- Si n pair : (−1 )n=1 et (−1 )n+1=−1: H (−1 )=( 1−1 )(−1−1 )=0 - Si n impair : (−1 )n=−1et (−1 )n+1=1: H (−1 )=(−1−1 ) (1−1 )=0 Dans les deux cas H(-1)=0 Conclusion : -1 est racine de H(x) 3. Montrons que si n=0 , 1 est racine commune de x n−1 et x n+1−1
{ n n x −1=1 −1=0→ 1 est racine Pour n=0 n+1 n+1 x −1=1 −1 →1 est racine
4. Déduisons-en que si n est non nul H(x) est divisible par ( x−1 )2 (x +1)
On sait que : { −1 est racine de H ( x ) : H ( x ) divisible par ( x+1) 1 est racine de H ( x ) : H est divisible par (x −1)
Conclusion : H ( x ) est divisible par p ( x )=( x−1 )2 (x +1)
ELITE SCIENCE « LA SCIENCE AUTREMENT »
Cours en ligne et en présentiel en MATHS PC et SVT (de la 6e à la Terminale toutes séries confondues) Tél : 77-106-98-79 (Whatsapp) – 76-870-60-77 CORRECTION : 1) f est-elle une application : f ∃ sssi x ≥ 0→ x ∈ ¿
Conclusion : f est une application
2. Montrons que f n’est pas injective :
{ f ( 0 ) =0− √ 0=0 → f ( 0 )=f ( 1 )∨0 ≠ 1
f ( 1 )=1− √ 1=0
Conclusion : f n’est pas injective.
3)-a) Résolvons l’équation f(x)=1
f ( x )=−1→ x−√ x=−1→ √ x=x +1→
{ x +1 ≥ 0 2 x=x +2 x +1 { → 2 x ≥−1 x + x +1=0
∆=1−4=−3<0
L’équation n’admet pas de solutions
Conclusion : f n’est pas surjective 4.a- Montrons que g est bijective de ¿ vers un intervalle J à préciser : Posons l’équation g(x)=y x−√ x= y → √ x=x− y → x=x −2 xy + y → x −2 xy−x + y =0 2 2 2 2
2 2 → x −( 2 y +1 ) x + y =0 2 2 2 2 ∆=( 2 y +1 ) −4 y =4 y + 4 y +1−4 y =4 y +1 ELITE SCIENCE « LA SCIENCE AUTREMENT » Cours en ligne et en présentiel en MATHS PC et SVT (de la 6e à la Terminale toutes séries confondues) Tél : 77-106-98-79 (Whatsapp) – 76-870-60-77 1 Comme y ∈ R ; ∆ ∃ sssi y ≥− 4
2 y +1− √ 4 y +1 2 y +1+ √ 4 y+ 1 x 1= ; x 2= 2 2 g ( x )=x−√ x avec x ∈ R+¿
On suppose que x−√ x ≥ 0 → { 2
x ≥0 x ≥ x (toujours vrai)
g ( x ) est croissante :
La solution à prendre est donc x2.
g¿ J=¿
b- Déterminons la réciproque g-1 :
−1 2 x +1+ √ 4 x +1 g ( x )= 2
CORRECTION : 1) ⃗ AP=k ⃗ AB → ⃗ AP−k ⃗ ¯ ;−k ) } AB= ⃗0 donc A { ( P ; 1 ) ,(B
1−k=0 → k =1 ¯ ;−k ) } Conclusion : le barycentre étant unique, k est différent de 0 de 1 pour A {( P ; 1 ) ,(B
ELITE SCIENCE « LA SCIENCE AUTREMENT »
Cours en ligne et en présentiel en MATHS PC et SVT (de la 6e à la Terminale toutes séries confondues) Tél : 77-106-98-79 (Whatsapp) – 76-870-60-77 Démontrons P barycentre de A et B : ⃗ AP−k ⃗ AB= ⃗0 → ⃗ AP−k ( ⃗ AP+⃗ PB )=0⃗ → ⃗ AP−k ⃗ AP−k ⃗ PB=0⃗ → ( 1−k ) ⃗ AP+k ⃗ BP=⃗0
P { ( A ; 1−k¯ ) , ( B ; k ) }
2) Ecrivons H barycentre de A, B et C : si H { ( A ; 1−k ) , ( ¯B ; k ) ,(C ; k ) } → ( 1−k ) ⃗ HA + k ⃗ HB+ k ⃗ HC =0⃗
Comme P { ( A ; 1−k¯ ) , ( B ; k ) } → ∀ M ∈ P : ( 1−k +k ) ⃗ MP=( 1−k )⃗ MA +k ⃗ MB
→⃗ HP=( 1−k ) ⃗ HA + k ⃗ HB
En remplaçant dans la 1e relation : ⃗ HC =⃗0 ce qui est possible car H, P et C sont
HP+ k ⃗ alignés. Conclusion : H {( A ; 1−k ) , ( ¯B ; k ) ,(C ; k) } 3) Position de Q sur (AC)
ELITE SCIENCE « LA SCIENCE AUTREMENT »
Cours en ligne et en présentiel en MATHS PC et SVT (de la 6e à la Terminale toutes séries confondues) Tél : 77-106-98-79 (Whatsapp) – 76-870-60-77
