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Jean Bellon

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Jean Bellon, en littérature Jean Bénédict[1], né le à Paris, mort à Dompierre-Becquincourt[2], est un éditeur de musique, parolier et dramaturge français.

En 1902, Jean Bellon s’associe à Frédéric Ponscarme pour reprendre la maison d'édition musicale d'Émile Baudoux que celui-ci avait fondée en 1894[3]. Il éditera des œuvres d'Erik Satie.

Réformé, il s'était néanmoins engagé, à 47 ans, en 1914. Incorporé comme simple soldat, il est adjudant quand il est porté disparu fin 1914[4],[5].

  • L'Étranger, drame en trois actes[6]
  • Paris-New York, comédie opérette en 3 actes tirée de la pièce de Francis de Croisset et Emmanuel Arène par Jean Bénédict, musique de Robert Alger

Parolier (sous le pseudonyme de Tony Raph)

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  • Murmure d'amour, valse chantée, paroles de Tony Raph, musique de Jan Sulima, A. Rouart, 1908
  • Veiller, chanter, aimer, valse chantée, paroles de Tony Raph, musique de Jan Sulima, A.-Z. Mathot, 1909
  • Dreaming (en rêvant), paroles adaptées de Tony Raph, musique de Archibald Joyce, M. Eschig, 1913
  • Ornella Volta, Erik Satie. Correspondance presque complète, Fayard/IMEC, 2000, p. 681

Références

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  1. Le Figaro, 30 octobre 1914, p. 3 lire en ligne sur Gallica
  2. Fiche de Jean Bellon sur MémorialGenWeb.
  3. Guillaume Lekeu, Correspondance, publiée par Luc Verdebout, Mardaga, 1993, p. 24
  4. Le Figaro, 31 janvier 1915, p. 3 lire en ligne sur Gallica
  5. memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr
  6. Le Figaro, 20 février 1902, p. 4 lire en ligne sur Gallica

Liens externes

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