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1.

Le dégagement de chaleur et de phénomène lumineux accompagnent


toujours la réaction chimique particulière de :
a) Diffusion b) Fusion c) Combustion d) Fission e) Evaporation

2. Quelle est la différence entre le foyer et la chambre de combustion :


a) Le foyer est un système ouvert et la chambre est fermée.
b) La chambre est réversible et le foyer est irréversible
c) Le foyer a un chargement illimité et la chambre est restreinte
d) Le foyer est à convection naturelle et la chambre est artificielle ou forcée
e) Pas de réponse

3. La conception et la fabrication d’une chaudière à combustible liquide portent


sur :
a) Le four et les modes de transmission de la chaleur
b) Le comburant, le combustible et l’électrode pour l’amorçage du feu
c) Les dessins et l’exécution par le biais de bureau de méthodes
d) La flamme et le four
e) L’écoulement de gaz de la flamme et l’air de l’atmosphère

4. Une chaudière à foyer intérieur présente des inconvénients ci-après :


a) Exigences de grand diamètre de vide avec combustion par vaporisation
b) Surveillance aisée et sans encombrement
c) La construction est compliquée avec petite surface de chauffe
d) Installation difficile et flamme avec plus de GES
e) Entretien difficile et faible rendement

5. Dans le concept d’exploitation des chaudières, ces assertions sont fausses


sauf :
a. Le foyer peut être remplacé par un bruleur dans une chaudière
b. La chaudière multitubulaire à tubes d’eau peut être peu inclinés ou
fortement inclinés
c. Les frais de première installation très élevés et entretien onéreux
d. La chaudière est mono thermique sans principe de faisabilité
e. Les accidents surviennent par défaut de construction et d’usine. Et par
manque des connaissances fondamentales dans la construction des
chaudières.

6. Les appareillages des chaudières sont :


a) Flotteur, tube de verre, soupape de sécurité, gammagraphe
b) Surchauffeur et robinet jauge de pression, magnétoscope et thermomètre
c) De sécurité de récupération, de tirage, d’alimentation d’eau et d’épuration
d) Manomètre, sifflets d’alarme, bouchons fusibles, relais max-mini, soupape
de sécurité, radiographie
e) Economiseur, rechauffaire et microscope

7. Le tirage est le poids d’air qui par seconde, passe dans le foyer, dans le but
de faire pénétrer la quantité d’air nécessaire à la combustion. Leurs types
sont :
a) Tirage par chargement mécanique, tirage manuel artificiel
b) Tirage par pulvérisation convective et naturel avec soufflement
c) Tirage naturel, tirage forcé et tirage hybride
d) Tirage à marche ralentie et contrôlé régulé automatiquement
e) Tirage à jets impulsionnels et naturel induit à chaud ou froid

8. Les éléments caractéristiques d’une chaudière sont : le ventilateur soufflant,


le ventilateur aspirant, la pompe d’alimentation, le dépoussière par voie
humide ou par voie électrostatique, aussi que le circuit d’air, le circuit de gaz,
le circuit d’eau et le circuit de vapeur produite. C’est pourquoi la chaudière
pour son installation et son contrôle l’ingénieur doit développer la
modélisation et la simulation en :
a. Hydraulique appliquée et thermique
b. Magnétohydrodynamique et thermomécanique
c. Machines hydrauliques et thermique appliquée
d. Computational Fluids Dynamics et Mectridynamique
e. Mécanique des fluides et thermodynamique appliquée.

9. Les installations des chaudières dépendent de leur but (1), leur débit de
vapeur (2), des caractéristiques de la vapeur (3) produite selon :
l. les chaudières productrices d’énergie
m. Les chaudières industrielles
n. les chaudières de chauffage
o. les chaudières mixtes
p. les chaudières traditionnelles
Et que l’ordre de la classification est alors :
a. 22 à 29 bars moyenne pression pour (0) et 60 à 140 bars pour (p)
b. 150 à 320 bars très hautes pressions pour (l) et 16 à 22 bars pour (l)
c. 8 à 16 bars basse pressions pour (n) et au-delà 320 bars pour (m)
d. Plus de 230 bars pressions hypercritique (l) et de 1-8 bars pour (p)
e. 1 à 230 bars pour (m) et 1 à 140 pour (o)

10. Les caractéristiques numériques des chaudières sont :


a. Le fluide à obtenir la vapeur et interface avec la chaudière
b. L’interface gaz-solide-liquide-vapeur et l’utilisation sous les conditions
thermo fluidiques appropriées.
c. Débit (productivité) de la gnaulilé de vapeur débité, pression et température
de vapeur, surface de chauffes, volume d’eau et volume de vapeur dans la
chaudière, le niveau de la flamme, le niveau d’eau maximal et minimal
admissible, la circulation de l’eau dans les chaudières à vapeur, la purge de
l’eau (des gouttelettes), l’enchaînement d’eau de la vapeur, le coup de bélier
dans les chaudières, le boulonnement (gonflement) de l’eau et formation des
mousses, separation d’eau et de vapeur, la vaporisation échelonnées de
l’eau dans les chaudières, les armalures et idinetteries des ensembles des
chaudières.
d. Liées aux équations de Navier-Stokes entre les fluides véhiculés tant aux
flammes qu’au fluide caloporteur de la vapeur d’eau.
e. Le coefficient d’échange et le tonnage de la vapeur par rapport à l’eau.

11.
 Procéder la simulation avec un logiciel de votre choix le dimensionnement
d’une chaudière. (avec possibilité de voir les indications en cas de besoin ou
trouver d’autres pistes dans la littérature)
 Procéder à la simulation pour dimensionner les chaudières par échange de
chaleur à convection.
Les indications : on utilise 3 relations fondamentales suivantes pour calculer
la surface de vaporisation : la surface des économiseurs et la surface des
surchauffeurs de vapeurs :
- La chaleur absorbée par le milieu chauffé
𝐷 𝐾𝑐𝑎𝑙
𝑄 = (𝑖 ′′ − 𝑖 ′ ) [ ]
𝐵𝑐 𝐾𝑔
- Chaleur cédée par les produits de combustion
𝑘𝐶𝐴𝐿
𝑄 = ϥ(I ′ − I ′′ +△∝ 𝐼𝑂 ) [ ]
𝑘𝐺
- Chaleur absorbée par la surface de chauffé considérée :
𝐻𝐾𝑐 ∆𝑙 𝐾𝑐𝑎𝑙
𝑄= [ ]
𝐵𝑐 𝐾𝑔
Dans ces relations
Bc : Consommation calculée (nominale) de combustible, en Kg/n
I’ et i’’ (respectivement) enthalpie de l’eau ou de la vapeur à l’entrée et à la
sortie de surface de chauffe en Kcal/Kg ;
I’ et I’’ (respectivement) enthalpie des gaz de combustion à l’entrée et à la
sortie de la surface de chauffe en Kcal/Kg :
△∝Io: Quantité de chaleur apportée par l’air aspiré en Kcal/Kg
Ϥ : Coefficient de conservation de la chaleur, tenant compte des pertes de
chaleur dans le milieu externes.
100 − 𝑞𝑠
ϥ=
100
H : surface de chauffe calculée (nominal) en m2
Kc : coefficient de transmission de la chaleur calculée (nominal) rapporté à la
surface de chauffe en Kcal/m2h°C ;
△t : la différence de température moyenne entre les gaz de combustion et
le fluide absorbant la chaleur en °C.
Le calcul d’une chaudière consiste à résoudre les trois équations
précédentes.
Suivant le but du calcul, on résout les dernières équations en Q ou bien en H.
quand on veut déterminer la surface de vaporisation, on opère uniquement
à l’aide de deux dernière formules.
On calcule la surface des rechauffeurs d’air avec les mêmes formules que la
surface des économiques. Mais la première équation est modifiée comme
suit :
𝑄 =∝ 𝑉°(𝐼 0 − 𝐼 ′ ) 𝐾𝑐𝑎𝑙/𝐾𝑔
Avec ∝ coefficient d’excèdent d’air dans le réchauffeur d’air
I’ et I’’ (respectivement) enthalpie de l’air théoriquement nécessaire à
l’échelle et à la sortie de préchauffeur en Kcal/Kg ;
V0 Quantité d’air théoriquement nécessaire pour la combustion de 1 kg de
combustible en Nm3Kg.
12. Détermination des coefficients de transport global d’un échangeur
turbulaire.
Considérons un tube cylindrique

𝑇𝑏 − 𝑇𝑐
𝑄=
𝑅
Avec la résistance thermique R (Kw-1) et est donnée par :
1 𝑒 1 1 1
𝑅= + + = =
𝐴𝑖 ℎ𝑖 𝑘𝐴𝑚 𝐴𝑜 ℎ𝑜 𝐴𝑜 𝑈𝑜 𝐴𝑖 𝑈𝑖
Avec : e : épaisseur du tube
K : conductivité thermique du matériau constituant de tube (w.m -1K-1)
A : Air d’échange (m2)
𝐴0 − 𝐴𝑖
𝐴𝑚 =
𝐴
𝑙𝑛 𝑜
𝐴𝑖
Les indices « i » et « o » désignent les côtés intérieur et extérieur
respectivement :
1 1
𝑈𝑜 = 𝑜𝑟 𝑈𝑜 = 𝐴𝑜 𝐴 𝑒 1
𝐴𝑜 𝑅 + 𝑜 +
𝐴𝑖 ℎ𝑖 𝐴𝑚 𝑘 ℎ𝑜

1
𝑈𝑜 =
𝐷𝑢 1 𝐷 1
+ 𝐷𝑜 ln ( 𝑜 ) +
𝐷𝑜 ℎ𝑖 2𝑘 𝐷𝑖 ℎ𝑜

1
𝑈𝑜 =
1 1
+
𝑘𝑖 𝑘𝑜
1 𝐹𝑖 𝑒 1 𝐹𝑜
𝑅= + + + +
𝐴𝑖 ℎ𝑖 𝐴𝑖 𝑘𝐴𝑚 𝐴𝑖 ℎ𝑖 𝐴𝑜
1
𝑈𝑜 =
𝐷𝑜 1 1 𝐷 1
( + 𝐹𝑖 ) + 𝐷𝑜 ln ( 𝑜 ) + ( + 𝐹𝑜 )
𝐷𝑖 ℎ𝑖 2𝑘 𝐷𝑖 ℎ𝑜
A l’intérieur du tube 𝑗 = 0.023 ∗ 𝑅𝑒−0.2
𝑗 = .33 ∗ 𝑅𝑒−0.4
2
3
𝑗 = 𝑠𝑡 ∗ 𝑃𝑟

𝑠𝑡 = 𝑁𝑢⁄(
𝑅𝑒 ∗ 𝑃𝑟 )
𝑑
𝑂𝑟 𝑁𝑢 = ℎ ∗
𝑘
𝑑
𝑅𝑒 = 𝑈 +
𝑣
𝑃𝑟 = 𝑤⁄𝑎
𝜇
𝑎=
𝜌∗𝑐
𝑄 = 𝑈𝐴 △ 𝑇𝑚
𝑑𝑄 = 𝑈𝑑𝐴 △ 𝑇
△ 𝑇 = 𝑇𝑏 − 𝑇𝑐
𝑑𝑄 ° = −𝐶 ° 𝑑𝑇ℎ
1 1
𝑑𝑄 ° = 𝐶0° 𝑑𝑇𝑐 𝑠𝑖 𝐵 = +
𝑖𝑛 𝑖𝑐
𝑑(△ 𝑇)
= −𝐵𝑈𝑑𝐴
△𝑇
𝐷𝑇𝑖 𝑑(△
𝑇) 1
∫ = −𝐵 ∫ 𝑈𝑑𝐴
𝑇𝑜 △𝑇 0

1 𝐴 △ 𝑇𝑖
𝑈𝑚 = ∫ 𝑈𝑑𝐴 ; ln ( ) = −𝐵𝑈𝑚 𝐴
𝐴 0 △ 𝑇𝑜
△ 𝑇𝑜 −△ 𝑇2
𝑄 ° = 𝑈𝑚 𝐴𝑖 = 𝑈𝑚 𝐴𝑖 △ 𝑇𝐿𝑀
△ 𝑇𝑜
ln ( )
△ 𝑇2
△ 𝑇𝑜 −△ 𝑇𝑙 △ 𝑇𝑜 +△ 𝑇1
△ 𝑇𝐿𝑀 = 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 △ 𝑇𝑜 =
△ 𝑇𝑜 2
ln ( )
△ 𝑇1
𝑄 ° = 𝑈𝑚 𝐴𝐹 △ 𝑇𝐿𝑀
EFFICACETE
°
𝑄 ° = ɛ𝐶𝑚𝑖𝑛 (𝑇ℎ1𝑖𝑛 − 𝑇𝑐1𝑖𝑛 )
𝑄 ° = 𝐶𝑛° (𝑇ℎ1𝑖𝑛 − 𝑇ℎ1𝑜𝑢𝑡 ) = 𝐶𝑜 (𝑇𝑐1𝑜𝑢𝑡 − 𝑇𝑐1𝑖𝑛 )
𝐶𝑛° 𝑇ℎ1𝑖𝑛 − 𝑇ℎ1𝑜𝑢𝑡
ɛ= °
𝐶𝑚𝑖𝑛 𝑇ℎ1𝑚 − 𝑇𝑐1𝑖𝑛
𝐶𝑐° 𝑇𝑐1𝑜𝑢𝑡 − 𝑇𝑐1𝑖𝑛 𝑇ℎ1𝑜𝑢𝑡 − 𝑇𝑐1𝑜𝑢𝑡
𝑜𝑟 ɛ= ° 𝑒𝑡
𝐶𝑚𝑖𝑛 𝑇𝑛1𝑖𝑛 − 𝑇𝑐1𝑖𝑛 𝑇ℎ1𝑖𝑛 − 𝑇𝑐1𝑖𝑛
= 𝑒 −𝐵𝑈𝑚 𝐴𝑖
𝐶𝑜°
𝑇𝑏1𝑜𝑢𝑡 = 𝑇ℎ𝑖𝑛 − ° (𝑇𝑜1𝑜𝑢𝑡 − 𝑇𝑐1𝑖𝑛 )
𝐶𝑏
𝑇𝑐1𝑖𝑛 − 𝑇𝑐1𝑖𝑛 𝐶ɛ°
1− (1 + ° ) = 𝑒 −𝐵𝑈𝑚 𝐴𝑖
𝑇ℎ1𝑖𝑛 − 𝑇𝑐1𝑖𝑛 𝐶𝑛
1−ɛ−𝐵𝑈𝑜𝐴𝑖 𝑈𝑚 𝐴𝑖
ɛ= 𝐶°𝑚 𝐶°𝑚
; 𝑁𝑇𝑈 = .
+ 𝐶𝑚𝑖𝑛
𝐶°𝑖 𝐶𝑜

°
𝐶𝑚𝑖𝑛 1 − exp[−𝑁𝑇𝑈(1 + ω)
ω= ; ɛ=
𝐶𝑚𝑎𝑥 1+ω
1 − 𝑒 −𝑁𝑇𝑈(1−ω)
ɛ=
1 − ω𝑒 −𝑁𝑇𝑈(1−ω)
𝑁𝑇𝑈
ɛ= 𝑝𝑜𝑢𝑟 ω = 1
1 + 𝑁𝑇𝑈
ɛ = 1 − 𝑒 −𝑁𝑇𝑈
13.0. On nous demande de concevoir, de construire ou fabriquer, d’installer,
d’exploiter et contrôler les trois ou quatre types des chaudières ci-après :
chaudière à combustible liquide, chaudière électrique et chaudière nucléaire
et/ou chaudière hybride thermoélectrique (à combustible et à l’énergie
électrique). Question a plus de pondération et travailler sous forme de projet
des petites études.
13.1. Chaudière à fioul ou à combustible liquide de votre choix. Mais montrer
l’originalité dans la présence de l’eau dans la combustion C + O2 →CO2.
Dimensionner et présenter toutes les phases utiles de la conception à
l’exploitation et contrôle-commande de la chaudière.
13.2. Chaudière électrique (dans la littérature il y a des types sulzer) et/ou
autre types. Faire une étude complète de la conception, fabrication,
exploitation, entretien et contrôle. Après, dimensionner, montrer
l’originalité que le champ magnétique tue et comment en contourner.
13.3. Chaudière mixte électrique et thermique. Une chaudière qui peut
fonctionner aux villages et en ville. Montrer l’originalité de la commande
automatique de fonctionnement sans interruption ou délestage.
13.4. Chaudière nucléaire à faire une étude allant de la conception à
l’exploitation et contrôle. Montrer l’originalité pour la sécurité des
personnes et protection de l’environnement à causes des effets radioactifs
nuisibles. Puissance inférieur ou supérieur à 1300MW.
14. Les assertions suivantes sont variées sauf pour la vapeur :
a. la pression de chaque liquide entre en ébullition à une température qui est
propre.
b. la température reste constante pendant toute la durée de l’ébullition et la
chaleur désagrège les molécules.
c. La quantité de la chaleur totale n’est pas la somme de la chaleur sensible
et la chaleur latente non plus.
d. Le titre d’une vapeur est le rapport entre le poids réel de vapeur et le poids
total du mélange.
e. la vapeur est surchauffée quand on chauffe à pression constante de la
vapeur saturée en l’absence de tout liquide.
15. la quantité de chaleur totale de 1 Kg de vapeur saturée se calcule par la
formule de Regnault : λ (lambda). λ=606.5 + 0.305t avec t=température en
degré centigrade de la vapeur saturée à la pression correspondante p. et
s’applique pour des pressions inférieur à 20Kg/Cm2, au-delà il faut aux
diagrammes psychométriques. On demande si l’on dispose de 25 Kg d’eau à
30°C. Quelle quantité de chaleur faut-il lui fournir pour obtenir de la vapeur
sèche à 45 Kg/Cm2? Sachant que pour 1Kg de vapeur à 45Kg/Cm2, il faut une
quantité de chaleur totale de 668.4 calories. Comme p>20 kg/Cm2. Les
résultats sont valables sauf :
a. la chaleur latente vaudra 412.4 calories
b. la chaleur sensible sera 226 calories
c. la chaleur à fournir à 1Kg pour 30°C à l’état sec et 836 calories.
d. pour les 25 Kg il faut fournir 15960 calories
e. Pour passer de 5 à 10 Kg, il faut lui fournir en plus 7 cal/Kg.
16. Après l’exploitation de diagramme de mollier et/ou diagramme
psychrométrique de thermodynamique appliquée, on peut tout attester
sauf :
a. Tous les problèmes relatifs aux vapeurs
b. L’abscisse en entropie dresse les courbes de saturations, des isotropes,
des isobares et des isothermes
c. L’absence des caractéristiques de la vapeur saturée sèche, la vapeur
saturée humide et la vapeur surchauffée.
d. la détente adiabatique s’effectue sans échange de chaleur sans variation
d’entropie.
e. le rendement global est le rapport entre l’énergie récupéré et l’énergie
fournie en resurchauffé continuel.
17. La fausse assertion est celle de la lettre :
a. il existe deux groupe de chaudière celle de combustion et de récupération
et/ou verticales et horizontales.
b. il y a 2 classes des condenseurs et deux familles respectivement par
surface, sans contact entre vapeur à condenser et le fluide et celle ou d’une
surface d’échange s’interpose aux interfaces.
c. les Condenseurs ne sont pas des échangeurs de chaleur mais de
convertisseur des produits de distillations.
d. les pertes dans les chaudières exigent le bilan anergique avec système de
régulation.
18. La stabilité diphasique d’une chaudière s’opère dans sa stabilité statique
dynamique à l’aide de sauf :
a. les équations locales et instantanées de la mécanique des fluides et de la
thermique, de l’équivalence, de la conservation de la masse et de la quantité
de mouvement
b. les équations en bilan entropique et postulat ou △S≥, S comme entropie
de la vapeur d’eau.
c. La stabilité dynamique n’est pas stable statiquement en raison de la
stabilité de la structure qui supporte des hautes températures au fluage et
économique.
d. De génération des gaz à effet de serre pour les chaudières thermique tels
que CO, CO2, NOX,…
19. Quelles sont les précautions à prendre lors d’installation d’une
chaudière ? Spécifier pour les chaudières électriques, thermiques, hybrides
et nucléaires.
20. Citez les questions ouvertes dans (i) la conception des chaudières
actuelles (ii) dans la construction ou fabrication (iii) dans l’exploitation, (iv)
dans l’entretient (v) dans le contrôle.

Fait à Kinshasa, le 06/06/2021


Leonard KABEYA

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