Elsa Trani
Docteur en Histoire de l'art.Titulaire d'une thèse : "La peinture à Montpellier de Sébastien Bourdon (1616-1671) à Joseph-Marie Vien (1716-1809)" à l'université Paul-Valéry, Montpellier 3.Centre de recherche CRISES: Centre de Recherche Interdisciplinaire en Sciences humaines et Sociales de Montpellier.Enseignant chercheur à Aix-Marseille UniversitésEnseignant en histoire de l'art moderne à l'Université du Tiers Temps de Montpellier.
Supervisors: HECK Michèle Caroline
Supervisors: HECK Michèle Caroline
less
InterestsView All (8)
Uploads
Books by Elsa Trani
La Société montpelliéraine réunit un réseau d’amateurs dont la volonté est de promouvoir les arts. De jeunes apprentis sont formés aux techniques du dessin, et les collections des mécènes locaux sont rendues publiques lors des Salons annuels. La mémoire des maîtres académiciens montpelliérains resurgit grâce aux peintures de Sébastien Bourdon (1616-1671), Hyacinthe Rigaud (1659-1743), Jean Raoux (1677-1734) et Joseph-Marie Vien (1716-1809), présentées dans ces expositions. Cette société d’amateurs adopte une organisation singulière face aux académies voisines, érigées à Toulouse et Marseille. Elle est à l’origine des différentes écoles de dessin qui se succèdent à la Révolution avec l’École des arts, ponts et chaussées en 1787, l’École centrale en 1796 et l’école municipale de dessin en 1806."
La Société montpelliéraine réunit un réseau d’amateurs dont la volonté est de promouvoir les arts. De jeunes apprentis sont formés aux techniques du dessin, et les collections des mécènes locaux sont rendues publiques lors des Salons annuels. La mémoire des maîtres académiciens montpelliérains resurgit grâce aux peintures de Sébastien Bourdon (1616-1671), Hyacinthe Rigaud (1659-1743), Jean Raoux (1677-1734) et Joseph-Marie Vien (1716-1809), présentées dans ces expositions. Cette société d’amateurs adopte une organisation singulière face aux académies voisines, érigées à Toulouse et Marseille. Elle est à l’origine des différentes écoles de dessin qui se succèdent à la Révolution avec l’École des arts, ponts et chaussées en 1787, l’École centrale en 1796 et l’école municipale de dessin en 1806."