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24 AUT S6 Autres CAPTEURS

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École Nationale Supérieure Maritime

Capteurs (suite)

Site de Marseille
Année universitaire 2023/2024
Filière Ingénieur Navigant

Semestre S6

Unité d’enseignement EEA


Discipline : Automatique

Mise à jour Auteur Vérificateurs


samedi 6 avril 2024 Michel Scavarda Olivier Rossi, David Ledebt, Cyril Régnier, Jean-Michel Laborde
Chapitre 1

Capteurs de température

Objectifs
L’objectif de cette séquence est de présenter quelques principes de mesure mis en œuvre dans
les principaux capteurs utilisés dans les boucles de régulation en machine (ceux utilisés en
passerelle ne sont pas abordés). Les principales grandeurs physiques mesurées en machine
sont :
• La température • Le niveau
• La pression • Le débit
• Les grandeurs électriques P, U, I • La vitesse de rotation

Auxquelles s’ajoutent : la viscosité, les analyses (oxygène, pH, CO), la position, le couple,
les vibrations... Les détecteurs (switchs, fin de course, dispositifs tout ou rien) ne seront
pas abordés. Les capteurs de températures (RTD et TC) ont déjà été étudiés en détails,
nous reviendrons juste sur l’aspect technique de leurs sondes et nous verrons les trois autres
grandeurs pression, niveau, débit plus la viscosité.

1.1 Particularités des thermocouples


En dehors des caractéristiques déjà étudiées (précision, plage de mesure), le thermocouple
se distingue de la résistance métallique (par exemple Pt100) par une grande robustesse de
l’extrémité sensible (soudure chaude). Cette particularité permet de réaliser des sondes sans
protection exposé ou en contact direct avec la gaine de protection elle même mise à la
masse. La troisième configuration est aussi celle des sondes RTD.

Fig. 1.1 – Sondes thermocouple

2
1.2. PROTECTION DES SONDES 3

1.2 Protection des sondes


L’élément sensible TC ou RTD est généralement protégé par une gaine, rempli de poudre
minérale (isolant électrique mais conducteur thermique) atténuant les vibrations :

Fig. 1.2 – Sonde simple et RTD dans la gaine

1. Élément sensible (fil platine enroulé) 1. Fils de mesure (ici 3 fils)


2. Isolant électrique (poudre minérale) 2. Céramique support du filament
3. Gaine protectrice 3. Fils de mesure accessibles

Cette sonde est elle même insérée dans un doigt de gant ou puit thermique (thermowell) : la
sonde est chemisée. Cet insert peut être amovible, le puit est implanté dans l’installation et le
changement de sonde est facilité. Pour une échange thermique optimal, une pâte thermique
ou de l’huile doit être utilisée, l’air étant mauvais conducteur thermique.

Fig. 1.3 – Puit thermique, insert.

1. Puit thermique 1. sonde (insert amovible)


2. élément sensible 2. Terminal de connexion ou transmetteur
3. fils dans l’isolant électrique 3. tête de sonde

1.3 Temps de réponse


La taille des enveloppes de protection influe sur le temps de réponse qui peut évoluer entre 50
ms pour les thermocouples non isolés à plusieurs centaines de secondes. La nature du produit
mesuré (liquide, gaz) ainsi que son débit font aussi varier ce temps de réponse. Noter que
plusieurs type de temps de réponse sont définis : ici T0.5 et T0.9 sont définis à 50% et 90%
de la variation attendue.
4 CHAPITRE 1. CAPTEURS DE TEMPÉRATURE

Fig. 1.4 – Temps de réponse

1.4 Implantation
La longueur du doigt de gant doit être adaptée ainsi que l’éloignement de la partie électro-
nique sensible à la chaleur émanent du procédé. Ci-dessous les implantations recommandées

Fig. 1.5 – Implantation sur une paroi

(par ordre de préférence)

Fig. 1.6 – Implantation dans un tuyau

Vibrations
Dans la configuration orthogonale, la sonde est soumis à un effort et peut réagir par des
vibrations latérales et entrer en résonance à une vitesse définie du fluide. En régime turbulent,
les tourbillons peuvent aussi engendrer des vibrations.
Chapitre 2

Capteurs de pression

2.1 Unités de pression

Nom Symbole N m−2


Pascal Pa 1
Bar bar 100 000
Pound square inch psi 6894,75
Atmosphère atm 101 325
millimètre de mercure mm Hg 133,32
mètre d’eau ... 0,98064

2.2 Référence
La pression mesurée peut être :
• la pression absolue (par rapport au vide) (PPA, ou PSIA)
• la pression relative par rapport à la pression ambiante, atmosphérique.(gauge) (PAG
ou PSIG)
• la pression différentielle entre deux points de mesure. (DP, PAD ou PSID)
• la pression statique dans une conduite : fluide au repos, la force est dirigée perpendi-
culairement aux parois.
• la pression dynamique dans une conduite, fluide en mouvement, la force est dirigée
dans le sens du mouvement.
La pression atmosphérique moyenne est de 1013 mbar. La mesure d’une pression permet
indirectement de mesurer des niveaux (pression hydrostatique) des débits (variation de pres-
sion au passage d’un obstacle dans un conduit, mesure de perte de charge), des températures
(loi des gaz parfaits).

5
6 CHAPITRE 2. CAPTEURS DE PRESSION

Fig. 2.1 – Capteur différentiel et absolu

2.3 Principe de la mesure


F
P = . Les éléments sensibles sont conçus pour que la pression du fluide exerce une force
S
sur le corps d’épreuve élastique. La déformation ou le déplacement résultant est exploitée
par le transducteur pour délivrer une grandeur électrique. Les dispositifs de visualisation
déplacent directement une aiguille, un curseur.

2.4 Principaux dispositifs


2.4.1 Visualisation : manomètre
Manomètre = indicateur de pression localisé sur site. Manomètre à colonne de liquide, à
colonne inclinée (mercure, eau, alcool), tube en U, à déformation mécanique.

Fig. 2.2 – Manomètre à spirale et tube de Bourdon

Le tube de Bourdon (forme en C de de trois quart de tour) a été breveté en 1848 par Eugène
Bourdon. Les variantes utilisent des spirales, hélices.
2.4. PRINCIPAUX DISPOSITIFS 7

2.4.2 Corps d’épreuve

Fig. 2.3 – Principaux éléments sensibles a) et b)

Fig. 2.4 – Principaux éléments sensibles (c) et d)

a) piston, membrane b ) capsule c) soufflets (below) d) Tubes de Bourdon

Placés dans une enceinte close et soumise à deux pressions, ces dispositifs peuvent servir à
mesurer la pression différentielle.

Fig. 2.5 – Mesure relative et différentielle


8 CHAPITRE 2. CAPTEURS DE PRESSION

Fig. 2.6 – Indicateur de pression différentielle

Fig. 2.7 – Indicateur de pression différentielle à soufflet

2.4.3 Transducteur

Le déplacement peut entraîner un dispositif potentiométrique, faire varier la résistance (jauge


de contrainte résistive) ou la capacité d’un élément qui sera alimenté en tension continue ou
alternative ou générer une tension par effet piézoélectrique.

Fig. 2.8 – Jauge de contrainte


2.4. PRINCIPAUX DISPOSITIFS 9

2.4.4 Exemple : GT301


Transmetteur Kongsberg GT301 :
Application and general description The GT301 Pressure Transmitter is a transmitter for use
in engine rooms and other similar applications. The transmitter is available as gauge and sealed
gauge, with pressure ranges up to 100 bar, and a 2-wire connection, 4 to 20 mA output signal.
Pressure sensing capsule The pressure transmitter is built around a dry, robust sensor element,
made of ceramic, with internal strain gauge. The signal given by this strain gauge is then digitized
and stored together with known applied pressure and temperature. All this together forms a unique
tabular for each sensor, which is kept in sensor memory for the sensor’s lifetime. This digital
compensation gives a possibility for linearization and temperature compensation of each transmitter
uniquely, based on each element’s character. This enables a much higher accuracy and temperature
stability than with former analogue sensors. As the 96 % alumina membrane is resistant to most
chemicals, the process medium is in direct contact with the measuring membrane, thus there is
no need for costly de-coupling in the form of a filling liquid and second membrane. A filling liquid
and a second membrane can be a source of errors. This is why dry capsule sensors have superior
specifications compared to wet capsule. On some measuring points in the engine room, e.g. fuel oil
inlet, there may be high pressure transients. For those applications, the R-version of the GT301
can be delivered with the built-in restriction absorber.

Fig. 2.9 – GT301 Kongsberg


Chapitre 3

Capteurs de niveau

Le niveau est défini par l’interface entre deux éléments. Particulièrement dans la mesure de
niveau, le produit mesuré influe sur la technologie à employer : liquide, solide, température,
agressivité, pression, présence de mousse, agitation de la surface ou inclinaison du réservoir
etc. On désigne par h la hauteur de la surface à partir du fond et d la distance du haut du
réservoir.

3.1 Indicateurs
Par le principe des vases communicants, une chambre de mesure (fenêtre de visualisation)
permet d’observer simplement la niveau de la cuve (niveau optique ou à glace).

Fig. 3.1 – Indicateurs par glace et par flotteur

Un flotteur peut entraîner un curseur, déplacer un aimant lié au curseur ou exercer une force
verticale pour déplacer un curseur ou une aiguille.
Une autre catégorie d’indicateur utilise la mesure de la pression hydrostatique.

3.2 Transmetteurs de niveau


3.2.1 Flotteurs ou plongeurs
Le mouvement du flotteur ou la force exercée par le plongeur sont transmis à un transducteur
de déplacement ou force : potentiomètre, jauge de contrainte, capteur piézoélectrique. Le
principe est simple la difficulté vient essentiellement de la nature du fluide.

10
3.2. TRANSMETTEURS DE NIVEAU 11

Mesure de résistance ou capacité


Pour un liquide non conducteur : mesure de la capacité entre deux armatures (dans l’exemple
ci-dessous la paroi et un conducteur immergé). Pour un liquide non isolant : suivant le même
principe mesure de la capacité mais une armature est isolée électriquement ou mesure de la
résistance entre deux conducteurs. Dans tous les cas la hauteur immergée va faire varier la
grandeur mesurée. L’alimentation peut être continue (mesure de résistance) ou alternative.

Fig. 3.2 – Sonde capacitive

Fig. 3.3 – Transmetteur de niveau par plongeur


12 CHAPITRE 3. CAPTEURS DE NIVEAU

3.2.2 Mesure hydrostatique


L’application de la loi des pressions statiques pour un fluide incompressible :

p=ρ·g·h

La masse volumique doit être connue, la forme du réservoir n’intervient pas. Le réservoir
peut être ouvert (soumis à la pression atmosphérique) ou fermé.

Fig. 3.4 – Mesure de pression différentielle

Fig. 3.5 – Mesure hydrostatique

L’utilisation de capteurs de pression différentielle permet d’obtenir directement une mesure


dépendant de la hauteur.
pmeas = phydr = ρ · g · h
Si le réservoir est fermé, la mesure différentielle (la deuxième pression est celle du réservoir
et non la pression atmosphérique) permet également de trouver la hauteur avec la même
formule de l’hydrostatique.
3.2. TRANSMETTEURS DE NIVEAU 13

3.2.3 Mesure par réflexion d’ondes


Ces mesures présentent l’avantage de ne pas nécessiter d’objet en contact avec le fluide. Le
temps d’aller retour est mesuré. Le capteur peut être positionné à l’extérieur du réservoir. Les
ondes peuvent être des ondes mécaniques (ultrasons : sonic) ou des ondes électromagnétiques
(waves).

Fig. 3.6 – Capteur ultrasonic


• BD Blocking distance : distance mini- • SD Safety distance : distance déclen-
male de mesure chant une alarme
• D distance jusqu’au haut du réservoir (d) • L Level niveau rempli (h)

3.2.4 Mesure par bullage


C’est une mesure indirecte de la pression hydrostatique, lorsque les bulles s’échappent (ré-
gulation d’un faible débit), la pression dans le tube est quasiment celle de la pression hydro-
statique. La pression mesurée est proportionnelle à la hauteur immergée (et à la densité).

Fig. 3.7 – Capteur bubbler


Chapitre 4

Capteurs de débit et de viscosité

4.1 Fluides dans une conduite


Pour un fluide idéal, les vitesses sont identiques en tout point de la section. Le comportement
d’un fluide réel dans une conduite est caractérisé par la viscosité dynamique ν, la vitesse
moyenne u et la taille de la conduite d. Un nombre remarquable, le nombre de Reynolds,
sans dimension, permet de caractériser le régime d’écoulement de laminaire à turbulent.
U ·d
Re =
ν
Pour Re > 4000 le régime est turbulent et laminaire si Re < 1000. (valeurs approximatives)

Conséquences : le profil de distribution est plus accentué pour un régime laminaire (vis-
cosité élevée, vitesse faible). Pour un régime turbulent, la vitesse moyenne u est plus proche
de la vitesse maximale. Le régime turbulent est majoritaire dans les procédés.

Fig. 4.1 – Allures des trajectoires et profil de vitesse

Débit volumétrique (v : vitesse, S : section)


qV , Q V = u · S
Le long d’un tube horizontal, en présence d’une restriction, on observe une perte de charge
singulière, se traduisant par une variation de pression. La conservation de l’énergie permet
d’écrire la relation suivante entre deux sections verticales du tube avant et après l’obstacle :

Q ∝ ∆P
Débit massique
QM = ρ · QV

14
4.2. PRINCIPES DE LA MESURE D’UN DÉBIT 15

4.2 Principes de la mesure d’un débit


Les débitmètres peuvent être classés en quatre types de mesures :
— Mesure basée sur la mesure de la vitesse.
— Mesure basée sur la différence de pression et la présence d’un organe déprimogène.
— Mesure Directe du débit massique.
— Mesure Directe du volume circulant

Ou classés suivant leur installation :


— Partie mobile dans la conduite
— Partie restrictive (ou plongée) dans la conduite
— Capteur externe à la conduite

4.3 Quelques débitmètres


4.3.1 Débitmètres électromagnétiques et à ultrasons
Ces capteurs sont externes. Les dispositifs à ultrasons peuvent mesurer :
— La différence de temps de parcours suivant le sens de l’onde par rapport à la vitesse
du fluide
— L’effet Doppler sur la fréquence par réflexion sur les particules en mouvement dans la
conduite.
Le débitmètre électromagnétique crée un champ magnétique traversant la conduite et, si le
fluide est conducteur, récupère la fém engendrée, proportionnelle à la vitesse du fluide.

4.3.2 Débitmètres massique


Effet thermique
Ce débitmètre a été vu en TD. La différence de température entre l’amont et l’aval est
proportionnelle au temps passé devant l’élément chauffant et les propriétés du fluide et de
la conduite. Le débit massique est alors calculé.

Effet coriolis
Une réalisation dévie le fluide dans une portion en U, les branches seront traversées en
sens opposé. Le tube est soumis à un champ électromagnétique et vibre. L’effet Coriolis
s’applique lorsque une masse est en mouvement dans la conduite animée d’un mouvement
perpendiculaire à celui du fluide (force up et force down). La déformation de la conduite est
mesurée.

4.3.3 Effet vortex


Un obstacle crée des tourbillons vortex et à la manière d’un drapeau dont la fréquence des
oscillations augmente avec la vitesse du vent, la fréquence des ces vortex est image du débit
volumique du fluide.
16 CHAPITRE 4. CAPTEURS DE DÉBIT ET DE VISCOSITÉ

Fig. 4.2 – Débit massique à effet Coriolis

Fig. 4.3 – Débitmètres vortex

4.3.4 Débitmètres à section variable


Appelé rotamètre, une masse dans une conduite verticale est en équilibre entre le poids et
la force créée par le débit du fluide. La section est variable et la position d’équilibre dépend
du débit. Plus souvent utilisé en indicateur sur site.

Fig. 4.4 – Rotameter et Pitot


4.3. QUELQUES DÉBITMÈTRES 17

4.3.5 Sonde Pitot


Basée sur la différence entre la pression statique (perpendiculaire au flux) et la pression
d’impact faisant face au flux. C’est donc une pression différentielle mais qui n’est pas due
à un organe créant cette différence comme dans l’item suivant. Cette sonde est tristement
célèbre en avionique.

4.3.6 Débitmètres à pression différentielle


D’utilisation très répandue, un organe déprimogène crée une différence de pression mesurée
par un capteur de pression différentielle.

Q ∝ ∆P

Fig. 4.5 – Organes déprimogène

4.3.7 Autres débitmètres


Mesure de vitesse Une turbine insérée dans la conduite entre en rotation, un simple
compteur d’impulsions de passage permet d’accéder à la mesure de la vitesse.

Compteur de volume En piégeant le fluide lors de la rotation de palettes, le nombre de


tours effectués donne un accès direct à la mesure du débit volumique.

Fig. 4.6 – Compteur volumétrique


18 CHAPITRE 4. CAPTEURS DE DÉBIT ET DE VISCOSITÉ

4.4 Viscosimètre
4.4.1 Viscosimètre à fourches vibrantes
Un principe présenté est basé sur la modification de la courbe de résonance d’une fourche
vibrante (diapason) en fonction de la viscosité. La fréquence centrale dépend de la masse vo-
lumique du fluide, l’appareil étalonné permet donc de déterminer cette grandeur. Il incorpore
une mesure de température (Pt100).

Fig. 4.7 – Viscosimètre à fourche

Fig. 4.8 – Viscosimètre installé

4.4.2 Viscosimètre en torsion


Basé sur un principe similaire, des éléments piézoélectriques (moteurs) font vibrer, en ro-
tation, un cylindre plongé dans le fluide. Deux autres éléments piézoélectrique (capteur)
mesure la réponse du cylindre (fréquence, phase). La fréquence de résonance ou l’acuité de
la résonance donne accès à la viscosité.
4.4. VISCOSIMÈTRE 19

Fig. 4.9 – Viscosimètre à torsion

Fig. 4.10 – Viscosimètre à torsion installé (viscosens)

4.4.3 Viscosimètre capillaire


La passage d’une petite quantité du fluide dans une conduite capillaire, en écoulement la-
minaire engendre une différence de pression le long du tube. Ce différentiel mesuré permet
de déterminer la viscosité du fluide. Ce dispositif est moins simple à installer que les deux
précédents, de technologie plus ancienne. Le temps de réponse de ce viscomètre est élevé cela
justifie en partie la nécessité d’une structure cascade (visco/température).

Fig. 4.11 – Viscosimètre à DP


Table des figures

1.1 Sondes thermocouple . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4


1.2 Sonde simple et RTD dans la gaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.3 Puit thermique, insert. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.4 Temps de réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.5 Implantation sur une paroi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.6 Implantation dans un tuyau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9

2.1 Capteur différentiel et absolu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11


2.2 Manomètre à spirale et tube de Bourdon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.3 Principaux éléments sensibles a) et b) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.4 Principaux éléments sensibles (c) et d) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
2.5 Mesure relative et différentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.6 Indicateur de pression différentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.7 Indicateur de pression différentielle à soufflet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
2.8 Jauge de contrainte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
2.9 GT301 Kongsberg . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18

3.1 Indicateurs par glace et par flotteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19


3.2 Sonde capacitive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
3.3 Transmetteur de niveau par plongeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
3.4 Mesure de pression différentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
3.5 Mesure hydrostatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
3.6 Capteur ultrasonic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
3.7 Capteur bubbler . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24

4.1 Allures des trajectoires et profil de vitesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25


4.2 Débit massique à effet Coriolis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
4.3 Débitmètres vortex . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
4.4 Rotameter et Pitot . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
4.5 Organes déprimogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
4.6 Compteur volumétrique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
4.7 Viscosimètre à fourche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
4.8 Viscosimètre installé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
4.9 Viscosimètre à torsion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
4.10 Viscosimètre à torsion installé (viscosens) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
4.11 Viscosimètre à DP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

20
Table des matières

1 Capteurs de température 3
1.1 Particularités des thermocouples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
1.2 Protection des sondes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.3 Temps de réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.4 Implantation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

2 Capteurs de pression 10
2.1 Unités de pression . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
2.2 Référence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
2.3 Principe de la mesure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.4 Principaux dispositifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.4.1 Visualisation : manomètre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.4.2 Corps d’épreuve . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.4.3 Transducteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.4.4 Exemple : GT301 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

3 Capteurs de niveau 19
3.1 Indicateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
3.2 Transmetteurs de niveau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
3.2.1 Flotteurs ou plongeurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
3.2.2 Mesure hydrostatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
3.2.3 Mesure par réflexion d’ondes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
3.2.4 Mesure par bullage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22

4 Capteurs de débit et de viscosité 25


4.1 Fluides dans une conduite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
4.2 Principes de la mesure d’un débit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
4.3 Quelques débitmètres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
4.3.1 Débitmètres électromagnétiques et à ultrasons . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
4.3.2 Débitmètres massique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
4.3.3 Effet vortex . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
4.3.4 Débitmètres à section variable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
4.3.5 Sonde Pitot . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
4.3.6 Débitmètres à pression différentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
4.3.7 Autres débitmètres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
4.4 Viscosimètre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
4.4.1 Viscosimètre à fourches vibrantes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
4.4.2 Viscosimètre en torsion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
4.4.3 Viscosimètre capillaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

CAPTEURS.tex last compil Samedi 6 avril 2024, 6 h CEST

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