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Journées d’étude internationales "Les impacts environnementaux des missions catholiques dans l'espace atlantique à la période moderne" (Université du Québec à Montréal, 18 mars 2024)
LʼOccident grec de Marseille à Mégara Hyblaea
Tracce di culto nell’entroterra sicano: il santuario extraurbano di Cozzo Spolentino (Palermo)2013 •
LES CÉRÉMONIES EXTRAORDINAIRES DU CATHOLICISME BAROQUE
ENTRE ÉTONNEMENT ET DÉVOTION. LES FÊTES UNIVERSELLES POUR LES CANONISATIONS DES SAINTS (ITALIE, XVIIe SIÈCLE ET DÉBUT DU XVIIIe SIÈCLE)2009 •
This article examines the Nomina archangelorum, a text probably earlier than the end of the 8th cent., in which seven archangels (Gabriel, Michael, Raphael, Uriel, Raguel, Barachiel and Pantasaron) are listed to whom one should turn in different vicissitudes of life on earth. The author examines the contents and compares them with the numerous contemporary incantations and prayers involving non-biblical angels and describes the diffusion of the text, which exists in four other redactions all later than that in the Cologne Cathedral Library of the 9-10th cent., which was edited by Leclercq. The author examines the origin and destiny of their mysterious protagonist: archangel Pantasaron, perhaps of Jewish provenance, who at the moment is not attested in any earlier source than the Nomina. L’ articolo studia i Nomina archangelorum, testo, probabilmente anteriore alla fine del sec. VIII, in cui sono elencati sette arcangeli cui affidarsi per differenti evenienze della vita terrena. Se ne esamina il contenuto, confrontandolo con quello di numerosi scongiuri e preghiere pressappoco contemporanei pure comprendenti angeli extrabiblici, e si abbozza una storia della diffusione dello scritto, di cui si indicano altre quattro redazioni, successive alla più antica del Köln. Dombibl. (sec. IX-X) , edita dal Leclercq. Si indagano, infine l’origine e la fortuna di un suo misterioso protagonista: l’arcangelo Pantasaron, forse proveniente da tradizioni giudaiche, ma di cui non si conoscono per ora attestazioni anteriori a quella dei Nomina.
Seminario dottorale a cura dell'École française de Rome
Annali di Scienze Religiose
La Chiesa e la guerra delle onde. A margine di una nuova ricerca sulla Radio Vaticana2019 •
Kernos Revue Internationale Et Pluridisciplinaire De Religion Grecque Antique
Giovanni Casadio, Il vino dell’anima. Storia del culto di Dioniso a Corinto, Sicione, Trezene2000 •
A. Bertrand qualifia, dans une formule oxymorique, l’horizon cultuel des colonies italiennes et provinciales comme étant à la fois « si loin » et « si proche » de Rome. (« Si loin, si proches ? L’horizon romain des colonies italiennes et provinciales au prisme de la religion, de la deuxième guerre punique à l’empire des Sévères », Pallas, 2019) Grâce à cette formule, l’historienne entend démontrer que, malgré l’éloignement géographique, les colonies, fruits de l’impérialisme romain, sont dotées de structures religieuses semblables. De la politique expansionniste romaine découla la constitution de colonies et de municipes. Si leur mise en place constitue, dans les deux cas, le fruit de conquêtes, ces deux termes désignent deux organisations municipales différentes. Une colonie était une cité fondée par Rome sur des terres confisquées au peuple vaincu et redistribuées à des colons. Les colonies pouvaient être romaines et latines. Dans le premier cas, des citoyens romains, conservant leur citoyenneté romaine, la peuplait. Dans le second cas, les habitants avaient la citoyenneté latine et seule l’exercice des magistratures ouvrait les portes de la citoyenneté romaine. Une municipe, quant à elle, était une cité qui, bien qu’annexée par l’Urbs, conservait une grande autonomie. Suite à la guerre sociale (90 – 88 av. n.è..), les cités italiennes devinrent progressivement des municipes. A partir du Ier siècle, les municipes crées furent foncièrement régies par le droit latin. Ces cités étaient dotées de « polis-religion », selon le concept de R. Gordon (« Religion in the Roman Empire. The Civic Compromise and its Limits », dans M. Beard, J. North (dir.), Pagan Priests ? Religion and Power in the Ancient World, Londres, 1990). Elles pratiquaient leurs religions civiques propres, matérialisées par des cultes publics, perçus comme fondamentaux dans l’exercice de leur pietas, leur piété collective. La période étudiée dans la présente analyse s’étendra de – 218 av. de n.è. et le début de la deuxième guerre punique à 250 de n.è. et la réaffirmation de l’importance du culte impérial par l’empereur Trajan Dèce.
Raúl Trejo Villalobos y Obed Frausto, Filosofía de los pueblos originarios (México: Bajo Tierra ediciones, 2022)
Filosofia de los pueblos originarios/Philosophy of the indigenous2022 •
Cuadernos del Sur Filosofía
Heráclito a la luz de Lao Tsé. Contribuciones desde la Filosofía Perenne2017 •
Physical Review Letters
Submicron Positioning of Single Atoms in a Microcavity2005 •
Social Science Research Network
Once More, the Correct Definition for the Cash Flows to Value a Firm (Free Cash Flow and Cash Flow to Equity) (Spanish Version)2007 •
Green Chemistry
3,2,1 and stop! An innovative, straightforward and clean route for the flash synthesis of metallacarboranes2019 •
Bayero Journal of Nursing and Health Care
Perceptions of Patient Safety Culture among Healthcare Professionals in Public Hospitals in Kaduna State, Nigeria: A Cross-Sectional SurveyBlood
A New Subtype of Large B-Cell Lymphoma Expressing the ALK Kinase and Lacking the 2; 5 Translocation1997 •
2024 •
Milena Viceconte