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Brezolles

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Brezolles
Brezolles
L'église Saint-Nicolas de Brezolles, XVe siècle
Logo monument historique Classé MH (1913).
Blason de Brezolles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Loïc Barbier
2020-2026
Code postal 28270
Code commune 28059
Démographie
Gentilé Brézolliens
Population
municipale
1 805 hab. (2021 en évolution de −2,27 % par rapport à 2015)
Densité 127 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 41′ 28″ nord, 1° 04′ 24″ est
Altitude Min. 144 m
Max. 185 m
Superficie 14,23 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Lubin-des-Joncherets
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Brezolles
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Brezolles
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Brezolles
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Brezolles
Liens
Site web http://www.brezolles.fr/

Brezolles (ou Brézolles[1]) est une commune française située dans la région naturelle du Thymerais dans le nord-ouest du département d'Eure-et-Loir et de la région Centre-Val de Loire.

Située non loin de la vallée de l'Avre, la rivière qui servait de frontière naturelle entre le royaume de France et la Normandie, la ville qui dépendait au XIIIe siècle de la puissante baronnie de Châteauneuf-en-Thymerais a longtemps été le théâtre d’affrontements armés entre les deux camps.

Géographie

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Située dans le nord-ouest de l'Eure-et-Loir, la commune se trouve seulement à quelques kilomètres de la frontière entre la région Centre-Val de Loire et la Normandie. La ville fait partie du Thymerais, une sous-région née du défrichement du Perche[2]. Celui-ci désignait une zone forestière connue avant le VIe siècle, à ne pas confondre avec l'ensemble formé par les circonscriptions politiques établies sur l'ancienne silva pertica.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Brezolles est traversée par la Meuvette, affluent en rive droite de l'Avre, sous-affluent du fleuve la Seine par l'Eure[3].

Voies de communication et transports

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Accès routier

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Brezolles est traversée du nord-ouest au sud-est par la D 939, qui relie Verneuil-sur-Avre (Eure) à Angerville (Essonne), via Châteauneuf-en-Thymerais et Chartres.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 643 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Laons à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 561,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Brezolles est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,1 %), zones urbanisées (7,4 %), prairies (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), forêts (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Brezolles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Gervaine et le Meuvette. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2018[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brezolles.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[18]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 59,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 696 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 485 sont en aléa moyen ou fort, soit 70 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Brézolles devient Brezolles le 1er janvier 1997.

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Bruerolensts vicus vers 1060, Bruerolae en 1189, Brueroliae en 1200, Brusolles en 1308, Bresolles en 1466[22].

De l'oïl bruère « champ de bruyères »[22]. Toponyme apparentés au latin médiéval brugariae, brousse ou petit bois, contrée ou paysage de landes à éricacées, en particulier à bruyères.

L'évolution du toponyme gallo-romain sous diverses formes peut donner en ancien français Bruères, Brouères, Blouire, Belouires, Bière, Berrioure, Bérouère.

La région environnante couverte de forêts était appelée, vers l'an 600 voire à une époque bien plus reculée, le Perche. Cette appellation ne s'appliquait pas encore au début du XIe siècle aux divisions politiques ou administratives. Néanmoins, la région boisée du Perche fut partagée entre le comté de Corbon (Mortagne), la baronnie de Châteauneuf, le comté et l’évêché de Chartres, la vicomté de Châteaudun et le comté de Vendôme. Le défrichement progressif de cette forêt fit reculer le Perche et laissa place au Thymerais.

Le premier seigneur connu de Brezolles fut Ingulphe Ribaud qui fonda l'église primitive et mourut vers 1050. Son fils Albert lui succéda de 1050 à 1072 et donna l'église aux moines de l'abbaye de Saint-Père de Chartres. En 1070, les moines construisirent l'étang sur des terres qu'ils achetèrent au chevalier Gauthier d'Angennes. Le successeur d'Albert, Hugues Ier (1073-1090) fit agrandir l'étang. Gervais Ier, seigneur de Brezolles et du Thymerais, donna aux moines un four, la terre de Tournaise, la moitié d'une tannerie et l'eau nécessaire pour leur exploitation. En 1152, lors du règne de Hugues II (1140-1170), le château fut incendié puis de nouveau en 1159 et 1168.

Brezolles, tout comme La Ferté-Vidame, Maillebois et Châteauneuf-en-Thymerais possédait une place forte qui faisait partie de la seconde ligne défensive du royaume de France face à la Normandie, située de l'autre côté de l'Avre depuis le traité de Saint-Clair-sur-Epte de 911.

Brezolles ainsi que toute la région dépendait au XIIIe siècle des puissants barons de Châteauneuf-en-Thymerais. D'un point de vue féodal[23], ce grand fief formé dès 1200, fut divisé en 1563 en deux parties relevant l'une et l'autre de la Couronne de France ; d'un côté Châteauneuf, de l'autre Senonches et Brezolles, érigées plus tard en comté de Senonches.

Avec la fin de la lignée des barons de Châteauneuf, leurs fiefs sont séparés. Brezolles revient au gré de l'histoire à Charles de Gonzague, de la Maison de Gonzague, une famille de princes italiens originaires de Mantoue, et qui sont ducs de Nevers. Ils détiennent aussi la seigneurie de Senonches, et achèteront plus tard Châteauneuf-en-Thymerais. La ville doit son blason à cette famille, et à cette époque. En 1566, les seigneuries de Senonches et Brezolles sont érigées en principauté de Mantoue par Charles IX, en faveur de Louis IV de Gonzague.

1899-1932 (Tramways d'Eure-et-Loir)

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La gare de Brezolles, 1910.

En 1899, les Tramways d'Eure-et-Loir ouvrent la ligne Dreux-Brezolles. En 1907, la ligne est prolongée jusqu'à Senonches.

1939 (guerre civile espagnole)

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Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[24], dont[25]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[26]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[27].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1989 Monique Lesueur    
1989 1993 Jean Desforges    
1993 2014 Hubert Hériot    
mars 2014 En cours Loïc Barbier[28],[29]   Ancien cadre

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
782716804853948886912936964
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
947920926906903895855861839
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8328188629209628529199071 112
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2261 1381 3171 4291 6951 7081 6551 8381 819
2021 - - - - - - - -
1 805--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Brezolles est situé dans l'académie d'Orléans-Tours en zone B[32] et les établissements présents sur son territoire sont placés sous l'autorité des services de la DSDEN d'Eure-et-Loir[33]. Ces administrations représentent au niveau local le ministère de l'Éducation nationale qui pilote au plan national le système éducatif français. C'est la carte scolaire qui régit l'enseignement sur la commune. La ville dispose de plusieurs établissements scolaires publics et privés.

Enseignement primaire

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Les établissements d'enseignement primaire de la commune appartiennent à la circonscription territoriale du premier degré de Dreux II[34] des services de la DSDEN d'Eure-et-Loir. Ces établissements scolaires se répartissent entre écoles maternelles et écoles élémentaires.

Les écoles maternelles
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L'école maternelle est une école qui accueille de très jeunes enfants pour les préparer aux apprentissages fondamentaux de la lecture, de l'écriture et du calcul. C'est une période préparatoire à l'enseignement élémentaire : les objectifs essentiels sont la socialisation, la mise en place du langage, du nombre et du geste graphique.

Les établissements communaux sont :

  • école maternelle J. Desforges
  • école maternelle privée Sainte-Marie
Les écoles élémentaires
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L'objectif principal de l'école élémentaire est d'enseigner aux enfants les savoirs fondamentaux tels que l'apprentissage de la lecture (lire), de l'écriture (écrire) et du calcul (compter). Les activités d'éveil (activités artistiques et ludiques) y restent importantes, surtout dans les premières classes.

Les établissements communaux sont :

  • école élémentaire Les Remparts
  • école élémentaire privée Sainte-Marie

Enseignement secondaire

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Les établissements d'enseignement secondaire comprennent les collèges et les lycées dont l'enseignement est sanctionné par des diplômes.

La commune accueille le collège Maurice de Vlaminck. L'enseignement s'y déroule sur quatre années de la 6e à la 3e et correspond au premier cycle des études du second degré. Elles sont sanctionnées par le diplôme national du brevet (DNB), anciennement BEPC.

Orientation

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Au niveau de l'orientation, Brezolles dépend du CIO de Dreux[35], l'un des quatre CIO que compte le département d'Eure-et-Loir[36]. Les informations proposées par les CIO peuvent être complétées par celles proposées au plan national par l'Onisep. Placé sous la tutelle commune des ministères de l'Éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la Recherche, cet organisme a pour vocation d'offrir toutes les informations sur les études et les métiers : formations, établissements formateurs, débouchés, etc.

  • Catholicisme : Brezolles dépend du diocèse de Chartres et appartient à la paroisse Saint François de Laval en Thymerais[37] de la doyenné des Forêts[38]. Le lieu de culte est l'église Saint-Nicolas.
  • Protestantisme : Brezolles abritait une importante communauté protestante[39] et la ville semble avoir eu plusieurs pasteurs avant 1572. L'un d'eux, Mathieu Cartaut[40], fut chassé par le massacre de la Saint-Barthélemy et se réfugia en Angleterre avant de se fixer à Dieppe vers 1589. Le protestantisme semble s'être néanmoins maintenu dans la ville jusqu'en 1608. Une partie de la communauté s'est ensuite réfugiée à La Ferté-Vidame[41].
  • Judaïsme : L'existence d'une rue dite aux juifs atteste l'existence d'une communauté à Brezolles, probablement au Moyen Âge.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Saint-Nicolas

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XVe siècle, Logo monument historique Classé MH (1913)[42].

Éolienne Bollée

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Une éolienne Bollée est conservée sur le territoire de la commune[43].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

D'or (D'argent) à la croix en filet, les extrémités pattées [croix pattée estrée] de gueules, cantonnée de quatre aiglettes de sable (becquées, languées et membrées de gueules); sur le tout, écartelé aux 1er et 4e d'argent (de gueules) au lion d'or, aux 2e et 3e de sable (d'argent / d'or) à trois fasces d'or (de sable) [44].

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. L'orthographe « Brézolles » avec l'accent aigu figure dans certains textes de loi officiels, par exemple la loi no 86-1197 du 24 novembre 1986 relative à la délimitation des circonscriptions pour l'élection des députés dans sa liste en annexe, et dans certains décrets et arrêtés préfectoraux ou gouvernementaux, ou des arrêts de justice de plusieurs juridictions.
  2. Le Perche par René Musset Annales de Géographie, année 1919, volume 28, no 155, p. 354.
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Meuvette (H4240600) » (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Brezolles et Laons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Laons », sur la commune de Laons - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Laons », sur la commune de Laons - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Brezolles », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Brezolles », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. a et b Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - page 265.
  23. Charte servant de pièce justificative à la géographie du Perche par le vicomte de Romanet
  24. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps, no 44,‎ , p.43 (lire en ligne).
  25. Sodigné-Loustau 1996, p. 46.
  26. Sodigné-Loustau 1996, p. 43-44.
  27. Sodigné-Loustau 1996, p. 47.
  28. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Calendrier scolaire sur le site du ministère de l’Éducation
  33. DSDEN d'Eure-et-Loir
  34. Circonscription territoriale Dreux II-DSDEN Eure-et-Loir
  35. CIO Centre d'Information et d'Orientation de Dreux
  36. CIO d'Eure-et-Loir
  37. Paroisse Saint François de Laval en Thymerais
  38. Doyenné des Forêts, Diocèse de Chartres
  39. N. Weiss, « Eglises réformées disparues », Bulletin historique et littéraire / Société de l'histoire du protestantisme français,‎ , p.85 (lire en ligne).
  40. Weiss 1895, p. 86.
  41. Weiss 1895, p. 87.
  42. « Église Saint-Nicolas », notice no PA00096983, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. L'éolienne Bollée de Brezolles, sur le site de la ville.
  44. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.