Monts-de-Randon
Monts-de-Randon | |||||
La place de l'Église de Rieutort-de-Randon. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Lozère | ||||
Arrondissement | Mende | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Randon - Margeride (siège) |
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Maire Mandat |
Francis Saint-Léger 2020-2026 |
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Code postal | 48700 et 48000 | ||||
Code commune | 48127 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 236 hab. (2021) | ||||
Densité | 8,4 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 38′ 07″ nord, 3° 28′ 45″ est | ||||
Altitude | Min. 840 m Max. 1 553 m |
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Superficie | 147,38 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Mende (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Alban-sur-Limagnole | ||||
Législatives | Circonscription de la Lozère | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | montsderandon.fr | ||||
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Monts-de-Randon est une commune française située dans le département de la Lozère, en région Occitanie.
De statut administratif commune nouvelle, elle est née de la fusion le des communes d'Estables, Rieutort-de-Randon (chef-lieu), Saint-Amans, Servières et La Villedieu.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Saint-Denis-en-Margeride, La Panouse, Saint-Sauveur-de-Ginestoux, Arzenc-de-Randon, Le Born, Chastel-Nouvel, Mende, Barjac, Gabrias, Saint-Gal, Les Laubies et Lachamp-Ribennes.
Principaux hameaux en dehors des communes fusionnées
[modifier | modifier le code]La Bastide, Le Bouchet, Coulagnes Basses, L'Espinas, Les Fangettes, Froidviala, La Lichère, Limousis, Malassagne, La Salassette, La Veissière, Vitrolles.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Elle est parcourue au sud par la Colagne, sortie du lac de Charpal, renforcée par la Tartaronne, et au nord, par la Truyère, qui y prend naissance.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 941 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 5,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 911,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −4,4 | −5 | −2,1 | 0,7 | 3,4 | 7,7 | 10,1 | 10 | 7 | 3,7 | 0 | −2,8 | 2,4 |
Température moyenne (°C) | −2 | −2,3 | 1,1 | 4,7 | 7,5 | 12,1 | 14,8 | 14,7 | 11 | 6,9 | 2,4 | −0,2 | 5,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 0,4 | 0,4 | 4,3 | 8,6 | 11,6 | 16,5 | 19,5 | 19,4 | 15 | 10,1 | 4,8 | 2,3 | 9,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−15,4 18.01.13 |
−20,8 04.02.12 |
−15 09.03.10 |
−9,7 07.04.21 |
−6,4 05.05.19 |
−0,7 01.06.11 |
2,2 15.07.16 |
2,2 26.08.18 |
−2,3 27.09.20 |
−9,8 28.10.12 |
−11,4 27.11.10 |
−16 26.12.10 |
−20,8 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,6 01.01.22 |
16,8 26.02.19 |
17,6 15.03.12 |
21,1 09.04.11 |
24,4 11.05.12 |
31,2 27.06.19 |
29,7 07.07.15 |
29,9 07.08.20 |
25,4 16.09.19 |
20,5 03.10.11 |
17,5 10.11.15 |
16 10.12.16 |
31,2 2019 |
Précipitations (mm) | 63,6 | 53,4 | 55,5 | 78,7 | 101,1 | 81,1 | 70,7 | 65,7 | 66,4 | 92,1 | 116,4 | 66,5 | 911,2 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Monts-de-Randon est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mende, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Monts-de-Randon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[10]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[11].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Truyère, le Chapeauroux, la Colagne, l'Ance, le Bouisset, la Ginèze et le ruisseau du Coulagnet. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994 et 2003[12],[10].
Monts-de-Randon est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[13]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[13],[14].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 933 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 24 sont en aléa moyen ou fort, soit 3 %, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 1].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].
La commune est en outre située en aval du barrage du Charpal, un ouvrage de classe B[Note 3]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[19].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Monts-de-Randon est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Elle tire son nom de la baronnie de Randon qui était l'une des huit baronnies du Gévaudan et dont le siège initial se trouvait au puech David, sur la commune d'Estables.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le , un arrêté préfectoral porte création de la commune au [21]. Le chef-lieu est situé à Rieutort-de-Randon.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Communes déléguées
[modifier | modifier le code]Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Rieutort-de-Randon (siège) |
48127 | CC Randon - Margeride | 62,34 | 775 (2016) | 12 |
Estables | 48057 | CC Randon - Margeride | 32,89 | 165 (2016) | 5 |
Saint-Amans | 48133 | CC Randon - Margeride | 9,98 | 151 (2016) | 15 |
Servières | 48189 | CC Randon - Margeride | 19,38 | 184 (2016) | 9,5 |
La Villedieu | 48197 | CC Randon - Margeride | 22,79 | 32 (2016) | 1,4 |
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]À la suite du décret du , la commune est entièrement rattachée au canton de Saint-Alban-sur-Limagnole[24].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 2016. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2016[26].
En 2021, la commune comptait 1 236 habitants[Note 4].
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est plus jeune que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,0 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (29,7 %) et le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (31,6 %) est inférieur au taux départemental (32,5 %).
En 2018, la commune comptait 652 hommes pour 641 femmes, soit un taux de 50,43 % d'hommes, supérieur au taux départemental (49,96 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Vie associative
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église de Chauvets.
- Château de Combettes.
- Vestiges de l'ancien château de Randon.
- Église Saint-Hilaire d'Estables.
- Col du Cheval Mort (1 454 m).
- Église Saint-Julien de Rieutort-de-Randon ;
- Chapelle Saint-Ferréol de Rieutort-de-Randon ;
- Truc de Fortunio.
- Église Saint-Amans de Saint-Amans.
- Château de la Grange.
- Église Saints-Pierre-et-Paul de Servières.
- Col des Trois Sœurs à 1 452 m.
- Église Saint-Robert de La Villedieu.
-
Le clocher-mur de l'Église Saint-Julien de Rieutort-de-Randon.
-
Le clocher de l'Église Saint-Hilaire d'Estables.
-
Église Saints-Pierre-et-Paul de Servières.
-
La chapelle Saint-Ferréol.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]Autres sites
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Estables » (commune de Monts-de-Randon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Estables » (commune de Monts-de-Randon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mende », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Monts-de-Randon », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur lozere.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Monts-de-Randon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Christine Wils-Morel, « Recueil des actes administratifs du mois de novembre 2018 – partie 2 (jusqu’au 30) du 3 décembre 2018 : Arrêté n° 2018-332-0001 PREF-BICCL du 28 novembre 2018 portant création de la commune nouvelle de Monts-de-Randon » [PDF], .
- Élection du maire pour la commune nouvelle, sur midilibre.fr
- « Francis Saint-Léger, maire de Monts-de-Randon : "Je n’ai aucune ambition personnelle". », sur Midi Libre, (consulté le ).
- Décret n° 2020-206 du 5 mars 2020, modifiant le décret n° 2014-245 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Lozère.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Lozère (48) », (consulté le ).