Saint-Paul (Oise)
Saint-Paul | |||||
L'abbaye et l'église. | |||||
20220701 Logo Saint Paul Couleur.png | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CA du Beauvaisis | ||||
Maire Mandat |
Gérard Hédin 2020-2026 |
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Code postal | 60650 | ||||
Code commune | 60591 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 592 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 167 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 25′ 48″ nord, 2° 00′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 72 m Max. 147 m |
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Superficie | 9,52 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Saint-Paul (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Beauvais-2 | ||||
Législatives | 2e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.stpaul60.fr | ||||
modifier |
Saint-Paul est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Géographie
Localisation
Le village est situé à 68 km au nord de Paris, 5 km à l'ouest de Beauvais, 65 km à l'est de Rouen et 55 km au sud d'Amiens.
Communes limitrophes
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Avelon, le ruisseau du Moulinet[1], le fossé 01 de la commune de Saint-Germain-la-Poterie[2], le fossé 01 de la commune de Saint-Paul[3], le fossé 04 de la commune de Saint-Paul[4], le ru de Boyauval[5], le ruisseau Morue[6] et divers autres petits cours d'eau[7],[Carte 1].
L'Avelon, rivière affluente du Thérain lui-même affluent de l'Oise, prend sa source entre Senantes et Villembray, aux confins de l'Oise et de la Seine-Maritime. Elle entre dans la commune par l'ouest venant de Lachapelle-aux-Pots, puis à Saint-Paul, au hameau du Becquet-Saint-Paul plus précisément où elle passe dans la propriété du parc Saint-Paul et à proximité de plusieurs étangs. Elle sort de la commune par l'est et rejoint Aux-Marais, Goincourt puis Beauvais où elle se jette sur la rive droite du Thérain. Après le pont de la D 931, le ruisseau du Moulinet venant de Troussures la rejoint[8].
Le ru de Boyauval, prenant sa source au nord-ouest de la commune sur les hauts de Saint-Paul à 99 mètres d'altitude, traverse le bois de Froidmont avant de rejoindre l'Avelon au Becquet-Saint-Paul. À proximité du ruisseau se trouve une fontaine : la Fontaine-qui-Bout.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 219 km2 de superficie, délimité par le bassin versant du Thérain. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat intercommunal de la Vallée du Thérain (SIVT)[9].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 749 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Urbanisme
Typologie
Au , Saint-Paul est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Paul[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[18]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,3 %), prairies (30,4 %), zones urbanisées (14,1 %), terres arables (13,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,4 %)[21]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communications et transports
La route nationale 31 E46, axe routier de Rouen à Reims passe au sud de la commune de Saint-Paul en venant de Rouen par l'ouest et en se dirigeant vers Beauvais puis Reims par l'est. Elle connaît un trafic assez dense jusqu'en 2009 où le contournement sud de Beauvais est ouvert à la circulation. Toutefois, elle demeure toujours en "rouge" ou "vert" sur les cartes routières car la déviation est trop longue pour certains automobilistes et le trafic demeure assez fréquenté malgré l'interdiction des poids lourds sur la RD 931.
La commune est traversée par l'avenue verte London-Paris, itinéraire cyclable qui relie Paris à Londres. Celle-ci a été réalisée sur le parcours de l'ancienne ligne de Goincourt à Gournay - Ferrières.
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 511, 518, des lignes scolaires et le service de transport à la demande Corolis à la demande - Zone Centre du réseau Corolis ainsi que par les lignes 610, 611, 6138 et 6148 du réseau interurbain de l'Oise[22].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes ad sanctum Paulum (1115) ; de Sancto Paulo (1128) ; terra in valle Si Pauli (1136) ; coenobium beatoe Marioe de Sancto Paulo (1136) ; in villa S. Pauli (vers 1147) ; abbatia S. Pauli (1150) ; Sanctus Paulus in Peleival (1247) ; Saint Paul les nonnains (1247) ; nostre Dame de Sainct Pol pres Beauvoys (1270) ; le couvant de Nostre Dame de seint Pol (1280) ; Saint Pol (1286) ; Nostre Dame de Saint Pol jouste Biauvez (1286) ; de Sancto Paulo juxta Belvacum (1297) ; inter Goyncurtem et Sanctum Paulum (XIIIe) ; B. Marie S. Pauli juxta Belvacum (1338) ; N.D. de S. Pol jouxte Beauvez (1347) ; Saint Pol emprez Beauvais (1373) ; Sainct Pol lez beauvays (1383) ; S. Pol les nonains (1451) ; Saint Pol les nonnains (1454) ; Sainct Paol (1454) ; Saint Pol (1454) ; Saint Paul les nonains (1460) ; Saint Pol lez Beauvais (1478) ; Saint Pol lès Beauvais (1478) ; Sainct Paoul les nonains (XVe) ; Sainct Paoul (1507) ; St Pol (1667) ; Saint Paul la Vallée (1794) ; Paul les Beauvais (1794) ; Paul la Vallée (1795) ; Paul (1795) ; Saint Paul lès Beauvais (XIXe) ; Saint-Paul (1840)[23].
Saint-Paul est un hagiotoponyme.
Histoire
L'abbaye de Saint-Paul est fondée au VIe siècle par sainte Angadrême, patronne de Beauvais et fille du grand référendaire de Clotaire III. Cet oratoire, détruit au VIIIe siècle par les Normands, devient une abbaye royale de bénédictines en 1036, qui subsiste jusqu'en 1792.
L'abbaye est alors transformée en prison et caserne puis en faïencerie.
En 1835, la commune de Saint-Paul, instituée par la Révolution française, cède un hameau qui devient la commune du Mont-Saint-Adrien[24].
Le bourg a été desservi par la ligne de Goincourt à Gournay - Ferrières, mise en service en 1870 et fermée en 2013. Une gare avait été construite, située 500 mètres après la bifurcation avec la ligne Beauvais-Gisors.
Politique et administration
- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Auneuil[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Beauvais-2
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
Saint-Paul fait partie de la communauté d'agglomération du Beauvaisis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre, dont la première création date de 2004.
Liste des maires
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2021, la commune comptait 1 592 habitants[Note 5], en évolution de +3,65 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La chute démographique observée en 1836 correspond à la création du Mont-Saint-Adrien, qui dépendait auparavant de Saint-Paul.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 778 hommes pour 784 femmes, soit un taux de 50,19 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
La commune est notamment connue pour accueillir le Parc Saint-Paul, un parc de loisirs créé par la famille Campion à l'initiative du maire de l'époque.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune possède deux monuments historiques sur son territoire :
- Ancienne abbaye et Hostellerie des Dames : Désaffectée lors de la Révolution française et vendue comme bien national, elle devient de 1850 à 1995 une ferme d'élevage. En 1995 elle est reprise par un particulier qui entreprend des travaux de restauration.
De cette longue histoire subsistent, outre le site, les vestiges du portail de l'abbatiale consacrée en 1042, un pigeonnier de 1699, un des bâtiments du XVIIIe siècle ainsi que la plus ancienne maison de l'Oise l' « hostellerie des Dames » restée dans le patrimoine de l'abbaye du XVIe siècle à la Révolution française.
Les ruines de l'abbatiale sont inscrites monument historique depuis le [33]. - Hostellerie des Dames : L'Hostellerie des Dames est inscrite monument historique depuis le [34].
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Les ruines de l'abbatiale.
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Les bâtiments de l'abbaye (XVIIIe siècle).
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Le pigeonnier .
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L'hôtellerie des Dames.
On peut également signaler :
- L'église paroissiale : Une bonne partie de cette église remonte au XIe siècle. Elle est donc de la même époque que l'abbaye bénédictine située à proximité. À l'extérieur, l'abside est entourée d'une corniche appuyée sur des corbeaux représentant d'étranges animaux et des figures grimaçantes.
À l'intérieur, la voûte en « cul de four » a été restaurée en 1892.
La nef a été en grande partie détruite en 1442. Les Anglais et les Bourguignons incendièrent l'église et l'abbaye dont il ne reste plus que le réfectoire et la petite cuisine. L'Hostellerie qui venait d'être construite (1433) en face de la chapelle abbatiale a été épargnée.
Un auvent, adossé au côté sud de la nef protégeait la petite porte d'entrée. Il datait du XVIe siècle. Très abîmé par le temps il a été démonté courant 1977. - Le monument aux morts.
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L'église vue du sud.
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L'église vue de l'ouest.
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Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Angadrême de Renty, († 695), disciple de saint Ouen de Rouen, première abbesse du couvent d'Oroër (ou de l'Oratoire ou de Saint-Paul-lez-Beauvais ou Sanctus Paulus Bellovacensis) ; sainte chrétienne fêtée le ou localement le [35],[36].
- Lucien Héraut (Hérault), né à Saint Paul, religieux trinitaire de la congrégation réformée de Pontoise, rédempteur d'esclaves. Il organisera deux voyages de rédemption à Alger. Soutenu par la régente Anne d'Autriche, il écrira "Les splendeurs de la charité" et mourra lors de la seconde rédemption à Alger en 1645[réf. nécessaire].
- 1036-1051 : Berthe
- 1051-1061 : Odilie
- 1061-1082 : Adélaïde
- 1082-1103 : Mathilde
- 1103-1122 : Emeline
- 1122-1155 : Thécie
- 1155-1175 : Marsilie
- 1175-1178 : Isabelle
- 1178-1180 : Jacqueline
- 1180-1193 : Ermengarde
- 1193-1217 : Agnès
- 1217-1220 : Gilette
- 1220-1228 : Mathilde de Soissons
- 1128-1240 : Isabelle
- 1240-1258 : Jeanne
- 1258-1270 : Agnès de Chevry
- 1270-1279 : Eustache de Neaufle
- 1279-1294 : Marie de l'L'Isle-Adam
- 1294-1307 : Alix d'Averon
- 1307-1324 : Helvinde de Vincy
- 1324-1340 : Isabelle
- 1340-1364 : Marguerite d'Aumont
- 1364-1386 : Mathilde de Haccot
- 1386-1390 : Jeanne de Joigny
- 1390-1394 : Jeanne d'Aumont
- 1394-1405 : Colette d'Aumont
- 1405-1409 : Marguerite de Pommelain
- 1409-1464 : Marie de Hellande[38].
- 1464-1469 : Jeanne de Vignebert
- 1469-1486 : Pétronille de Condrenc
- 1486-1496 : Bonne de Prouville
- 1496-1503 : Colette Paix-en-Cœur
- 1503-1526 : Bonne de Prouville[39]
- 1526-1553 : Marie de Pisseleu
- 1553-1554 : Charlotte de Monceaux
- 1554-1556 : Antoinette de Lorraine[40]
- 1556-1562 : Madeleine de Clermont
- 1562-1564 : Charlotte de Monceaux[39]
- 1564-1586 : Louise de Monceaux
- 1586-1596 : Charlotte de Pellevé
- 1596-1665 : Madeleine d'Escoubleau de Sourdis
- 1665-1672 : Madeleine de Clermont-Tonnerre
- 1672-1691 : Marie-Madeleine de Clermont-Tonnerre
- 1691-1712 : Marie-Madeleine de Clermont-Tonnerre[41]
- 1712-1743 : Marie-Isabelle de Clermont d'Amboise de Renel
- 1743-1751 : Claire-Eugénie de Clermont d'Amboise de Renel
- 1751-1784 : Marie-Louise Dauvet
- 1754-1789 : Sophie-Gabrielle d'Aumale
Héraldique
Les armes de Saint-Paul se blasonnent ainsi : De gueules à un pot d'argent avec un anse du même à senestre, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l'agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Paul comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Paul » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- Sandre, « le ruisseau du Moulinet »
- Sandre, « le fossé 01 de la commune de Saint-Germain-la-Poterie »
- Sandre, « le fossé 01 de la commune de Saint-Paul »
- Sandre, « le fossé 04 de la commune de Saint-Paul »
- Sandre, « le ru de Boyauval »
- Sandre, « le ruisseau Morue »
- « Fiche communale de Saint-Paul », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « l'Avelon »
- « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Paul et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Paul », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Paul ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Saint-Paul », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 524.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « https://www.leparisien.fr/oise-60/gerard-hedin-une-vie-a-saint-paul-08-02-2014-3570295.php », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « il est notamment l'un des pères fondateurs du parc d'attractions éponyme. Excepté une parenthèse entre 1992 et 2001, l'élu tient les rênes de son village natal depuis 1977 ».
- C.P., « Gérard Hédin, maire de Saint-Paul, chevalier de l'ordre national du mérite : Gérard avait choisi le jour de son anniversaire, le 6 octobre, pour se faire remettre cette médaille », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Investi dans la vie de sa commune, Gérard Hédin est élu maire en 1977, un poste qu'il a, depuis, quasiment toujours occupé, excepté une interruption entre 1992 et 2001. Les habitants lui doivent notamment la création du parc de loisirs Saint-Paul, construit en 1978 puis cédé en 1984 à la famille Campion. Connu en dehors l'Oise, le parc d'attractions attire aujourd'hui 380 000 visiteurs par an. Par ailleurs, Gérard Hédin a supervisé la construction de l'usine Givenchy, à Beauvais. En fin de carrière, à partir de 1984, il devient le PDG du groupe Havas ».
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Gérard Hédin a commencé son dernier mandat », L'Observateur de Beauvais, no 836, , p. 12 (ISSN 1287-7565).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Paul (60591) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Ruines de l'abbatiale », notice no PA00114871, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Hostellerie des Dames », notice no PA00114872, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Nominis : Sainte Angadrême
- Forum 'orthodoxe.com' : saints pour le 14 octobre du calendrier ecclésiastique
- D'après lHistoire de l'abbaye royale de Notre Dame de Saint-Paul-lès-Beauvais. E. Deladreue, 1867
- De la famille de Guillaume de Hellande, évêque de Beauvais
- Réélue
- Fille de Claude de Lorraine
- Cousine de la précédente