Jean-Denis Maillart
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Jean Jacques Henri Denis Maillart |
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Roger Maillart (d) |
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Diogène Maillart (grand-père) |
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Jean Jacques Henri Denis Maillart né le à Paris et mort le à Illiers-l'Évêque (Eure) est un peintre, graveur, illustrateur et décorateur français. Il est le petit-fils de Diogène Maillart.
Biographie
[modifier | modifier le code]Jeunesse
[modifier | modifier le code]Jean-Denis Maillart est né le dans le 8e arrondissement de Paris[1]. Ses premiers tableaux et ses dessins de mode sont signés Jean Maillart. En 1939, il a pris comme nom d'artiste Jean-Denis Maillart.
Il est issu d'une famille de peintres par son père, Roger Maillart[2] ainsi que par sa mère, Suzanne Marion[3], mariés à Paris[4].
Il a deux ans lorsque meurt son père[5].
Après sa scolarité au collège Sainte-Croix-de-Neuilly, il a passé son baccalauréat en 1932[6]. Il a été étudiant dans l'atelier d’Émile Renard tout en fréquentant l’École nationale supérieure des beaux-arts dès 1929. Inscrit à l’École le dans l’atelier d'André Devambez, il a préfèré suivre l’enseignement d’Othon Friesz et s'est vu primé pour un portrait, son premier envoi, au Salon des artistes français de 1935[7]. « En peinture, j'ai toujours pensé portrait, dira-t-il plus tard »[réf. souhaitée]. Mais en même temps il voulait aider sa mère et, ayant du gout pour la mode, a utilisé son imagination créatrice en dessinant robes, chapeaux qu'il vendait aux grands couturiers qui sont toujours à l'affut de nouveautés et d'originalité artistique. Être modéliste indépendant l'a familiarisé avec les maisons de couture parisiennes, Jeanne Lanvin, Madame Agnès le recevaient ; grand, mince, distingué, ce bien jeune homme n'en était pas moins féru d'histoire du costume, hantant les bibliothèques. Sa première cliente a été Marguerite Carré, entre elle et lui naquit une amitié à vie[8].
Le , il a épousé Jacqueline Mornand[9], fille de l’homme de lettres Pierre Mornand[10],[11] et de Germaine Mornand née Poidatz. Ensemble ils auront huit enfants[9].
Cette même année, lors du vernissage du 5e Salon portraits contemporains à la galerie de Paris, il a fait la connaissance de la photographe Laure Albin-Guillot, alors au faîte de sa gloire, qui lui a ouvert les portes du Tout-Paris et dont il conservera l’amitié la vie durant[12],[13]. Il leur est arrivé d'exposer ensemble, dans la même galerie et sur le même thème, elle par ses œuvres photographiques encadrées et lui par ses toiles, par exemple « Les Fleurs de Laure Albin-Guillot et de Jean-Denis Maillart »[14],[15],[16].
En 1943, il dessine des publicités — entre autres pour Mellerio dits Meller[17] —, illustre des magazines de mode[18],[19] et réalise des couvertures de roman comme pour La Belle amour de Francis Carco (1952)[20] ou pour Louis-Charles Royer (1952, 1959)[21].
La mode
[modifier | modifier le code]En septembre 1938, de modéliste indépendant, Madame Jacques, deuxième épouse de Jacques Worth, l'engagea comme modéliste créateur[22] au vu des croquis qu'il lui présenta au 120, Rue du Faubourg-Saint-Honoré, heureuse d'en avoir un masculin. Plein d'enthousiasme dans ce monde de fascinantes couleurs et des plus belles broderies, des plus riches fourrures et tissus rares, il y devint designer en chef, habilla la princesse Faouzia à son mariage avec le Chah d'Iran, Mme Albert Lebrun à l'occasion du voyage officiel de son mari à la cour de Saint-James, la femme de Bảo Đại, Nam Phương... C'était l'âge d’or pour la haute couture parisienne à la fin des années 1930, il participa à la préparation des collections et travailla avec les couturiers de renom[23]. Les modèles conçus et dessinés par Jean-Denis Maillart (1937-39) ont été offerts par la Maison Worth au Victoria and Albert Museum, London. Les maquettes du musée ont été réunies dans un livre : Victoria and Albert Museum, Department of Prints and Drawings and Department of Paintings: accessions 1957-1958[24]. Voir .
À la fermeture de la grande maison, Jean-Denis Maillart entra, démobilisé après la Seconde Guerre mondiale, chez Jean Patou en 1942[25]. Il avait du succès, son style était, là aussi, apprécié et tout semblait devoir continuer mais au moment où la mode lui offrait avantageusement une carrière assurée, il décida, au lieu de devenir couturier, de tenter de vivre de sa peinture qu'il n'avait jamais abandonnée .« De la silhouette de mode à la toile de maitre. Ce jeune et audacieux artiste, vous l'avez peut être connu comme moi dans les salons de ces grandes maisons dont il était le modéliste. » Le Journal 13 03 1943[26]. Quand il exécuta de grands dessins pour servir de fond aux photos de mode de Mme Albin-Guillot qui exposait en décembre 1941, la peinture réclamait en lui son dû au styliste.
La peinture
[modifier | modifier le code]En effet, l’été 1942, Jean-Denis Maillart s'était installé pour plusieurs mois à la campagne, dans la propriété de ses beaux-parents, avec son épouse, ses trois enfants, son jeune élève et l'ami peintre Luigi Corbellini pour y peindre. Il en résulta une première exposition personnelle de 30 toiles en à la galerie Jean Pascaud au 163, boulevard Haussmann à Paris[27],[28]. Visitant son atelier à cette époque, Paul Valéry lui dédia les lignes suivantes :
« J’ai coutume, ou la manie de dire : le peintre cherche la peinture, parole profonde que je n’ai pas le loisir, peut-être les moyens, d’expliquer, mais je crois, mon cher Denis Maillart, que vous avez trouvé. — Paul Valéry[29] »
En 1943, Jean-Denis Maillart présenta au Salon des Tuileries sa Dame en noir qui lui valut avant la fin de l'exposition, dix commandes de portraits dans la haute société parisienne[30]. Au Salon des Tuileries de 1946 où il a envoyé une Étude pour la danse posée par Renée Jeanmaire (qui deviendra Zizi Jeanmaire), la toile été acquise par le Fonds national d'art contemporain,conservée dans la résidence de l’Assemblée nationale[31],[32]. En 1944, il exposait un autoportrait au Salon des indépendants[33].La carrière démarrait.
Élève
[modifier | modifier le code]Jean-Denis Maillart, ayant déjà du succès comme peintre, a été, à Paris de 1942 à 1943[34], le professeur de François Morellet ; il lui donnera des cours et lui permettra d'exposer une de ses premières toiles au Salon de Société nationale des beaux-arts[35],[36].
Œuvre
[modifier | modifier le code]Portraits
[modifier | modifier le code]Au cours de sa carrière, Jean-Denis Maillart réalise plus de 2 000 toiles : têtes d'enfants, arlequins, paysages, bouquets de fleurs, avec une tendance symboliste plus tardive et plus de 600 portraits, parmi lesquels ceux de personnalités comme le prince Hassan Aziz Hassan et l'impératrice d'Iran Fawsia[37], la dernière sultane turque Neslişah[38], la reine Farida[39], Isa Miranda[40], Barbara[41], Jeanne Moreau[42], Charles Edward Merrill (en), David Rockefeller[43], Bernard et Mirabel Magdelene Kelly, la comtesse de Paris, sa fille la duchesse Diane de Wurtemberg et son époux duc Carl[44], le prince Albert II de Monaco[44] ou le comte Jacques-Rodolphe de Wurstemberger, le baron Hottinguer, la princesse de Bourbon Parme, le duc de Mouchy, d'Harcourt, Paul-Louis Weiller, Louis de Polignac ; à New York, il peint quarante portraits en trois mois en 1957 et soixante en 1961.
Peintures murales
[modifier | modifier le code]En 1960, La Municipalité de Blonville confie à Jean-Denis Maillart la décoration intérieure de la chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption construite en 1954[45],[46], dans laquelle il réalise 13 peintures murales.
Scénographie
[modifier | modifier le code]Entre 1947 et 1954, Jean Denis Maillart a réalisé un grand nombre des maquettes de costumes et une vingtaine de décors de ballet, de théâtre, de film.
- Paris, Opéra Garnier :
- La Péri, chorégraphie de Serge Lifar, musique de Paul Dukas, 1948[47] ;
- Passion, ballet en un acte, chorégraphie de Serge Lifar, 1950[48] ;
- Printemps à Vienne ballet en 1 acte sur un livret de Harald Lander sur la Symphonie no 2 de Schubert, chorégraphie et mise en scène de Harald Lander, Dansé par Lyane Daydé, 1954[49] ;
- Combat par Lycette Darsonval, 1957, sur une musique de Rafaello de Banfield[50] ;
- La Valse, chorégraphie de Harald Lander, musique de Maurice Ravel, 1958[51].
- Londres, London Festival Ballet :
- Coppélia, chorégraphie d’Harald Lander, musique de Léo Delibes, 1956[52],[53].
- Milan, La Scala :
- La Péri de Serge Lifar, musique de Paul Dukas, 1950[54].
- Paris, théâtre des Champs-Élysées :
- Silk Rapsody, ballet de Jean-Michel Damase et Clarendon, dansé par Liane Daÿdé, [55].
- Opéra de Marseille :
- La Tendre Éléonore, opéra-ballet, mise en scène de Joseph Lazzini, musique de Jean-Michel Damase, Opéra de Marseille, 1952[56].
- Décors et costumes de théâtre :
- Le Prince des neiges de Roger Peyrefitte, Théâtre Hébertot Paris, 1947[57] dont l'édition imprimée de 1947 présente un frontispice de Jean-Denis Maillart[58].
- Borgia, mise en scène de Claude Sainval ; pièce en 3 actes et 4 tableaux de Herman Closson, avec Françoise Christophe... Comédie des Champs-Élysées, Paris, 1947[59].
- La Dame aux camélias d'Alexandre Dumas fils, avec Edwige Feuillère, Jean-Claude Pascal. Théâtre Sarah-Bernhardt, 1949, avec l'aimable autorisation du Théâtre Hébertot[60].
- Anadyomène, drame en quatre actes, mise en scène de Pierre Valde Texte de Georges Clément. Théâtre Apollo, 1953[61].
- L’Étourdi - Dom Juan Tenorio, drame en 2 actes et 7 tableaux de Zorilla, adaptation et mise en scène de Henry Mary, 1er Festival d'Art Dramatique, Ajaccio, 1954[62].
- Le Ciel de lit, pièce en 3 actes et 6 Tableaux de Jan de Hartog, adaptation française de Colette, Mise scène de Pierre Fresnay, interprétée par Marie Daems et François Périer, Théâtre de la Michodière, Paris, 1953[63].
- Le Prince de papier, comédie en 2 actes et 6 tableaux de Jean Davray, mise en scène de Jacques Charon avec Claudine Coster, Jean-Louis Trintignant, Théâtre Marcel Herrand, Les Mathurins, 1959[64],[65].
- Monsieur de France, comédie en 3 actes de Jacques François, mise en scène de Christian-Gérard Théâtre des Bouffes-Parisiens, 1958[66],[67].
- De doux dingues, texte de Michel André d'après Joseph Carole, mise en scène de Jean Le Poulain , Théâtre Édouard-VII Paris, 1960[68].
- Décor et costumes de film :
- Le Fil à la Patte, mise en scène de Noël-Noël et Guy Lefranc 1954[69].
Décors d'expositions et de festivals
[modifier | modifier le code]Outre des affiches pour ballet[70], expositions ou festivals[71],[72], Jean-Denis Maillart a également composé des décors pour :
- Floralies internationales de Paris, avril-, au CNIT, Paris La Défense, décoration des 700 m2 du pavillon du rosiériste Georges Delbard[73] : « une présentation originale qui tient à la fois de l’art du jardinier et de l’art dramatique, dans un décor léger et fabuleux signé Jean-Denis Maillart – le peintre pour qui réalité et songe se mêlent dans le même ivoire des siècles – et Bernard Bon, un jeune décorateur de talent »[74].
- La Fée dentelle, exposition organisée par la Fédération nationale des dentelles et broderies au Palais Miramar à Cannes du 1er au dans un décor de Jean-Denis Maillart[75].
- Décor pour le souper de clôture du 7e Festival International du Film à Cannes, le , aux Ambassadeurs et illustration de la couverture du programme de la soirée[76].
- Décor pour le gala de clôture du XVIe Festival du film du Aux Ambassadeurs à Cannes[77].
- Décoration de la Rotonde de l'Opéra Garnier pour la soirée du Cercle Carpeaux deux années de suite les [7],[78] où le décor et les costumes du Divertissement étaient également signés de l'artiste. Et le [79] où il a spécialement composé la couverture du programme[80].
- Décorateur de la Compagnie fermière de Vichy sous la direction de Jean-Pierre Bourgeois, pour la relance de cette ville, Jean-Denis Maillart rénove « La Restauration » (rebaptisé le « Grand café » inauguré le dimanche 30 juin 1985), le pavillon Sévigné, les pavillons du Sporting (tennis et golf) et des Sources. De 1984 à 1985[81].
Bibliophilie
[modifier | modifier le code]Lithographie
[modifier | modifier le code]- Le Bateau ivre d’Arthur Rimbaud, 1944[82].
- Arbre, 1 noir/blanc 1/80, 1972.
- Arbre, 2 noir/blanc 1/80, 1972.
- Le Cri, 6 couleurs 1/80, 1973.
- Les Chevaux marins, 4 couleurs 1/80, l973.
Gravure au burin
[modifier | modifier le code]- Les Trésors du Monde, cinq gravures sur cuivre sur « Les trésors légendaires à la banque moderne » pour le Crédit lyonnais[83].
- Mercure franchissant les grilles, gravure au burin spécialement composée et gravée pour le dixième anniversaire de la Banque française du commerce extérieur[84].
- Les Rois Mages (Los Reyes Magos), planche sur cuivre composée par l'artiste 41,5 × 31,5 cm pour la Banque de Cuba.
Illustrations
[modifier | modifier le code]Dessins à la plume
[modifier | modifier le code]Illustration de L'Histoire d'amour de la rose de sable d'Henry de Montherlant pour Opéra, journal de Roger Nimier, l’hebdomadaire du Théâtre, du Cinéma et des Arts. Douze illustrations dont la publication commence dans le numéro du pour s’échelonner jusqu'au [85].
Gouache, aquarelle et mine de plomb
[modifier | modifier le code]- L'Empreinte du dieu suivi de La Maison dans la dune de Maxence Van der Meersch, 1963 1re et 4e de couverture illustrées couleur, quatre double-pages couleur et 18 dessins en noir hors-texte pleine page[86].
- Missa est, Arthème Fayard, 1951, commentaires et prières de Daniel-Rops, planches photographiques de Laure Albin-Guillot, les culs-de-lampe sont des œuvres originales créées pour ce livre par Jean-Denis Maillart[87].
- Jeu de cartes pour Odiot orfèvre, Paris, dans un coffret « ambrin » dont la transparence dévoile deux visages mystérieux sur fond marbré constituant le dos des cartes, assorti d’un motif en vermeil ornant le dessus de la boite[88],[89].
Expositions
[modifier | modifier le code]- 1937 : galerie de Paris, 5e Salon Portraits contemporains.
- 1937 : 33e Salon d'automne, Paris.
- 1938 : Salon des artistes français, Portrait de Mgr Petit de Julleville.
- 1938 : Salon d’automne, Portrait de Mme Marcel Rhoté.
- 1940 : Grand Palais, Paris, Salon des artistes français, Portrait de Me Auburtin.
- 1940 : Le Salon, Paris, , Portrait de Laure Albin-Guillot.
- 1940 : galerie Jean Pascaud, 165, boulevard Haussmann, Paris, Variations sur la Mode, Laure Albin-Guillot et Jean-Denis Maillart.
- 1941 : exposition personnelle chez l'artiste, Portrait de Suzy Solidor, Portrait de Mona Goya.
- 1941 : exposition commune chez Laure Albin-Guillot, Paris, 24-, « Fleurs »[90].
- 1943 : Salon national indépendant, Paris, Autoportrait.
- 1942 : galerie Jean Pascaud, Paris.
- 1943 : galerie Charpentier, Paris 11 02, Maxim’s. la Vie familiale.
- 1944 : galerie Charpentier, Paris 04, « Scènes et figures parisiennes », Un dîner chez Maxim’s[91].
- 1944 : Salon des Tuileries, palais de Tokyo, Paris, La Dame en noir.
- 1943 : galerie des Jacobins, Lyon. Peintures Jean-Denis Maillart/Photographies Laure Albin-Guillot[92].
- 1943 : Salon d’automne, Paris.
- 1945 : atelier de l'artiste, lithographies originales du Bateau ivre d’Arthur Rimbaud.
- 1946 : galerie Charpentier, Paris, La Vie silencieuse.
- Exposition à l’atelier Portrait de Mme Vernier, Jeune fille à la poupée.
- Petit Palais, palais de Tokyo, Salon des Tuileries.
- 1947 : Continental-Savoy, Le Caire, Portrait de Jacques François, une trentaine de toiles parmi lesquelles La Dame en noir, Étude sur fond or, Le Béret flamand, portraits de Jacqueline Malard-Janet, de Jacques Dacqmine, de Lorraine et France Dubonnet. Galerie Lehmann, Alexandrie (la même que celle du Caire).
- Durand-Ruel, Paris, 40 œuvres dont le portrait d’Andrée Clément.
- 1948 : à l’atelier.
- Galerie Lambert, Paris, peintures de Jean-Denis Maillart, photographies de Laure Albin-Guillot.
- Galerie Alex Cazelles, 93, rue de faubourg Saint-Honoré, Paris, Bord de mer, toile acquise par l’État.
- 1954 : hôtel Miramar, Cannes.
- Galerie Allard, Paris, Peintre de la Danse, Association des Amis de la Danse, le Syndicat des décorateurs et maquetteurs.
- 1958 : hôtel Continental, Deauville.
- 1959 : galerie André Weil, Paris, seize toiles dont le portrait de la princesse Phung Yen, Dany Robin et ses enfants, Jeanne Moreau.
- 1959 : galerie Sem, Deauville, 26 toiles récentes dont les portraits de Liane Daÿdé, d’Élina Labourdette, de Robert Fossorier, de François André, Le Gilet jaune, Nicolas au chapeau rond, La petite fille au perroquet, Enfant au chapeau déchiré, Fille aux seins nus.
- Galerie 65, Cannes.
- 1965 : villa Les Sablons, Tourgeville-sur-Mer. Portraits du baron Rodolphe Hottinguer, de la princesse Christina Radziwill, de la vicomtesse de La Barre, de Domitille Marbeau Funck Brentano, de Jeanne Moreau, de Richard Reynard, de Xavier Guerrand-Hermès.
- 1966 : galerie Wyler, Mulhouse, « Peinture et Théâtre », Arlequin accroupi, Pierrot endormi, Arlequin à la barre (dessin).
- 1967 : Biennale azuréenne, Salon International. Mention d’honneur.
- 1968 : galerie Grassin-Champerneaud, Saint-Tropez.
- 1971 : galerie Tallien, Saint-Tropez.
- Ansdell Gallery, Londres.
- Galerie Michel-Ange, Monte-Carlo, « The English Garden » (portrait famille Kelly).
- 1977 : galerie Expo 90, Paris.
- 1978 : maquettes de théâtre, Paris, Livres en Liberté.
- 1978 : château médiéval de Tourrettes-sur-Loup.
- 1979 : maquettes des décors et des costumes de théâtre dans les salons de la Société Paul Ricard, avenue Franklin-D.-Roosevelt, Paris.
- Forum Art Gallery, Monte-Carlo.
- Hôtel de Paris, Monte-Carlo[93],
- Galerie Haas, Vaduz, Liechtensteiner.
- Hôtel Monrepos, Ludwigsburger, Allemagne, les portraits du duc et de la duchesse de Württemberg.
- 1980 : musée des Arts décoratifs, Paris. « La Famille des Portraits », avec le concours des musée du Louvre, musée national d’Art moderne, musée d’Art moderne de la Ville de Paris, musée d’Amiens, musée d’Angers, musée de Belfort, musée de Gray, musée de Menton, musée de Rouen. Portrait de Gilbert Edard (no 189 du catalogue).
- 1981 : galerie de l’Esplanade, Paris, La Défense, Le Nouveau Salon de Paris, invité d’honneur.
- 1981 : galerie Le Triskèle, direction Sophie Babet, Paris.
- 1881 : Grand-Palais, Paris, Salon d’automne, Le Masque de chair.
- 1982 : Grand-Palais, Paris, Salon d’automne.
- 1983 : palais des Fêtes, Vendôme, Art de la Danse. Maquettes de théâtre.
- 1984 : galerie Proscenium, Paris. « Les arlequins vus par… », Brayer, Clavé, Carzou, Clayette, Cocteau, Fini, Louradour, Malclès, Maillart, Wakhévitch.
- 1984 : mairie de 6e arrondissement de Paris. Talents du 6e.
- 1984 : galerie d’Art municipale, Levallois-Perret, 23 toiles.
- 1985 : galerie ROR Volmar, Vichy.
- 1986 : Grand Palais, Paris, 23e Salon du dessin et de la peinture à l’eau, Danseur noir et blanc (gouache), Arlequin (aquarelle sur Japon).
- 1986 : Fontainebleau, salle des fêtes du théâtre, exposition Les Vanités, Le Vainqueur. Exposants : Bernard Buffet, Chapelain-Midy, Jean Commère, Verlinde…
- 1986 : 4e Salon artistique du Lys organisé par l'Association artistique du Lys, salons de la préfecture de Seine-et Marne, Melun.
- 1988 : Salon artistique du Lys, préfecture de Seine-et Marne, Melun, Je est un autre, reproduit en p. 46 du catalogue.
- Grand-Palais, Paris, Salon d’automne.
- 1992 : « Les Maillart », galerie Maltier-Vercher, Paris.
- 1993 : galerie Athéna, Saint-Tropez.
- 1998 : 44e Salon d’automne, Artistes indépendants de Basse-Normandie. Invité d’honneur.
Distinction
[modifier | modifier le code]Médaille de vermeil attribuée par la mairie de Paris en 1982 pour l’ensemble de son œuvre et son rayonnement culturel à l’étranger[94],[95].
Collections publiques
[modifier | modifier le code]- Portrait de la Comtesse Annie Penteado, musée d'Art de São Paulo, Brésil[96].
- Portrait de Suzy Solidor, musée du château Grimaldi, Cagnes-sur-Mer, donation par elle en 1973[97].
- Portrait de Jean-Claude Pascal, musée d'Argenton-sur-Creuse[98].
- Portrait de Charles E. Merrill, catalogué dans les collections des sept musées de la Vallée Pionnière du Massachusetts, Mead Art Museum[99].
- Dessin au lavis de la robe noire conçue pour Edwige Feuillère dans l'Acte IV de la Dame aux Camélias, (1951). Théâtre du Costume, Londres[100].
- 67 dessins de figurines qu'il a exécutés chez Worth - conservées à Londres au Victoria and Albert Museum - dont la robe intitulée Imprudence[101] qui est un modèle créé par Jean-Denis Maillart en 1939 à la demande de Jacques Worth pour la sortie de son parfum du même nom.
- Le Vainqueur, musée de Fontainebleau.
- Portrait du général Augustin Guillaume, Musée Muséum départemental des Hautes-Alpes, Gap.
- Deux affiches imprimées « Ange peignant la fresque de la Pentecôte », 49 x 42 cm. Archives du Calvados, 25FI/648.
Achats de l’État
[modifier | modifier le code]- Symphonie fantastique, trois panneaux décoratifs destinés au Conservatoire national de musique, (CNSM).
- Étude pour la danse, huile sur toile, 1944 exposée à l’Assemblée nationale.
- Œillets dans un pichet d’étain, toile enregistrée au FNAC Fonds national d’Art contemporain.
- Paysage, 1958[102] exposé au Sénat
- Fleurs, 1949[103].
- Arlequin à la guitare, 1953[104].
Acquisitions de la Bibliothèque nationale de France
[modifier | modifier le code]- 95 maquettes de décor et costumes de théâtre.
Appréciations
[modifier | modifier le code]Bertrand Duplessis estime que c'est l'art du portrait de Maillart qui « marqua le plus son époque » et rapporte un propos du peintre sur sa fascination pour le visage humain qu'il s'applique à « écrire »[105]. Ceci dans son intégrité comme l'affirme Jean-François Noël et à contre-courant du « jeu des grandes destructions de l’art contemporain, où les visages et les corps humains sont déchiquetés, morcelés, insultés »[106].
Publications
[modifier | modifier le code]- Yves Mourousi, « Les Peintres de la fête », La Fête à Paris, no 20, , p. 3.
- Fresques. Blonville sur Mer, Paris, Arts et Mémoires, 2016, 70 p. Bilingue français anglais. Préface du R.P. Riquet, (ISBN 978-2-9552621-0-8).
- Esquisse d'un portrait de Laure Albin-Guillot (préf. Paul Guth), Paris, Arts et Mémoires, , 99 p. (ISBN 978-2-9552621-1-5, présentation en ligne).
- Napoléon III ou le Mécénat d'État, conférence prononcée au Grand Casino de Vichy le [107].
- Portraits, In 8°, 185 p. dont 85 reproductions noir et couleur, Arts et Mémoires, 2019. — À la fois, livre d’art, de souvenirs et d’anecdotes que le peintre se plaisait à raconter à ses visiteurs..
- Sa Vie, son œuvre par lui-même, autobiographie, 1 vol. (316 p.) : ill. en coul. ; 24 cm, Paris : Éditions Arts et mémoires, DL 2021. (ISBN 978-2-9571034-1-6)
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- « La Chapelle Maillart », par Martine Sautory. Revue « La Vie ». 12 au no 3489.[108]
- « Les Gènes du Talent », par François Billaut[109].
- « Quand "les grands" se font tirer le portrait », par Yves Gérard[44].
- « La Duchesse Diane au milieu des artistes », par Maurice Zalewski[110].
- « Le Vernissage de Jean-Denis Maillart »[111].
- « De la Silhouette de mode à la toile de Maitre »[26].
- « Nos Peintres », d’Alfred Edwards[112].
- Le Beau Masque, par Jean-Claude Pascal
- « Jeunes Artistes », dans le bimensuel Plaisir de France, double-page illustrée de six photoraphies de Laure Albin-Guillot prises dans l’atelier de l'artiste[113].
- Pierre Moirignot et Hamadi Cherif, Jean-Denis Maillart, Expo 90, .
- « VIIe Festival International du Film », Le Monde Illustré, Unifrance, 1951[114].
Liens externes
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- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressource relative au spectacle :
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- [vidéo] « Visite de la chapelle Notre-Dame de Blonville-sur-Mer », sur YouTube.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Extrait des minutes des actes de naissance du 8e arrondissement de Paris, année 1913.
- Roger Maillart ( Paris 1873-1915 Rieux).Élève de son père Diogène Maillart et de Jules-Élie Delaunay aux Beaux-arts de 1893 à 1898, il y fut logiste chaque année et pour finir, PremierPrix de Paysage Jauvin d'Attainville 1898.L'atelier d'Édouard Detaille lui était familier, d'où nette influence dans les toiles qu'il exposait régulièrement au Salon des Artistes français. Professeur à l'école Arago de Paris. Voir [1]
- Voir [2]
- Acte de mariage du , mairie du 14e arrondissement de Paris.
- Gérard Schurr - Pierre Cabanne, Les petits Maitres de la Peinture 1820-1920, Paris, Les Éditions de l'Amateur, , 175 p. (ISBN 2-85917-006-5), Volume III, p. 134, illustration p. 109.
- Annuaire de Sainte-Croix-de-Neuily.
- Point de vue Images du Monde No 34 du 27 janvier 1949
- Madame Marguerite, "première" chez Patou, devenue LA technicienne de Christian Dior, son alter ego.
- Whos is who in France.
- Catalogue Bnf, Mornand, Pierre.
- Kandinsky-Pompidou, Mornand.
- Jean-Denis Maillart Esquisse d'un portrait de Laure Albin-Guillot 2016, p. 13.
- Annick Lionel-Marie, Alain Sayag, Collection de photographies du musée national d'Art moderne, 1905-1948, 1996, p. 28.
- « Les Expositions », Beaux-Arts, no 21, .
- « Les arts. Nos Peintres », Le Matin, télégrammes de la nuit, .
- Annonce exposition Maillart-Guillot, galerie des Jacobins, Le Journal, .
- hprints
- « Les Chapeaux de printemps », L’Art et la Mode, no 2683, .
- « Turban de Sygur », L’Art et la Mode, n°2685, .
- WorlCatalogue.
- Abe books.
- Actuellement dénommé styliste.
- Les couturiers de renom sur collections.vam.ac.uk.
- Éditeur : H.M. Stationery Office, 1964, 141 pages.
- Jean Patou , Robe du soir de Jean Patou en jersey gris argent, photographie de Laure Albin-Guillot (1879-1962), photographe , Note(s) : Au dos, titre, date et mentions ms. : « Jean Denis Maillart modéliste » (BNF 40480563).
- Fernand Xau, « De la Silhouette de mode à la toile de maître », Le Journal, (lire en ligne).
- Comoedia, : « Le peintre Luigi Corbellini peignait avec Jean Denis Maillart lors de cet épisode pictural à la campagne. Une toile Maillart à cette exposition Pascaud représentait les deux femmes de peintres, Jacqueline M. et Nicole C., se reposant couchées dans l'herbe en jupe de couleur. » (Comoedia, en ligne sur Gallica).
- France Europe, : « L'extrême facilité avec laquelle Jean-Denis Maillart semble avoir toujours manié le pinceau devait, les relations mondaines aidant, en faire un brillant portraitiste. La verve, le brio, l'éclat, un certain don de coloriste, toutes qualités appréciées du public mais superficielles, étaient son apanage. Il faut lui savoir gré d'avoir bien voulu considérer, malgré le succès qui le guettait, que la Peinture est autre chose qu'un art aussi factice. Il faut encore le féliciter de n'avoir pas la prétention, en 1942, de redécouvrir Cézanne. Dans cette exposition, on trouvera de jolies recherches d'harmonies tel “Nuage” dans un ciel gris témoigne d'une belle sensibilité rétinienne ; telle petite “Étude de poire” possède de réelles qualités picturales ; plusieurs figures de femmes, deux amies couchées couchées sur l'herbe, sont d'un coloriste subtil qui aurait peut-être un peu trop regardé par-dessus l'épaule travailler Corbellini. ».
- Laure Albin-Guillot a juxtaposé en montage le fac-similé de cette dédicace sous un des portraits photographique réalisés par elle de l’écrivain ; sous-verre exposé en mai 2013 au Musée du Jeu de Paume, Paris (cf. « L'Enjeu classique - Laure Albin-Guillot » sur jeudepaume.org).
- Salon des Tuileries, 20e exposition, Palais de Tokyo, catalogue de l’exposition, p. 54 ; Beaux-Arts, .
- Salon des Tuileries, 23e exposition, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, catalogue de l’exposition, p. 52.
- Étude pour la danse, vers 1940, huile sur toile, 100 × 60 cm, achat à l’artiste en 1946 par le Fonds national d’art contemporain, inv. FNAC 19515. En dépôt depuis le à l'Assemblée nationale à Paris. Centre national des arts plastiques (CNAP).
- catalogue du 55e Salon des indépendants sur Gallica.
- Serge Lemoine, François Morellet : dessins, Musée de Grenoble, , p. 47.
- Artwiki.
- Fiche RKD, Jean-Denis Maillart.
- (en) Hassan Hassan, « Turkey and England Illustrations », dans In the House of Muhammad Ali, A Family Album, 1805-1952, Cairo, The American University in Cairo Press, (ISBN 9781617972416, lire en ligne), p. 46.
- Alif Art Galeri, Nişantaşı - İstanbul.
- Artnet.
- Centre des monuments Nationaux, photographies, Séeberger frères.
- Barbara, sur artnet.
- QUINIO/Gamma-Rapho via Getty Images.
- Nadeaus auction.
- Yves Gérard, « Quand « les grands » se font tirer le portrait », Point de vue Images du monde, , p. 54-55.
- Fresques de la chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption de Blonville-sur-Mer.
- Chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption sur 14910.net.
- Source : programme du Théâtre national de l'Opéra.
- catalogue Bnf
- (en) J. P. Wearing, The London Stage 1950-1959: A Calendar of Productions, Performers, and Personnel, p. 331.
- catalogie BnF.
- Quatorze maquettes de costumes de Jean-Denis Maillart, 1958, 14 dessins : aquarelle, pastel ; 47,5 × 32,5 cm, (BNF 45078197).
- Source : Critique d’Andrew Porter, The Financial Times, London, 3 septembre 1956.
- (en) Dancing Times, 1956, page 10.
- Source : programme 1950-1951 du Théâtre de la Scala, contrat du 12 décembre 1950 entre le Théâtre de la Scala et J.-D. Maillart.
- Le Courrier musical de France, Numéros 33 à 40, Page 166
- Source : contrat entre la Ville de Marseille et J.-D. Maillart, décembre 1961, Le Provençal, 22 janvier 1952.
- catalogue BnF
- (BNF 32524453)
- Catalogue Bnf
- catalogue BnF
- Notice rédigée d'apr. "Pariscope" : Semaine de Paris 30 sept.-6 oct.1953 (BNF 39498716).
- Régie théâtrale, catalogue maquettes
- Bulletin de la Bibliothèque nationale, Volumes 3 à 4, p. 159
- Source : programme du spectacle ; lettre de Mme Harry-Baur, directrice du Théâtre des Mathurins du 14 novembre 1958 adressée à J.-D. Maillart, critique de Jean-Jacques Gautier.
- Paris-théâtre, Numéros 143 à 154, via GGbooks
- Jacqueline Cartier, « Les coulisses des théâtres », L'Aurore,
- Réalités: femina-illustration, Numéros 144 à 149 , 1958, page 101
- (BNF 39460534).
- Jacques Bucquet, « Le Fil à la patte », Le Parisien libéré, .
- [image]Ballet Opéra de Paris, 1948, lithographie, de Jean Denis Maillart.
- [image]Médiathèque du Festival de Cannes, affiche 1963
- [image]Médiathèque Festival de Cannes, affiche 1960, XIIIe festival du film et Floralies
- Bon de commande du 15 novembre 1958 de Georges Delbard.
- Jean-François Noël (1915-1985) auteur dramatique et d'émissions radio. Scénariste et réalisateur.
- Le Parisien libéré, 5 avril 1954.
- Programme de la soirée de gala, Nice Matin 20 avril 1954. Nice Matin 20 avril 1954.
- « Le film français », Cinémonde,, 12 mai 1963.
- lettre du 24 décembre 1948 de Ghislaine Marbeau, secrétaire du Cercle Carpeaux adressée à J.-D. Maillart
- 21/01/1950 de M. P. Prenot du Cercle Carpeaux adressée à J.-D. Maillart
- Programme édité à 250 exemplaires numérotés de 1 à 250 pour la soirée du Cercle Carpeaux le 19 décembre 1949
- https://carteret.pagesperso-orange.fr/Histoire%20Vichy.htm
- Le Bateau ivre d’Arthur Rimbaud, vingt feuillets libres non chiffrés illustrés de onze planches composées et dessinées sur pierre par Jean-Denis Maillart, tirées format in-folio 34 × 43,5 cm sur les presses de Maurice Darantière, Paris, Éditions du Raisin, 1944 (BNF 32572560)).
- « Les Trésors du Monde » cinq burins précédant un texte Des trésors légendaires à la banque moderne, éd. Crédit lyonnais, 1950, 5000 ex. 38 × 28 cm (BNF 40379662).
- Mercure franchissant les grilles, gravure au burin spécialement composée et gravée pour la Banque française du commerce extérieur, tirée sur les presses du maître taille-doucier Pierre Thirot, typographie composée par Charles Peignot à Paris, 19500. Sources : correspondance de Jacques Belin 1899-1961 (président de la BFCE, directeur général de la Banque de France, professeur à l'Institut de sciences politiques de Paris), laquelle indique que la première épreuve lui a été remise fin (lettre du [réf. nécessaire]) et la planche elle-même à la mi-[réf. nécessaire], et lettre du , révélant aussi que le cuivre offert à la Banque par J.-D. Maillart « fait l’admiration de mes visiteurs », lettre J. Belin du [réf. nécessaire].
- Source : lettre du journal Opéra du , confiant à J.-D. Maillart le soin d'illustrer le roman d'Henry de Montherlant, L'Histoire d'amour de la rose de sable, à paraître dans leur hebdomadaire.
- Maxence van der Meersch (préf. Armand Lanoux), L’Empreinte du dieu suivi de La Maison dans la dune, illustrations de Jean-Denis Maillart, Paris, Club des amis du livre, , 460 p.(BNF 33206877).
- Bibliographie de la France, Au Cercle de la Librairie, (lire en ligne), p.122.
- Source : Convention entre Odiot S.A. et Jean-Denis Maillart du [réf. nécessaire].
- (en) Dxpo-Playing cards, Deck of the month, .
- Beaux-Arts Magazine, , no 21.
- Saint Paul Auction 06480 Colle sur Loup 10 décembre 2023, lot 18, 1000 - 1200€
- Le Journal, , Gallica, BnF.
- « Les expositions », Journal de Monaco, , p. 787.
- Who's who France, 2000-2001, Maillart Jean-Denis.
- (en) « Jean-Denis Maillart », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit , sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787).
- mabfaap.sismu.com.br
- Reproduit dans le catalogue de la donation.
- 1957 (n° d’inventaire : 2004.12.379).
- Museums.fivecolleges.edu.
- (en) Sidney Jowers et John Cavanagh, Theatrical costume, Masks, Make-up and Wigs a bibliography ans iconography., Routledge London and Newyork, Motley Pesss Romsey, , p14 (fl 1951) n°1495
- Accession number E.22196-1957 Victoria and Albert Museum Londres.
- Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6934, 1958
- Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6841, 1949
- Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6934, 1953
- Bertrand Duplessis, Jean-Denis Maillart, entre l'intemporel et le concretd, Éditions Connaissance des hommes, Art, Sciences, Technique, 1987.
- Jean-François Noël, Préface du catalogue de l'exposition des peintures de Jean-Denis Maillart à la Galerie Le Triskèle, Paris, 1981.
- À la demande de Philippe de Chaunac à l’occasion de la rénovation des lieux de cure.
- Le Beau Masque, de Jean-Claude Pascal, éditeur, Robert Laffont, 1986, (ISBN 978-2-2211-7772-3), Chapitre VI.
- François Billaut, « Les Gènes du talent », Point de vue Images du monde, , p. 26-27-28-29.
- Maurice Zalewski, « La Duchesse Diane au milieu des artistes », Point de vue Images du monde, , p. 6-7.
- « Sous la haute présidence de la Comtesse de Paris, le vernissage de Jean-Denis Maillart », La Fête à Paris, du 11 mai au 17 mai 1977, p. 10-11.
- Alfred Edwards, « Nos Peintres », Le Matin, .
- « Jeunes Artistes », Plaisir de France, , p. 22-23.
- Numéros 286 à 298, p. 596.