[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Bosc-le-Hard

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bosc-le-Hard
Blason de Bosc-le-Hard
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité CC inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Philippe Vincent
2020-2026
Code postal 76850
Code commune 76125
Démographie
Gentilé Bolhardais
Population
municipale
1 579 hab. (2021 en évolution de +7,71 % par rapport à 2015)
Densité 152 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 38″ nord, 1° 10′ 37″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 176 m
Superficie 10,37 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neufchâtel-en-Bray
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bosc-le-Hard
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bosc-le-Hard
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Seine-Maritime
Bosc-le-Hard
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Bosc-le-Hard

Bosc-le-Hard ([bolar]) est une commune française rurale située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie. La commune comptait 1532 habitants en 2019.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Carte de la commune.

Bosc-le-Hard, située au nord de Rouen, est un petit bourg de la campagne normande. Il est la principale commune du sud du canton. Il est une des communes du pays de Bray.

Il occupe un plateau surélevé au-dessus de deux rivières : le Cailly et la Varenne. Le plateau est partagé entre des cultures, des prairies et quelques bosquets.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Environnement

[modifier | modifier le code]

Depuis 1969, la commune accueillait un site industriel de rénovation d'emballages métalliques (connue sous le nom de REM) qui y recyclait des fûts métalliques en provenance de l'industrie pétrochimique. Sur son site, une zone de lagunage a été déclarée contaminée en hydrocarbures, en métaux lourds et en solvants chlorés par la DRIRE. Ces lagunes auraient provoqué une pollution en hydrocarbures des eaux souterraines d'après un relevé de la DRIRE effectué en juillet 1997[1]. La société a fait l'objet de plusieurs rapports et arrêtés préfectoraux visant à améliorer la qualité de ses rejets. Un rapport de la DRIRE établi en 2004 stipule par exemple que la société est à l'origine « d'importants rejets de composés organiques volatils » et « de rejets notables d'effluents liquides pollués vers le milieu naturel[2]. » L'ex-PDG a été condamné pour les infractions relevées par la DRIRE à 3 000  d'amende avec sursis et 780  de contravention[3].

La société REM a été mise en liquidation judiciaire en mai 2007[4]. Une partie de l'activité a été reprise en juin 2008 par l'entreprise Green Pack[5] et sous la codirection du neveu du fondateur de la REM[6]. La maire de Bosc-le-Hard (C. Biville) constate « que tout était fait par les repreneurs pour que rien ne soit plus comme avant[7]. »

En août 2012 des résidents de Bosc-le-Hard se plaignaient d'odeurs désagréables qui émanaient de l’usine Green-Pack[8]. Sur sollicitation de l'association Respire, Martine Laquièze, sous-préfète de Dieppe, précise que « cet établissement a fait l'objet d'un contrôle par l'inspection des installations classées le 20 avril 2012[9] » et que « cette inspection n'a mis en lumière aucune problématique de nuisances olfactives[9] », tout en précisant que « le jour de la visite, les installations n'étaient pas en fonctionnement[9] ». La sous-préfète ajoute que la visite a révélé le non respect par Green Pack de certaines prescriptions réglementaires :

  • « l'absence de réalisation du Plan de Gestion des Solvants (PGS) l'empêchant de justifier ses niveaux d'émissions atmosphériques[9] »
  • « la présence de stockages à l'air libre d'effluents solvantés[9] ».

Ces manquements ont conduit les services préfectoraux à demander à la société Green Pack le 14 juin 2012 de « transmettre sous 3 mois son plan de gestion des solvants et de supprimer sous 6 mois les stockages à l'air libre d'effluents solvantés[9] »

Le 29 octobre 2013, la société Green Pack a été déclarée en liquidation judiciaire par le Tribunal De Commerce De Dieppe, désignant Maître Béatrice Pascual en tant que liquidateur judiciaire[10].

Par arrêté du 16 juillet 2015, la DREAL a mis en demeure la société Green Pack, représentée par son liquidateur judiciaire, de prendre, conformément au code de l'environnement, les mesures de mise en sécurité suivantes :

  • mise en œuvre d'une clôture
  • nettoyage et évacuation des matières visqueuses et pâteuses des anciens ateliers
  • vidange et remblayage des lagunes
  • élimination des déchets entreposés à l'intérieur et à l'extérieur des ateliers (fût, big bags, GRV)
  • élimination des résidus huileux du bac solvant disposé à l'extérieur des ateliers
  • élimination des 450 tonnes de résidu d'huiles minérales conditionnées en GRV[10]

La DREAL a évalué les travaux de dépollution à un million d’euros. Camille Percheron, avocate du liquidateur judiciaire a déclaré n'avoir que 100 000 euros à disposition à la suite de la liquidation de la société[11].

En août 2015, une pollution huileuse du ruisseau le Chasse-fétu a été constatée sans qu'aucun lien n'ai été fait avec le site pollué de Green Pack. Le maire, Philippe Vincent, n’a pas porté plainte pour cette pollution[11].

Le 22 décembre 2017, l'ADEME a attribué sur ses fonds propres[12] le marché de vidange, curage et sécurisation des bassins du site Green-Pack à la société Hydroter pour un montant de 219 247 euros[13].

Le 5 juillet 2018, la dépollution du site entamée par la société Hydroter a été interrompue par arrêté municipal à la suite des plaintes des riverains incommodés par des odeurs, la présence de poudre blanche et se plaignant de maux de tête et de quintes de toux[14],[15].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[17]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 21 km à vol d'oiseau[19], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Au , Bosc-le-Hard est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle est située hors unité urbaine[24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[24]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,1 %), prairies (13,2 %), zones urbanisées (8,3 %), forêts (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (4 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom du village est attesté sous la forme latinisée Bosco Rohardi en 1080, puis Bosc-le-Hart en 1460, Bollehart en 1501, le Bolhard en 1715[28].

En Haute-Normandie, le mot « bois » a conservé sa forme originelle de bosc (parfois réduit à -boc ou Bos-) en toponymie. Il est généralement précédé ou suivi (dans les formations toponymiques plus récentes) d'un anthroponyme. Il s'agit ici de Rothardus / Rohardus[28], formes latinisées d'un nom de personne germanique, qui subsiste peut-être dans le nom de famille Rouard.

Grossièrement transcrite, l'évolution phonétique pourrait être la suivante : *Boscro[t]hard > *Bosroard > *Bôroard > *Bôrœard > *Bôlœard > *Bolard. [r] est passé à [l] comme c'est souvent le cas. L'apparition de l'article semble tardive.

Ses habitants sont les Bolhardais d'après l'étymologie et la prononciation traditionnelle du nom de la commune « le Bôlar »[28] API : [lœbolar]. Le nom officiel Bosc-le-Hard [boləar] est basé sur une graphie datant de 1460.

Vers le XIe siècle, Bosc-le-Hard abrite un château fort sur la route de Tôtes.

Le , Jeanne d'Arc, achetée par les Anglais au duc de Bourgogne, y séjourne une nuit, dans sa route vers la prison de Rouen[réf. nécessaire].

En 1813, Bosc-le-Hard absorbe la commune voisine d'Augeville[29].

Le bourg a été desservi par une gare de 1867 à 1938 sur la ligne de Montérolier - Buchy à Motteville.

Lors de la guerre franco-allemande de 1870, le , les troupes françaises y sont défaites face aux Prussiens lors d'une bataille pour le contrôle de la voie ferrée.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bellencombre[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Neufchâtel-en-Bray..

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Bosc-le-Hard était membre de la communauté de communes du Bosc d'Eawy, créée en 2002.

Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité est dossoute le et ses communes réparties entre trois intercommunalités.

C'est ainsi que Bosc-le-Hard est désormais membre de la communauté de communes Inter-Caux-Vexin créée le .

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[30]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1835   Guillaume Pessy    
/1866   Pierre Mathurin Lenormand    
1899   Édouard Rochette    
Les données manquantes sont à compléter.
1923   Louail    
20 juin 1927 13 mars 1940 Maurice Avenel    
1959 1979 Jacques Bénet   Haut fonctionnaire
  1989 Jean Moulin   Pharmacien
    Michel Gluntz   Professeur
mars 2001 janvier 2007 Christine Couvelard    
février 2007[31] 2014[32] Chantal Biville   Présidente de la CC du Bosc d'Eawy (2008 → 2014)
2014[33],[34] En cours
(au 26 mai 2020)
Philippe Vincent DVD Directeur de l'école Guy-de-Maupassant
Réélu pour le mandat 2020-2026[35],[36]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

En 2021, la commune comptait 1 579 habitants[Note 2], en évolution de +7,71 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
670617610735750740814717756
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
754738756736720740703749826
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
879758730776766791796860833
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8258761 2241 1781 2711 4101 4631 4491 491
2015 2020 2021 - - - - - -
1 4661 5671 579------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le bourg est riche en commerces et artisans de toutes sortes[réf. souhaitée] et compte deux supermarchés[réf. souhaitée].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Bosc-le-Hard est un bourg dont la grande rue est dite place du Marché. De chaque côté se dressent des maisons à caractère bourgeois qui forment un bel ensemble. Cet ensemble est rehaussé par une demeure majestueuse et un beau manoir dit le « Petit Château » où se trouve actuellement la mairie.

  • l'église Saint Jean-Baptiste[40],
  • l'église Saint Jean-Éloi à Augeville[41],
  • le monument aux morts (1921)[42],
  • le pressoir à cidre typique.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Joseph Caulle (1885-1915), champion de France du 800 mètres en athlétisme. Il est né à Bosc-le-Hard en 1885 et y a vécu. Il est mort au combat en 1915. Son palmarès sportif est limité mais sa notoriété locale est forte. En son souvenir, la commune a donné son nom à l'Amicale sportive et à l'une des rues du village.
  • Albert Malet (1905-1986), artiste peintre né à Bosc-le-Hard.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Armes de Bosc-le-Hard

Les armes de la commune de Bosc-le-Hard se blasonnent ainsi :

De gueules à l’agneau pascal d’or à la tête contournée nimbée d’argent, tenant avec sa patte senestre une croix à longue hampe du même de laquelle pend une banderole aussi d’or chargée d’une croisette du champ, au chef cousu d’azur.

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Ministère de l'Écologie, du Développement et de l'Aménagement durables, « Base de données BASOL sur les sites et sols pollués (ou potentiellement pollués) appelant une action des pouvoirs publics, à titre préventif ou curatif » (consulté le ).
  2. DRIRE, « Société R.E.M - Rapport de l'inspection des installations classées au Conseil Départemental d'Hygiène » (consulté le ).
  3. « Bosc-Le-Hard L'ancien PDG de la REM condamné Deux ans après la liquidation de la société REM », Paris-Normandie, Edition de Dieppe Bray,‎ .
  4. Patrick Bottois, « REM met la clé sous la porte », Usine Nouvelle, (consulté le ).
  5. Green Pack Site officiel de Green-Pack
  6. « Extrait de l’article de G.D. », Le journal des Entreprises,‎ , p. 11.
  7. Mairie de Bosc-le-Hard, « LETTRE MUNICIPALE D'INFORMATION DE BOSC LE HARD N°83 - Novembre 2008 » (consulté le ).
  8. « Cohabitation usine et voisinnage »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Respire, (consulté le ).
  9. a b c d e et f « Cohabitation usine et voisinage (suite) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Respire, (consulté le ).
  10. a et b [1]
  11. a et b [2]
  12. [3]
  13. [4]
  14. « Bosc-le-Hard. Les travaux de dépollution alarment », sur actu.fr (consulté le ).
  15. « Dépollution. Un nouvel arrêté a été pris par la mairie de Bosc-le-Hard », sur actu.fr (consulté le ).
  16. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  18. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  19. « Orthodromie entre Bosc-le-Hard et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
  20. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  21. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  22. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  23. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bosc-le-Hard ».
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. a b et c François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 49.
  29. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. « Les maires de Bosc-le-Hard », sur francegenweb.org (consulté le ).
  31. « Chantal Biville élue », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  32. Nicolas Demollien, « Pourquoi le maire Chantal Biville raccroche : Elle ne s'en est jamais caché : le maire de Bosc-le-Hard Chantal Biville raccrochera son écharpe de maire à la fin de son mandat, en mars prochain. Interview. », Le Réveil,‎ (lire en ligne).
  33. « Bosc-le-Hard : Philippe Vincent sera tête de liste en mars : Bosc-le-Hard. Philippe Vincent, qui souhaite succéder à Chantal Biville, dévoile la liste qu'il conduira en mars lors de l'élection municipale », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  34. « [http://www.seine-maritime.gouv.fr/content/download/19239/144410/file/745%20communes%20municipales16.11.15.pdf %20titre=Liste%20des%20maires%20élus%20en%202014 Liste des maires de Seine-Maritime] »([https://web.archive.org/web/*/http://www.seine-maritime.gouv.fr/content/download/19239/144410/file/745%20communes%20municipales16.11.15.pdf %20titre=Liste%20des%20maires%20élus%20en%202014 Archive.org] • [https://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://www.seine-maritime.gouv.fr/content/download/19239/144410/file/745%20communes%20municipales16.11.15.pdf %20titre=Liste%20des%20maires%20élus%20en%202014 Wikiwix] • [https://archive.is/http://www.seine-maritime.gouv.fr/content/download/19239/144410/file/745%20communes%20municipales16.11.15.pdf %20titre=Liste%20des%20maires%20élus%20en%202014 Archive.is] • [https://webcache.googleusercontent.com/search?hl=fr&q=cache:http://www.seine-maritime.gouv.fr/content/download/19239/144410/file/745%20communes%20municipales16.11.15.pdf %20titre=Liste%20des%20maires%20élus%20en%202014 Google] • Que faire ?) [PDF], Liste des élus, Préfecture de Seine-Maritime, (consulté le ).
  35. Stéphanie Petit, « Philippe Vincent présente sa liste « Bosc-le-Hard nous rassemble » : Philippe Vincent sera candidat à sa succession les 15 et 22 mars. Le maire sortant se présente avec une liste partiellement renouvelée », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « A Bosc-le-Hard, Philippe Vincent est de nouveau maire : Philippe Vincent a été réélu maire de Bosc-le-Hard en conseil municipal à huis clos lundi 25 mai. Il est accompagné de quatre adjoints pour cette nouvelle mandature », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Notice no IA00022953, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Notice no IA00022954, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Notice no IA00022952, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.