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Celui qui hantait les ténèbres
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Celui qui hantait les ténèbres
Livre électronique35 pages34 minutes

Celui qui hantait les ténèbres

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À propos de ce livre électronique

Robert Blake est retrouvé mort chez lui, une expression de terreur sur son visage. Que s'est-il passé, quelle est l'indicible vérité?
LangueFrançais
ÉditeurBooks on Demand
Date de sortie9 oct. 2020
ISBN9782322252664
Celui qui hantait les ténèbres
Auteur

H. P. Lovecraft

H. P. Lovecraft (1890–1937) was born in New England, a landscape that he turned into a stage of fiction. His stories inherited the tradition of gothic horror tales from authors such as Edgar Allan Poe, but Lovecraft set his own standards. His first stories appeared in Weird Tales, a pulp magazine. “The Call of Cthulhu” (1926), a short story about a monstrous deity that inhabits the Earth, is the base of the myths related to the Cthulhu Mythos, a genre of horror fiction launched by Lovecraft. In its world, populated by beings of other dimensions, the laws of humanity are worthless. But man is incapable of understanding its insignificance in the face of the magnitude of the cosmos.

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    Aperçu du livre

    Celui qui hantait les ténèbres - H. P. Lovecraft

    Celui qui hantait les ténèbres

    Celui qui hantait les ténèbres

    L'Œuvre

    Page de copyright

    Celui qui hantait les ténèbres

     Howard Phillips Lovecraft

    L'Œuvre

    À Robert Bloch

    J’ai vu le sombre univers béant

    Où les noires planètes roulaient sans but,

    Où elles tourbillonnaient, dans leur horreur inaperçues,

    Sans connaissance, lustre ou nom.

    Némésis

    Les enquêteurs circonspects hésiteront à contester l’opinion courante qui veut que Robert Blake ait été tué par la foudre ou par un choc nerveux dû à une décharge électrique. En vérité, la fenêtre devant laquelle il se trouvait était intacte, mais la nature est coutumière de ces caprices. L’expression de son visage a pu être causée par des contractions musculaires sans aucun rapport avec ce qu’il a vu. Les notes de son journal sont nettement le fruit d’une imagination débridée mise en branle par des superstitions locales et certaines découvertes faites par le défunt. Quant à l’état bizarre de l’église abandonnée de Federal Hill, il est aisé de l’attribuer à une certaine charlatanerie de Blake, consciente ou inconsciente.

    Car, après tout, c’était un écrivain et un peintre qui se consacrait au domaine du mythe, du rêve, de la terreur, toujours en quête d’effets étranges ou fantomatiques. Son premier séjour à Providence, au cours duquel il avait rendu visite à un vieillard aussi féru d’occultisme que lui-même, avait pris fin dans l’incendie et la mort ; d’autre part, c’est sans doute sous l’effet d’une impulsion morbide qu’il abandonna sa maison du Milwaukee pour revenir dans notre ville. Il avait dû entendre parler des vieilles légendes (contrairement à ce qu’il rapporte dans son journal), et sa mort a peut-être détruit dans sa fleur une formidable mystification, prélude à un grand succès littéraire.

    Néanmoins, plusieurs de ceux qui ont étudié cette affaire avec attention s’attachent à une théorie moins banale et moins rationnelle. Ils se montrent enclins à ajouter foi au journal de Blake, et soulignent l’importance significative des faits suivants : l’authenticité indiscutable du registre trouvé dans la vieille église ; l’existence prouvée de la secte impie appelée Sagesse des Étoiles, avant l’année 1930 ; la disparition d’un journaliste trop curieux, Edwin M. Lillibridge, en

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