qui a probablement été évangélisée vers le VIe siècle. Au moment des invasions normandes vers le IXe siècle, Naizin dépend du doyenné du Porhouët. Déjà, la paroisse a comme saints patrons Cosme et Damien, alors que l'église est placée sous le vocable du Saint-Sauveur. On pense que le bourg primitif n'était pas à son emplacement actuel, mais plutôt au Humborg « vieux bourg »[5].

Guéthénoc, évêque de Vannes, donna vers 1200 à l'abbaye Notre-Dame de Lanvaux les dîmes de Neizin (Naizin).

En 1296, Henri de Kergoat, seigneur de Naizin, céda en 1296 les revenus dont il disposait dans la paroisse au vicomte Alain VI de Rohan.

Selon un aveu de 1471, Naizin était, au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trèves de la seigneurie proprement dite de Rohan[6].

Temps modernes

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Carte de Cassini de la future commune nouvelle d'Évellys (paroisses de Naizin et Remungol et trève du Moustoir) datant de 1789.

Tout au long des décennies, la situation évolue et au XVIIe siècle, il y avait autant d'habitants au Humborg qu'au bourg[5]. Douze seigneuries ont été recensées dans la paroisse selon Joseph-Marie Le Mené : Canvez, Cléguennec, Coetpidan, Fournello, Guénolay, Kerdréan-les-Bois, Kercandal, Kerguzangor, Kermorval, Kersimon Penturban et le Resto. La paroisse de Naizin était divisée en 9 frairies (Bourg, Stimoise, la Poste de Guénolay, Guern, Resto, Luzunin, Siviec, Kerden et Penvern) et deux chapellenies s'y trouvaient (Saint-André et Sainte-Brigitte). En 1756 M. de Langle[Note 1], président à mortier au Parlement de Bretagne et propriétaire des deux chapelles latérales (dénommées Saint-Sauveur et Couronne) de l'église paroissiale, accepta que celles-ci soient démolies afin que l'église paroissiale puisse être agrandie et embellie[7]

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Naizin en 1778 :

« Naizin, à huit lieues trois quarts au nord de Vannes, son évêché ; à 17 lieues trois quarts de Rennes, et à deux lieues trois quarts de Pontivi, sa subdélégation. Cette paroisse, dont la cure est à l'ordinaire, compte 2 000 communiants[Note 2] et ressortit à Ploërmel. La basse justice du Gué-de-l'Île appartient à M. Jacquelot. Ce territoire est fertile en grains et foin, mais il n'est pas aussi exactement cultivé qu'il pourroit l'être. On y voit des landes dont le sol n'est pas indigne des soins du cultivateur. (...) Les manoirs nobles de Kerdréan et du Teil-Porman sont dans ce territoire[8]. »

Révolution française et Empire

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En 1790 Naizin devint une commune appartenant au canton de Locminé et au district de Pontivy. Son recteur depuis 1780, Charles Lefranc, prêta en 1791 le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, puis il se rétracta, devenant donc prêtre réfractaire ; il fut alors remplacé par son vicaire. Les biens du clergé, y compris ceux de la chapellenie de Saint-André et le bois de Sainte-Brigitte furent vendus comme biens nationaux[4].

Après la Révolution, Napoléon cherche à ramener la paix religieuse dans les campagnes. L'annonce du Concordat signé entre le Vatican et le gouvernement français est accueillie avec satisfaction. Le nouvel évêque de Vannes Mgr Mayneaud de Pancemont convoque les prêtres du diocèse pour faire connaissance et pour réorganiser le diocèse en 37 cures. Concernant Naizin, les paroissiens n'ayant pas accepté les nouvelles limites, les choses restent en l'état comme avant la Révolution[9].

Le XIXe siècle

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La première moitié du XIXe siècle

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Le cinq chouans armés furent vus dans le bourg de Moustoir-Remungol. Le lendemain is se réunirent à Naizin au nombre de quinze et tirèrent plusieurs coups de fusil. Le Courrier du Midi écrit que « l'inquiétude renaît dans les campagnes, où les réfractaires et les anciens chouans reparaissent de nouveau (...) ; on assure que Guillemot les dirige dans le nord du département du Morbihan ». Le même journal écrit que « les chouans commencent à reparaître dans [le] département ; il y a peu de jours, dix-neuf hommes, armés de fusils, pistolets et poignards, ont parcouru le bourg de Saint-Nicolas, près le Blavet. Au bâtiment de l'éclusier, ils ont forcé le sieur Templier de leur remettre son fusil à deux coups »[10].

En 1841 le décès d'un réfractaire (par légitimisme et hostilité à la monarchie de Juillet), un nommé Métayer, victime de la fièvre typhoïde, fut le prétexte à plusieurs rassemblements de paysans (à Plumelin le 11 mars, à Moréac le 17 mars et à Naizin un peu plus tard. Métayer n'ayant rien fait d'extraordinaire, « on ne peut voir dans ce déploiement de pompe funéraire que la volonté de présenter comme honorable la conduite des réfractaires, d'encourager la résistance à la loi et de pousser leurs camarades à les imiter »[11].

Naizin vers le milieu XIXe siècle

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A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Naizin en 1853 :

« Naizin (sous l'invocation de saint Sauveur, et comme seconds pasteurs, sous celle de saint Cosme et saint Damien) ; commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Hembor, Keraugie, Pudehy, Quénécan, Cosquer, la Poste (route de Josselin à Pontivy), Kerabevin, Penvern, Kerouëh, le Crugan, Keraprio, Kerlizé, Kerlevic, Kerdec, Ponturban, Siviac, Kerollet, Luzumen, le Camper, le Stimoës, Kerviguenno, Penhual, Kergoff. Moulins de Kerguzengor, de Kersimon, à vent ; de Coat-Dan et de Stang, à eau. L'église de Naizin est ancienne, mais elle a été réparée à plusieurs reprises, notamment en 1691, date inscrite sur plusieurs parties de cet édifice. La tour, qui mérite d'être mentionnée, est de 1780 ; elle a été commencée en 1773, sur les plans de M. Noury, recteur de Bignan. Avant 1789 il y avait dans cette commune cinq chapelles desservies[Note 3] ; aujourd'hui l'on en compte les plus que trois, les deux autres sont en ruines. Jusqu'à cette dernière époque, l'église de Naizin fut desservie par les moines de Lanvaux, qui étaient décimateurs. Tous les anciens manoirs sont en ruines : tels sont Kerdréan, Kermorval, Kerguzengor, Guinolan, Kergandal, etc.., qui, tous, appartiennent à M. le marquis de Langle[Note 4], propriétaire des sept huitièmes des terres de la commune[12]. »

Les mêmes auteurs poursuivent :

« Il y a assemblée le 27 septembre, jour de la fête de saint Cosme et saint Damien, mais elle est célébrée le dimanche le plus près de ce jour. La veille on chante vêpres, puis l'on va en procession avec la grande bannière. Cette bannière, suspendue à deux pièces de bois, formant croix, et chargée aux bras de plus de 30 kilogrammes de fer, est portée par des pèlerins qui, pendant tout le trajet de la procession, se disputent cet honneur. Plus d'une fois pendant cette cérémonie, elle tombe et blesse les assistants, qui s'en réjouissent comme d'un bonheur qui leur arriverait. Derrière cette bannière viennent d'autres étendards et les statues de saint Cosme et saint Damien. Cette procession est l'une des plus suivies des environs de Josselin et de Pontivy. La commune de Naizin fait quelques exportations de blé, seigle, blé noir, beurres, chanvres, etc.. Il y a foire le 26 avril et le 27 septembre. Géologie : schiste talqueux ; quelques minerais de fer. On parle le breton[12]. »

Naizin dans la seconde moitié du XIXe siècle

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Plusieurs missions sont prêchées à Naizin, en 1869, 1875 et 1885.

La limite entre les langues bretonne et gallèse (carte de 1886).

Lors des élections législatives de 1876 « de nombreux témoins ont déposé qu'à Pluméliau, à Cléguérec, à Moustoir-Ac, à Baud, à Séglien, à Locuon, à Naizin, à Noyal-Pontivy, et dans un grand nombre d'autres communes, les curés et les vicaires se tenaient, le jour du scrutin, à la porte des sections de vote, surveillaient les bulletins, déchiraient ceux de M. Cadoret, forçaient les électeurs à prendre ceux de M. de Mun, et les conduisaient voter »[13].

Le XXe siècle

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La Belle Époque

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L'école des filles au couvent avait vu le jour en 1874 grâce au marquis de Langle qui céda un terrain aux sœurs de Kermaria. En 1902, la loi sur les congrégations interdisant aux sœurs d'enseigner, elles sont contraintes de déménager. Le couvent est alors acheté par la municipalité pour y installer l'école publique des filles, en 1904.

Le plusieurs maires de la région, dont Coetmeur, maire de Naizin, réunis à Pontivy, signent un texte dans lequel ils refusent de surveiller si les prêtres de leur paroisse utilisent la langue française, et non la langue bretonne, lors des leçons de catéchisme et des instructions religieuses[14].

En 1909, le père Le Clainche de Naizin préside la grand-messe du avant de regagner définitivement sa mission du Tanganyika. À Naizin comme dans toute la Bretagne, une forte opposition se manifeste à l'application de la loi de séparation des Églises et de l'État. Le , plus de 300 paroissiens de Naizin attendent le receveur de Locminé qui a bien du mal à effectuer son inventaire des biens d'église. Les biens de la fabrique sont estimés à 15 310 francs[15].

L'ancien presbytère avait été construit en 1895, sous le ministère du recteur Le Moing. Le frère Théodule Guével de Plouharnel, alors directeur des Saints-Anges de Pontivy en réalise les plans, pour un coût total de 15 975 francs. À la suite de la séparation des biens de l'Église et de l'état, la commune en devient alors propriétaire. En 1908, après négociations le loyer était fixé à 125 francs par mois.

La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Naizin porte les noms de 126 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 6 (Mathurin Audrain, Auguste Glais, Jean Le Gallo, Joseph Le Pioufle, Joachim Pasco et Louis Robic) sont morts le même jour dès le en Belgique, soit à Rossignol, soit à Maissin ; 3 autres (Alexis Maugan, Auguste Cadic et Mathurin Guillemin) sont aussi morts en Belgique, mais à d'autres dates ; 2 (François Le Bigot et Louis Le Dévédec) sont morts en Grèce dans le cadre de l'expédition de Salonique ; 3 (Jean Le Flohy, Louis Joanno et Jean Even) sont morts en captivité en Allemagne ; les autres sont morts sur le sol français[16].

L'Entre-deux-guerres

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Le monument aux morts est inauguré en 1923.

Le monument aux morts de Naizin

En 1920, le recteur Pédronno crée une association sportive, L'Avant Garde avec une fanfare et une équipe de football qui fonctionne jusqu'en 1986[17]. Des missions sont prêchées, en 1924, 1934, 1949, 1954 et 1971[17].

Naizin pendant l'Entre-deux-guerres

Un nouveau couvent voit le jour en 1930 grâce à l'impulsion de Françoise le Métayer qui quête avec d'autres paroissiennes dans toute la commune. La nouvelle école ouvre ses portes le avec 65 élèves.

L'école des garçons « École Saint-Joseph » fut construite en 1890 grâce au don de monsieur de Cuy. On note 54 élèves en 1899, 81 en 1902 et 72 en 1906, 75 en 1940, 133 en 1944 pour descendre à 51 en 1966. Les frères abandonnent l'enseignement aux vicaires jusqu'à la mixité en 1966. L'école continue à recevoir des élèves jusqu'en 1983, elle ferme définitivement, puis est démolie en 1998.

En 1936, le vieux presbytère datant du XVIIIe siècle s'écroule. De nombreuses solutions étudiées par la municipalité pour réhabiliter cette demeure, ont toutefois conduit à sa démolition[18].

La Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts : liste des morts de la Seconde Guerre mondiale.

Le monument aux morts de Naizin porte les noms de 9 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles Henri Nicol, un marin tué lors de l'attaque anglaise de Mers-el-Kébir le  ; Auguste Cadic est mort en Belgique le  ; Alphonse Audo, Joseph Gainche et André Rouillé, trois résistants FFI fusillés à la Citadelle de Port-Louis en juin 1944 ; Henri de Langle, résistant membre du Réseau Johnny, mort en déportation le au camp disciplinaire de Dieburg-Rodgau (Allemagne), chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1914-1918, Médaille de la Résistance, Medal of Freedom[16].

L'après Seconde Guerre mondiale

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Le XXIe siècle

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Le , la commune fusionne avec les communes de Moustoir-Remungol et Remungol au sein de la nouvelle commune d'Évellys[19].

Politique et administration

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En 2010, la commune est récompensée par le label « Ville Internet @@[20] ».

Liste des maires

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La Mairie
Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
2 mars 1790 novembre 1791 François Le Bouvier   Laboureur
novembre 1791 7 mai 1796 Yves Le Roy   Laboureur
Les données manquantes sont à compléter.
9 mars 1797   Guillaume Eonet[22]   Laboureur et buraliste. Officier public.
Les données manquantes sont à compléter.
6 juin 1800 22 septembre 1802 Pierre Le Maguet    
29 octobre 1802 14 avril 1803 Guillaume Eonet   Déjà officier public en 1797.
23 septembre 1803 1815 Guillaume Le Dimna[23]   Cultivateur.
9 septembre 1815 février 1826 Guillaume Audrin[Note 5]   Cultivateur.
23 février 1826 29 décembre 1840 Pierre Coëtmeur[Note 6]   Cultivateur. Propriétaire.
29 décembre 1840 11 septembre 1844 Guillaume Eonet   Déjà officier public en 1797, ainsi qu'en 1802-1803.
11 septembre 1844 8 septembre 1845 Cosme Le Maguet[Note 7]    
8 septembre 1845 30 juillet 1848 Vincent Le Gouge[Note 8]   Cultivateur au Cosquer en Naizin.
2 août 1848 17 mai 1849 Joseph Le Gouge[Note 9]   Fils de Vincent Le Gouge, maire précédent.
17 mai 1849 octobre 1852 Guillaume Raulin[Note 10]   Cultivateur à Pembual.
27 octobre 1852 septembre 1861 Guillaume Le Gouge[Note 11]   Propriétaire au Cosquer en Naizin. Fils de Vincent Le Gouge, maireentre 1845 et 1848.
16 septembre 1861 septembre 1871 Jacques Heno[Note 12]   Cultivateur.
10 décembre 1871 8 octobre 1876 Guillaume Le Gouge   Déjà maire entre 1852 et 1861.
8 octobre 1876 21 janvier 1878 Jean-Joachim Heno[Note 13]   Cultivateur.
21 janvier 1878 28 juin 1884 Guillaume Le Gouge   Déjà maire entre 1852 et 1861 et entre 1871 et 1876.
14 décembre 1884 20 mai 1888 Pierre Le Fellic[Note 14]   Cultivateur au Crano.
20 mai 1888 20 mai 1900 Mathurin Le Bohec[Note 15]   Cultivateur à Kerguzangor.
20 mai 1900 3 février 1947 Jean Coëtmeur[Note 16]   Conseiller général du canton de Locminé entre 1913 et 1919. Chevalier de la Légion d'honneur.
23 février 1947 20 novembre 1950 François Bellec[Note 17]   Laboureur.
17 décembre 1950 20 mars 1983 Pascal Bellec[Note 18]   Entrepreneur. Fils de François Bellec, maire précédent.
20 mars 1983 31 décembre 2015 Gérard Corrignan    

La création de la commune nouvelle d'Évellys entraîne la création d'une commune déléguée gérée par un maire délégué  :

Liste des maires délégués
Période Identité Étiquette Qualité
1er janvier 2016 5 janvier 2016 Gérard Corrignan
par dérogation[24]
-  
5 janvier 2016 En cours Philippe Corbel[25] -  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27],[Note 19].

En 2013, la commune comptait 1 790 habitants, en évolution de +6,8 % par rapport à 2008 (Morbihan : +3,47 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9071 7541 8601 9312 0202 0952 0032 1392 110
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0672 1092 0801 9892 0452 1432 2032 2682 321
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 4592 6012 6212 5112 2802 2922 2302 2382 087
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2013
2 0261 8871 7341 6351 5121 5241 6441 7331 790
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culte catholique : la paroisse et les prêtres de Naizin

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Le territoire de la commune correspond à une ancienne paroisse. Dans son ouvrage Naizin au cours des siècles, Charles Floquet publie la liste des recteurs de la paroisse[29] :

  • vers 1453, Yves Gludic, originaire du Léon,âge de 64 ans ;
  • vers 1456-1470, Gilles Le Goeff ;
  • 1470-1488, Guillaume de Cléguennec ;
  • 1488-1504, Noël Le Roy ;
  • 1504-avant 1526, Alain Le Bourbon ;
  • avant 1526-avant 1545, Gilles du Fresne ;
  • 1545-1550 , Alain du Bouyer, de Moréac ;
  • 1550-avant 1578, Vincent de Kerveno ;
  • 1578-1579, Jean Pringué, de la famille des seigneurs de Penturban en Naizin ;
  • 1579-1583, Louis Trifen ;
  • 1583-1586, François Le Poitevin ;
  • 1589-1601, Pierre Maugain, de Noyal-Pontivy, ancien recteur de Séglien ;
  • 1601-1631, Guillaume de Querbic, de Moustoir-Remungol. En 1622, il commence la rédaction d'un registre des baptêmes ;
  • 1631-1638, Guillaume Cabelguen, de Moréac ;
  • 1638-1639, Alain Le Tutour, de Guénin ;
  • 1639-1641, François Le Pré, de Locminé ;
  • 1642-1652, Amaury Alliot, de Noyal-Pontivy ;
  • 1652-1670, Étienne Bunel ;
  • 1671-1673, François Quéro ;
  • 1674-1683, François Gaultier, de Crach ;
  • 1683-1708, Laurent Helleco ;
  • 1708-1736, François Pringué, de Josselin ;
  • 1737-1768, Colomban Hyacinthe Le Bigot ;
  • 1769-1780, Louis Le Bihan, de Remungol ;
  • 1780-1791 , Charles Le Franc, de Guern (1) ;
  • 1791-1792, J. Guillouzic, « recteur constitutionnel » (1) ;
  • janvier-mai 1792, Charles Le Franc (2) ;
  • 1792-1794, J. Guillouzic (2) ; les églises sont fermés jusqu'en 1795, Guillouzic est incarcéré d'avril à septembre 1794 ;
  • 1795, J. Guillouzic (3) ;
  • juin-décembre 1795 , Charles Le Franc (3). Après cette date, Charles Le Franc, prêtre réfractaire, célèbre des messes clandestines.

pis la liste depuis la Révolution :

  • 1802-1817, le père Tanguy de Réguiny, premier recteur nommé après la Révolution. Il meurt au presbytère en 1817.
  • 1817-1821, le père Guillouzo, il avait pour vicaire Olivier Coetmeur. Il est nommé recteur de Stival en 1820.
  • 1821-1857, Joseph Danigo de Plouhinec, les abbés Boursicault, Cadoret, Malenne, Mahé, Le port et Philippe ont été ses vicaires, il est resté 37 ans à la tête de la paroisse, on lui doit la reconstruction de l'église actuelle. Fatigué, il démissionna en 1857, mais il resta à Naizin où il mourut cinq ans plus tard.
  • 1857-1868, Georges Le Rozo est né à l'Île-aux-Moines le . Il fut ordonné prêtre le . Il fut vicaire à Pluneret en 1839, recteur à l'Île d'Arz en 1855, recteur de Naizin de 1857 à 1868. Ses vicaires étaient les abbés, Cohéléach et Philippe. Il meurt à Naizin le et est inhumé dans le cimetière entourant l'église. Il assura les finitions des travaux de reconstruction de l'église. Ce recteur est désormais célèbre à Naizin car il fit reparler de lui en 2004, avec sa pierre tombale[30].
  • 1868-1881, Joseph Marie Jubin de Neuillac, il avait pour vicaires les abbés, Philippe, Mitouard, Alléhaux, Le Guen, Jobet, Stéphan, Le Port et Monnier.Il fit construire le couvent de sœurs de Kermaria. Il meurt à Naizin en 1881 à l'âge de 62 ans.
  • 1881-1887, Jean Marie Le Beller, il avait pour vicaires les abbés, Monnier et Le Roux. On lui doit la reconstruction de la chapelle de sainte Brigitte.
  • 1887-1897, Joseph Le Moing de Kerfourn, ses vicaires étaient les abbés, Monnier et Le Roux. C'est lui qui ajouta les tribunes au fond de l'église. Il meurt en 1897 au presbytère à l'âge de 67 ans.
  • 1897-1923, Jean Marie Pédronno de Bignan, ses vicaires étaient les abbés, Monnier, Le Douarin, Le Duigou, Dréan, Rivalain, Larboulet, Le Bourlot, Le Roch, Le Gal, Le Liboux et Carrer. Il meurt à Naizin en 1924 à l'âge de 75 ans.
  • 1923-1935, Laurent Breurec de Riantec, il avait pour vicaire l'abbé Carrer. Malade, il démissionne et meurt à Grand-Champ en 1935.
  • 1935-1940, Joseph Guézel de Carnac, il avait pour vicaires, les abbés Carrer et Le Deault.
  • 1940-1941, Eugène Le Gallo de Ploërdut il meurt subitement en 1941 à l'âge de 60 ans.
  • 1941-1946, Julien Loisel de Plaudren, il meurt après la guerre au presbytère en 1946, à l'âge de 50 ans, son vicaire était l'abbé Thébault
  • 1946-1973, Clément Quistrebert de Plaudren, il allait avoir pour vicaires : Eugène Perron, Joseph Lorho, Jean Le gal, Louis Videlo, Guillo, Paul Guillemot et Pierre Questel. Le père Quistrebert est mort en 1994 à Saint-Joachim à l'âge de 94 ans.
  • 1973-1995, Pierre Le Lannic de Noyal-Pontivy. Il a été remplacé par le père Lecuyer pendant sa convalescence en 1994.
  • Depuis 1995, Joseph Hémon est le recteur, nous lui devons la restauration de nombreux sites religieux de la paroisse, ainsi que l'embellissement et la rénovation permanente de l'église Saint-Sauveur.

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Étang et base de Loisirs de Coetdan [31],
  • Église Saint-Cosme-et-Saint-Damien (XIXe siècle) de style néo-roman (église totalement reconstruite en 1855, en forme de croix latine).
  • Chapelle Saint-André de Luzunin[32], Sainte-Brigitte et Saint-Nicolas de Kerdréan[33]
  • Il y a de nombreuses croix et calvaires[33] et des fontaines[33].
    • Croix de Kernicolas (1671)
    • Croix de Kerdec (1753)
    • Croix de Coëtdan (1815)
    • Croix de Pembual (1892)
  • Château de Kerdréan (manoir du XVIe siècle et château du XIXe siècle).
  • Manoir de Kerguzangor.
  • Résidence de Ty-Hubert (Demeure du XXe siècle).

Clubs et associations sportives

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D’un point de vue sportif, le football est le sport dominant à Naizin, son club, le Football-Club Naizinois est né le 10 mai 1986 de la fusion de l'Amicale laïque et de l'Avant-Garde, clubs rivaux à cette époque. Les couleurs respectives de ces deux anciens clubs étants le rouge et le noir pour l’Amicale laïque et le jaune et le noir pour l’Avant-Garde ont ainsi donné, à la suite d'un mélange, la couleur orange si caractéristique des Naizinois avec une pointe de noir. L’histoire du FCN a connu depuis des hauts et des bas, notamment entre 2010 et 2013 (descente de l'équipe A en D2, puis D3). Mais, en 2015, l’équipe première accédait enfin, pour la première fois de son histoire, en Régional 3, palier qu’elle maintiendra 7 saisons de suite entre 2015 et 2022 avant la montée inattendue des oranges et noirs en Régional 2 à la suite de la saison 2021-2022.

Héraldique

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Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Louis de Langle, né le à Rennes, mort le , compte de Beaumont, marquis de Brie.
  2. Personnes en âge de communier.
  3. Selon Jean-Marie Le Mené, il n'y en avait que trois (Saint-André, Sainte-Brigitte et celle du château de Kerdréan), sauf à compter en plus les deux chapelles latérales de l'église paroissiale, celles du Saint-Sauveur et de la Couronne, démolies en 1756.
  4. Fidèle Marie de Langle, marquis, né le à Rennes, mort le à La Couyère (Ille-et-Vilaine), commune dont il était le maire. Le château de Kerdréan, en Naizin, appartenait à la famille de Langle.
  5. Guillaume Audrin, né le à Naizin, mort le à Naizin.
  6. Pierre Coëtmeur, né le au Resto en Naizin, mort le au bourg de Naizin.
  7. Cosme Le Maguet, né le à Naizin, mort le à Loqueltas Saint Gildas en Cléguérec.
  8. Vincent Le Gouge, né le à Naizin, mort le à Naizin.
  9. Joseph Le Gouge, né le au Cosquer en Naizin, mort après le .
  10. Guillaume Raulin, né le 16 thermidor an X () à Réguiny, mort le à Naizin.
  11. Guillaume Le Gouge, né le à Naizin, mort le à Naizin.
  12. Jacques Heno, né le à Naizin, mort le à Naizin.
  13. Jean-Joachim Héno, né le à Keriel en Naizin, mort le à Naizin.
  14. Pierre Le Fellic, né le à Pluméliau, mort le à Naizin.
  15. Mathurin Le Bohec, né le à Naizin, mort le à Naizin.
  16. Jean Coëtmeur, né le à Coëtmeur en Réguiny, mort le à Naizin.
  17. François Bellec, né le à Naizin, mort le à Naizin.
  18. Pascal Bellec, né le à Naizin, mort le à Naizin.
  19. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

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  1. Dans les archives de l'abbaye de Lanvaux.
  2. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, p.11
  4. a et b Joseph-Marie Le Mené, Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocèse de Vannes, Vannes, Imp. de Galles, .
  5. a et b Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, p.15
  6. Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence,‎ , p. 257-258 (lire en ligne, consulté le ).
  7. « La paroisse de Naizin », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
  8. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 3, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), pages 3 et 4.
  9. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, pp.86-87
  10. « On écrit de Pontivy le 8 mai », Le Courrier du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. « On écrit de Ploërmel à l'Auxiliaire breton », Niederrheinischer Kurier,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. a et b A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), page 81.
  13. Auguste Vacquerie, « L'enquête sur l'élection de Mun », Journal Le Rappel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. « La langue bretonne dans le Morbihan », Journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest,‎ , page 2 (lire en ligne, consulté le ).
  15. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, pp.88-90
  16. a et b « Monument aux Morts [Naizin] (Relevé n° 34479) », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
  17. a et b Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, p.90
  18. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, pp.126-127
  19. Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle d’Évellys, [lire en ligne].
  20. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
  21. Source : mairie de Naizin
  22. Guillaume Eonet, né le à Naizin, mort le à Locminé.
  23. Guillaume Le Dimna, né le à Crédin, mort le à Naizin.
  24. « Arrêté portant création de la commune nouvelle d’Évellys », sur Préfecture du Morbihan, (consulté le )
  25. « Gérard Corrignan élu maire de la commune nouvelle Évellys », sur Ouest-France, (consulté le )
  26. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  29. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, 191pp.
  30. L'histoire de la pierre tombale du recteur Le Rozo mérite que l'on s'y attarde un peu. Le 16 avril 2004 M. le recteur Hémon recevait un coup de fil de Georges Sauzereau, charcutier à Locminé. Alors qu'il entreprenait des travaux dans son laboratoire, il découvrit la pierre tombale qui lui servait jusqu'alors de table de travail pour sa charcuterie. Le lendemain accompagné de Joachim Audo, Edouard Guillard et Armel Le Clainche, le recteur récupéra la pierre tombale du Père Le Rozo. Après un nettoyage et une dorure, la pierre a été fixée sur le mur sud de l'église, elle témoignera pour la postérité de la présence d'un ancien cimetière autour de l'église. Lors de la démolition du cimetière en 1923, il est vraisemblable que l'entreprise chargée des travaux, récupéra les plus belles pierres pour les monnayer. C'est fortement regrettable, mais cela préserva la pierre.
  31. Article dans le télégramme base de coetdan alicia accueille les estivants sur http://www.letelegramme.fr, consulté le 12/08/2014
  32. Chapelle de Luzunin
  33. a b c et d Paroisse de Naizin
  34. communiques-de-presse sur http://www.eglise.catholique.fr, consulté le 12/08/2014

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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