Argueil
Argueil | |||||
La mairie-agence postale. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Quatre Rivières | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Bréquigny 2020-2026 |
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Code postal | 76780 | ||||
Code commune | 76025 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Argueilleux ou Argueillois | ||||
Population municipale |
348 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 50 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 32′ 30″ nord, 1° 30′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 100 m Max. 210 m |
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Superficie | 6,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Gournay-en-Bray | ||||
Législatives | 2e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Argueil est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Argueil est un village normand du Pays de Bray. Avant le redécoupage cantonal de 2014 en France, c'était le plus petit chef-lieu de canton de la Seine-Maritime.
Il est situé à 9 km de Forges-les-Eaux, à 16 km de Buchy, à 18 km de Gournay-en-Bray et à 21 km de Lyons-la-Forêt.
La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Rouen, dans sa zone d'emploi, ainsi que dans le bassin de vie de Forges-les-Eaux[I 1]
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont La Ferté-Saint-Samson, Fry, Mésangueville, Le Mesnil-Lieubray et Sigy-en-Bray.
La Ferté-Saint-Samson | ||||
Sigy-en-Bray | N | Mésangueville | ||
O Argueil E | ||||
S | ||||
Le Mesnil-Lieubray | Fry |
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 6,95 km2 ; son altitude varie de 100 à 210 mètres[1].
Le Mont-Sauveur, qui culmine à 208 mètres d'altitude, se trouve en partie sur la commune.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par la Roulée, un affluent de l'Andelle et donc un sous-affluent en rive droite du fleuve la Seine.
On y trouve également les ruisseaux de Bievredent, Mésangueville et de Picardie[2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 846 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Forges-les-Eaux à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]- ZNIEFF de type 1
Le mont Sauveur est classé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[10].
- Site classé
- Le château d'Argueil et son parc Site classé (1943)[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Argueil est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].
Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,4 %), terres arables (39,1 %), forêts (8,1 %), zones urbanisées (4 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[15].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]La commune compte plusieurs hameaux et écarts : Clairval, Bréolles et Aubermesnil.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 204, alors qu'il était de 183 en 2016 et de 176 en 2011[I 2].
Parmi ces logements, 80 % étaient des résidences principales, 5,1 % des résidences secondaires et 14,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,9 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Argueil en 2021 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,1 %) supérieure à celle du département (4,1 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).
Typologie | Argueil[I 3] | Seine-Maritime[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 80 | 88 | 82,2 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 5,1 | 4,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 14,9 | 7,9 | 8,1 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune se trouve sur la tracé de l'ancienne route nationale 321 (actuelle RD 921) qui relie Forges-les-Eaux à Elbeuf.
Argueil était desservie par la gare de Sigy-Argueil située sur la ligne de Charleval à Serqueux aujourd'hui déferrée. De nos jours, la gare la plus proche d'Argueil est la gare de Forges-les-Eaux mais il vaut mieux aller jusqu'à la gare de Serqueux, située à 11 km bien mieux desservie (mis à part pour la direction de Gisors-Embranchement pour laquelle l'on choisira plutôt d'aller à Gournay - Ferrières située à 19 km).
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté pour la première fois sous la forme Orgoil vers 1043[16].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale basée sur le mot orgueil (mentionné pour la première fois comme nom commun en 1080 sous la forme orgoill[17]) et utilisé dans ce cas pour désigner un lieu remarquable, peut-être une maison forte[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le village a été construit au pied de la colline du Mont Sauveur qui culmine à 210 m[10] qui servait de refuge aux villageois quand ils se sentaient menacés[réf. nécessaire].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Quand Philippe Auguste intègre la Normandie au domaine royal, le village s'installe dans le vallon[réf. nécessaire] de la Roulée[19].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Argueil accuelle dès le XVIe siècle des foires et marchés sur la place aux étoupes, où s'écoulaient les productions locales de fil et de toiles[2].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]-
La rue de Paris.
-
La place du marché et la halle.
-
L'église.
-
Le château.
-
Le château.
La gare de Sigy - Argueil[20], située sur la ligne de Charleval à Serqueux, est desservie à partir de 1910 par les trains de l'Administration des chemins de fer de l'État, facilitant les déplacements des êrsonnes et le transport des marchandises. Malgré l'introduction (limitée) en 1934, d'autorails Schneider ou Renault (type VH), le nombre de passagers baissant structurellement en raison de la concurrence routière, les services voyageurs sont interrompus le , quelques mois après le remplacement des grandes compagnies par la Société nationale des chemins de fer français (SNCF). La ligne a été déclassée par un décret du et déferrée à la fin des années 1970.
-
Horaires de la ligne en mai 1914
-
La gare en 2010.
Dans le cadre des dispositions de la loi sur les fusions et regroupements de communes (dite Loi Marcellin) de 1971, Argueil absorbe Fry le et prend le nom d'Argueil-Fry[1]. Le , Fry reprend son autonomie communale, et Argueil-Fry reprend le nom d'Argueil[1].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime[I 1].
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton d'Argueil[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Gournay-en-Bray[I 1].
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de la Seine-Maritime.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était le siège de la petite communauté de communes des Monts et de l'Andelle, créée en 2003.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[21], cette intercommunalité fusionne avec d'autres pour former, le , la communauté de communes des 4 rivières dont la commune est désormais membre[I 1].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Eau et déchets
[modifier | modifier le code]La commune se dote en 2018 d'un composteur pour la destruction et la valorisation des déchets verts, cendres et fumiers, pour les habitants qui souhaitent bénéficier de ce service[31].
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du regroupement pédagogique intercommunal du Mont-Robert, qui comprend également Beauvoir-en-Lyons, Hodeng-Hodenger et Mésangueville. L'école d'Argueil accueille les enfants d'âge maternel, soit 51 élèves en 2021/2022[32].
Les collégiens se rendent à La Feuillie.
Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]Une agence postale communale est installée en mairie[33],[34].
Santé et solidarité
[modifier | modifier le code]L'association Carma d'Argueil, un espace de vie sociale, organise des ateliers informatiques, culinaires, sportifs, de couture, ainsi que des transports solidaires au bénéfice des habitants du canton des Monts et de l’Andelle[35],[36].
une Maison d'assistance maternelle (MAM) est implantée dans l'ancien bureau de poste depuis 2019, et peut accueillir jusqu’à 8 enfants de moins de 6 ans, y compris en périscolaire[37]
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2021, la commune comptait 348 habitants[Note 4], en évolution de +2,35 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête annuelle dite fête Saint Maurice le 4e dimanche de septembre[réf. nécessaire].
Cultes
[modifier | modifier le code]- « Bienvenue à la Paroisse Saint Jean-Baptiste de Forges en Bray ! », sur https://rouen.catholique.fr/ (consulté le ).
Économie
[modifier | modifier le code]Deux commerces de la commune (une épicerie et un coiffeur) sont réinstallés en 2018 dans l'ancienne mairie, réhabilitée à cet effet, et comprenant également une halle ouverte sous deux arcades et des toilettes publiques. D'autres commerces sont présents, tels qu'une épicerie fine, arrivée en 2024, ou la bouquinerie des Etoupes, en 2023, une pharmacie et une étude notariale[41],[42].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le manoir d'Argueil Site classé (1943)[43] : château comportant un gros donjon d'habitation rectangulaire cantonné de tourelles en encorbellement, le tout élevé en brique et pierre aux XVe et XVIe siècles, auquel est accolé un corps de logis du XVIIIe siècle, et un parc.
Cette demeure a appartenu successivement aux familles Havart, de Briqueville, de Frémont d'Auneuil, de Trie-Pillavoine, de Valon et de Castelbajac[44],[45].
- Le manoir, construit dans la seconde moitié du XVe siècle par Jean de Scaneauville et terminé au XVIe siècle par les Briqueville, a remplacé un premier édifice saccagé par les Anglais en 1195 et rasé par Philippe Auguste en 1202[46]. Restauré par la suite, il est inclus en 1350 dans le douaire de la reine Blanche, veuve de Philippe VI de Valois[46].
Un bâtiment résolument moderne, celui des Terrasses, a été construit en continuité sur des plans du Corbusier. - La gestion du manoir a été confiée par son propriétaire, la Caisse des dépôts et consignations, à l'office départemental des centres de vacances et de loisirs, société coopérative française créée en 1939, qui commercialise principalement des séjours de vacances en France et à travers le monde pour groupes et familles[2]. Le manoir dispose de 153 lits répartis dans 3 bâtiments, d'une ferme pédagogique, d'activités d'équitation[47],[48],[49]...
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Le donjon et le logis du XVIe siècle.
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Façade sud (XVIe siècle.
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Le bâtiment des terrasses, conçu par Le Corbusier, le donjon et le logis.
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Le bâtiment des communs.
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Charpente de la salle du 1er étage du donjon.
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La salle du 2e étage du donjon.
- Place du Marché aux étoupes, la place principale d'Argueil[50], où se trouve la halle de la commune, ancienne mairie réaménagée pour y accueillir des commerces et qui confortent son tissu commercial et de services[2].
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La halle, place aux Étoupes.
- Église Saint-Maurice, place aux Étoupes, construite en matériaux locaux (silex pour le chevet, brique et pierre calcaire). Le choeur et la chapelle nord, les parties les plus anciennes, dateraient du XVe ou du XVIe siècle. La chapelle sud et la sacristie sont du XVIIe siècle et la nef, longue de 18 m, a été construite au XVIIIe siècle. La base du clocher est une tour quadrangulaire dotée d'un cadran d’horloge qui aurait été réalisé par l’abbé Lenostre, curé d’Argueil et doyen de Bray avant la Révolution. Situé en face du château il représente les phases de la lune[2].
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Façade nord, depuis la halle.
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Façade principale.
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Le chevet.
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Le Christ aux liens, à l'extérieur du chevet.
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La nef et le transept.
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Le transept et le chœur.
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Le maître-autel, le retable et les paneaux sculptés.
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Les stalles.
- Puits centenaire à la sente de Mont Huleu, rue de l'Abreuvoir, rénové en 2017[51].
- Calvaire, chemin des Monts.
- Ancienne école, devenue habitation, très décorée, rue de Sigy[52]
- Parc Boulenger, ouvert en 2023 sur un terrain légué parf l'ancien maire et sa veuve.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Famille de Castelbajac, propriétaire du manoir, dont Blanche-Sophie de la Rochefoucauld, marquise de Castelbajac (1799-1877), morte au château d'Argueil à 77 ans[53].
- Pierre Colombel, parfois orthographié Collombel, (1755-1841), homme politique de la Révolution française, y est né.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Argueil », Collections en ligne > Portail communes, Archives départementales de la Seine-Maritime (consulté le ).
- « Dossier complet : Commune d’Argueil (76025) », Recensement général de la population de 2021, INSEE, (consulté le ).
- « Argueil » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
- Le parc de la commune porte son nom et celui de sa femme.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Argueil - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Argueil - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la Seine-Maritime - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Argueil : ses halles, son manoir, son église... », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ) « À Argueil, impossible de passer à côté des halles, véritables poumons du village depuis le 16e siècle. Mais ces halles ne sont pas la seule curiosité du village. ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Argueil et Forges-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Forges » (commune de Forges-les-Eaux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Forges » (commune de Forges-les-Eaux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- ZNIEFF 230000785 - Le mont Sauveur sur le site de l’INPN..
- « Le château d'Argueil et son parc », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisse de la Seine-Maritime, Éd. Picard, Paris, 1979, p. 31
- Alain Rey (sous la direction de), Dictionnaire historique de la langue française, Le Robert, 2012, p. 2352a.
- François de Beaurepaire, op. cit..
- [1] histoire du manoir d'Argueil'
- Emmanuelle Real, « gare et maison de garde-barrière de Sigy-Argueil : Dossier d’œuvre architecture IA76004127 », Inventaire du patrimoine culturel - Région Normandie, (consulté le ).
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Les maires de Argueil », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Maires et adjoints - nominations - Décrets du 21 janvier au 18 juin 1878 », Bulletin officiel du Ministère de l'intérieur, no 5, , p. 205 (lire en ligne, consulté le ).
- Michel Cordonnier met fin à quarante ans de vie d'élu in L'Éclaireur brayon n° 6106 du 5 décembre 2012.
- « Michel Cordonnier, maire d’Argeuil pendant 40 ans s’en est allé », L’Éclaireur - La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ) « En 1971, il devient adjoint et ensuite maire. Pendant près de 40 ans, il va veiller sur Argueil, créer des classes, une cantine, des logements, tout faire pour que la commune reste active ».
- Marie-Géraldine Dartois, « Démission. Claudie Chapeyrou n’est plus maire : Dans une lettre adressée aux habitants d'Argueil, le premier magistrat Claudie Chapyrou annonce qu'elle quitte ses fonctions de maire pour des raisons de santé », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ) « Claudie Chapeyrou était maire depuis 2013. Elle avait été élue suite à la démission de Michel Cordonnier ».
- Marie-Géraldine Dartois, « Isabelle Bréquigny élue maire d’Argueil : Le maire et les adjoints ont été élus à Argueil. Le nouveau conseil compte 5 femmes et toutes les générations sont représentées », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ) « Conseillère municipale depuis 2008 et 1re adjointe depuis 2014, elle a été élue au 1er tour avec 10 voix sur 11 ».
- « La maire d'Argueil lance un appel à candidatures pour relancer l'activité de son épicerie », L'Éclaireur - La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- Marie-Géraldine Dartois, « Municipales 2020 : Isabelle Bréquigny est candidate à sa succession à Argueil : Maire depuis octobre 2016, Isabelle Bréquigny est candidate aux élections municipales à Argueil. Son équipe est constituée de 7 nouvelles têtes et de 4 conseillers sortants », L'Éclaireur - La Dépêche, (Maire depuis octobre 2016, Isabelle Bréquigny est candidate aux élections municipales à Argueil. Son équipe est constituée de 7 nouvelles têtes et de 4 conseillers sortants, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- Marie-Géraldine Dartois, « Création d’un grand composteur communal dès l'an prochain à Argueil : Un composteur communal et une collecte payante (20 euros par an), c'est le choix de la commune d'Argueil pour régler la question des déchets verts », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « Argueil : une réunion publique constructive sur l'école, les impôts et les travaux », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « La Poste Agence Communale ARGUEIL Mairie », Localiser > Seine-Maritime, sur https://localiser.laposte.fr (consulté le ).
- Marie-Géraldine Dartois, « A Argueil, l'agence postale a déménagé à la mairie », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- Henrique Correia Matos, « Connaissez-vous le CARMA à Argueil ? Un QR Code vous donne la réponse », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- Benjamin Forant, « A Argueil, CARMA se munit d'un nouveau véhicule pour faire du transport solidaire », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- Marie-Géraldine Dartois, « Inauguration de la maison d'assistantes maternelles Les p'tits Brayons à Argueil », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Marie-Géraldine Dartois, « L’ancienne mairie d’ Argueil transformée en halle commerciale : À Argueil, l'ancienne mairie va devenir halle commerciale et salle de réception d'ici 2018. Un projet mûrement réfléchi par la municipalité qui permet de sauver le bâtiment », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- Antoine Trefcon, « La librairie d'Argueil : "Près de 10000 livres sont passés entre mes mains" », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « Parc du manoir d'Argueil », notice no IA76002246, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Dieudonné Dergny, La Normandie Monumentale et Pittoresque, Seine-inférieure, Le Havre, Lemale et Cie, imprimeurs, éditeurs, (lire en ligne), p. 275-276, sur Gallica.
- Philippe Seydoux, Châteaux du Pays de Caux et du Pays de Bray, Paris, Éditions de la Morande, , 128 p. (ISBN 2-902091-17-6), p. 10.
- Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des châteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du Chêne, coll. « Châteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 223.
- Gregory Dyson, « Près de Forges-les-Eaux, le manoir d'Argueil a repris ses activités après 8 mois de fermeture », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le Manoir d'Argueil », Nos maisons, sur https://odcvl.org (consulté le ).
- « Le Manoir d’Argueil », Okaya
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