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Meilleray

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Meilleray
Meilleray
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Morin
Maire
Mandat
Jean-Pierre Bertin
2020-2026
Code postal 77320
Code commune 77287
Démographie
Gentilé Meillerassiens
Population
municipale
502 hab. (2021 en évolution de −0,79 % par rapport à 2015)
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 25″ nord, 3° 25′ 34″ est
Altitude Min. 126 m
Max. 184 m
Superficie 7,77 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Meilleray
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Meilleray
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Meilleray

Meilleray est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

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Localisation

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Le village est situé en limite est du département à 9 km à l'est de La Ferté-Gaucher.

Localisation de la commune de Meilleray dans le département de Seine-et-Marne.

Communes limitrophes

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Carte des communes limitrophes de Meilleray.

Géologie et relief

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La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Meilleray.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de neuf cours d'eau référencés :

  • la rivière le Grand Morin, longue de 118,16 km[2], affluent en rive gauche de la Marne ;
    • le ru du Val, 6,83 km[3], affluent du Grand Morin ;
      • le ru du Mouton[Note 1], 0,62 km[4], et ;
      • le ravin des Brosses, 1,21 km[5], et ;
      • le ravin des Prés, 1,44 km[6], et ;
      • le fossé 01 de la Commune de Meilleray, 1,74 km[7], et ;
      • le ru des Trois Pierres, 1,88 km[8], et ;
      • le ru Yonnet, 2,08 km[9], et ;
      • le ru de la Garenne, 2,24 km[10], affluents du ru du Val ;

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 11,76 km[11].

Gestion des cours d'eau

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Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12].

La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[14].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 752 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Esternay à 12 km à vol d'oiseau[17], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 780,5 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Meilleray comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[21],[Carte 1], les « Bois du Mont-Mitou à Villeneuve-La-Lionne » (11,42 ha), couvrant 2 communes dont 1 dans la Marne et 1 en Seine-et-Marne[22].

Au , Meilleray est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle est située hors unité urbaine[24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[24]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

Lieux-dits et écarts

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La commune compte 59 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[27] dont les Bordes (ferme), le Bois-Saint-Père (partagé avec Saint-Barthélemy), la Butte (partagé avec Montolivet).

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,1% ), forêts (7,5% ), zones urbanisées (5,2% ), zones agricoles hétérogènes (5,1% ), prairies (0,1 %)[28].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[29],[30],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification

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La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[31]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 237 dont 96,6 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 2,9 % d'appartements[Note 5].

Parmi ces logements, 83,1 % étaient des résidences principales, 10,1 % des résidences secondaires et 6,8 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,8 % contre 10,2 % de locataires et 1 % logés gratuitement[32].

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la ligne d’autocars No 10 (Coulommiers - Meilleray) ) du réseau Transdev-IdF[33].

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villa quae dicitur Melleraie super Mucram en 1135[34] ; Pastura de Mailleria en 1328[35] ; Melerayum en 1353[36] ; Meleray en 1394[37] ; Melleroy en 1426[38] ; Melleray en 1788 (Terrier N.-D. de Meaux)[39].

Lieu où poussent les néfliers, du Grec : mespilion ; du latin : mespila (dérivé collectif de mespilarium) ; de l'ancien-français : mesle et nesple au XIIIe siècle[Note 6].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1983 2001 Guy Michaux   agriculteur
mars 2001 2008 Véronique Noël   apicultrice
mars 2008 2020 Jacqueline Falkowski[40]   Retraitée
2020 En cours Jean-Pierre Bertin[41]   Agriculteur

Politique environnementale

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Équipements et services

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Eau et assainissement

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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [42],[43].

Assainissement des eaux usées

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En 2020, la commune de Meilleray gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[44].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[45]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[44],[46].

Eau potable

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En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[44],[47],[48].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].

En 2021, la commune comptait 502 habitants[Note 7], en évolution de −0,79 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
371346360339315343347390399
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
409461469423402384396378423
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
402444440410412390401410395
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
394354462385363398475511506
2021 - - - - - - - -
502--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Exploitations agricoles.

Secteurs d'activité

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Agriculture

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Meilleray est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[53].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[54]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 45 ha en 1988 à 70 ha en 2010[53]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Meilleray, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Meilleray entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[53],[Note 9]
Nombre d’exploitations (u) 9 4 4
Travail (UTA) 16 8 8
Surface agricole utilisée (ha) 401 265 280
Cultures[55]
Terres labourables (ha) 371 235 255
Céréales (ha) 301 s s
dont blé tendre (ha) 122 s s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 67 s s
Tournesol (ha) 14 s
Colza et navette (ha) 35 s s
Élevage[53]
Cheptel (UGBTA[Note 10]) 44 26 23

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Pierre-Saint-Paul.
L'ancienne gare.

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Pierre-Saint-Paul, XIIIe siècle pour le clocher carré flanqué de contreforts et coiffé en bâtière, le reste ayant été reconstruit au XVe siècle surélevé par rapport au bâtiment primitif pour éviter les inondations.
  • Ferme des Bordes.
  • Ancienne gare de Meilleray sur la ligne La Ferté-Gaucher-Sézanne déclassée en 1990, terminus actuel du « vélo-rail » de la vallée du Grand-Morin.
  • Vélorail du Val du Haut-Morin entre Lescherolles et Meilleray.

Personnalités liées à la commune

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  • Philippe Pichon (1969), écrivain, ex-commandant de police, a résidé au hameau de la Butte (cf. "Journal d'un flic" et "L'Enfance violée", éd. Flammarion) avant de s'établir à Coulommiers

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Bibliographie

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  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Meilleray », p. 521–522

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Cours d'eau issus de la densification du réseau (classe 7), nature en attente de mise à jour.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  6. Ses fruits portent , dans quelques provinces , le nom de "culs-de-chien" , par leurs prétendue ressemblance avec le derrière de cet animal (C. Verdot, Historiographie de la table, Paris, 1833, p.221.).
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Zones ZNIEFF de Meilleray » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  2. « Meilleray - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Plan séisme consulté le 3 mars 2020 ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Grand Morin (F65-0400) ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Val (F6523000) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Mouton (F6523280) ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ravin des Brosses (F6523400) ».
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ravin des Pres (F6523300) ».
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commune de Meilleray (F6523700) ».
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Trois Pierres (F4752200) ».
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru Yonnet (F6523200) ».
  10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Garenne (F6523600) ».
  11. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 31 juillet 2019
  12. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  13. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  14. site officiel du Syndicat Mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
  15. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  17. « Orthodromie entre Meilleray et Esternay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Esternay-Man » (commune d'Esternay) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Esternay-Man » (commune d'Esternay) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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