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Cernusson

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Cernusson
Cernusson
L'église Saint-Nicolas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Intercommunalité Agglomération du Choletais
Maire
Mandat
Guy Dailleux
2020-2026
Code postal 49310
Code commune 49057
Démographie
Gentilé Cernussonais
Population
municipale
331 hab. (2021 en évolution de −7,28 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 10′ 36″ nord, 0° 29′ 02″ ouest
Altitude 109 m
Min. 69 m
Max. 116 m
Superficie 8,45 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cholet-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Cernusson
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Cernusson
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Cernusson
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Cernusson

Cernusson est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Elle se situe dans le Vihiersois, à quelques kilomètres de la ville de Vihiers.

Géographie

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Localisation

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Commune angevine du sud Layon située dans les Mauges, ce territoire rural de l’ouest de la France se trouve à quelques kilomètres au nord-est de Vihiers[1]. Son territoire est essentiellement rural.

Pays de bocage, le Vihiersois se situe dans un triangle entre Angers, Cholet et Saumur.

Communes limitrophes

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Les communes les plus proches sont Montilliers (2 km), Trémont (3 km), La Fosse-de-Tigné (4 km), Aubigné-sur-Layon (5 km), Tigné (5 km), Vihiers (5 km), Tancoigné (6 km), Faveraye-Mâchelles (7 km), Les Cerqueux-sous-Passavant (8 km) et Martigné-Briand (8 km)[2].

Géologie et relief

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À quelques kilomètres au nord et à l'est du Vihiersois se trouve la vallée du Layon, qui marque la transition entre les Mauges et le Saumurois[3]. Le sud de l'Anjou comporte à l'est des terrains secondaires et tertiaires (Saumurois) et à l'ouest des terrains primaires (Mauges). Dans ces derniers, on trouve un pays de bocage sur des terrains de schistes et de granites[4].

Cernusson se situe sur les unités paysagères du couloir du Layon et du Plateau des Mauges[5].

L'altitude de la commune varie de 69 à 116 mètres[6], pour une altitude moyenne de 109 mètres. Son territoire s'étend sur plus de 8 km2 (8 450 hectares)[7].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Martigne-briand », sur la commune de Terranjou à 11 km à vol d'oiseau[10], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 617,0 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

Au , Cernusson est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].

En 2013, on trouve 129 logements sur la commune de Cernusson, dont 92 % sont des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 81 % des ménages en sont propriétaires[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,6 %), terres arables (23,4 %), prairies (14,5 %), forêts (12,8 %), cultures permanentes (9,7 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Formes anciennes du nom : Sernicitum, Sernuchun en 1040, Sarnucium en 1050, Cernussonium en 1482[20], Cernusson en 1793[21],[22].

Cernusson vient de Sarnacius, nom d'homme latin propriétaire du domaine à l'époque gallo-romaine[22].

Nom des habitants (gentilé) : les Cernussonais[23].

L'église n'est d'abord qu'une chapelle seigneuriale dédiée à saint Nicolas. Le fondateur de cette église, et de celle de Montilliers, est le seigneur de Cernusson. Au XIe siècle, elles dépendent de Saint-Florent de Saumur[24].

Ancien Régime

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La paroisse dépend au XVIIIe siècle du doyenné de Vihiers, compris dans le diocèse de La Rochelle, et de l'élection de Montreuil-Bellay[24].

À la veille de la Révolution française, une partie du Vihiersois dépend de la sénéchaussée d'Angers (La Salle-de-Vihiers, Vihiers, Coron) et une autre de la sénéchaussée de Saumur (Tigné, Cernusson, Les Cerqueux, Saint-Paul-du-Bois, La Plaine)[25].

Époque contemporaine

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À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, la commune des Cerqueux-sous-Passavant est rattachée au canton de Vihiers et au district de Vihiers, puis en 1800 à l'arrondissement de Saumur[21].

Comme dans le reste de la région, à la fin du XVIIIe siècle se déroule la guerre de Vendée, qui marquera de son empreinte la région.

En 1794 plusieurs colonnes infernales parcourent la région. En janvier la colonne du général Bonnaire arrive à Concourson qui est incendié. Elle se divise ensuite en deux demi-colonnes, la première passant par Les Cerqueux qui sera incendié et dont les habitants seront massacrés. La seconde passe par Cernusson, où le maire et environ 40 habitants seront fusillés, pour arriver à Montilliers où environ 30 femmes et enfants sont fusillés. Le lendemain la première demi-colonne passera par Saint-Hilaire-du-Bois et Coron, alors que la seconde passera par Le Voide[26].

Pendant la Première Guerre mondiale, 16 habitants perdent la vie[27].

Politique et administration

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Administration municipale

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La mairie.
La Mairie.

La commune est créée à la Révolution (Cernusson)[21]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[28].

Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
an V   Pierre Gélineau   agent municipal
20 juin 1800   Berthelot   maire
1808   Jacques Souchet    
21 novembre 1808   Trou    
1816   Louis-Jean Brisset    
1830   Jacques Gélineau    
1843   Louis Brisset    
1843   Jacques Bernier    
1852   François Hêtreau    
1862   J. Bernier    
1866   J. Gélineau    
1874   Louis Brault    
1881   Pierre Bernier    
1884   Maurille Gélineau    
1892   Jean Simon    
1900   Victor Gélineau    
1912   Jean Augereau    
1919   Victor Gélineau    
1945   Louis Goubault    
1955   Josephine Goubault    
mars 1989 1995 André Godet    
juin 1995 2008 Lucien Pantais[30]   cuisinier
mars 2008 En cours
(au 30 mai 2020)
Guy Dailleux[31],[32]   directeur d'un établissement postal
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Cernusson était intégrée à l'ancienne communauté de communes Vihiersois-Haut-Layon, qui regroupait douze communes, dont Montilliers, Trémont et La Fosse-de-Tignét[33]. Cette structure intercommunale était un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui avait pour vocation de réunir les moyens de plusieurs communes, notamment dans le domaine du tourisme[34]. Depuis le 1er janvier 2017, la commune est membre de l'agglomération du Choletais après la fusion avec la communauté de communes du Vihiersois-Haut-Layon[35].

La communauté de communes est membre du Pays de Loire en Layon, structure administrative d'aménagement du territoire.

Autres circonscriptions

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Jusqu'en 2014, la commune fait partie du canton de Vihiers et de l'arrondissement de Saumur[36]. Le canton de Vihiers compte alors dix-sept communes. C'est l'un des quarante et un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. Le canton de Vihiers disparait et la commune est rattachée au canton de Cholet-2, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[37].

La commune se trouve sur la quatrième circonscription de Maine-et-Loire, composée de six cantons dont Vihiers et Montreuil-Bellay.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 331 habitants[Note 1], en évolution de −7,28 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
330245321295327356362401391
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
397386390377381389390362368
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
385348354301300296303303296
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
261254236246270279274263306
2014 2019 2021 - - - - - -
351337331------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,7 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 170 hommes pour 175 femmes, soit un taux de 50,72 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,2 
3,6 
75-89 ans
5,8 
15,1 
60-74 ans
15,2 
21,7 
45-59 ans
18,7 
21,1 
30-44 ans
18,1 
12,7 
15-29 ans
10,5 
25,3 
0-14 ans
30,4 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Les services publics présents sur la commune de Cernusson sont la mairie et une école maternelle. Les autres services publics se trouvent à Vihiers, ainsi que les structures sociales (ADMR du Vihiersois…) et culturelles (école de musique intercommunale…).

La plupart des structures de santé se situent également à Vihiers, tel l'hôpital local[43] ou le centre de secours.

Le ramassage des déchets est géré par le Syndicat mixte intercommunal pour le traitement des ordures ménagères et des déchets, le Smitom du Sud Saumurois, qui se trouve à Doué-la-Fontaine[44].

On trouve sur la commune une aire de jeux à côté de la motte féodale, ainsi qu'une randonnée, le sentier des Layons de Cernusson de 7 km[45]. L'office du tourisme est situé à Vihiers.

Tissu économique

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Commune principalement agricole, fin 2008, 19 établissements sont présents, dont 58 % relevaient du secteur de l'agriculture[46]. Deux ans plus tard, en 2010, sur 23 établissements présents sur la commune, 48 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), aucun du secteur de l'industrie, 13 % du secteur de la construction, 30 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[47].

Sur 25 établissements présents sur la commune à fin 2014, 32 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), aucun du secteur de l'industrie, 24 % du secteur de la construction, 36 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[18].

Une zone d'activités est présente sur les communes de Vihiers et Montilliers (Anjou Actiparc Vihiersois-Haut-Layon).

Agriculture

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Liste des appellations présentes sur le territoire[48] :

  • IGP Agneau du Poitou-Charentes, IGP Bœuf du Maine, AOC AOP Maine-Anjou, IGP Volailles de Cholet, IGP Volailles d’Ancenis,
  • IGP Brioche vendéenne,
  • AOC AOP Anjou blanc, AOC AOP Anjou gamay, AOC AOP Anjou gamay nouveau ou primeur, AOC AOP Anjou mousseux blanc, AOC AOP Anjou mousseux rosé, AOC AOP Anjou rouge, AOC AOP Cabernet d'Anjou, AOC AOP Cabernet d'Anjou nouveau ou primeur, AOC AOP Crémant de Loire blanc, AOC AOP Crémant de Loire rosé, IGP Maine-et-Loire blanc, IGP Maine-et-Loire rosé, IGP Maine-et-Loire rouge, AOC AOP Rosé d'Anjou, AOC AOP Rosé d'Anjou nouveau ou primeur, AOC AOP Rosé de Loire, AOC AOP Saumur mousseux blanc, AOC AOP Saumur mousseux rosé, IGP Val de Loire blanc, IGP Val de Loire rosé, IGP Val de Loire rouge.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Bien que l'on ne trouve pas sur la commune de Cernusson de bâtiments inscrits Monuments historiques, plusieurs figurent à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • Chapelle Saint-Nicolas[49], des XIIe et XVIIe siècles, église dite chapelle Saint-Nicolas, fillette de l'église priorale[Note 2] Saint-Hilaire de Montilliers jusqu'au XVe siècle pour devenir ensuite église paroissiale ;
  • Édifice fortifié, route de la Fossé de Tigné, vestiges (motte féodale où, à l’origine, une tour en bois avait été bâtie[23], fossé) des Xe et XIIe siècles[50] ;
  • Plusieurs fermes des XVe et XVIe siècles ;
  • Maison de maître, lieu-dit la Gaillarderie, du XVIIe siècle avec cheminées encore en place ;
  • Et plusieurs autres maisons des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Moulins à vent, lieu-dit le Moulin, des XVe et XVIe siècles.

Personnalités liées à la commune

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  • Louis Bonnaire (1751-1807), général de l'armée républicaine qui passera dans la région (8e colonne).

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105), p. 598-599.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 1 (A-C), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 564-565.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. Priorale sur Wiktionnaire.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. IGN et BRGM, Géoportail Cernusson (49), consulté le 3 juillet 2011.
  2. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Cernusson (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 21 juin 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  3. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 146.
  4. Louis Poirier, « Essai sur la morphologie de l'Anjou méridional (Mauges et Saumurois) », Annales de Géographie, t. 44, no 251,‎ , p. 474 (lire en ligne).
  5. Atlas des paysages de Maine-et-Loire (op. cit.) — Données consultables sur WikiAnjou.
  6. IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2012 — Données consultables sur WikiAnjou.
  7. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Cernusson et Terranjou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Martigne-briand », sur la commune de Terranjou - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Martigne-briand », sur la commune de Terranjou - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. Insee, « Métadonnées de la commune de Cernusson »..
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Cernusson (49), consultées le 13 novembre 2016.
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Célestin Port 1874, p. 564-565 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
  21. a b et c École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Cernusson, consultée le 19 septembre 2011 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  22. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 45.
  23. a et b Office du Tourisme Vihiersois-Haut-Layon, Cernusson, consulté le 19 septembre 2011.
  24. a et b Célestin Port 1965, p. 598-599.
  25. Carte du Saumurois sous l'Ancien régime notamment réalisée à partir de l'ouvrage de Maïté Lafourcade, La Frontière des origines à nos jours, Presses Universitaires de Bordeaux, 1998.
  26. Nicolas Delahaye et Pierre-Marie Gaborit, Les 12 colonnes infernales de Turreau, Cholet, Pays et terroirs, (ISBN 2908048205).
  27. Port 1965, p. 598.
  28. Legifrance, Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
  29. Célestin Port 1965, p. 599, liste des maires jusqu'en 1965.
  30. Patrick Garnero (dir.), Annuaire des maires de Maine et Loire, Cannes, EIP Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 9782352581499, lire en ligne), p. 37.
  31. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 18 avril 2014.
  32. « Cernusson. Guy Dailleux est réélu maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  33. Insee, Composition de l'EPCI du Vihiersois Haut-Layon (244900981), consulté le 17 juillet 2013.
  34. Office du tourisme du Vihiersois, Montilliers, consulté le 17 septembre 2011.
  35. Schéma départemental de coopération intercommunale de Maine-et-Loire - Février 2016
  36. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Cernusson, consultée le 22 février 2015.
  37. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cernusson (49057) », (consulté le ).
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  43. Fédération Hospitalière de France, Hôpital local (Vihiers), consulté le 6 octobre 2011.
  44. Smitom Sud Saumurois, Son territoire, consulté le 29 septembre 2011.
  45. Office du tourisme du Vihiersois, Cernusson, consulté le 17 septembre 2011.
  46. Insee, Statistiques locales 2008 du territoire de Cernusson, consultées le 19 septembre 2011.
  47. Insee, Statistiques locales du territoire de Cernusson (49), consultées le 12 décembre 2012.
  48. INAO, Fiche de Cernusson (49), consultée le 20 septembre 2011 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
  49. « Chapelle Saint-Nicolas », notice no IA00052090, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « Édifice fortifié », notice no IA00052091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.