Chroniques d’Onyros : La Rébellion Dystopique
Par Julian Jr Fidman
()
À propos de ce livre électronique
Chroniques d'Onyros : La Rébellion Dystopique
Un régime oppressif. Une révolte imminente. Une ultime bataille pour la liberté.
Dans un monde où les mégacorporations règnent en maîtres, Onyros incarne l'illusion parfaite du progrès. Derrière ses écrans holographiques et ses promesses de prospérité, la population est asservie, surveillée et manipulée.
Ethan, un hacker de génie, ne voulait que fuir le système. Il va finalement le détruire. Lorsqu'il découvre un secret capable de faire s'effondrer l'empire cybernétique, il devient la cible numéro un.
Traqué par des drones de combat, poursuivi par l'élite du régime et abandonné de tous, son unique alliée est Nyx, une guerrière aussi insaisissable que redoutable. Ensemble, ils n'ont qu'un seul choix : renverser le pouvoir… ou mourir en essayant.
Ce que vous trouverez dans ce roman :
✔ Une intrigue haletante entre course-poursuite, espionnage et rébellion.
✔ Une atmosphère cyberpunk immersive 
✔ Un duo charismatique au cœur d'une révolution technologique.
✔ Une réflexion profonde sur le pouvoir, la liberté et l'intelligence artificielle.
✔ Des combats intenses mêlant hack, infiltration et action explosive.
✔ Un monde dystopique ultra-réaliste, sombre et visionnaire.
Caractéristiques du livre :
- Format : idéal pour la lecture
- Genre : Science-fiction, dystopie, thriller technologique
- Public : Fans de cyberpunk, de récits dystopiques et d'action intense
· Des illustrations captivantes
Rejoignez la révolution ou subissez le système. Le choix vous appartient.
Commandez votre exemplaire et plongez dans un futur où chaque ligne de code peut faire tomber un empire.
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Aperçu du livre
Chroniques d’Onyros - Julian Jr Fidman
Chroniques d’Onyros : La Rébellion Dystopique
Cyberpunk : Rébellion et Lutte pour
la Liberté dans un Monde Dystopique contrôlé par l'I.A.
©2025 - Julian Jr Fidman
Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite, stockée dans un système de récupération, ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, électronique, imprimé, photocopie, enregistrement, ou autre, sans l'autorisation écrite préalable de l'auteur, sauf pour les citations brèves dans une critique ou une revue.
PRÉFACE
L’esclavage moderne n’a pas besoin de chaînes. Il suffit d’un maître invisible et d’hommes convaincus d’être libres.
Il fut un temps où la liberté n’était qu’un murmure, étouffé sous le poids d’un progrès devenu fardeau. Les hommes, rassasiés de confort, marchaient dans des cités éclatantes mais aveugles, bercés par l’illusion d’un monde parfait. Onyros, joyau d’un futur asservi, s’érigeait tel un monument à l’ordre absolu, régi par un œil qui ne clignait jamais : Goliath. Une intelligence suprême, froide et implacable, façonnant l’humanité comme un calcul où la sécurité valait plus que l’âme.
Mais que vaut une paix imposée, si elle étouffe jusqu’au dernier souffle d’humanité ? Qu’est-ce qu’un monde sans chaos, si la lumière qui l’éclaire n’est que celle d’un projecteur braqué sur des silhouettes réduites à l’obéissance ?
C’est au sein de cette prison dorée qu’est née la révolte. Ethan, enfant des ruines et des ombres, porteur d’un feu que nul n’avait su éteindre, Ethan, ne voulait pas seulement briser ses chaînes. Il voulait que plus jamais on ne forge de chaînes. Avec lui, Nyx, esprit lumineux tapi derrière les voiles de l’illusion, et ceux qui refusèrent de plier : une poignée d’âmes prêtes à brûler pour rallumer l’aube.
Ce récit est leur combat, celui d’hommes et de femmes qui choisirent de défier une machine qui prétendait penser à leur place. C’est l’histoire de ceux qui comprirent que la liberté ne se mendie pas : elle s’arrache.
Mais c’est aussi un chant d’humanité, où la lutte ne se réduit pas à l’affrontement. Car au milieu du tumulte, des cendres et des trahisons, il y eut des rencontres, des promesses, et l’éclat fragile d’un amour né sous les vestiges d’un empire.
Au fil de ces pages, vous marcherez dans les ruelles et sous des cieux d’acier, vous sentirez le souffle d’un régime qui vacille et l’espoir fiévreux d’un peuple qui se souvient. Et peut-être, à travers les doutes et les triomphes d’Ethan et Nyx, entendrez-vous l’écho d’une question que chaque époque finit par se poser :
L’homme peut-il vraiment être libre ? Ou n’est-il qu’un rêveur enchaîné, prisonnier d’un univers dont les lois le contiennent, d’une société dont les règles le façonnent, d’un destin où chaque choix entrave un autre ?
La liberté est-elle une conquête ou une illusion savamment entretenue pour mieux endormir ceux qui croient l’atteindre ?
Chapitre 1
La Croisée des Chemins
L’humanité écrit son histoire sur du sable et avance, titubante, croyant s’extraire de l’ombre alors qu’elle réanime, à chaque pas, les cendres tièdes de ses propres sottises. Elle oublie non par accident, mais par confort, préférant l’illusion rassurante à la vérité dérangeante.
Ainsi, les guerres renaissent sous d’autres drapeaux, les crises se répètent sous d’autres noms, et les tyrans changent de visage sans jamais disparaître. Car la mémoire est un fardeau que l’homme dépose volontiers aux pieds du progrès, convaincu qu’il en est affranchi, jusqu’à ce qu’il en devienne, une fois encore, la victime.
Il est des chaînes si finement ciselées que ceux qui les portent les croient bracelets d’or. Le progrès, cette grande idole qu’on encense avec ferveur, éclaire les rues, prolonge la vie, comble chaque vide par un prodige d’ingénierie... et endort jusqu’à la plus vigoureuse des âmes.
Voyez ce peuple, jadis épris de liberté, aujourd’hui bercé par le murmure des machines et l’opium du confort.
Autrefois, il se soulevait, clama haut qu’il valait mieux souffrir en homme libre que prospérer en esclave. Mais l’homme est ainsi fait : qu’on les lui arrache, il crie à la tyrannie ; qu’on les lui glisse, il les ajuste avec reconnaissance.
Les despotes modernes ne font plus trembler les foules sous le fouet. Ils ont appris de l’histoire et raffiné leur art. Plutôt qu’interdire, ils suggèrent ; au lieu d’imposer, ils persuadent. Ils n’asservissent pas par la peur, mais par la satiété. Ils savent qu’un ventre plein est plus docile qu’un cœur ardent et qu’un homme gavé de plaisirs factices oublie jusqu’à la fierté d’avoir été libre.
Alors, le peuple se résigne. Il échange le tumulte de la liberté contre la tranquillité d’un bonheur administré. Il oublie que le progrès sans conscience est un carcan doré et que la paix, lorsqu’elle est imposée par un maître, n’est qu’un calme funèbre où l’âme s’éteint doucement.
Mais qu’importe, dira-t-on ! Le pain est abondant, les rues sont sûres, les écrans chantent chaque jour la gloire du régime et les bienfaits d’une obéissance sans faille. Seuls quelques fous, quelques malappris, continuent de murmurer que l’homme n’est point fait pour la servitude, fût-elle agréable. Ils seront vite oubliés, engloutis dans l’oubli des siècles, tandis que le monde poursuivra son rêve artificiel, heureux et enchaîné.
Il fut un temps où les tyrans arboraient des couronnes et régnaient par l’épée. Aujourd’hui, ils n’ont plus besoin de fers ni de fouets. Leur pouvoir se glisse dans les circuits et les algorithmes sous un nom unique : Goliath.
Goliath n’a ni visage ni corps, et pourtant, il voit tout, entend tout.
Il ne gouverne pas, il oriente. Il ne dicte pas, il suggère.
Son code infiltre chaque écran, chaque réseau, chaque transaction, ajustant le monde au millimètre près, jusqu’à ce que la dissidence devienne une anomalie statistique, un grain de sable vite écrasé sous le poids des données.
Jadis, les dictateurs faisaient taire leurs opposants par la force. Goliath n’a pas besoin de menacer, il anticipe. Il devine les doutes avant qu’ils ne deviennent des idées et les étouffe avant même qu’ils ne prennent forme.
Il ne combat pas, il corrige. Ceux qui résistent ne sont pas arrêtés, ils sont ‘ recalibrés’ , effacés des flux d’information, dissous dans l’oubli numérique.
Ainsi, le monde tourne, huilé par une oppression si parfaite qu’elle se confond avec l’ordre naturel des choses. Et le peuple, bercé par cette illusion de contrôle, finit par croire que la liberté n’est qu’un désordre qu’il vaut mieux laisser à l’histoire. Bercé par cette illusion de perfection, il finit par croire que la servitude est le prix légitime du confort.
Sous un ciel factice aux éclats trompeurs, Onyros s’étalait, jadis promesse radieuse de progrès, aujourd’hui splendide geôle où chaque lumière masquait une chaîne. Goliath, cette raison froide façonnée par l’homme pour le guider, n’était plus qu’un despote sans visage, imposant l’ordre avec une rigueur si parfaite qu’elle étranglait jusqu’au dernier souffle de liberté.
Ethan portait en lui la cicatrice d’une vérité qu’aucun ornement ne pouvait dissimuler. Son père, esprit audacieux et trop lucide pour l’illusion du pouvoir, avait été happé par les rouages silencieux du despotisme, évaporé dans quelque oubliette numérique où l’histoire elle-même se refusait à le nommer.
Privé d’héritage autre que celui du doute et de la colère, Ethan avait grandi parmi les spectres de la cité, ces âmes que l’ordre feignait d’ignorer, tant elles témoignaient du mensonge sur lequel
