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Adel Fekih

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Adel Fekih
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Fonction
Ambassadeur de Tunisie en France
-
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (52 ans)
TunisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activité
Autres informations
Parti politique

Adel Fekih, né le à Tunis[1], est un homme politique tunisien.

Originaire de Téboulba, il est le fils d'un fonctionnaire des Nations unies en poste dans plusieurs pays africains[2]. Après un baccalauréat en sciences obtenu en , il étudie à l'université de l'Ohio durant cinq ans ; il y obtient un bachelor en génie industriel en 1994 puis un master en économie agricole en 1995[1]. En 2009, il obtient un MBA de l'École supérieure de commerce de Paris[1].

Il rejoint le bureau de mise à niveau au ministère tunisien de l'Industrie avant d'exercer des responsabilités dans différentes compagnies[2]. En 2008, il décide de fonder une société spécialisée dans le paiement par téléphone mobile[2].

Après la révolution de 2011, il rejoint le parti Ettakatol où il est chargé de structurer son déploiement à l'international en vue de l'élection de l'assemblée constituante[1]. Membre du bureau politique[1] et porte-parole du parti, il est nommé ambassadeur de Tunisie en France le [3], succédant ainsi à Mohamed Raouf Najar. On lui remet ses lettres de créance le .

Il est remplacé par Mohamed Ali Chihi le [4].

En , il rejoint Airbus comme vice-président au sein de son groupe régional chargé de l'Afrique et du Moyen-Orient, basé à Dubaï[2]. Il est évincé en 2023[5].

Vie privée

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Adel Fekih est marié et père de deux enfants[2].

Notes et références

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  1. a b c d et e « Qui est Adel Fekih ? », La Presse de Tunisie,‎ (ISSN 0330-9991, lire en ligne, consulté le ).
  2. a b c d et e « Pourquoi Airbus a nommé Adel Fekih parmi ses VP pour l'Afrique et le Moyen-Orient », sur leaders.com.tn, (consulté le ).
  3. « Un nouvel ambassadeur tunisien nommé », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Ambassade de Tunisie en France : Mohamed Ali Chihi remplace Adel Fekih », Le Courrier de l'Atlas,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. « En pleine zone de turbulences à Riyad, Airbus se sépare de son commandant de bord », sur intelligenceonline.fr, (consulté le ).