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Annales2Thermodynamique Et Mécanique Des Fluides
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Annales2Thermodynamique Et Mécanique Des Fluides
Année : 2023-2024
THERMODYNAMIQUE
Laurent Duchez
lduchez@yahoo.fr
Mansour Seriai
seriai.mansour@wanadoo.fr
smbaye22@gmail.com
smbaye22@gmail.com
1
Test GI_FA_21
Ce test comporte 3 exercices indépendants et en annexe : un formulaire, un diagramme de Moody et
un diagramme enthalpique R134a.
1) Dans le cas d’une machine frigorifique, quel milieu (extérieur ou intérieur du réfrigérateur) constitue
la source chaude ? La source froide ?
2
4) Définir l’efficacité e de la machine frigorifique puis l’exprimer en fonction de Qc et Qf.
7) Les chlorofluorocarbures ou CFC, comme le fréon, sont des fluides frigorigènes qui ont été très
longtemps utilisés. Pourquoi ces fluides ont-ils été abandonnés ?
8) Quel doit être le cycle thermodynamique suivi par le fluide pour que l’efficacité du climatiseur soit
maximale ?
On étudie dans la suite l’évolution du fluide frigorigène au cours d’un cycle réel en régime permanent. Le
débit massique vaut Qm = 0.1kg.s−1. On néglige les variations d’énergie cinétique et de pesanteur.
La puissance thermique Pth , reçue par le fluide dans l’évaporateur permet la vaporisation isobare complète
du fluide venant de (4) et conduit au point (1) à de la vapeur à température T1 = 5 °C et pression P1 = 3 bar.
Aucune puissance mécanique n’est fournie au fluide dans l’évaporateur.
9) Placer le point (1) sur le diagramme enthalpique du R134a page 4 (à rendre avec la copie).
Relever la valeur de l’enthalpie massique h1 du fluide au point (1).
Le compresseur aspire la vapeur (1) et la comprime de façon adiabatique et isentropique avec un taux de
compression : r = P2/P1 = 6.
10) Déterminer P2. Placer le point (2) sur le diagramme. Relever la valeur de la température T2 et celle de
l’enthalpie massique h2 en sortie du compresseur.
11) Déterminer la valeur de la puissance mécanique Pcompresseur (ou Pm), reçue par le fluide lors de son
passage dans le compresseur. Commenter le signe de Pm.
12) Retrouver les 2 résultats précédents (température T 2 et puissance mécanique Pm) sans lecture
graphique en considérant γ=Cp/Cv=1,12 et une capacité calorifique massique Cp=0,79 kJ.kg-1.K-1.
Retrouve-t-on les mêmes résultats ? En cas de différence significative, pourriez-vous proposer des
explications ? On conservera les valeurs trouvées en 10) et 11) pour la suite de l’exercice.
3
Le fluide sortant du compresseur entre dans le condenseur dans lequel il est refroidi de manière isobare
jusqu’à la température T3 = 60 °C.
13) Placer le point (3) sur le diagramme. Relever la valeur de l’enthalpie massique h 3 en sortie du
condenseur.
Le fluide sortant du condenseur est détendu dans le détendeur supposé adiabatique jusqu’à la pression de
l’évaporateur P1, ce qui constitue l’état (4). Un détendeur ne contient pas de parties mobiles, si bien que le
fluide n’y reçoit aucun travail mécanique.
14) Montrer que la transformation dans le détendeur est isenthalpique.
15) Placer le point (4) sur le diagramme et tracer le cycle complet. Relever la valeur de la température T4
puis déterminer le titre en vapeur x4 en sortie du détendeur par la méthode de votre choix
16) Calculer la puissance thermique Pth , échangée par le fluide lors de son passage à travers
l’évaporateur entre (4) et (1). L’air intérieur de la voiture est-il refroidi ?
17) Définir l’efficacité e, ou coefficient de performance, du climatiseur. Calculer sa valeur.
18) Comparer cette valeur à celle d’un climatiseur de Carnot fonctionnant entre la température de
l’évaporateur T4 et la température T3 de liquéfaction du fluide sous la pression P2. Commenter le
résultat obtenu.
4
Diagramme enthalpique du R134a
5
Exercice 2 : amélioration des performances énergétiques d’une habitation
(6 points)
Soient λ la conductivité thermique exprimée en W.m –1.K–1, e l’épaisseur d’un matériau, S la surface
du matériau en contact avec l’extérieur et Δ la différence de température entre l’intérieur de la
maison et l’extérieur.
6
4. Calculer les flux thermiques T, F et S dissipés à travers le toit, les fenêtres et le sol.
Données : On pose r = . On a rT = rF = 3,0 K.m2.W–1 et rS = 1,0 K.m2.W–1
5. En déduire le flux thermique M perdu au travers des murs, à l’aide d’un bilan sur les différents flux.
6. Les murs ont une conductivité thermique λM = 0,70 W.m–1.K–1 et une épaisseur eM = 0,25 m. Afin
d’améliorer les performances thermiques de cette maison individuelle, il est préconisé d’effectuer un
doublage thermique par l’extérieur. Celui-ci est constitué d’un isolant et d’un crépi. L’ensemble a
une conductivité thermique λisol = 0,075 W.m–1.K–1 pour une épaisseur eisol = 0,12 m.
Montrer que le nouveau flux thermique à travers les murs vaut ’M = 0,76 kW.
La conduite transporte un débit volumique q v=0,25 l/s. La pression en entrée est P1= 3 bars. On donne les
caractéristiques du fluide de refroidissement :
• viscosité dynamique : =10-3 Pa.s.
• masse volumique : =1000 kg/m3.
7
Travail demandé :
8
Test GI_FA_20
Exercice 1 (4 points) Cycle de Carnot
Une quantité n = 0,050 mol de gaz monoatomique est utilisé dans cette machine.
On donne : PC = 1,0 bar ; VC = 1,2 L ; TC = T2 = 273 K ; VD = 0,40 L ; PD = 3,0 bar ; PA = 7,0 bar.
Constante des gaz parfaits : R = 8,31 J·mol–1·K–1·
La capacité thermique molaire à volume constant de l’air, Cv est constante et vaut 20,8 J·mol–1·K–1.
Q3/ En appliquant le 1er principe, exprimez le rendement en fonction des chaleurs échangées avec la source
chaude (Q1) et la source froide (Q2). (0,5 point)
Q5/ Déterminer la variation d’énergie interne UCD et le travail échangé WCD lors de la transformation CD.
En déduire la chaleur échangée QCD = Q2. (0,75 point)
Q6/ Déterminer la variation d’énergie interne UAB et le travail échangé WAB lors de la transformation AB.
En déduire la chaleur échangée QAB = Q1. (0,75 point)
9
Exercice 2 (6 points) Centrale thermique à flamme
On utilisera le diagramme T s pour représenter le cycle et faire les déterminations de chaleur fournies et
travail produit. En effet, avec h = Q + VdP on obtient :
• Lors d’une transformation isobare h = QP
• Lors d’une transformation adiabatique h = VdP = W
Q1/ Compléter le tableau ci-dessous dans le cadre du cycle de Rankine correspondant à la centrale
thermique à flamme dont les caractéristiques sont décrites précédemment. (1,75 point)
• Fluide : eau
• Compression isentropique
• Détente isentropique limitée
• Echanges de chaleur isobares
• Température de la source froide :
30°C
• Pression maximale : 100 bars
10
1 2 3 4 5
xv [%] 0 0 0 100
sous-
état [-] saturé saturé saturé diphasique
refroidi
T [°C] 30 35 311 30
s kJ.K-1.kg-1 = s1 = s4
Pour vous aider à trouver h5, pensez à la règle des moments puisque le point 5 est dans un état diphasique.
Attention, les valeurs d’enthalpie et d’entropie sont massiques donc données par kilogramme d’eau.
11
Q3/ La chaudière fonctionne par combustion d’un mélange d’hydrocarbures représenté par la formule C 9H20.
Si vous n’avez pas trouvé h3, h4 et h5 prendre les valeurs h3 = 1 300 kJ.kg-1, h4 = 2 800 kJ.kg-1, et h5 = 1 800
kJ.kg-1,
Q4/ Entre quels points se trouve la turbine ? En déduire le travail massique W cédé par la vapeur à la
turbine. (Ecrire le résultat sous forme littérale avant de faire le calcul numérique). (0,75 point)
Q5/ Entre quels points se trouve la chaudière ? En déduire l’énergie calorifique massique Qc dépensée au
niveau de la chaudière. (Ecrire le résultat sous forme littérale avant de faire le calcul numérique) (0,75 point)
Q6/ Déterminer alors le rendement de cette centrale. Commenter le résultat. (0,75 point)
Q7/ Le débit massique de vapeur vaut Qm = 20 kg.s-1. En déduire la puissance P fournie à la turbine. (0,5
point)
Exercice 3 (5 points)
Une laiterie dispose d’une zone de bureaux dans un bâtiment entièrement vitré sur les côtés. Ce bâtiment a
une hauteur totale H = 6,0 m, une longueur L = 15,0 m et une largeur l = 8,0 m.
Le double vitrage a été retenu comme séparation permettant d’obtenir une grande clarté dans les bureaux.
Des rideaux inclinables préviennent tout excès de lumière.
Le double vitrage est constitué de 2 plaques de verre séparées par une couche d’air sec immobile.
L’épaisseur de chaque vitrage est de ev = 6,0 mm et celle de la couche d’air vaut ea = 16 mm. La
conductivité thermique du verre est λv = 0,70 W.m-1.K-1 et celle de l’air est de λa = 0,024 W.m-1.K-1 sur le
domaine de température étudié. La température intérieure est de i = 19°C. La température extérieure est de
e = 4°C.
L’air extérieur est mobile. Le coefficient d’échange thermique de l’air hext = 10 W.m-2. K-1.
L’air intérieur est mobile. Le coefficient d’échange thermique de l’air hint = 5,0 W.m-2. K-1.
Q2/ Déterminer la résistance thermique Rth de l’ensemble vitré en prenant en compte la conduction et la
convection. (1 point)
Q3/ On considère que la résistance thermique Rth = K.W-1. En déduire le flux thermique total traversant les
vitres. (0,5 point)
Dans cette laiterie, il faut refroidir le lait qui a été pasteurisé avec de l’eau froide avant de le conditionner.
On veut dimensionner un échangeur tubulaire simple co-courant adiabatique de rayon intérieur r1 = 2,0 cm
et de rayon extérieur r2 = 3,0 cm faisant circuler :
- le fluide 1 chaud : le lait au centre de l’échangeur,
- le fluide 2 froid : l’eau froide à l’extérieur.
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Les données physiques :
Q8/ Calculer la valeur de la différence de température moyenne logarithmique DTML. En déduire la valeur
de la surface S d’échange. (1 point)
PI PI
2 L 3
H
A
DN 150
On veut étudier une installation de chauffage industrielle constituée de 5 chaudières dont les rôles sont
différents.
Dans cette étude, on s'intéressera uniquement à une des chaudières à vapeur.
On donne sur le document n° 1 le schéma de principe de l'installation simplifiée.
13
La chaudière est alimentée en fioul lourd, stocké dans une cuve cylindrique d'une capacité de 900 m3. Il est
acheminé vers les chaudières par une pompe centrifuge à travers une conduite de diamètre D = 60mm. Il est
préalablement chauffé à 65°C pour faciliter l’écoulement.
Pour alimenter une telle installation, le débit volumique nécessaire est Qv = 3,6 m3.h-1. La pression en A est
à un instant donné vaut pA = 3 bar. La longueur de tuyau droit entre A et B vaut L = 50 m.
La pression en B au niveau de l'injecteur à plein régime est quant à elle vaut pB = 20 bar.
Q5/ Pour le calcul des pertes de charge géométriques, on fournit les coefficients de perte de charge
* coude de 90° : 0,8 * une vanne : 6,0
Calculer alors la perte de charge géométrique pgéo liée aux coudes et aux vannes de l’installation. (0,5
point)
Q6/ Calculer les pertes de charge totales p* associées à la circulation du fluide. (0,5 point)
Q7/ Par application du théorème de Bernoulli entre les points A et B, d'altitude zA et zB, déterminez Pp que
doit développer la pompe. On admettra que : zB = zA et vA = vB (0,75 point)
Q8/ En déduire la puissance utile fournie par cette pompe. On donne : P = QV p avec P puissance de la
pompe en watt.
14
Test GI_FA_19
Exercice 1 (5 points) Système réfrigérant
On effectue l'étude d'un système destiné à réfrigérer de l'eau. Le schéma de principe est donné à la figure ci-
dessous Le fluide subissant le cycle thermodynamique est du fréon· Le circuit est représenté en trait épais.
1, 2, 3, 4 sont les points du circuit correspondants aux entrées et sorties de chaque élément· Un ventilateur
soufflant de l'air sur le condenseur assure le refroidissement du dispositif. L'évaporateur et le circuit d'eau
sont mis en contact thermique par un échangeur de chaleur, représenté en pointillé. Le circuit d'eau est
représenté en trait fin :
3.3. On rappelle que la chaleur latente massique de vaporisation du fréon est L = 130 kJ·kg–1 à 310 K.
3.3.1. En déduire la quantité de chaleur Q23 échangée par le fréon, en une minute, dans le
condenseur pour son refroidissement et sa liquéfaction.
3.3.2. Quel est le signe de Q23 ? Que représente ce signe ?
15
4. Dans l'évaporateur, la valeur algébrique de quantité de chaleur Q41 reçue par le fréon, en une minute, est
Q41= 240 kJ.
En déduire le débit maximal de l'eau, si l'on veut abaisser la température de celle-ci de 5,0° C. On
exprimera ce débit en litres par minute.
1. Citer les divers modes de transmission de la chaleur et donner dans chaque cas un exemple
caractéristique.
2. On note Rth la résistance thermique totale d'une paroi et r sa résistance thermique par m2.
Donner la relation existant entre la résistance thermique Rth, le flux thermique à travers cette paroi, et
l'écart de température entre les deux faces de la paroi. Préciser l'unité de la résistance thermique Rth.
3. On considère une maison assimilée à un parallélépipède rectangle de dimensions moyennes L, l, h. Les
murs, en pierre mélangée à de la terre, ont une épaisseur moyenne e1 et une conductivité thermique 1.
3.1. Exprimer littéralement puis calculer la résistance thermique par m2, r, de ces murs.
3.2. Exprimer littéralement puis calculer le flux thermique transmis à travers l'ensemble des murs.
3.3. Le prix moyen du kWh est 0,10 €. Calculer le coût de fonctionnement d'un chauffage électrique
permettant de compenser les pertes thermiques qui se produisent pendant les l20 jours de froid.
4. Dans le cadre d'une réfection de la maison, on envisage de recouvrir les façades extérieures d'un enduit
et de doubler intérieurement les murs par du placoplâtre séparé du mur par du polystyrène.
4.1. Exprimer littéralement puis calculer la résistance thermique par m 2, notée r’ du mur isolé.
4.2. Calculer l’économie ainsi réalisée pendant les 120 jours de froid.
Données
On suppose négligeables les pertes de chaleur par le sol, le plafond, et les ouvertures.
La valeur moyenne, sur la durée des quatre mois d'hiver, de la différence entre la température de la face
intérieure et celle de la face extérieure du mur est notée .
On donne :
e1 = 0,5 m l = l0 m
1 = 1,2 W·m ·K –1 –1 h=6m
L =15 m = 12 °C
On donne dans le tableau suivant les épaisseurs e et les conductivités thermiques des divers matériaux.
16
Exercice 3 (5 points) Turboréacteur
Un compresseur axial aspire l’air ambiant. Après compression, l’air est chauffé dans la chambre de
combustion jusqu’à la température (T3=1250 K). Après détente partielle dans la turbine axiale, l’air est
envoyé dans la tuyère, où la détente s’effectue jusqu’à la pression ambiante (p 5=1,00 bar). Le
compresseur est uniquement entraîné par la turbine, qui lui transmet intégralement la puissance
mécanique que lui fournit l’écoulement. On donne le taux de compression du compresseur :p2/p1=6,15
L’air est assimilé à un gaz parfait. On donne cp=1,00 kJ.kg−1.K−1et γ=1,40. L’énergie cinétique sera
négligée, sauf à la sortie de la tuyère. Le débit massique d’air aspiré par le turboréacteur vaut Qm=50,00
kg.s−1. Le compresseur aspire l’air ambiant défini par sa pression p1=1,00 bar et sa températureT1=288 K.
Les évolutions à l’intérieur des turbomachines (compresseurs et turbines) et des tuyères sont supposées
adiabatiques, réversibles. On négligera les pertes de charge de l’air à l’intérieur des chambres de combustion
: les évolutions y sont isobares. On définit l’efficacité thermique du turboréacteur (noté ηth) comme étant le
rapport entre l’énergie cinétique massique reçue par l’air, notée Ec, et le (ou la somme des) transfert(s)
thermique(s) massique(s) fourni(s) par la(ou les) chambre(s) de combustion, noté(e) Qcombustion.
1) Calculer la températureT2 (sortie du compresseur),
4) Calculer le transfert thermique (quantité de chaleur) massique fourni à l’air lors de la combustion,
noté Q2−3= Qcombustion.
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Exercice 4 (5 points)
1
PI PI
2 L 3
H
A
DN 150
Le volume de retenue du barrage étant très grand, on admettra que l'altitude zB de la surface libre du lac est
constante et on négligera la vitesse de l'écoulement de l'eau à cette altitude (vB = 0). La sortie de
l'écoulement au niveau de la turbine est à la pression atmosphérique (pA = pB).
1. Calculer le débit volumique d'eau Qv du circuit hydraulique.
2. Expliquer succinctement ce qui distingue un écoulement turbulent d'un écoulement laminaire. Calculer
les nombres de Reynolds RH et RV des deux conduits et en déduire les régimes d'écoulement.
3. Calculer la perte de charge totale P*H dans le conduit H (en tenant compte de la grille d'entrée et du
rétrécissement). En déduire l'altitude zE du niveau dans la cheminée E.
4. Calculer la perte de charge totale P*V dans le conduit V (en tenant compte des deux coudes). En déduire
les pertes de charge totales P*T = P*H + P*V du circuit hydraulique.
Pour la suite du problème, on posera : P*T = 0,15 bar et Q = 0, 085 m3·s–1
5. Calculer le travail WT fourni à la turbine par un kg d'eau. En déduire la puissance utile PU de la turbine
sachant que son rendement hydraulique est de 0,82.
conduit H conduit V
Longueur lH = 60 m lV = 90 m
Diamètre intérieur dH = 0,30 m dV = 0,20 m
Vitesse d'écoulement (m·s–1) vH = 1,2 m·s–1 vV = 2,7 m·s–1
Coefficient de perte de charge régulière fH = 1,5 x 10–2 fV = 1,6 x 10–-2
Coefficients de pertes de charge grille : 1 = 1, 75 coude 60° : 3 = 0, 47
singulière rétrécissement : 2 = 0,40 coude 70° : 4 = 0, 55
3 –1
Débit volumique de l'eau Q = … m ·s
Viscosité dynamique de l'eau = 10–3 Pa·s
Altitudes Barrage : zB = 790 m Turbine : zA = 702 m
Masse volumique de l'eau = 1000 kg·m–3
Accélération de la pesanteur g = 9, 8 m·s–2
18
Formulaire
Thermodynamique
Echanges thermiques
Co-courant :
=
Contre-
courant :
=
19
20