Lissac (Ariège)
Lissac | |||||
Église Saint-Jean. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Pamiers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Monique Dupré-Godfrey 2020-2026 |
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Code postal | 09700 | ||||
Code commune | 09170 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lissacois | ||||
Population municipale |
245 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 65 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 16′ 13″ nord, 1° 30′ 43″ est | ||||
Altitude | 278 m Min. 212 m Max. 334 m |
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Superficie | 3,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Portes d'Ariège | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Lissac est une commune française, située dans le nord du département de l'Ariège en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays de l'Aguanaguès ou plaine d'Ariège, parfois appelé basse Ariège, ou piémont ariégeois.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Jade, l'Aure de Canté, le ruisseau de la Palanquelle et par deux autres cours d'eau.
Lissac est une commune rurale qui compte 245 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Lissacois ou Lissacoises.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Lissac se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 35 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 19 km de Pamiers[2], sous-préfecture, et à 6 km de Saverdun[3], bureau centralisateur du canton des Portes d'Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saverdun[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Labatut (1,0 km), Saint-Quirc (1,0 km), Canté (2,3 km), Gaillac-Toulza (3,7 km), Caujac (4,8 km), Cintegabelle (5,1 km), Marliac (5,5 km), Saverdun (6,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Lissac fait partie du pays de l'Aguanaguès ou plaine d'Ariège, parfois appelé basse Ariège, ou piémont ariégeois. Ce pays, dont l'origine remonte probablement à l'époque carolingienne s'applique à la plaine de Pamiers et, par extension, à celle de Saverdun[5].
Lissac est limitrophe de quatre autres communes dont deux dans le département de la Haute-Garonne. Les communes limitrophes sont Labatut, Saint-Quirc, Cintegabelle et Gaillac-Toulza.
Commune de l'aire d'attraction de Toulouse située dans le Nord du département de l'Ariège, Lissac est limitrophe du département de la Haute-Garonne. Elle est distante d'une quarantaine de kilomètres de Toulouse et d'environ le double de la frontière espagnole.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien, la totalité du territoire étant recouverte par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1035 - Saverdun » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et sa notice associée[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 3,77 km2[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 3,81 km2[8]. L'altitude du territoire varie entre 212 m et 334 m[13].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Jade, L'Aure de Canté, le ruisseau de la Palanquelle et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[15],[16].
La Jade, d'une longueur totale de 15,2 km, prend sa source dans la commune de Justiniac et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé 9 communes[17].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[19].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 753 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Ybars à 11 km à vol d'oiseau[20], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 796,5 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[24],[25],[26].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lissac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[28],[29].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,9 %), terres arables (35,1 %), forêts (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 118, alors qu'il était de 106 en 2013 et de 96 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 86,3 % étaient des résidences principales, 4,3 % des résidences secondaires et 9,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,9 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lissac en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,3 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,5 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Lissac[I 2] | Ariège[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 86,3 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4,3 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9,4 | 9,7 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par le réseau Arc-en-ciel et la route départementale D 27 qui relie Saverdun à Caujac.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Lissac est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[31],[32].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[33].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Lissac[34]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[35].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 15 juillet 2009[36].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Un acte daté de 943 cite le Liciagense en un territoire administré par l'église, voisin de l’Olmès et du pays de Foix[38]. Le cartulaire de l'abbaye de Saint-Sernin mentionne le ministérium licianense, dont Lissac pourrait être le chef-lieu, comme une subdivision du pagus tolosanus, pays toulousain alors érigé en comté carolingien[39]. Ceci confirme l’ancienneté du lieu qui sera contesté entre comté de Foix et comté de Toulouse.
Les routiers, qui occupaient le bourg de Cintegabelle, dévastent la contrée en 1438[40].
Le village est pillé par les Huguenots en juillet et août 1569.
En 1709, le scorbut tue soixante personnes en six mois à Lissac[41].
En 1950, le village compte un café, deux épiceries, un cordonnier, un électricien, un forgeron, trois maçons et un plâtrier.
Un remarquable travail sur l'histoire de la commune rédigé en 2007 par Alain Pessant mis à jour en 2008, 2012, 2016... est lisible en ligne[42].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Lissac est membre de la communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pamiers. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[43].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Portes d'Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[44].
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[45],[46].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2021, la commune comptait 245 habitants[Note 4], en évolution de +4,7 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[51] | 1975[51] | 1982[51] | 1990[51] | 1999[51] | 2006[52] | 2009[53] | 2013[54] |
Rang de la commune dans le département | 98 | 125 | 148 | 153 | 144 | 130 | 135 | 133 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Enseignement
[modifier | modifier le code]Lissac fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture et festivité
[modifier | modifier le code]Activités sportives
[modifier | modifier le code]Écologie et recyclage
[modifier | modifier le code]La collecte et le traitement des déchets des ménagés et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SMECTOM du Plantaurel[55],[56].
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 89 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 217 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 480 €[I 6] (19 820 € dans le département[I 7]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 8] | 5,3 % | 8,2 % | 13,1 % |
Département[I 9] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 148 personnes, parmi lesquelles on compte 80,7 % d'actifs (67,6 % ayant un emploi et 13,1 % de chômeurs) et 19,3 % d'inactifs[Note 6],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 15 emplois en 2018, contre 20 en 2013 et 21 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 101, soit un indicateur de concentration d'emploi de 15,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63,4 %[I 12].
Sur ces 101 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 89,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,1 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]5 établissements[Note 7] sont implantés à Lissac au [I 15]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 80 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 5 entreprises implantées à Lissac), contre 14,2 % au niveau départemental[I 16].
Agriculture
[modifier | modifier le code]1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 9 | 6 | 4 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 243 | 289 | 91 |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Plaine de l'Ariège »[57]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la production de céréales et oléoprotéagineux[58]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 9] de 2010 (neuf en 1988). La superficie agricole utilisée est de 91 ha[58].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et bâtiments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Jean, construite sur les vestiges d'une chapelle du XIe siècle, dont la façade a été entièrement construite en briques rouges. Elle est rénovée et agrandie de 1830 à 1880.
- Le château du XVIIe siècle.
- Le château médiéval, construit sur la colline, dont il ne reste aucun vestige.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-Jacques Sol, négociant à Saverdun, député puis maire de Lissac, élu le , conseiller général du canton de Saverdun .
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Lissac sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[59].
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lissac - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lissac - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lissac » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lissac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lissac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lissac » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Lissac et Foix », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lissac et Pamiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lissac et Saverdun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Lissac », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 271-272.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Carte géologique de Lissac » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Lissac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille n°1035 - Saverdun de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Lissac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Lissac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- « Carte hydrographique de Lissac » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
- Sandre, « la Jade »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lissac et Saint-Ybars », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Ybars » (commune de Saint-Ybars) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Ybars » (commune de Saint-Ybars) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lissac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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- « Plans de Préventions des Risques naturels - Base de données actualisée à septembre 2020 », sur georisques.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, Toulouse, Privat, 1872-1905 (16 tomes), Tome XII, note 18, p.198.
- Pierre et Thérèse Gérard, L’Ariège dans le Cartulaire de Saint-Sernin de Toulouse - aperçu géographique, Bulletin de la Société Ariégeoise des Sciences, Lettres et Art, bsa 1995, p.135.
- Roger Armengaud et Roger Ycart, Cintegabelle châtellenie royale en pays toulousain, Aucamville, Imprimerie Begué, , 391 p., p.158
- Annales du curé Brunet, curé de Lissac de 1708 à 1753, relevées par l’abbé Tourrou sur les registres paroissiaux (archives privées)
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