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Neurophysiologiegf

Le document présente une vue d'ensemble de la neurophysiologie générale, décrivant la structure et le fonctionnement du système nerveux central et périphérique, ainsi que les différents types de neurones et de cellules gliales. Il aborde également les fonctions essentielles du système nerveux, notamment la réception, l'intégration et l'action des informations sensorielles. Enfin, il explique la transmission synaptique et les différents types de récepteurs sensitifs, soulignant leur rôle dans la perception des stimuli.

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Neurophysiologiegf

Le document présente une vue d'ensemble de la neurophysiologie générale, décrivant la structure et le fonctionnement du système nerveux central et périphérique, ainsi que les différents types de neurones et de cellules gliales. Il aborde également les fonctions essentielles du système nerveux, notamment la réception, l'intégration et l'action des informations sensorielles. Enfin, il explique la transmission synaptique et les différents types de récepteurs sensitifs, soulignant leur rôle dans la perception des stimuli.

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Neurophysiologie générale

Aminetou abbe
2023-2024
Introduction

Le système nerveux est globalement bilatéral et


symétrique et est composé en deux parties :
• Le système nerveux central se trouve dans les
structures osseuses et est constitué de l’encéphale
(cerveau) et de la moelle épinière.
• Le système nerveux périphérique est formé de
ganglions nerveux et de nerfs. Ces nerfs contiennent
des faisceaux de fibres reliées à la base de l’encéphale
par les douze paires de nerfs crâniens et à la moelle
épinière par les 31 paires de nerfs rachidiens (ou
spinaux).
Mode d’action du système nerveux

• Réception de l’information
• Milieu interne
• Milieu extérieur
• 2. Intégration
• 3. Action
• Organes végétatifs
• Muscles volontaires

4
Système nerveux

Système nerveux
Système nerveux central
périphérique

Encéphale Moelle épinière Voie motrice Voies sensitive

Système nerveux
Système nerveux végétatif somatique

Système nerveux Système nerveux


sympathique parasympathique
Principales fonctions du système
nerveux

Le système nerveux a 3 fonctions essentielles :

❑Une fonction sensitive de détection grâce à des récepteurs qui


détectent toutes les modifications de l’organisme et
l’environnement extérieur.

❑Une fonction d’intégration et d’analyse des informations qu’il


reçoit des récepteurs.

❑Une fonction motrice permettant la contraction des diverses


cellules musculaires de l’organisme.
Organisation du système nerveux
Toutes les informations de l’organisme affluent vers le SNC à
partir de détecteurs sensoriels de différents types.

Le SNP est constitué de deux voies :

• La voie sensitive (voie afférente) constituée de neurones


sensitifs somatiques et viscéraux, au niveau de laquelle la
propagation des influx vient des récepteurs périphériques.

• La voie motrice (voie efférente) constituée de neurones


moteurs dont l’origine des influx est le SNC. Cette voie
motrice peut elle-même être divisée en deux types de système
nerveux
Organisation du système nerveux

On subdivise le système nerveux périphérique en deux composantes :

❑Le système nerveux autonome (SNA), ou système nerveux végétatif


(SNV), est involontaire. L’influx nerveux provenant du SNC est envoyé
vers les muscles lisses, le myocarde et les glandes. Il possède le système
sympathique qui tend à activer les organes et le système
parasympathique qui tend à les mettre au repos.

❑Le système nerveux somatique (SNS) est volontaire et l’influx nerveux


provenant du SNC est envoyé vers les muscles striés squelettiques.

Le système nerveux périphérique fournit l’information au système nerveux


central et exécute les commandes motrices de celui-ci.
Organisation du système nerveux

Les fibres allant de la périphérie vers le système nerveux


central sont appelées fibres sensorielles afférentes.

Les fibres transportant l’information du système nerveux


central vers les effecteurs de la périphérie sont les nerfs moteurs
efférents.
Le SNC contient environ 1011 neurones (100 milliards) Il
comporte aussi 10 à 50 fois plus de cellules gliales

Ils ont calculé que 40 % des gènes humains participent d’une


façon ou d’une autre à sa formation
Les cellules gliales

Pendant de nombreuses années après leur découverte, les


cellules gliales (ou glie) ont été considérées comme le tissu
conjonctif du SNC

D’ailleurs, le terme glie vient du grec qui signifie colle (glue)

Cependant, on reconnait aujourd’hui à ces cellules un rôle dans


la communication au sein du SNC en partenariat avec les
neurones
Au contraire des neurones, elle continuent à ce diviser à
l'âge adulte et leur capacité à proliférer est
particulièrement remarquable après une lésion cérébrale
(ex; accident vasculaire cérébral)
Il existe deux grand types de cellules gliales dans le SN
des vertébrés: la microglie et la macroglie
Les cellules de la microglie sont des cellules nettoyeuses
qui ressemblent aux macrophages tissulaires et retirent les
débris résultant de lésions, d’infection et de maladies (ex;
sclérose en plaque, la démence associé au sida, la maladie
de Parkinson et la maladie d’Alzheimer)
Les cellules de la microglie sont produite à partir de
macrophages à l’extérieur du SN d’un point de vue
physiologique et embryologique, n’ont aucun rapport avec
les autres types de cellules neuronales
Le neurone

Les cellules nerveuses (neurones) sont les unités fonctionnelles


du SNC et forment un réseau qui s’étend dans tout l’organisme.
Bien qu’elles ne soient pas les plus nombreuses dans le système
nerveux, ce sont les plus importantes.

Pour indication le système nerveux possède 10% de neurones


pour 90% de cellules gliale.
Le neurone

Ce sont des cellules post-mitotique (pour la majorité, étant


hautement spécialisés) et excitable. Leur excitabilité est due à
un changement d’état très rapide qui est déterminé par un
facteur extérieur. Les cellules nerveuses peuvent modifier leur
anatomie et possèdent une grande longévité.

Elles sont très sensibles à l’hypoglycémie et à l’hypoxie.

Les neurones sont indépendants les uns des autres, n’établissant


que des contacts fonctionnels spécifiques appelés synapses. Ce
sont également des cellules sécrétrices particulières qui peuvent
avoir comme produit de sécrétion des neuromédiateurs, des
neuromodulateurs ainsi que des neurohormones (GnRH).
Morphologie du neurone

Le neurone dans le SNC des mammifères ont des


formes et des tailles très variables, la plupart
possèdent toutefois les éléments que le motoneurone
spinal typique
plusieurs prolongements Un neurone typique
appelés dendrites qui
s’étendent vers l’extérieur à un long axone fibreux qui
partir du corps cellulaire et naît d’un endroit légèrement
se ramifient abondamment épaissi du corps cellulaire, le
cône de l’implantation de
L’axone se divise en l’axone
Dans le système nerveux mais terminaisons présynoptiques,
surtout dans les cortex cérébral La première partie de
qui s’achèvent chacune en un
et cérébelleux, les dendrites l’axone s’appelle le
certain nombre de boutons
sont hérissées de petites segment initial
synaptiques, également
protubérances en forme de appelés boutons terminaux
boutons appelées épines ou boutons.
dendritiques
Classification des neurones

Les neurones peuvent être classés par leurs structures ou par leurs
fonctionnalités.

❑De manière structurale il existe :


• Les neurones bipolaires (sensitif)
• Les neurones multipolaires (moteur et sensitif)
• Les neurones unipolaires : un prolongement périphérique et un central, tout
deux myélinisés (essentiellement sensitif).

❑De manière fonctionnelle il existe :


• Les neurones sensoriels
• Les neurones moteurs
• Les inter-neurones, ce sont les plus nombreux et ils servent de lien entre
les neurones dans le SNC.
LE S.N.C

• Comprend uniquement la substance grise et la


substance blanche

• Est constitué uniquement de neurones et de


vaisseaux sanguins

• Les méninges recouvrent le S.N.C


LA SUBSTANCE GRISE

• Est située dans la partie externe des hémisphères


cérébraux, dans les noyaux gris centraux et du tronc
cérébral et dans la partie interne de la moëlle

• Contient uniquement les axones des neurones des


cellules gliales et peu de synapses
LA SUBSTANCE BLANCHE

• Est située dans la partie interne des hémisphères


cérébraux et dans la partie externe de la moëlle

• Contient des axones recouverts de myéline et des


cellules gliales

• A un rôle dans le transfert de l’influx nerveux


système nerveux somatique (SNS) et système
nerveux autonome (SNA) et dépense d’énergie

• Les neurones sympathiques stimulent la dépense


d’énergie alors que les neurones parasympathiques
stimulent la restauration et le stockage de l’énergie.
La transmission synaptique
• Les synapses sont des zones de contact spécialisés dans la
transmission de l’influx nerveux

• Les synapses permettent d’intégrer et de filtrer l’information.

• Certains signaux sont transmis alors que d’autres sont bloqués.

• Certaines maladies mentales et cérébrales sont dues à une


interruption de la connection synaptique (schyzophrénie).

• C’est au niveau des synapses qu’agissent de nombreuses substances


thérapeutiques et de nombreuses drogues.

• Dans une synapse, le neurone qui envoie l’information est appelé


présynaptique, celui qui le reçoit est post-synaptique.
STRUCTURE ET ULTRASTRUCTURE
DES SYNAPSES

• Elles sont soit électriques, soit chimiques


Synapses électriques

• Dans les synapses électriques, le courant ionique passe


directement d’une cellule à l’autre au travers de jonctions
communicantes.

• Ces jonctions sont constituées de protéines tubulaires : les


connexons, ceux-ci forment des tunnels destinés à relier le
cytoplasme des deux cellules.

• Les synapses électriques vont avoir deux avantages :

• Communication plus rapide que celle des synapses chimiques


• Elles permettent la synchronisation de l’activité d’un groupe de
neurone.
Synapses chimiques

• Les neurones présynaptiques et post-synaptiques d’une synapse chimique ne


se touchent pas.

• Ils sont séparés par une fente synaptique remplie de liquide extra-cellulaire.

• Lorsqu’un signal électrique arrive au niveau du bouton synaptique d’un


neurone pré-synaptique, il est transformé en signal chimique,

• ceci se traduit par la libération d’un neurotransmetteur dans la fente


synaptique.

• Le neurone post-synaptique reçoit ce signal chimique et génère à son tour un


signal électrique.

• Ce processus dure 0 ,5 ms et définit le délai synaptique.


Les neurotransmetteurs

• Les neurotransmetteurs excitateurs ou inhibiteurs


sont présents dans le SNP et dans le SNC.

• Un même neurotransmetteur peut être excitateur à


un endroit du SN et inhibiteur à un autre.

• Un même neurone peut libérer plusieurs types de


neurotransmetteurs.
Physiologie de la sensation
La somesthésie
Un système sensitif est une partie du système nerveux
constituée :

Récepteurs sensitifs : qui perçoivent des stimulus


provenant de l'environnement externe ou interne,

Voies nerveuses : qui conduisent l'information des


récepteurs vers l'encéphale ou la moelle spinale

de parties de l'encéphale dont le principal rôle est le

traitement de l'information.
Perception : est la prise de conscience de la sensation

par une personne

Sensations et perceptions surviennent après

modification ou traitement de l'information sensitive

par le SNC. Ce traitement peut consister en une

exacerbation, un émoussement ou un filtrage de

l'information sensitive afférente.


L'étape initiale du processus sensitif est la

transformation de l'énergie du stimulus d’abord en :

• Potentiels gradués

• Potentiels de récepteur

• Potentiels d'action dans les neurones afférents.

L'aspect des potentiels d'action dans des neurones donnés

est un code qui fournit de l'information sur le stimulus,

notamment son intensité, sa localisation et le type

spécifique d'énergie.
Quelle que soit la forme initiale du signal qui active les

récepteurs sensitifs, l'information doit être traduite

en potentiels gradués ou potentiels d'action.

Il existe de nombreux types de récepteurs sensitifs,

dont chacun répond plus facilement à une forme de

stimulus qu'à une autre.


Stimulus adapté : est le type de stimulus auquel
répond un récepteur donné dans son
fonctionnement normal.
La plupart des récepteurs sensitifs sont extrêmement
sensibles à leur stimulus adapté spécifique.
Cependant, pratiquement tous les récepteurs sensitifs
peuvent être activés par des stimulus de type
différent, à condition que l'intensité soit suffisante.

Exemple: Les récepteurs de l’œil répondent


normalement à la lumière, mais ils peuvent également
être activés par un stimulus mécanique intense,
comme un coup dans l'œil.
La plupart des récepteurs sensitifs sont extrêmement
sensibles à leur stimulus adapté spécifique

Exemple: Certains récepteurs olfactifs, peuvent


répondre à seulement trois ou quatre molécules
contenues dans l'air inspiré, et les récepteurs visuels
peuvent réagir à un photon unique, la plus petite
quantité de lumière.
Récepteur sensitif :

L'information provenant du monde extérieur et de l


environnement interne de l'organisme peut exister sous
différentes formes :

pression, température, lumière, odeurs, onde sonores,


concentrations chimiques, etc

Les récepteur sensitifs des extrémités des neurones


afférentes transforment ces formes d'énergie en potentiels
gradués qui peuvent engendrés des potentiels d’action se
déplaçant dans le système neveux central.
Représentation schématique de deux types de récepteurs
sensitifs. La membrane sensitive qui répond à un stimulus se
localise soit a) sur une terminaison d'un neurone afférent, soit b)
sur une cellule séparée adjacente à un neurone afférent.
On distingue différentes classes de
récepteurs en fonction du type de stimulus
auquel ils sont sensibles.

Les mécano récepteurs : répondent à des


stimulus mécaniques, comme la pression ou
l'étirement, et ils procurent une information
sensitive très variée, comme le toucher, la pression
artérielle et la tension musculaire.
On distingue différentes classes de
récepteurs en fonction du type de stimulus
auquel ils sont sensibles.

Les thermorécepteurs : détectent à la fois

le froid et le chaud, et les photorécepteurs

répondent à certaines longueurs d'onde.


On distingue différentes classes de
récepteurs en fonction du type de stimulus
auquel ils sont sensibles.

Les chémorécepteurs : réagissent à la fixation de


substances chimiques particulières sur leurs

récepteurs de membrane. Ce type de récepteur

intervient dans l'odorat et le goût, et dans la

détection du pH plasmatique et des concentrations

plasmatiques d'oxygène.
On distingue différentes classes de
récepteurs en fonction du type de stimulus
auquel ils sont sensibles.

Les nocicepteurs : sont des terminaisons

nerveuses spécialisées qui répondent à

plusieurs stimulus douloureux, comme au

cours des brûlures et des lésions tissulaires


Potentiel de récepteur

On retrouve les canaux ioniques sur une portion


spécialisée de la membrane du récepteur, située à
l'extrémité distale de l'axone unique de la cellule ou
sur la membrane réceptrice de cellules sensitives
spécialisées
L'ouverture ou la fermeture de ces canaux ioniques
modifie les flux ioniques à travers la membrane du
récepteur, ces flux modifiant à leur tour le potentiel
membranaire local. Cette modification de potentiel est
un potentiel gradué appelé potentiel de récepteur
Un courant local provenant de la membrane du
récepteur se déplace sur une courte distance le
long de l'axone, vers une région de la membrane
qui porte des canaux ioniques potentiel
dépendants, et peut engendrer des potentiels
d'action
Stimulation d'un neurone afférent par
une terminaison d'un récepteur

Dans les neurones afférents myélinisés, cette région


se localise généralement au premier nœud de
Ranvier. Le potentiel de récepteur, tout comme le
potentiel synaptique, est une réponse graduée à
différentes intensités de stimulus, dont l'amplitude
diminue quand elle se propage le long de la
membrane.
Stimulation d'un neurone afférent par
une terminaison d'un récepteur
Adaptation

L'adaptation est une diminution de la sensibilité du


récepteur, qui se manifeste par une diminution de la
fréquence des potentiels d'action dans un neurone
afférent.

Les degrés d'adaptation sont variables selon le type


de récepteur sensitif
Codage sensitif primaire

Le Codage : est la conversion des potentiels de

récepteur en potentiels d'action qui véhiculent

une information sensitive vers le SNC..


Les étapes du codage sensoriel : du stimulus à la
perception
Codage sensitif primaire

Des caractéristiques importantes du stimulus

comprennent son type, son intensité, sa durée

et sa localisation dans le corps. Ce codage

débute dans les neurones récepteurs du système

nerveux périphérique
Unité sensitive

Est constituée d’un neurone afférent unique avec


toutes ses terminaisons réceptrices

Dans quelques cas, le neurone afférent ne porte


qu'un récepteur mais, le plus souvent, la
terminaison périphérique d'un neurone afférent
se divise en de nombreuses petites branches,
chacune se terminant par un récepteur.
La partie du corps qui, quand elle est stimulée,
engendre une activité dans un neurone afférent
donné est appelée champ récepteur de ce neurone
Les champs récepteurs de neurones adjacents se
chevauchent, de sorte que la stimulation d'un
point unique active plusieurs unités sensitives.
Ainsi, il n'existe pratiquement jamais
d'activation d'une unité sensitive unique..
Type de stimulus
Un autre terme désignant un type de stimulus
(chaud, froid, son ou pression par exemple) est la
modalité du stimulus.
Les modalités peuvent être divisées en sous -
modalités : le chaud et le froid sont des sous
modalités de la température
Alors que le salé, le sucré, l'acide et l'amer
sont des sous modalités du goût.

Le type de récepteur sensitif activé par un


stimulus est le principal facteur codant la modalité
de ce stimulus.
Les niveaux de sensation :
Localisation du stimulus

Est l'endroit où le stimulus est appliqué.

Il faut noter que dans la vision, l'audition et


l'odorat, la localisation du stimulus est
interprétée comme le site d'où provient le
stimulus et non comme la partie de l'organisme
où le stimulus a été appliqué.
Par exemple, nous interprétons la vue d'un
chien, et le bruit qu'il fait en aboyant, comme
des stimulus provenant de l'autre côté de la
barrière et non d'une partie spécifique de nos
yeux et oreilles.
La localisation du stimulus est codée par
l'emplacement du récepteur stimulé et par le
fait que les potentiels d'action de chaque
récepteur passent le long de voies uniques vers
une région spécifique du SNC, qui n'est
associée qu'à cette modalité particulière et à
cette localisation corporelle.
Ces voies anatomiques distinctes sont par fois
appelées lignes spécialisées. La précision, ou
acuité, avec laquelle un stimulus peut être
localisé et différencié d'un autre

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