[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

My Sweet Lord

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
My Sweet Lord

Single de George Harrison
extrait de l'album All Things Must Pass
Face A Isn't It a Pity
(double face A)
Face B What Is Life
Sortie 23 novembre 1970
15 janvier 1971
Durée 4:39
Genre rock
Format 45 tours
Auteur George Harrison
Producteur George Harrison, Phil Spector
Label Apple
Classement 1er (États-Unis, Royaume-Uni, France, etc.)

Singles de George Harrison

Pistes de All Things Must Pass

My Sweet Lord est une chanson écrite et composée par George Harrison qui est parue en 1970 sur son triple album All Things Must Pass. Sortie en single la même année aux États-Unis et l'année suivante au Royaume-Uni, elle se classe en tête des ventes dans les deux pays pendant respectivement quatre et cinq semaines, ainsi que dans de nombreux autres pays. Elle retrouve le sommet des hit-parades en 2002, après la mort de George Harrison, se classant à nouveau no 1 au Royaume-Uni.

Dans les années 1970, My Sweet Lord est au centre d'un procès très médiatisé pour violation de droits d'auteur en raison de similitudes avec la chanson de Ronnie Mack (en) He's So Fine, un succès de 1963 pour le groupe féminin new-yorkais The Chiffons. Harrison s'en défend, affirmant s'être inspiré de l'hymne chrétien Oh Happy Day pour la mélodie, mais la justice américaine détermine en 1976 qu'il a inconsciemment plagié la chanson des Chiffons, un verdict qui a des répercussions dans toute l'industrie de la musique.

Harrison interprète My Sweet Lord lors de la plupart de ses rares performances scéniques et notamment au Concert for Bangladesh en août 1971. Elle reste la composition la plus populaire de sa carrière post-Beatles. Il l'a retravaillé sous le nom de My Sweet Lord (2000) pour l'inclure en tant que morceau bonus sur la réédition du trentième anniversaire de l'album All Things Must Pass.

De nombreux artistes ont repris la chanson, dont Andy Williams, Peggy Lee, Edwin Starr, Johnny Mathis, Nina Simone, Julio Iglesias, Richie Havens, Megadeth, Boy George, Elton John, Jim James, Bonnie Bramlett et Elliott Smith. My Sweet Lord a été classé 454e sur la liste du magazine Rolling Stone des « 500 plus grandes chansons de tous les temps » en 2004 et numéro 270 sur une liste similaire publiée par le New Muscial Express en 2014. La même année, My Sweet Lord a été intronisé dans le Grammy Hall of Fame.

Le chanteur et organiste américain Billy Preston a interprété My Sweet Lord sur son huitième album Encouraging Words coproduit par George Harrison et Preston et sorti en 1970. George a prêté deux de ses chansons a Billy avant de les enregistrer lui-même pour son troisième album solo All Things Must Pass soit My Sweet Lord et la chanson-titre. Billy a aussi interprété My Sweet Lord lors du Concert for George le 29 novembre 2002 au Royal Albert Hall de Londres et dans lequel on retrouvait aussi Paul McCartney, Ringo Starr, Ravi Shankar, Tom Petty et les Monty Python.

George Harrison commence à écrire My Sweet Lord en , alors qu'il se trouve à Copenhague avec Billy Preston et Eric Clapton[1],[2]. Tous trois participent en tant qu'invités à la tournée européenne du duo américain de blues rock Delaney & Bonnie[3],[4]. Copenhague est la dernière étape de la tournée de Delaney & Bonnie, qui s'achève sur trois concerts au Falkoner Centret (da) du au [5].

Ce n'est pas son premier morceau influencé par le gospel : il a déjà écrit Hear Me Lord (en) et, avec Preston, Sing One for the Lord (en)[6]. Il a également produit deux singles d'inspiration religieuse pour Apple Records, le label des Beatles : That's the Way God Planned It (en) de Preston et Hare Krishna Mantra du Radha Krishna Temple (en)[3],[7]. Son objectif est à présent de fusionner les messages du christianisme et du vishnouisme[8],[2]. Inspiré par la reprise de Oh Happy Day des Edwin Hawkins Singers, il développe un morceau dans lequel alternent les « alléluia » et les « Hare Krishna (en)[9],[1],[10] ». Il finit de l'écrire après son retour à Londres, avec l'aide de Preston[9].

Après avoir envisagé de l'offrir à Edwin Hawkins[11],[12], Harrison décide d'enregistrer My Sweet Lord avec Billy Preston[1], dont il produit le deuxième album pour Apple Records, Encouraging Words[13],[14]. Les séances prennent place aux studios Olympic de Londres en , avec les musiciens des Temptations en guise de groupe d'accompagnement et les Edwin Hawkins Singers, qui sont alors en tournée en Grande-Bretagne, aux chœurs[11],[8]. Cette version rencontre un succès modéré en Europe lorsqu'elle est éditée en 45 tours au mois de [15], mais l'album passe largement inaperçu[16]. Leur parution est retardée de plusieurs mois aux États-Unis ; le single My Sweet Lord se classe no 90 du Billboard Hot 100 à la fin de , mais c'est principalement grâce au succès foudroyant de la version de Harrison qui est sortie entre-temps[17].

Enregistrement

[modifier | modifier le code]
EMI Studios, Abbey Road

Après l'annonce de la séparation des Beatles, en , My Sweet Lord fait partie de la trentaine de chansons que Harrison enregistre pour son triple album solo All Things Must Pass[18]. Il hésite dans un premier temps à enregistrer un morceau au message religieux aussi explicite[19],[20]. Les séances prennent place aux studios EMI de Londres sous la houlette du producteur Phil Spector[21]. Elles débutent le et My Sweet Lord fait partie des chansons enregistrées ce jour-là, avec l'ingénieur du son Phil McDonald[22],[23].

La liste des musiciens ayant participé à l'enregistrement de My Sweet Lord n'est pas établie avec certitude. D'après Harrison, il implique « environ cinq » joueurs de guitare acoustique, deux batteurs (Ringo Starr et Jim Gordon), deux pianistes et un bassiste[11]. Dans leurs livres sur Harrison, Simon Leng et Bruce Spizer affirment que les autres musiciens sont Eric Clapton à la guitare, Billy Preston et Gary Wright au piano, Klaus Voormann à la basse, et les quatre membres du groupe Badfinger à la guitare acoustique et au tambourin[20],[24]. Cependant, on sait par ailleurs que la première chanson de All Things Must Pass à laquelle contribue Wright est Isn't It a Pity, dont l'enregistrement s'est déroulé le , après celui de My Sweet Lord[25]. D'autres musiciens ont déclaré avoir participé, comme le pianiste Gary Brooker[26] et le batteur Alan White, ce dernier affirmant que le bassiste était en fait Carl Radle, que Ringo Starr a seulement joué du tambourin et que John Lennon faisait partie des guitaristes[20],[11]. Le joueur d'harmonium est inconnu, mais Simon Leng estime qu'il s'agit probablement de John Barham (en)[24].

La prise 16 est sélectionnée pour recevoir des overdubs[23]. À partir de la fin juillet, Harrison et Peter Frampton ajoutent de nouvelles parties de guitare acoustique à plusieurs chansons de All Things Must Pass, dont My Sweet Lord[27],[28]. Harrison se charge lui-même de tous les chœurs du refrain, qu'il attribue par plaisanterie aux « George O'Hara-Smith Singers » sur la pochette de l'album[19],[29]. Les parties de guitare slide, également assurées par Harrison, et les arrangements orchestraux de John Barham sont ajoutés au cours des deux mois qui suivent. Ce travail s'effectue en partie aux studios Trident, dans le centre de Londres, avec l'ingénieur du son Ken Scott[11],[30].

Parution et accueil

[modifier | modifier le code]

Harrison ne souhaite pas qu'un single soit extrait de All Things Must Pass, mais Apple Records lui impose la parution en 45 tours de My Sweet Lord[31],[32]. Le disque est publié le aux États-Unis[33] sous la forme d'un double face A avec Isn't It a Pity[34]. Le single n'est édité au Royaume-Uni que le pour répondre à la demande du public, avec What Is Life en face B[35],[36].

My Sweet Lord rencontre immédiatement un grand succès dans le monde entier. Elle permet à Harrison de sortir de l'ombre du duo Lennon/McCartney pour devenir le premier des ex-Beatles à atteindre la première place des hit-parades[37]. Dans la mesure où il ne donne ni concerts, ni interviews, c'est uniquement grâce à la radio que sa chanson connaît le succès[12]. Le single est certifié disque d'or aux États-Unis le , ce qui représente un million d'exemplaires vendus[12],[38]. Elle se classe no 1 du Hot 100 quelques jours plus tard, le [39],[40]. Au Royaume-Uni, elle reste cinq semaines en tête des ventes en février- et constitue le single le plus vendu de l'année[41]. Elle est aussi no 1 des ventes en Allemagne, en Autriche et dans de nombreux autres pays. Elle retrouve le sommet du hit-parade britannique en , quelques semaines après la mort de Harrison. En France, c'est la seule chanson de tous les ex-Beatles qui se retrouvera numéro 1 au palmarès. Elle tiendra la tête pendant sept semaines durant les semaines du 16 janvier au 27 février[42].

Une partie du texte de la chanson reprend la plus grande partie des seize mots du maha-mantra de l'Association internationale pour la conscience de Krishna. Ayant été un pratiquant de l'hindouisme.

Devanagari Romanisation Romanisation en anglais
हरे कृष्ण हरे कृष्ण
कृष्ण कृष्ण हरे हरे
हरे राम हरे राम
राम राम हरे हरे
Hare Kṛṣṇa Hare Kṛṣṇa
Kṛṣṇa Kṛṣṇa Hare Hare
Hare Rāma Hare Rāma
Rāma Rāma Hare Hare
Hare Krishna, Hare Krishna
Krishna Krishna, Hare Hare
Hare Rama, Hare Rama
Rama Rama, Hare Hare

L'affaire judiciaire

[modifier | modifier le code]
Photographie du groupe The Chiffons

Le , l'entreprise Bright Tunes Music Corporation intente une action en justice contre Harrison et plusieurs organismes (parmi lesquels Harrisongs (en), Apple Records et BMI) pour atteinte au droit d'auteur en raison de la forte ressemblance entre My Sweet Lord et He's So Fine (en), une chanson du groupe américain The Chiffons écrite par Ronnie Mack (en) (1940-1963) qui a été no 1 des ventes aux États-Unis en 1963. Bright Tunes se trouve par ailleurs en conflit avec la mère de Mack au sujet de redevances impayées[43]. L'imprésario de Harrison, Allen Klein, propose à Bright Tunes de racheter tout leur catalogue, mais l'entreprise est placée en redressement judiciaire avant qu'un accord puisse être conclu.

L'affaire traîne pendant plusieurs années. En , Harrison, John Lennon et Ringo Starr décident de se séparer d'Allen Klein, ce qui donne lieu à une série de complications judiciaires supplémentaires pour les trois ex-Beatles[44]. Harrison fait une offre à Bright Music qui comprend 40 % des redevances dues pour My Sweet Lord aux États-Unis, tout en conservant pour lui le droit d'auteur sur cette chanson. Les avocats de Bright Music jugent favorablement cette offre, qui est pourtant refusée par l'entreprise[45]. Il s'avère que Klein a poursuivi en secret les négociations pour le rachat de Bright Music pour son propre compte et qu'il leur a fourni des informations d'ordre privé concernant les ventes de My Sweet Lord[46].

L'affaire Bright Tunes Music v. Harrisongs Music est entendue par la cour de district des États-Unis le [46]. Elle est présidée par Richard Owen (en), un juge passionné de musique classique et auteur de plusieurs opéras[47]. Harrison se rend à New York avec sa guitare pour assister au procès et les deux parties font appel à des experts en musicologie pour défendre leur point de vue[48]. Le tribunal estime que Harrison s'est rendu coupable de « plagiat subconscient », puisqu'il avait entendu He's So Fine avant de composer My Sweet Lord[49]. Owen évalue les dommages qu'il doit verser à Bright Tunes à près de 1,6 million de dollars[50], soit les trois quarts des redevances nord-américaines de My Sweet Lord et une proportion importante de celles de l'album All Things Must Pass et de la compilation The Best of George Harrison, sortie fin 1976.

La lenteur de la décision concernant les dommages joue en faveur de Harrison. Allen Klein finit en effet par racheter les droits sur He's So Fine à travers son entreprise ABKCO Industries en 1978, ce qui lui permet de négocier la vente de ces droits à Harrison. Sa duplicité dans cette affaire incite la justice américaine à rendre une décision le selon laquelle Harrison ne doit verser à ABKCO que 587 000 dollars, soit le prix auquel Klein a racheté les droits[50]. Harrison devient également propriétaire de ces droits. Les derniers détails ne sont réglés qu'en , au terme d'une des plus longues affaires judiciaires de l'histoire des États-Unis[34].

Harrison est très touché par cette affaire ; la crainte de commettre un autre plagiat involontaire lui entraîne un syndrome de la page blanche pendant quelque temps[51]. Elle lui inspire un morceau aux paroles sardoniques, This Song, sorti en 1976 sur son album Thirty Three and 1/3[52].

Rééditions et autres versions

[modifier | modifier le code]

Depuis sa parution originale sur All Things Must Pass, My Sweet Lord a été reprise sur deux compilations officielles de Harrison, The Best of George Harrison (1976) et Let It Roll: Songs by George Harrison (2009). EMI réédite le single britannique pour Noël 1976 pour profiter de la publicité engendrée par l'affaire judiciaire en cours autour de la chanson.

Le , Harrison participe à l'émission de télévision humoristique Rutland Weekend Television (en), présentée par Eric Idle et diffusée sur la chaîne BBC2[53]. Le chanteur, déguisé en pirate avec un perroquet sur l'épaule, n'arrête pas d'interrompre l'épisode pour exprimer son désir de jouer le rôle de « Bob le Pirate », mais il est systématiquement rabroué par le personnage de Neil Innes, qui lui dit que le seul rôle qu'il peut jouer est celui de George Harrison[53],[54]. À la fin de l'épisode, il apparaît dans ses habits normaux avec les musiciens de l'émission et commence à jouer l'introduction de My Sweet Lord à la guitare acoustique, mais sa performance se transforme rapidement en chant de marins, pour la plus grande horreur du personnage d'Idle[54]. Cette chanson, The Pirate Song, n'est disponible que sur des bootlegs[55].

L'édition remasterisée de All Things Must Pass sortie en 2001 inclut en titre bonus une version réenregistrée de My Sweet Lord en duo avec la chanteuse Sam Brown[56]. Le fils de George Harrison, Dhani, y joue de la guitare acoustique et Ray Cooper du tambourin[57]. Cette version, intitulée My Sweet Lord (2000), est reprise sur un single sorti en , après la mort du chanteur, qui inclut aussi la version originale de la chanson et une démo acoustique de Let It Down (en). Les bénéfices des ventes de ce single sont reversés à la Material World Charitable Foundation fondée par Harrison en 1973 et à la Self-Realization Fellowship (en)[58].

Une démo enregistrée le aux studios EMI a été publiée en sur le CD accompagnant l'édition de luxe du DVD du documentaire George Harrison: Living in the Material World. Le chanteur y est seulement accompagné par Klaus Voormann et Ringo Starr. Elle est reprise l'année suivante sur la compilation Early Takes: Volume 1.

Fiche technique

[modifier | modifier le code]

Toutes les chansons sont écrites et composées par George Harrison.

45 tours Apple 2995 (États-Unis, )
NoTitreDurée
1.My Sweet Lord4:39
2.Isn't It a Pity7:10
45 tours Apple R 5884 (Royaume-Uni, )
NoTitreDurée
1.My Sweet Lord4:39
2.What Is Life4:22

Équipe technique

[modifier | modifier le code]

Classements et certifications

[modifier | modifier le code]
Classement (1970-1971) Meilleure
position
Drapeau de l'Australie Australie (ARIA)[59] 1
Drapeau de l'Autriche Autriche[60] 1
Drapeau de la France France (SNEP)[61] 1
Drapeau de la Belgique Belgique (Belgian Singles Chart)[62] 1
Drapeau de l'Irlande Irlande[63] 1
Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas[64] 1
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande[63] 1
Drapeau de la Norvège Norvège[65] 1
Allemagne de l'Ouest Allemagne de l'Ouest (German Singles Chart)[66] 1
Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud (Springbok Radio)[67] 3
Drapeau du Japon Japon (Japanese Oricon Weekly Singles Chart)[68] 4
Drapeau de la Suisse Suisse[69] 1
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni (UK Singles Chart)[70] 1
Drapeau des États-Unis États-Unis (Billboard[71]) 1

My Sweet Lord a été enregistré par de nombreux artistes, dont  :

Utilisation dans la culture populaire

[modifier | modifier le code]

La chanson est utilisée dans le film américain Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2 (2017), et incluse dans sa bande-son.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b et c Clayson 2003, p. 280.
  2. a et b Leng 2006, p. 71.
  3. a et b Rolling Stone 2002, p. 180.
  4. Harris 2001, p. 70.
  5. Miles 2001, p. 362.
  6. Inglis 2010, p. 21, 31.
  7. Inglis 2010, p. 21.
  8. a et b Badman 2001, p. 203.
  9. a et b Huntley 2006, p. 130.
  10. Greene 2006, p. 181.
  11. a b c d et e Madinger et Easter 2000, p. 428.
  12. a b et c Spizer 2005, p. 211.
  13. Leng 2006, p. 70-71.
  14. Spizer 2005, p. 211, 340.
  15. Clayson 2003, p. 281.
  16. Schaffner 1978, p. 143.
  17. Castleman et Podrazik 1976, p. 90, 91, 95, 352.
  18. Madinger et Easter 2000, p. 427-434.
  19. a et b MacFarlane 2019, p. 79.
  20. a b c et d Spizer 2005, p. 212.
  21. Badman 2001, p. 10.
  22. MacFarlane 2019, p. 71-72.
  23. a b et c Fleming et Radford 2021, p. 18.
  24. a et b Leng 2006, p. 83.
  25. Fleming et Radford 2021, p. 20-21.
  26. a et b « The Concert for George Harrison : Gary Brooker writes about it. », sur procolharum.com (consulté le ).
  27. Fleming et Radford 2021, p. 37-38.
  28. Harry 2003, p. 180.
  29. Schaffner 1978, p. 142.
  30. MacFarlane 2019, p. 72, 76, 79.
  31. Badman 2001, p. 15.
  32. Rodriguez 2013, p. 62.
  33. Castleman et Podrazik 1976, p. 93.
  34. a et b Spizer 2005, p. 213.
  35. Badman 2001, p. 22.
  36. Spizer 2005, p. 211-231.
  37. Frontani 2009, p. 158.
  38. Castleman et Podrazik 1976, p. 332.
  39. Castleman et Podrazik 1976, p. 352, 362.
  40. Badman 2001, p. 21.
  41. Badman 2001, p. 59.
  42. « TOP Hebdo », sur top-france.fr (consulté le ).
  43. Clayson 2003, p. 353.
  44. Badman 2001, p. 94, 109.
  45. Huntley 2006, p. 131.
  46. a et b Huntley 2006, p. 132.
  47. Woffinden 1981, p. 102.
  48. Clayson 2003, p. 354.
  49. Badman 2001, p. 191.
  50. a et b Huntley 2006, p. 136.
  51. Clayson 2003, p. 355.
  52. Huntley 2006, p. 147.
  53. a et b Badman 2001, p. 172.
  54. a et b Leng 2006, p. 189.
  55. Madinger et Easter 2000, p. 453.
  56. Clayson 2003, p. 446, 457.
  57. Huntley 2006, p. 306-307.
  58. Harry 2003, p. 120.
  59. (en) Australian-charts.com – George Harrison – My Sweet Lord. ARIA Top 50 Singles. Hung Medien.
  60. (en) « George Harrison - My Sweet Lord - austriancharts.at », Ö3 Austria Top 40 (consulté le )
  61. Lescharts.com – George Harrison – My Sweet Lord. SNEP. Hung Medien.
  62. (en) « Song artist 223 - George Harrison - Tsort pages » (consulté le )
  63. a et b (en) « Song artist 223 - George Harrison »
  64. (en) « dutchcharts.nl - George Harrison - My Sweet Lord », MegaCharts (consulté le )
  65. (en) « norwegiancharts.com George Harrison - My Sweet Lord », VG-lista (consulté le )
  66. Günter Ehnert (ed.): Hit Bilanz. Deutsche Chart Singles 1956-1980. Hamburg: Taurus Press 1990, p. 93
  67. (en) « South African Rock Lists Website SA Charts 1969 – 1989 Acts (H) », sur Rock.co.za, John Samson (consulté le )
  68. (en) « George Harrison - Chart Archives on the Japanese Oricon Top 100 », Homepage1.nifty.com (consulté le )
  69. (en) « George Harrison - My Sweet Lord - hitparade.ch » (consulté le )
  70. (en) « GEORGE HARRISON »
  71. (en) « allmusic ((( All Things Must Pass > Charts & Awards > Billboard Singles ))) », allmusic.com (consulté le )

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • (en) Keith Badman, The Beatles Diary Volume 2 : After the Break-Up 1970–2001, Londres, Omnibus Press, (ISBN 0-7119-8307-0)).
  • (en) Harry Castleman et Walter Podrazik, All Together Now : The First Complete Beatles Discography 1961–1975, New York, Ballantine Books, (ISBN 0-345-25680-8).
  • (en) Alan Clayson, George Harrison, Londres, Sanctuary, (ISBN 1-86074-489-3).
  • (en) Don Fleming et Richard Radford, Archival Notes : The Making of All Things Must Pass, Los Angeles/Londres, Capitol Records/Calderstone Productions, .
  • (en) Michael Frontani, « The Solo Years », dans Kenneth Womack (éd.), The Cambridge Companion to the Beatles, Cambridge, Cambridge University Press, (ISBN 978-1-139-82806-2).
  • (en) Joshua Greene, Here Comes the Sun : The Spiritual and Musical Journey of George Harrison, Hoboken, John Wiley & Sons, (ISBN 978-0-470-12780-3).
  • John Harris, « A Quiet Storm », Mojo,‎ .
  • (en) Bill Harry, The George Harrison Encyclopedia, Londres, Virgin Books, (ISBN 978-0-7535-0822-0).
  • (en) Elliot Huntley, Mystical One : George Harrison – After the Break-up of the Beatles, Toronto, Guernica Editions, (ISBN 1-55071-197-0).
  • (en) Ian Inglis, The Words and Music of George Harrison, Santa Barbara, Praeger, (ISBN 978-0-313-37532-3).
  • (en) Simon Leng, While My Guitar Gently Weeps : The Music of George Harrison, Milwaukee, Hal Leonard, (ISBN 1-4234-0609-5).
  • (en) Thomas MacFarlane, The Music of George Harrison, Abingdon, Routledge, (ISBN 978-1-138-59910-9).
  • (en) Barry Miles, The Beatles Diary Volume 1 : The Beatles Years, Londres, Omnibus Press, (ISBN 0-7119-8308-9).
  • (en) Harrison, New York, Rolling Stone Press, (ISBN 1-4234-0609-5).
  • (en) Chip Madinger et Mark Easter, Eight Arms to Hold You : The Solo Beatles Compendium, Chesterfield, 44.1 Productions, (ISBN 0-615-11724-4).
  • (en) Robert Rodriguez, Solo in the 70s : John, Paul, George, Ringo 1970–1980, Downers Grove, Parading Press, (ISBN 978-0-9892555-0-9).
  • (en) Nicholas Schaffner, The Beatles Forever, New York, McGraw-Hill, (ISBN 0-07-055087-5).
  • (en) Bruce Spizer, The Beatles Solo on Apple Records, La Nouvelle-Orléans, 498 Productions, (ISBN 0-9662649-5-9).
  • (en) Bob Woffinden, The Beatles Apart, Londres, Proteus, (ISBN 0-906071-89-5).

Liens externes

[modifier | modifier le code]