Saint-Germain-de-Montbron
Saint-Germain-de-Montbron (Sent German de Montberol en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Germain-de-Montbron | |||||
Le village et son église. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord | ||||
Maire Mandat |
Danielle Combeau 2020-2026 |
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Code postal | 16380 | ||||
Code commune | 16323 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Germanois | ||||
Population municipale |
476 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 32 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 37′ 26″ nord, 0° 25′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 93 m Max. 182 m |
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Superficie | 14,91 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Val de Tardoire | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.saintgermaindemontbron.fr | ||||
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Ses habitants sont les Saint-Germanois et les Saint-Germanoises[1].
Géographie
modifierLocalisation et accès
modifierLa commune de Saint-Germain-de-Montbron est une commune située à 21 km à l'est d'Angoulême, située dans la vallée du Bandiat entre Chazelles et Marthon.
Le bourg de Saint-Germain est aussi à 2,5 km à l'ouest de Marthon, 8 km au sud-ouest de Montbron, le chef-lieu de son canton (d'où le nom de la commune), 13 km au sud de La Rochefoucauld et 22 km au nord-ouest de Nontron[2].
La route principale de la commune est la route d'Angoulême à Nontron (D 4), qui passe sur la rive gauche du Bandiat et traverse la commune d'est en ouest. Le bourg, située sur la rive droite, est sur la route de Marthon à Chazelles et La Rochefoucauld (D 33), qui lui est parallèle.
La commune est aussi traversée par des routes départementales de moindre importance. À l'ouest, la D 109 va au nord vers Vilhonneur et Saint-Sornin, au sud vers Grassac, et la D 108 qui traverse le bourg et la vallée, et va du sud-ouest au nord-est de Sers et Vouzan à Vouthon et Montbron[3].
La commune était traversée autrefois par la voie ferrée d'Angoulême à Nontron et Thiviers. Celle-ci longeait le Bandiat et la D 4. Abandonnée dans les années 1950, puis vers 1980 (seul restait le dernier tronçon qui reliait Marthon et sa scierie), elle est aujourd'hui (depuis 2008) aménagée en piste cyclable.
Hameaux et lieux-dits
modifierLa commune comporte de nombreux hameaux importants, surtout localisés près du Bandiat, comme Pont-Sec, Rochepine, Birac, la Brousse, mais aussi d'autres situés dans les bois au nord comme Tourtazeau, Mas de Baud, et les Chaillats[3].
Communes limitrophes
modifierGéologie et relief
modifierSur la quasi-totalité de la commune, le terrain est calcaire et date du Jurassique moyen (Bajocien à Callovien). Les flancs de la vallée du Bandiat sont recouverts par endroits par des colluvions, sables argileux, tandis que le fond est occupé par des alluvions (sable et galets) datant du quaternaire (Pléistocène)[4],[5],[6].
Le Bandiat entre dans le karst de la Rochefoucauld, dans lequel il s'infiltre peu à peu le long de son trajet par des pertes ou des gouffres. Sur la commune le Bandiat est encore rarement à sec en été, et on n'observe pas de perte sur la commune.
La vallée fait environ 500 m de large, et elle est à 100 m d'altitude. Elle n'est pas très encaissée et les plateaux alentour ne sont qu'à environ 130 m d'altitude. Le territoire de la commune est assez boisé en dehors de la vallée, et la végétation de sol karstique se compose principalement de chênes.
Le bourg, pentu, est situé sur le versant nord de la vallée, et s'étage entre 105 et 135 m d'altitude. Le point culminant de la commune (182 m) est situé au nord-est sur la route de Vouthon (D 108), à l'est du lieu-dit le Poteau, en limite avec Marthon.
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Bandiat, Canal du Vieux Bandiat, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le Bandiat fait tourner deux moulins sur la commune, Pont-Sec et celui de la Chaume. Le moulin de la Chaume est un moulin qui produit de l'huile à partir des noix de la région. En effet, le terrain calcaire est propice à la culture des noyers, qui est traditionnelle de part et d'autre du Bandiat jusqu'à Bunzac.
Toutefois, il n'y a aucun cours d'eau sur la commune à part le Bandiat, malgré de nombreuses petites vallées affluentes.
Gestion des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
modifierComme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Germain-de-Montbron est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,9 %), zones agricoles hétérogènes (33,7 %), terres arables (15,7 %), prairies (10,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Saint-Germain-de-Montbron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[18]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 44,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 286 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 166 sont en aléa moyen ou fort, soit 58 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[16].
Toponymie
modifierLe nom de la commune est attesté sous la forme ancienne Sanctus Germanus de Bandeaco (Saint-Germain-du-Bandiat, non datée, Moyen Âge)[21].
Saint Germain était évêque gaulois d'Auxerre, mort en 448[22],[23].
La paroisse était également parfois connue au XVIIe siècle sous le nom de Saint-Germain de Marthon[24],[25].
La commune a été créée Saint-Germain en 1793.
En 1956, elle est devenue Saint-Germain-de-Montbron, en même temps que Saint-Germain dans le canton de Confolens-Sud s'est appelée Saint-Germain-de-Confolens pour éviter la confusion[26].
Dialecte
modifierLa commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[27]. Elle se nomme Sent German de Montberol en occitan[28].
Histoire
modifierAu village de Rochepine s'élevait un petit logis qui était le siège d'un fief peu important, qui a appartenu à la fin du XVIe siècle à la famille Béchade[25], puis à plusieurs propriétaires. À la Révolution, les dames Lhuillier, filles de François Lhuillier, écuyer et seigneur de ce fief, n'ayant pas émigré, purent conserver leurs propriétés[29].
En 1849, le curé du lieu fut condamné aux travaux forcés à perpétuité pour le meurtre de sa servante. Il mourut quelques années plus tard à Cayenne. Ce fait divers est décrit en détail dans un livre de Marie-Bernadette Dupuy intitulé : "Les amants du presbytère"[30] et le procès dans un épisode des Procès témoins de leur temps diffusé en 1979 sur Antenne 2.
Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par ligne d'Angoulême à Nontron et Thiviers qui longeait la vallée du Bandiat.
Au début du XXe siècle, l'industrie était représentée par l'important moulin de Pont-Sec sur le Bandiat, ainsi qu'une carrière de pierre de taille[29].
Administration
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2021, la commune comptait 476 habitants[Note 2], en évolution de −5,74 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 246 hommes pour 229 femmes, soit un taux de 51,79 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierAgriculture
modifierLa viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].
Industrie
modifier- Carrière de pierre de taille située au nord de la commune.
- Moulin à huile de la Chaume.
Équipements, services et vie locale
modifierEnseignement
modifierL'école est un RPI entre Feuillade et Saint-Germain, qui accueillent chacune une école élémentaire. L'école, située en haut du bourg, comporte une classe unique. Le secteur du collège est Montbron[37].
Lieux et monuments
modifierL'église paroissiale Saint-Germain est une église romane datant du XIIe siècle. Sa nef a été élargie. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1965[38].
L'église renferme un tombeau en pierre du XIIIe siècle classé monument historique au titre objet depuis 1933[39], ainsi qu'un tabernacle en bois doré et polychrome du XVIIe siècle comportant des scènes bibliques (Christ en croix, saint Jean-Baptiste, saint Denis, saint Germain), classé depuis 2003[40].
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Vue du nord-est
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Vue du nord-ouest.
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Le portail.
Le presbytère est une maison à balet typique du Sud-Ouest[41].
La fontaine[Où ?], dédiée à saint Antoine, favorisait les mariages si on venait y jeter des épingles ou bien les piquer[42].
Personnalités liées à la commune
modifier- Raymond Aupy est bien connu pour ses diverses activités associatives (Jardiniers de France notamment).
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Germain-de-Montbron » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montbron », sur Infoterre, (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Saint-Germain-de-Montbron », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angoulême », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Germain-de-Montbron », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Germain-de-Montbron », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 267
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 602.
- Archives Départementales de la Charente. Bl-10483, « Duel à Saint-Germain de Marthon », (consulté le ).
- Lionel Sandoz, « Armorial des Béchade », (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 331
- Benoît Caurette, « La faute de l'abbé Gothland », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Germain-de-Montbron (16323) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
- « Église Saint-Germain », notice no PA00104504, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Monument sépulcral », notice no PM16000267, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Tabernacle », notice no PM16000409, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- Communauté de communes Seuil Charente-Périgord, « Maison à balet - Patrimoine de Saint-Germain-de-Montbron », (consulté le ).
- Aguiaine (éd. La Société), p.281
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site officiel de la mairie
- Catillus Carol, « Saint-Germain », (consulté le )