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César Alvajar

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Pour les articles homonymes, voir Alvajar.

César Alvajar
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nationalité
Formation
Activités
Conjoint
Enfants
Amparo Alvajar
Ana María Alvajar L. Jean (d)
Javier Alvajar (d)
María Teresa Alvajar (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
La Voz de Galicia
Tierra Gallega (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de

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César Alvajar Diéguez, né à La Corogne le et mort le à Paris, est un écrivain, journaliste et homme politique galicien, républicain espagnol.

Biographie

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Étudiant à Saint-Jacques-de-Compostelle, il y fonde le journal progressiste La República[1]. Il est également rédacteur en chef d' El Progreso, collaborateur des journaux Tierra Gallega et El Noroeste. ll crée également l'hebdomadaire satirique La Ciudad à La Corogne.

Lors de la grève générale de 1917, il est emprisonné au château de San Antón.

Il dirige plus tard l'hebdomadaire politique Adelante, puis devient, pendant 18 ans, le rédacteur en chef de La Voz de Galicia jusqu'en 1935.

Au niveau politique, il est président du Parti radical et candidat aux élections législatives de 1931. Il quitte néanmoins se parti pour rejoindre le Parti républicain radical-démocrate puis l'Union républicaine.

Pendant la Seconde République, il est gouverneur civil de Soria.

Lorsque éclate la guerre d'Espagne, il est le chef du ministère de la délégation d'évacuation du Conseil de défense de Madrid, rédacteur en chef de la section d'information du ministère d'État à Barcelone et rédacteur en chef des services d'état-major général de l'Armée.

Lorsque les nationalistes arrivent au pouvoir, en 1939, il doit s'exiler en France. Jugé et condamné par contumace par le régime franquiste, il continue sa résistance en France[2]. Il s'installe d'abord à Vimoutiers, dans le département de l'Orne, en Normandie, avec sa compagne Amparo López Jean[3], puis rejoint Paris[2], où il dirige La Nouvelle Espagne, organe du gouvernement républicain en exil.

Il représente la Galice à Paris, et, de 1951 jusqu'à sa mort, est délégué au Conseil de Galice.

Famille

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Il est le compagnon de la militante féministe Amparo López Jean[4].

Le couple a quatre enfants :

  • Amparo Alvajar, journaliste
  • Ana María Alvajar L. Jean, musicienne
  • Javier Alvajar López, homme politique
  • María Teresa Alvajar, écrivaine[5].
Sépulture de César Alvajar et d'Amparo López Jean au cimetière de San Amaro de La Corogne.

Notes et références

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(gl) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en galicien intitulé « César Alvajar » (voir la liste des auteurs).
  1. ↑ (en) « César Alvajar Diéguez | Galegos | Gallegos », sur galegos.galiciadigital.com (consulté le )
  2. ↑ a et b (en-GB) « César Alvajar no balcon da súa casa de París, acompañado de Mercedes Pintos de Conde ; César Alvajar nos xardíns de Luxemburgo, París », sur www.europeana.eu (consulté le )
  3. ↑ « César Alvajar »
  4. ↑ « Rita Amparo López Jeán | Álbum de mulleres | culturagalega.org », sur culturagalega.gal (consulté le )
  5. ↑ (es) I. B. | a coruña, « Muere María Teresa Alvajar, la última de una histórica saga republicana coruñesa », sur La Opinión de A Coruña, (consulté le )

Liens externes

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