Bitter SC
Bitter SC | ||||||||
Version coupé. | ||||||||
Marque | Bitter | |||||||
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Années de production | 1979-1989 | |||||||
Production | 488 exemplaire(s) | |||||||
Classe | Coupé, cabriolet et berline | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Énergie | Essence | |||||||
Moteur(s) | Opel 6 cylindres en ligne 3.0 et 3.9 | |||||||
Cylindrée | D'environ 3 000 à 3 900 cm3 | |||||||
Puissance maximale | 177 et 207 ch DIN | |||||||
Transmission | Intégrale à partir de 1981 | |||||||
Châssis - Carrosserie | ||||||||
Plate-forme | Opel Senator | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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La Bitter SC est une automobile proposée en différentes carrosseries (coupé, cabriolet et berline) basée sur le châssis et la mécanique de l'Opel Senator et carrossée par Baur sur un dessin de Giovanni Michelotti et d'Erich Bitter.
Historique
[modifier | modifier le code]Se voulant la successeur de la CD, la SC est basée sur le châssis de l'Senator. La carrosserie est d'abord dessinée par Giovanni Michelotti mais à sa mort le , Erich Bitter dut la terminer. Son design sera très proche de la Ferrari 400.
La voiture conserve la mécanique Opel, un 6 cylindres en ligne de 3 ou 3.9 litres de 177 ou 207 ch. La suspension est cependant modifiée en raison de la différence de répartition des masses entre l'Opel et la Bitter. L'intérieur est garni d'accessoires d'origine Opel. La version coupé est présentée en 1979, le cabriolet en 1982 et la berline en 1984.
Elle sera notamment la voiture de sécurité du Grand Prix de Monaco en 1980. Par ailleurs, en 1984, General Motors tente de vendre l'auto aux États-Unis sous la marque Buick mais ce sera un échec puisque seuls quelques concessionnaires new-yorkais en seront vendeurs.
Au total ce seront 461 coupé, 22 cabriolets et 5 berlines qui seront vendus[1].
Références
[modifier | modifier le code]- « Bitter SC: Une Ferrari sans musique ? », sur auto-satisfaction.be, (consulté le )