Tigné
Tigné | |||||
Ruines du château du Grand-Riou. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Commune | Lys-Haut-Layon | ||||
Statut | commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Patrick Taveneau 2020-2026 |
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Code postal | 49540 | ||||
Code commune | 49348 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Tignéens | ||||
Population | 770 hab. (2013) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 12′ 05″ nord, 0° 25′ 38″ ouest | ||||
Altitude | 59 m Min. 37 m Max. 98 m |
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Superficie | 16,78 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Cholet-2 | ||||
Historique | |||||
Fusion | 1er janvier 2016 | ||||
Commune(s) d'intégration | Lys-Haut-Layon | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
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Tigné est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Lys-Haut-Layon[1].
La rivière le Layon marque la limite nord de son territoire. La commune se situe dans l'appellation viticole du Coteaux-du-Layon (AOC) et dans la zone paysagère du couloir du Layon.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune angevine du sud Layon située dans les Mauges, à la limite du Saumurois, ce territoire rural de l’ouest de la France se trouve à 10 kilomètres au nord-est de Vihiers et à 12 kilomètres à l'ouest de Doué-la-Fontaine[2],[3]. Pays de bocage, le Vihiersois se situe dans un triangle entre Angers, Cholet et Saumur.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le village se situe au sein du triangle formé par les deux autoroutes partant d'Angers, A85 et A87, et la RD 960 reliant Cholet à Saumur. Il est implanté sur la RD 84 entre Doué-la-Fontaine et Chemillé[2]
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes les plus proches sont La Fosse-de-Tigné (2 km), Aubigné-sur-Layon (3 km), Tancoigné (3 km), Martigné-Briand (4 km), Saint-Georges-sur-Layon (5 km), Trémont (5 km), Cernusson (5 km), Brigné (6 km), Montilliers (6 km) et Faveraye-Mâchelles (7 km)[3].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]À quelques kilomètres au nord et à l'est du Vihiersois se trouve la vallée du Layon, qui marque la transition entre les Mauges et le Saumurois[4]. Le sud de l'Anjou comporte à l'est des terrains secondaires et tertiaires (Saumurois) et à l'ouest des terrains primaires (Mauges). Dans ces derniers, on trouve un pays de bocage sur des terrains de schistes et de granites[5]. Tigné se situe sur l'unité paysagère du Couloir du Layon[6].
L'altitude de la commune varie de 37 à 98 mètres[7], pour une altitude moyenne de 59 mètres. Son territoire s'étend sur près de 17 km2 (1 678 hectares)[8]. Il forme un vaste plateau incliné légèrement à l'Est[9].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est bordée au nord par le Layon, à l'est par le ruisseau du Livier et à l'ouest par les coteaux qui dominent le ruisseau de l’Étang[2].
Climat
[modifier | modifier le code]Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, du fait de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural. Le bourg, assez compact, est organisé en un maillage de rues, autour de la place de la mairie, triangulaire. Il y a une deuxième place, celle de l'église.
Logement
[modifier | modifier le code]En 2013, on trouvait 389 logements sur la commune de Tigné, dont 80 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 78 % des ménages en étaient propriétaires[11].
Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]En prolongement de la réflexion menée dans le schéma de cohérence territoriale (Scot), la commune a réalisé un concours pour les zones « Les Duranderies » et « Les Coutures », où 19 logements étaient envisagés en 2013[12]. L'aménagement de la zone « Les Coutures » est prévu pour 2016 avec la création de 16 logements.
Un projet d'installation d'un parc éolien voit également le jour : La commune et la préfecture de Maine-et-Loire valident un projet d'installation d'un parc de 6 éoliennes de 120 m pour 2 MW sur son territoire. En 2009, le schéma régional départemental indique que « considérant la valeur paysagère remarquable de l'entité paysagère, aucune éolienne ne sera acceptée dans la Vallée du Layon »[13]. Après plus de dix ans de contentieux, la mairie annonce un début de construction au printemps 2016 avec une mise en route des éoliennes début 2017[14],[15] ; le parc se situant sur une zone s'étendant entre le château du Grand-Riou, la chapelle Sainte-Anne et La Roche Coûtant, trois monuments classés de Tigné. Les travaux débutent en septembre 2016[16]. En janvier de l'année suivante les éoliennes ne sont toujours pas en place bien que le permis de construire ait été accordé[17].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Les formes anciennes du nom sont Tigneium en 1200, Tigné en 1326, Tigny au XIVe siècle et jusqu'au XVIIe siècle[18], Tigné en 1793[8],[19].
Ses habitants sont appelés les Tignéens[20] et les Tignéennes.
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Il semble que ce territoire fut très tôt habité. On y a retrouvé des haches de pierre et des médailles d'or celtiques[18].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le château féodal se situait au cœur de plusieurs grands passages, entre Anjou et Poitou. Ce centre de châtellenie relevait du château de Saumur[18].
Ancien Régime
[modifier | modifier le code]À la veille de la Révolution française, une partie du Vihiersois dépend de la sénéchaussée d'Angers (La Salle-de-Vihiers, Vihiers, Coron) et une autre de la sénéchaussée de Saumur (Tigné, Cernusson, Les Cerqueux, Saint-Paul-du-Bois, La Plaine)[21].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, Tigné est rattachée en 1790 au canton de Martigné et au district de Vihiers, puis en 1800 au canton de Vihiers et à l'arrondissement de Saumur[8].
Comme dans le reste de la région, à la fin du XVIIIe siècle se déroule la guerre de Vendée, qui marquera de son empreinte la région.
Le mécontentement se développe autour de la question religieuse. En décembre 1791 éclate une émeute. La commune est occupée par les troupes républicaines en février et mars 1792.
En mars 1793, cent vingt jeunes gens de Tigné rejoignent les insurgés dans les landes de Saint-Lézin. En octobre la garde nationale d'Ambillou arrête le maire, puis les officiers municipaux. S'ensuit une période de terreur où le château de Tigné est incendié, ainsi que celui du Grand-Riou et plusieurs autres bâtiments, par la colonne du général Boucret. L'année suivante, en avril 1794, la colonne du général Grignon passe à Tigné, fusillant plusieurs hommes et incendiant le bourg[9].
Durant la seconde moitié du XIXe siècle c'est la révolution industrielle. À Tigné, trois fours à chaux sont en activité, et utilisent le calcaire présent sur le territoire de la commune[9].
C'est à cette époque qu'Ernest François Dainville, concepteur de plusieurs édifices néoromans, est à l'origine de l'église paroissiale de Tigné, construite de 1860 à 1863[22].
En 2015 un projet de regroupement voit le jour au sein de la communauté de communes du Vihiersois-Haut-Layon. Le 2 juillet, le conseil municipal de Tigné vote en faveur de la création d'une commune nouvelle au niveau de l'intercommunalité[23]. N'ayant pas obtenu la totale adhésion des communes de l'intercommunalité, les conseils municipaux des Cerqueux-sous-Passavant, La Fosse-de-Tigné, Nueil-sur-Layon, Tigné, Trémont et Vihiers valident à nouveau en septembre le projet d'une commune nouvelle baptisée Lys-Haut-Layon[24], dont la création est officialisée par arrêté préfectoral du 5 octobre 2015[25], abrogé et remplacé par celui du 21 décembre[1].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Administration actuelle
[modifier | modifier le code]Depuis le , Tigné constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Lys-Haut-Layon et dispose d'un maire délégué[1].
Administration ancienne
[modifier | modifier le code]La commune est créée à la Révolution, Tigné[8]. Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[29].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Au 6 janvier 2013, Tigné n'est jumelée avec aucune autre commune[31].
Ancienne situation administrative
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Tigné est intégrée à la communauté de communes Vihiersois-Haut-Layon, qui regroupe douze communes, dont La Fosse-de-Tigné et Tancoigné[32]. Cette structure intercommunale est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui a pour vocation de réunir les moyens de plusieurs communes, notamment dans le domaine du tourisme[20].
La communauté de communes est membre du pays de Loire en Layon, structure administrative d'aménagement du territoire.
Autres circonscriptions
[modifier | modifier le code]Jusqu'en 2014, la commune fait partie du canton de Vihiers et de l'arrondissement de Saumur[33]. Le canton de Vihiers compte alors dix-sept communes. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. Le canton de Vihiers disparait et la commune est rattachée au canton de Cholet-2, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[34].
La commune se trouve sur la quatrième circonscription de Maine-et-Loire, composée de six cantons dont Vihiers et Montreuil-Bellay.
Population et société
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36],[Note 1].
En 2013, la commune comptait 770 habitants, en évolution de 0 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (23,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,8 % contre 48,4 % au niveau national et 48,6 % au niveau départemental).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les services publics présents sur la commune sont une école maternelle et primaire.
Santé
[modifier | modifier le code]La plupart des structures de santé se situent également à Vihiers, tel l'hôpital local[41] ou le centre de secours.
Sports
[modifier | modifier le code]Écologie et recyclage
[modifier | modifier le code]Le ramassage des déchets est géré par le Syndicat mixte intercommunal pour le traitement des ordures ménagères et des déchets, le Smitom du Sud Saumurois, qui se trouve à Doué-la-Fontaine[42].
Économie
[modifier | modifier le code]Tissu économique
[modifier | modifier le code]Commune principalement agricole, en 2008, sur les 70 établissements présents sur la commune, 56 % relevaient du secteur de l'agriculture[43]. Deux ans plus tard, en 2010, sur 75 établissements présents sur la commune, 47 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur l'ensemble du département), 5 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 31 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[44].
Sur 65 établissements présents sur la commune à fin 2014, 35 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 11 % du secteur de la construction, 37 % de celui du commerce et des services et 12 % du secteur de l'administration et de la santé[11].
Une zone d’activités est présente sur les communes de Vihiers/Montilliers (Anjou Actiparc Vihiersois-Haut-Layon)[45].
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune se situe dans la zone d'appellation viticole des Coteaux-du-layon.
Liste des appellations sur le territoire[46] :
- IGP Agneau du Poitou-Charentes, IGP Bœuf du Maine, AOC AOP Maine-Anjou, IGP Volailles de Cholet, IGP Volailles d’Ancenis,
- IGP Brioche vendéenne,
- AOC AOP Anjou blanc, AOC AOP Anjou gamay, AOC AOP Anjou gamay nouveau ou primeur, AOC AOP Anjou mousseux blanc, AOC AOP Anjou mousseux rosé, AOC AOP Anjou rouge, AOC AOP Anjou Villages, AOC AOP Cabernet d'Anjou, AOC AOP Cabernet d'Anjou nouveau ou primeur, AOC AOP Coteaux du Layon, AOC AOP Coteaux du Layon Sélection de grains nobles, AOC AOP Crémant de Loire blanc, AOC AOP Crémant de Loire rosé, IGP Maine-et-Loire blanc, IGP Maine-et-Loire rosé, IGP Maine-et-Loire rouge, AOC AOP Rosé d'Anjou, AOC AOP Rosé d'Anjou nouveau ou primeur, AOC AOP Rosé de Loire, AOC AOP Saumur mousseux blanc, AOC AOP Saumur mousseux rosé.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Bâtiments de la commune de Tigné inscrits Monuments historiques[47] :
- Chapelle Sainte-Anne, des XIIe et XVIIe siècles, Monument historique inscrit par arrêté du 17 juillet 1926.
- Château du Grand-Riou, Monument historique inscrit par arrêté du 19 mai 1988, pour les ruines subsistantes. Château construit au XVe siècle, se composant d'une vaste enceinte rectangulaire. Incendié en 1792, il est resté depuis à l'état de ruines.
- Manoir Saint-Jacques Saint-Jean, la Roche Coutant, des XVIe et XVIIe siècles, Monument historique inscrit[47] par arrêté du 23 janvier 1989, pour les façades et toitures de la maison d'habitation, des communs, ainsi que les deux puits.
Autres bâtiments inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[47] :
- Aumônerie Saint-Jean, route de Doué-la-Fontaine, du XVe ou XVIe siècle.
- Château de Tigné, château et domaine viticole des XIVe et XIXe siècles, propriété de l'acteur et viticulteur Gérard Depardieu depuis 1989.
- Plusieurs croix de chemin, dont la Croix de Chemin dite Croix du Bon Divin, chemin de la Gaillarderie au lieu-dit la Touche, du XVIe siècle, ou la croix de chemin dite croix de Noizé, le Grand Noizé, du XVIe siècle.
- Église Saint-Pierre, construite de 1860 à 1863[22], œuvre de l'architecte Ernest François Dainville.
- Plusieurs fermes et maisons des XVe et XVIe siècles.
- Hôtel de voyageurs dit Hôtel le Cheval Blanc, route de Cernusson, des XVIe et XVIIe siècles, repris au XIXe et ayant servi de forge.
- Plusieurs manoirs des XVe et XVIe siècles, dont le Manoir dit Logis des Barres, au lieu-dit Amigné, des XVe et XVIe siècles.
- Plusieurs moulins, à eau et à vent, des XVIe et XVIIIe siècles.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]On trouve également sur la commune un sentier de randonnée de 14 km, le sentier des Vignes et vieilles pierres[48]. L'ensemble du vignoble de la commune est reconnu comme paysage emblématique par la DREAL Pays de la Loire[49].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Claude-Maur d'Aubigné (1658-1719), né à Tigné, évêque de Noyon puis archevêque de Rouen.
- Ernest François Dainville (1824-1917), architecte angevin, concepteur de l'église paroissiale de Tigné au XIXe siècle.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 520-525.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : N-Z, t. 3, Angers, Lachèse & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 589-591.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
[modifier | modifier le code]- Préfecture de Maine-et-Loire, « Arrêté no DRCL-BCL-96 », sur maine-et-loire.gouv.fr, , p. 21-23 du recueil des actes administratifs de Maine-et-Loire no 97 du 21 décembre 2015.
- IGN et BRGM, Géoportail Tigné (49), consulté le 11 juillet 2011.
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Tigné (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 4 juillet 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 146.
- Louis Poirier, « Essai sur la morphologie de l'Anjou méridional (Mauges et Saumurois) », Annales de Géographie, t. 44, no 251, , p. 474 (lire en ligne).
- Atlas des paysages de Maine-et-Loire (op. cit.) — Données consultables sur WikiAnjou.
- IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2012 — Données consultables sur WikiAnjou.
- École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Tigné, consultée le 13 septembre 2011 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Célestin Port 1996, p. 520-525.
- Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Tigné (49), consultées le 6 novembre 2016.
- Anjou Urbanisme Durable, « Tigné - Les Coutures et les Duranderies », 2011-2012 (consulté le ).
- Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL) Pays de la Loire, « Les parcs éoliens dans les paysages de Maine-et-Loire », sur Préfecture de Maine-et-Loire (maine-et-loire.gouv.fr), , p. 35.
- « Encore un projet d'éoliennes décrié... Cette fois-ci, c'est à Tigné ! », sur Saumur Kiosque, .
- « Conseil d'État, 4e SSJS, décision no 383114 », .
- « Tigné Les pelleteuses sur le site d'implantation du parc éolien », sur Le Courrier de l'Ouest, .
- Courrier de l'Ouest, « Tigné. Des éoliennes « à la carte » à Tigné ? », Courrier de l'Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- Célestin Port 1878, p. 589-591 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 197.
- Office du tourisme Vihiersois-Haut-Layon, Tigné, consulté le 21 septembre 2011.
- Carte du Saumurois sous l'Ancien régime notamment réalisée à partir de l'ouvrage de Maïté Lafourcade, La Frontière des origines à nos jours, Presses Universitaires de Bordeaux, 1998.
- « Eglise paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00052342, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 janvier 2015.
- Le Courrier de l'Ouest, « Mauges Communes nouvelles : 39 conseils municipaux ont voté oui jeudi soir », sur courrierdelouest.fr, .
- Le Courrier de l'Ouest, « Vihiers Elle s'appellera Lys Haut Layon », sur courrierdelouest.fr, .
- « Arrêté no DRCL-NCL-2015-63 en date du 5 octobre 2015 portant création de la commune nouvelle de Lys-Haut-Layon », Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture de Maine-et-Loire, no 74, (lire en ligne [PDF]), p. 23.
- « Démission du maire de Tigné », sur Le Courrier de l'Ouest, .
- « Vos élus », sur Mairie de Lys-Haut-Layon (consulté le ).
- « Lys-Haut-Layon. Médérick Thomas est le nouveau maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Legifrance, Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
- Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 19 avril 2014.
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI du Vihiersois Haut-Layon (244900981), consulté le 17 juillet 2013.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Tigné, consultée le 22 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
- « Évolution et structure de la population à Tigné en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Fédération Hospitalière de France, Hôpital local (Vihiers), consulté le 6 octobre 2011.
- Smitom Sud Saumurois, Son territoire, consulté le 29 septembre 2011.
- Insee, Statistiques 2008 du territoire, consultées le 9 septembre 2011.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Tigné (49), consulté le 20 janvier 2013.
- Ville de Vihiers, Z.I. Anjou Actiparc, consulté le 15 septembre 2011.
- INAO, Fiche de Tigné (49) consultée le 9 septembre 2011 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
- Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, Base Mérimée, consultée le 24 janvier 2011.
- Office du tourisme du Vihiersois, Les randonnées, consulté le 10 septembre 2011.
- DREAL Pays de la Loire, Synthèse régionale sur les modalités d’insertion paysagère des éoliennes dans les Pays de la Loire, mai 2011, p. 50.